Merci de me sauver une fois de plus - avec Samuel

Light Of The Assassin

Les larmes de Rachel avait cessé de tomber, mais les miennes étaient toujours là, simplement parce que j’en avais assez. Je ne supportais plus la situation qui était la mienne, alors que j’avais enfin la chance de connaître le bonheur. Tout ceci était injuste. À chaque fois que j’avais l’occasion de bouleverser ma vie, dans un sens positif, et enfin vivre heureux, avec le sourire, et la présence de quelqu’un que j’aimais sincèrement, quelque chose me faisait comprendre que c’était impossible. Il s’agissait d’un obstacle, un fait ou une action suffisamment intense pour empêcher mon bonheur.

Cette fois-ci, il s’agissait de cette chasse, de ces scientifiques qui voulaient réellement me capturer, me torturer, me tester comme un vulgaire rat de laboratoire, mais je n’allais pas me laisser faire…jamais. Maintenant, Rachel était entrée dans ma vie, et jamais elle n’allait sortir. Il était temps que tout puisse changer, même si tout allait devenir suicidaire, mais il était hors de question que je me sépare d’elle…hors de question que je quitte Rachel alors que je l’aimais, et qu’elle me rendait heureux. Il ne fallait pas que cela s’arrête. C’était cette chasse qui devait s’arrêter, et non cette relation. Les deux mains de Rachel contre mes joues, était une preuve que je pouvais compter sur elle, qu’elle était là et qu’elle allait toujours être là, et ceci était censé me calmer, du moins être moyen plutôt fiable pour me calmer, mais cela ne fonctionnait pas. Mon visage était toujours dévasté par les larmes, dans leur présence incessante, et cela n’était pas près de s’arrêter malheureusement. Le fait d’être piégé dans cette tourmente immense ne m’arrangeait pas.

- Je ne veux pas te mettre en danger, mais je ne veux pas non plus voir cette relation cesser, alors que j’y tiens énormément.

Je relevais les yeux vers Rachel, bien que mes larmes étaient toujours présentes, avant de continuer à lui parler.

- Je sais qu’il n’y a pas le choix et qu’il faudrait que je m’en aille, mais je ne pourrais pas supporter cela, pas constamment en tout cas. Je n’ai pas envie de voir ces monstres détruire ta vie, et endommager encore la mienne. Je ne vais pas les laisser faire. Il est hors de question que cela continue et qu‘ils m‘éloignent davantage de toi. Je ne veux pas te perdre.

Ma mine était affreuse, à force de pleurer, mais mes larmes exprimaient pleinement une peur, qui était encore enfermée en moi : cette peur de perdre Rachel. Le fait d’être obligé de m’enfuir agrandissait cette peur, et mes larmes par effet domino. Cette succession était terrible…

- Ma mine doit être affreuse à regarder excuse-moi. disais-je en tentant d’éponger des larmes, qui tombaient toujours…

En seulement quelques instants, je ne pensais pas pleurer autant. Mes larmes étaient nombreuses, et montraient ma peine à voix haute, pour une fois. À chaque fois, je me retenais, pour tenter d’être fort, mais je ne le pouvais pas cette fois-ci.

Ma peur de la perdre était plus puissante que moi.

Je n'aimais pas le voir comme ça. Mais, tout ce qu'il me disait était vrai. Car, même si je voulais qu'il reste et que lui voulait rester. Nous ne pouvions rien faire pour stopper ceci. Le destin nous avait permit de nous rencontrer de tomber amoureux l'un de l'autre, mais pour au final nous séparer. Ce n'était pas juste. Je voulais qu'il soit heureux comme je voulais être heureuse, mais rien ne pouvait y faire. Il me disait qu'il ne voulait pas me mettre en danger et qu'il ne voulait pas voir notre relation s'arrêter alors quelle n'avait même pas encore commencer. Je tenais moi aussi à cette relation et je voulais que soit très longue. Je voulais avoir du bonheur avec lui et à cause du monde dans lequel nous sommes ça ne pourra pas arriver avant un moment.

Je le vis relever ces yeux et avec ma main je lui enlevais les larmes qui coulait toujours. Il continuait qu'il savait qu'il n'avait pas de choix, mais il ne pourra pas le supporter longtemps. Moi non plus je ne pourrais pas être aussi loin de lui. J'avais besoin de lui maintenant qu'il était entrer dans ma vie et je ne voulais pas le laisser partir. Il ne voulait pas que ces personnes me détruit comme il le font avec lui. Moi non plus je ne voulais pas que ça arrive, mais si ça arrive je serais prête au pire.

Je n'avais toujours pas parler, mais j'avais montrer que j'étais comme depuis, le début de notre soirée. Je le regardais et son visage n'était pas mieux. Avec toutes les larmes qu'il versait en ce moment je pouvais dire que sa mine n'était pas la plus jolie. Il disait qu'il s’exauçait pour ceci, mais il n'avait pas à le dire. donc, je lui souriais pour lui remontrer le moral :

Ne t'excuse pas, ta le droit de te montrer faible comme ça.

Il essayait d'enlever ces larmes, mais rien n'y faisait elle était toujours là. Puis, je lui dit ceci :

Je veux pas te perdre moi non plus et je veux pas te laisser partir. Je ne veux pas aussi loin de toi. Tu es maintenant dans ma vie et je ne veux pas te laisser aller aussi souvent.

Une seule larmes coulait le long de mon oeil gauche et je ne pouvais pas en revenir que bientôt il ne sera plus avec moi pour un moment.

Light Of The Assassin

Je ne supportais plus la mauvaise influence que le destin avait sur ma vie, en la rendant si…maudite…si…triste, et surtout insupportable.

À présent que j’aimais réellement une personne, au point d’avoir pu retrouver le bonheur, mon humanité, le destin jouait encore avec moi, provoquant en moi l’un des pires sentiments existant : un coup de poignard en plein cœur, et cette absence de choix qui m’obligeait à continuer de fuir plutôt que de vivre pleinement mon amour, comme tout couple…mais impossible. Il y avait encore ces scientifiques, qui me courraient après, dans le but unique de pouvoir scruter mon cerveau, de part en part, afin de découvrir quelle était cette chose, qui rendait mon cerveau différent des autres semblables humains.

Le monde était chaotique, avec une force évolutive selon la haine gouvernementale. Par leur faute, les destructions, méchancetés et fuites n’avaient fait que grossir, pour noircir le cœur de beaucoup de personnes, et rendre fragiles ceux de beaucoup d’autres. Ces scientifiques appartenaient aux monstres actuels de notre monde, mais leur proie n’était que moi…juste moi. Malheureusement, en me courant après, ils mettaient en danger mes proches, et j’en avais assez. Je ne pouvais même plus être heureux parmi ceux que j’aimais, et surtout auprès d’elle. Ce qui me chagrinait le plus c’était de ne pas la voir pleinement, ni de pouvoir pleinement profiter de cette beauté et ce sourire qui étaient les deux choses ranimant mon humanité

Quand je relevais les yeux, Rachel tentait d’enlever ces larmes, qui continuaient malheureusement encore bien présentes sur mes joues, car ma peine était flagrante. Mais elle montrait qu’elle était présente auprès de moi. Je voyais que je pouvais compter sur sa présence. Elle était là, mais alors pourquoi pleurais-je ? Pourquoi continuais-je à verser tant de larmes, alors que celle que j’aimais demeurait présente non loin de moi ? Tout ceci n’avait aucun sens…aucun.

La vie devenait trop compliquée à la longue, mais pourtant je continuais d’exister.

Mais je la regardais en train de sourire, un geste qui me surprenait encore, mais qui me faisait plaisir. Je préférais largement la voir ainsi plutôt qu‘en larmes, tout comme l‘état dans lequel j‘étais actuellement. Cette souffrance n‘était guère plaisante et Rachel ne méritait pas d‘avoir le cœur brisé. Supporter déjà le mien, en miettes à cause de cette fuite, mais en chantier pour pouvoir renaître grâce à l‘amour, ce puissant remède.

Selon Rachel, je n‘étais pas obligé de m‘excuser, car j‘avais le droit de me montrer faible, comme maintenant…mais quelque chose me dérangeait, et me rendait fautif. Je ne voulais pas pleurer, pour montrer l‘objet de ce que je n‘aimais pas voir chez les autres, en pensant qu‘ils pouvaient ne pas aimer la voir eux non plus. Il s‘agissait d‘une pensée échangée, un partage de sentiment dangereux.

Le discours qui allait suivre, prenait une vitesse peu à peu accélérée. Tout ceci n‘était que la déclaration d‘un rêve, une œuvre idyllique que j‘aimerais voir grandir, pour une seule et unique raison : et c‘était elle…Rachel.

- C’est bien ça le problème. Il y a l’occasion de…vivre sa vie, qui s’enferme quelque part, mais des monstres la bloquent, et c’est bien cela qui m’énerve, mais qui me blesse surtout, car je n’ai vraiment pas envie de m’en aller. J’aimerais vivre ma vie, et non la passer en train de courir, fuir, alors qu’aimer pourrait libérer mon cœur. Tu m’as aidé. J’ai retrouvé l’espoir, mais aussi une âme sœur que je refuse de perdre. Je t’aime, et je ferai tout pour que ces monstres puissent arrêter de me faire courir. Je veux que cette course puisse cesser, afin que je n’ai plus besoin de m’enfuir, plus besoin de courir, plus besoin de se cacher. Je pourrais être ici avec toi, et ils ne pourraient pas nous séparer, ils ne pourraient plus le faire, et plus rien n’effacerait nos sourires. C’est une vision utopique, je le sais, mais j’y crois encore. J’ai toujours espoir de voir les choses changer, et je ferais tout pour cela puisse être autrement, pour nous. J’en peux plus de cette vie de fugitif. Je ne suis pas cela. Je suis juste qu’un humain, comme n’importe qui d’autre, même si j’ai des pouvoirs qui, soit dit en passant, forgent un bagage réellement très étrange à transporter. Mais j’ai quand même des souhaits, et c’est toi. Je veux juste être avec toi, c’est tout ce qui m’importe.

J’avais un maigre sourire, même si je pleurais encore, parce que l’étincelle de celui de Rachel avait tenté de le faire renaître.

Rien qu‘en pensant à cet amour que je ressentais pour elle, je songeais à cette idée folle, qui avait frappé mon esprit depuis quelques temps. Je ne faisais que réfléchir à des éventuels moyens d‘arrêter toute cette procédure de chasse, et ainsi être pleinement avec elle. Je ne pensais qu‘à cette horreur, cette chose que je pourrais faire pour les dissuader de me chasser. Ils ne devaient plus le faire.

Je devais peut-être atteindre une extrémité étrange…sans savoir laquelle, car je n’étais bercé que par une idée, une volonté qui m’entrainait à penser à être heureux, plutôt que de fuir, ce qui était normal après tout, non ?

- Je garde espoir et c’est une chose que je ne pensais pas faire avant cette soirée rien qu’entre toi et moi.

J’essuyais enfin mes larmes.

La clé n‘était autre que l‘amour. Il fallait y songer, pleinement et surtout sans attendre. En pensant en ce bon sentiment, on pouvait parvenir à oublier le rester, et donc par la même occasion oublier cette douleur, provoquée par ma fuite.

Je me sentais beaucoup mieux…vraiment mieux. Mes larmes avaient disparu. Il était temps.

- Je crois que je viens de retrouver le moral. Enfin…

Une larme commençait à couler le long de l’œil gauche de Rachel, et je me servais de mon petit doigt pour la rattraper. La voir ainsi n’était guère simple. Si je devais retrouver le moral pour la revoir en train de pleurer…hors de question.

Je ne voulais plus la revoir pleurer. La flagrante évidence de cette souffrance était insupportable.

- Non, plus de larme, pas maintenant. Garde ton sourire, je t’en supplie.

Toujours dans la même pièce et on pourrait presque dire qu'une éternité avait passer. Mais, seulement 8 heures c'était dérouler et cela me laissait un vide en quelque sorte. Ces comme si le temps c'était arrêter juste pour nous deux. Mais, il fallait que nous retrounions à nos vies sans nous voir pour un moment. Je ne savais pas quand j'allais le revoir. Mais, quelque chose me disait que j'allais le revoir et en vie. Une de mes peurs était de perdre ceux que j'aimais. Que sa soit de façon naturel ou surnaturel. Depuis, quelques temps, je n'arrêtais pas d'y penser. J'en n'avais parler à personne et c'était mieux comme ça. La première chose que je devais faire en ce moment était de m'occuper de mon petit ami du mieux que je pouvais.

Car, à le voir comme ¸a je savais qu'il n'allait vraiment pas bien et c'était un peu mon devoir de l'aider. Je savais et il le savait aussi, nous voulions une relation assez normals pour un couple avec des dons comme nous deux. Mais, c'était impossible... pour le moment. Pas tant que cela ne sera pas fini, j'aurais toujours un moment d'inquiètude pour lui. Je crois que ces le seul point négatif à sortir avec un des spéciaux les plus rechercher en ce moment. Mais, je ne voulais pas la finir, je savais que j'allais avoir des larmes plus qu'une fois et j'étais prête à me battre pour.

Puis, quand il me parlait je n'avais aucun mot au début. Certaine chose était vrai comme celle ou il disait qu'il avait trouver l'âme soeur et qu'il en voulait pas la perdre. Moi non plus je ne voulais pas le perdre sinon j'en n'aurais certainement le coeur briser. Il en n'avait assez d'être poursuivit aussi et même si je ne le vivais pas. Je souhaitais à personne de vivre ce qu'il vit. Car, personne ne souhaite se faire poursuivre comme il le fait en ce moment. Il disait qu'il pourrait être avec moi et que personne ne pourrait nous séparer. J'avais une image dans ma tête, mais je sais que ces juste une illusion de se qui pourrait arriver. Je l'aimais vraiment aucun mot ne pourrait le décrire, mais je savais qu'en ce moment je ne pourrais pas être complètement heureuse. Car, tant qu'il se faire poursuivre il sera en danger de mort et ma peur sera beaucoup plus grande de jour en jour.

Je n'avais toujours pas parler, mais je pris enfin la parole :

Moi non plus je ne veux pas que tu vives ceci. Je veux pas te perdre et j'en n'est peur que ça arrive à cause d'eux. Si ça l'arrivait je ne sais pas ce que je ferais.

Finalement, il me disait qu'il avait retrouver son moral. J'en n'était très soulager et ça m'Enlevait un gros poids. Puis, une des larmes coulait le long de ma joue gauche. J'y pouvais rien elle avait commencer à couler toute seule. Je vis le petit doigt de Samuel me l'enlever tout de suite. Il me disait de garder mon sourire. Dans le fond, je voulais, mais j'avais tellement de difficulté avec ce qui allait se produire après qu'il allait partir. J'essayais de lui sourire, mais il n'était pas mon meilleure et je crois que ça allait l’inquiéter un peu. Je baissais la tête, car je ne voulais pas y penser. Pourquoi lui il fallait qu'il retrouve le moral et moi il fallait que je le perds.

Light Of The Assassin

Je venais de retrouver le moral, que j’avais perdu, du moins en quelque sorte, car j’avais l’impression que quelque chose n’allait toujours pas. Le spectre de la tristesse planait encore sur nos têtes, et il me semblait qu’il ne cessait de jongler entre moi et Rachel, comme s’il ne souhaitait pas nous laisser tranquille. Pourtant, c’était ce dont on avait envie, à savoir d’un peu de tranquillité, juste entre nous.

Mes envies étaient quand même simples à comprendre, car je ne souhaitais simplement qu’une relation amoureuse normale, une relation humaine non rythmée par ces chasses à l’homme stupide. Je voulais juste être avec elle, avoir le sourire avec elle, profiter de sa présence pour revivre. Me sentir renaître avec elle était une sensation que j’appréciais réellement, et la ressentir avec elle demeurait l’une des meilleures choses, qui pouvait arriver dans ma vie : cette chose que je ne souhaitais pas oublier, jamais.

Mais, ces scientifiques ne l’entendaient pas de cette oreille. Ils ne souhaitaient que me voir dans leur laboratoire, à leur merci sur leur table d’opération, histoire de pouvoir analyser ma tête, savoir en quoi j’étais différent des autres, et me faire du mal. Ils étaient très bons rien qu’en pensant me torturer, et je n’en pouvais plus. À cause d’eux, je ne pouvais même pas avoir le temps de vivre une relation amoureuse normale, avec cette fille que j’aimais plus que tout au monde. Je les haïssais, de tout mon cœur, et jamais je ne pourrais leur pardonner ! Si jamais la chance, ne serait-ce qu’un jour, de pouvoir leur faire payer leur affront, je ne m’en gênerais pas. Je leur ferai comprendre quelle est la nature exacte du mal, qu’ils m’infligeaient.

J’étais prête à me battre pour l’amour. Il s’agissait d’un principe que je défendais, et jamais je ne l’abandonnerai. Je n’avais pas envie de revoir ma vie devenir un enfer émotionnel. J’avais pu sourire grâce à Rachel et je ne voulais plus jamais redevenir cet être si triste, qui tentait de dissimuler ses émotions pour se montrer puissant, alors qu’il ne l’était absolument pas.

Le danger de mort me rendait mélancolique, mais l’amour ramenait mon humanité ! Je voulais rester humain, avec elle.

Sans elle, je n’étais plus rien…et ceci devenait plus clair, à mesure que je la voyais et que je profitais de sa présence. Rachel était la lumière de ma vie, celle qui me rendait mon âme, et il était hors de question que je la perde. Je ne voulais pas revivre comme j’étais auparavant, alors qu’elle avait su changer ma vie.

Je trouvais cela injuste. Pourquoi le destin osait-il me faire subir d’aussi horribles choses ? Pourquoi tant de tortures ? Pourquoi ? Personne ne pouvait répondre, mais pourtant ces questions demeuraient dans ma tête, comme une sorte d‘évidence immuable avec le temps…incapable de disparaître…et donc toujours et à jamais présente dans ma tête. Ceci me dérangeait comme ma plus grande peur, même si je ne le disais jamais, à qui que ce soit. Qu‘il s‘agisse de n‘importe qui, personne ne savait quelle était ma plus grande peur et c‘était mieux ainsi.

Si je le disais, ma vie ne serait plus la même, et je ne voulais pas subir un spectre de malheurs…cela suffisait…

- Cela n’arrivera pas à cause d’eux, je te le promets. S’il y a bien une chose qui me motive, une chose qui me donne envie de me battre pour rester en vie, c’est toi. Ta présence me fait revivre.

Rachel baissait la tête, et je n’aimais pas la voir ainsi. Son

Je voyais que Rachel perdait peu à peu son moral alors que je venais de retrouver le mien…

*non, ne fais pas disparaître ton sourire, je t’en supplie... J‘apprécie ce sourire…*

- Pardon, c‘est à cause de moi que tu as perdu ton moral.

*c’est vrai…*

Les mains de Rachel enfermées dans les miennes, je voudrais tant être capable de l’aider à retrouver le moral, sans perdre le mien en échange.

Nous méritions le bonheur comme tout le monde, non ? Ce serait injuste…

- Nous sommes ensemble, toi et moi, et c‘est tout ce qui compte, non ?

Je ne pleurais plus du tout. J’avais enfin le moral.

La vie vaut la peine d‘être vécue, et j‘ai envie de la vivre avec toi.

*toute ma vie, rien qu’avec toi…*

Une chose était claire à présent. Je ne voulais pas voir Rachel en train de pleurer. Je détestais la voir triste, car ce n’était qu’une marque de souffrance. Cette souffrance était horrible…et je ne voulais pas qu’elle la vive elle aussi.

Par mon passé, j’avais tant pleuré, tant vécu d’horreurs, que j’étais devenu mélancolique par nature, et ceci m’avait fait du mal. J’en avais assez d’être dans cet état, et je n’avais fait qu’espérer voir tout ceci s’arrêter. Pendant tout ce temps, je n’avais vécu qu’avec l’espoir de voir la fin de mon malheur, et aujourd’hui c’était chose faite. Rachel avait supprimé mes larmes…enfin… Mais je ne voulais pas voir les siennes…hors de question…

Pourquoi on ne pouvait pas nous laisser tranquille. Je ne voulais que notre bonheur avant de vivre quelques moments seule sans lui. Je ne demandais pas la lune, mais le fait de la baisse de moral passait de Samuel à moi me rendait triste. Je ne voulais qu'une relation normal ou personne ne se faisait chasser pour ce qu'il était. Mais, je voyais trop gros, car les gens ne changeront jamais ou ça allait prendre des années encore. Le simple fait de penser qu'un jour peut-être l'être que j'aime pourrait se faire prendre et se faire jouer dans la tête me dégoûtait. L'homme qui était devant moi était celle que j'aimais le plus au monde. Je ne voulais pas la perdre à cause de gens qui voulait l'avoir. J'allais me battre pour notre amour et que personne ne vienne me l'enlever. Car, sinon ils vont voir que je peut me battre quand il est question d'amour.

Je trouvais cela pas normal qu'on poursuit quelqu'un comme ça. Je trouvais cela inhumain, mais dans le monde que nous vivions chaque personnes qui était du mauvais côté, était inhumain dans un sens. Ceci, était une partit de pourquoi mon moral avait descendu aussi vite. L'autre était le fait que je ne voulais pas le voir partir, mais je devais et j'étais triste de ne pas le voir pour aussi longtemps.

Puis, quand il me dit que personne ne pourrait le tuer et qu'il me le promet. J'eu un peu de bonheur, mais j'étais toujours triste et cela je ne sais pas trop pour combien de temps encore. Aussi il me disait qu'il y avait une raison pour qu'il allait se battre et c'était moi. Je ne savais pas trop quoi dire à ce moment. Mais, je l'écoutais quand même les deux grande oreilles ouverte. Il disait que c'était à cause de lui que j'avais perdu mon moral. Je ne lui répondit pas, mais je bougeait la tête pour dire un non. Ce n'est que moi qui était en cause, car mon moral avait baisser à cause de ce que je pense et non à cause de lui.

Il me disait que tous ce qui compte c'était que moi et lui nous étions ensemble. Il avait raison après tout je pourrais affronter n'importe quoi je sais que nous étions ensemble et que ce que nous avions c'était très fort. Il me disait que la vie valait la peine d'être vécu et qu'il voulait la vivre avec moi. Je ne pensais pas que je finirais comme ça avec quelqu'un qui aimait comme je l'était maintenant. Il avait raison la vie valait la peine d'être vécu surtout quand nous avions la personne que nous aimions à côté de nous.

Ta raison il faut la vivre surtout quand j'ai quelqu'un d'aussi extraordinaire comme toi. Je suis très heureuse d'être ta petite amie.

J'avais retrouver un peu mon sourire, mais le reste de ma tristesse je la cachais pour ne pas la montrer à Samuel, car j'étais heureuse encore.

Light Of The Assassin

Aux côtés de celle que j’aimais, je ne pouvais qu’être le plus heureux des hommes.

La présence de Rachel suffisait à me combler de bonheur, me faire sourire. Grâce à elle, je n’étais plus cet être triste, que j’avais en quelque sorte toujours été. J’étais bien meilleur, juste parce que je l’aimais. Plus que tout au monde, Rachel était devenue importante à mes yeux, et je n’avais pas envie de la perdre, ni qu’elle puisse penser que je pourrais l’abandonner. Il y avait bien une chose dont j’étais certain : jamais je ne pourrais la laisser tomber. Elle avait redonné à mon âme une partie qui lui manquait réellement, à savoir mon humanité. J’étais plus humain, plus souriant, et plus en proie aux émotions humaines. Je ne me retenais pas devant elle. J’étais ce moi que je pensais plus retrouver : surtout après ces morts, auxquelles j’avais pu assister, notamment celle de la chair de ma chair.

Avec de si gros malheurs, je trouvais le destin injuste. Nous faire subir autant de souffrances, en si peu de temps, ressemblait à un acharnement. Je n’en pouvais plus, et je voudrais simplement sourire, être heureux avec celle que j’aimais mais, à la place, j’avais hérité de tous ces obstacles. Au contraire d’un bonheur, voilà mon cadeau empoisonné. Pour espérer vivre mon amour, je devais courir…sans cesse courir…et cela m’épuisait. Je voulais voir cette chasse cesser, rien que pour voir cet amour se concrétiser, être si heureux ! Je voulais être humain, en quoi était-ce mal de demander à être heureux, au moins une fois dans sa vie ? À priori, cela devait l’être, du moins dans un sens…

J'allais pourtant me battre pour notre amour, pour que l’on soit ensemble, et que rien ni personne ne puisse me l’enlever. Je ne voulais absolument pas la perdre. Perdre Rachel pourrait m’achever, dans un sens définitif. J’avais déjà eu beaucoup de mal à me remettre de ce double assassinat, parce je pensais déjà que c’était ma fin. Selon moi, ces deux fins avaient amené la mienne, car cela forgeait ce qu’un humain ne pouvait pas perdre sans se perdre. Cela m’avait perdu d’ailleurs, en partie, et je ne pouvais pas dire le contraire, sans mentir à ma propre conscience.

Regarder les yeux de Rachel me suffisait pour comprendre qu‘elle était faite pour moi. Elle ranimait mes forces, mais pas seulement cela. Je pouvais sourire, ne plus penser à rien, en dehors de l’amour, et c’était parfait, car le bonheur pouvait se remarquer rien qu‘en la regardant. Tout était parfait rien qu’en la voyant, et c’était pour cela que je voulais rester avec elle. Je ne voulais qu’entendre mes prières être exaucées, pour une fois.

- Et moi je suis très heureux de t’avoir, juste en face de moi, et d’être capable de te répéter, sans interruption, que je t’aime sincèrement. Tu es plus qu’extraordinaire à mes yeux. Tu es…je ne trouve même pas mes mots pour dire ce que je pense. Mais tu me fais sourire, ressentir un sentiment que je pensais éteint. Je t’aime plus que tout au monde, et c’est pour cela que je ne veux surtout pas te perdre.

Rachel avait en quelque sorte un peu retrouvé son sourire, et ceci me faisait plaisir. L‘observer me faisait énormément de bien, car c‘était cette partie en elle, qui suffisait, par un échange, à amener également mon sourire en échange.

Mon âme était comme réunifiée, grâce à l‘amour de Rachel, et rien que ceci : était le plus beau cadeau du monde.

Même si beaucoup de choses peuvent m‘amener à l‘extérieur, mon seul et unique souhait était de rester avec elle.

Dès que Samuel commençait à me répondre je me sentis de plus en plus mieux. Chaque paroles qu'il me disait me faisait beaucoup de bien. À chaque fois, qu'il me disait qu'il aimait je ne pouvais pas m'en passer. Il pouvait me le dire autant de fois qu'il le veut moi je ne pouvais pas arrêter de l'entendre dire ceci. Tout comme moi il ne pouvait pas dire combien il aimait. Il ne voulait pas me perdre et moi je ne voulais jamais le perdre. Sa jamais et si ça arrive je ne serais pas quoi faire.

J'étais très bien avec lui et je ne savais pas trop quoi lui dire. Donc, je ne lui disais rien, mais je le pris dans mes bras et l'embrassait. Je ne savais pas trop comment définir notre relation ou notre début de relation. Mais, c'était quelque chose de fort qui nous avait changer autant lui que moi en une soirée. Même si dehors il y avait la douleur et la souffrance de ce que nous allons vivre en tant que couple. J'étais prête et je savais qu'il sera prêt lui aussi.

Après avoir fini de l'embrasser, j’aurais peu continuer, mais je manquait d'air un peu. Je repris ces deux mains et lui dit finalement :

Moi aussi, je ne peux pas dire combien je t'aime et j'ai juste peur de perdre tout le monde que j'aime ces tous, mais ces normal avec le monde dans lequel nous vivons.

En dernier de tout, la fatiguer que j'avais depuis le début de soirée m'avait rattraper. Je regardais mon petit ami qui n'était pas mieux que moi. Il avait vraiment l'air d'un zombie maintenant. Je le regardais dans les yeux et même avec sa fatigue je voyais qu'il avait besoin de dormir un bonne nuit ou journée.

Qu'est que tu dirait si on dormait pour de bon ? Je sais que ça nous ferais du bien.

hj: Un peu court, mais j'ai perdu mon texte donc j'ai du en refaire un autre.

Light Of The Assassin

Parler de ce bonheur, que je ressentais aux côtés de Rachel, était pour moi une sorte d’évidence, comme un échappatoire à la tristesse, que je ne pourrais jamais laisser tomber.

Depuis le départ, et ce coup de foudre qui avait traversé mon cœur, je savais que Rachel était devenue importante à mes yeux, et que je pouvais garder espoir. Au fond, une chance existait peut-être encore. Peut-être pouvais-je encore être capable de retrouver une parcelle d’humanité, que je croyais perdue. En sa présence, mon cœur, que je croyais fermé depuis leurs morts, s’était rouvert avec une intensité plus sincère, mais aussi plus passionnelle qu’autrefois. L’amour que je ressentais pour Rachel était unique, et je ne pouvais absolument pas l’oublier, sous peine de replonger en enfer. Cette chute pourrait mener à ma perte finale, et ce n’était pas qu’une farce. Au contraire, j’étais réaliste en disant cela…

Si toute la présence de Rachel m’aidait à renaître, quelle allait être la nature exacte de mon état, si jamais je la perdais ? Il suffisait de voir à quel point j’étais désespéré, triste et surtout incapable d’être pleinement heureux. Cet état de peine immense, que je m’acharnais à dissimuler, m’avait fait beaucoup de mal…et je ne pouvais que l’admettre malheureusement. Mais il fallait que je fasse quelque chose ! Il fallait à tout prix que je remonte la pente, et c’était pour cela que j’avais tant espérer retrouver quelqu’un, mais jamais je n’aurais pu m’attendre à un bonheur tel que celui-là. Rachel était un cadeau inespéré, quelque chose de plus fort que ce à quoi je pouvais m’attendre.

J'étais très bien avec elle, et même encore davantage. Cette joie rafraichissait mon âme comme jamais même si elle dépérissait, en quelque sorte, à cause de cette fatigue qui ne cessait de grimper. En effet, je n’avais toujours pas dormi et me voiler la face ne serait qu’un tort, surtout en état pertinemment au courant de mes insomnies perpétuelles. Depuis quelques temps, ma conscience se braquait contre le sommeil, comme si elle le considérait comme un danger, alors qu’il ne s’agissait que de la fuite. Cette dernière n’était que la bête noire, alors que ce n’était pas le cas. Au contraire j’avais largement besoin d’elle. Mais alors pourquoi ? Pourquoi ne dormais-je pas ? Pourquoi ne pouvais-je pas trouver correctement le sommeil sans subir autre chose derrière ? Ceci me gonflait…sérieusement… Je ne souhaitais qu’une seule chose : que tous ces obstacles puissent prendre fin, et ainsi laisser ma conscience en paix, car voilà tout ce que je réclamais : la paix, et que l’on puisse enfin me laisser respirer. J’en avais assez de courir. J’avais besoin d’une toute autre chose : l’amour. Ce dernier, envers Rachel, était ma guérison, et je n’avais guère envie de finir, une nouvelle fois, en cet être meurtri que je souhaitais tant fuir pour penser devenir meilleur. Je préférais largement l’espoir par rapport à n’importe quel autre chose, qui n’évoquerait que les ténèbres car, c’était ainsi que je percevais le contraire du bonheur. La lumière de joie n’était en rien mauvaise. Elle était belle, unique, et la percevoir était un magnifique cadeau. Je voulais juste la ressentir, un peu au moins. Était-ce trop demandé de vouloir sourire ? Était-ce trop demandé de vouloir devenir et surtout rester humain ? À priori…oui.

Rachel me prenait dans ses bras et m’embrassait. Avec ce geste, tout était clair : mon moral était définitivement revenu, mais je n’étais pas en meilleure forme, parce que je n’avais toujours pas dormi. J’étais toujours extrêmement fatigué, et ceci ne m’aidait pas. Ce baiser fut long, réellement long, mais aussi très bon.

Quand il fut fini, les deux mains de Rachel étaient de nouveau enfermées dans les miennes, et elle me parlait de nouveau.

Je lui souriais.

- Moi aussi j’ai cette peur. Tu n’es pas la seule. Quand je tiens à mes proches, je n’ai pas envie de les voir souffrir, et ceci me fait peur. Je n’aime pas cela, mais le monde ne fait que procurer le contraire. Malgré tout, je me bats un maximum pour tenter de faire disparaître ceci, du moins avec le plus de force que je peux mettre en œuvre. Je n’ai pas envie qu’il t’arrive quoi que ce soit, et je ferais tout pour cela, mais vraiment tout. Je tiens énormément à toi.

En fin de compte, cette fatigue était réellement forte, et je ne pouvais pas le nier. Depuis longtemps, je n’étais pas parvenu à trouver le sommeil, et tout était en train de me rattraper, en un seul et unique moment, celui que j’aimais le plus pour bien me décevoir bien entendu…

Malheureusement, je ne pouvais plus rien faire, car la fatigue était là. Je pourrais très bien tenter de dormir, et de m‘abandonner dans ce sommeil libérateur, mais j‘avais l‘impression qu‘une partie de ma conscience n‘en avait pas envie, comme si elle appréciait réellement le fait de me faire souffrir, et de m‘épuiser par la même occasion.

Pour quelle raison ? Au fond, je l‘ignorais toujours.

- Dans un sens, tu as raison. Le fait de dormir nous ferait du bien. Je pense, qu’en me voyant, cela se voit que je suis en manque de sommeil. Toi aussi tu as besoin de dormir, te reposer un peu afin de reprendre des forces.

Mais allais-je dormir ? Probablement pas, ou peu serait le terme le plus exact pour être honnête.

- Je ne sais pas si je peux le faire…

J’avais l’impression, même si j’étais extrêmement fatigué, que quelque chose me tirait vers le haut et me forçait, en quelque sorte à rester éveillé. Cela était un peu…si on réfléchissait bien, une méthode forcée pour me maintenir réveiller, même si je pouvais m’écrouler, extrêmement fatigué.

La seule penser de dormir me faisait du bien. Je fermais à chaque fois les yeux comme pour les autres fois. Je les réveillais à chaque fois et je savais que Samuel était pareil. Je le voyais dans ces yeux et dans son visage. Je l'écoutais et je savais que après cette journée de sommeil. Je ne pourrais pas le voir pour un moment, donc chaque mouvement, chaque chose et chaque parole je l'ai enregistrais dans ma tête pour les garder aussi longtemps que je le peux. Jusqu'à la prochaine fois ou j'allais le revoir et j’espérais que c'était pour bientôt. Je ne serais pas dépressive quand il ne sera plus là. Pourquoi je le saurais vu qu'il me rend heureuse. Mais, je serais un peu triste ça ces certain. Je ne voulais qu'une relation normal d'une fille de 21 ans avec l'homme qu'elle aime plus que tout au monde.

Il me disait que lui aussi avait la même peur que moi. Tout comme moi il ne voulait pas perdre ces proche. Moi non plus, ces ma grande faiblesse ceux que j'aime. Si on touche à un membre de ma famille ou que j'aime. Je pourrais leur arracher la tête à n'importe quel moment. Je savais qu'il se battait à chaque minutes de sa vie pour que ceci arrête. Et quoi qu'il arrive je serais toujours là pour lui et pour le soutenir du mieux que je peux. Il tenait beaucoup à moi tout comme moi pour lui. Je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose. Mais, c'était la grosse conséquence à cette relation que je commence avec lui.

Moi non plus je ne veux pas te perdre ça jamais. Je serais toujours là pour te soutenir du mieux que je peux. Aussi, longtemps que tu veux de moi je serais là pour toi.

J'eu un mini-sourire et je l'écoutais quand il me dit que j'avais raison et qu'il fallait que nous dormions tous les deux. J'avais l'air d'une morte et lui il avait l'air d'un zombie. Je sens que j'allais dormir pour au moins 24 heures de suite. Sauf, qu'il me dit qu'il ne saurait peut-être pas capable de dormir.

Je me mis derrière son dos et prit mes deux mains et essayait de le relaxer en le massant du mieux que je pouvais malgré ma fatigue. Donc, je continuais de faire ceci et lui dit proche de son oreille ceci :

Essaye pour moi de te reposer tu me ferais plaisir. Ne pense plus à rien fait juste te détendre et suit ma voix.

J'étais fatiguer, mais je voulais qu'il essaye de dormir avant de repartir dans cette chasse à l'homme qui devenait insupportable pour lui.

Light Of The Assassin

Je l’aimais tellement.

Mon souhait était clair. Il était hors de question que je me sépare d’elle, alors que je tenais à elle comme à la prunelle de mes yeux.

De toute ma vie, et je ne faisais aucune exagération en évoquant cela, je n’avais jamais pu rencontrer quelqu’un comme Rachel. J’avais vécu tant de temps enfermé dans ma tristesse, à cause de ces pertes que j’avais subies par le passé, et ceci m’avait changé. Au fur et à mesure, j’avais appris à cacher mes émotions, même à contenir ma tristesse. Mon but était de me montrer fort, mais je ne l’étais absolument pas. La preuve : je pouvais encore m’écrouler, en larmes.

Cet état était la caractéristique même de l’expression des sentiments humains, ce qui montrait, par la même occasion, que je possédais un cœur non fait de pierre. J’étais capable d’aimer, et il s’agissait des bienfaits de l’humanité. Ma flamme avait été ranimé, et je ne voulais pas la voir s’éteindre. Je ne voulais pas revenir en arrière et devoir affronter ce double deuil. La compagnie de Rachel était inestimable à mes yeux, et m’en séparer serait une déchirure car, enfin, j’avais l’occasion de dire que j’avais trouvé mon âme sœur : celle que j’attendais depuis le début de ma vie. C’était elle, personne d’autre qu’elle, car elle avait su réchauffer mon âme, comme personne n’avait su le faire avant elle.

Elle était unique : mon essentielle.

Je préférais largement être seul avec elle, pour sourire et surtout pour la voir en train de sourire. Il s’agissait de mon interrupteur personnel du bonheur, et ce plaisir était immense, sans nom, mais tellement agréable. Penser au sommeil serait une équivalence de la responsable, surtout pour un visage de zombie tel que le mien, mais je ne parvenais pas à y penser pleinement, à cause des souvenirs qui demeuraient dans ma tête. Je me rappelais encore des fois où j’avais tenté de dormir, et que cela n’avait pas fonctionné. Récemment, cela m’était arrivé plusieurs fois, et je ne les avais pas réellement supportées. Surtout, je ne m’en étais pas réellement remis, et il s’agissait bien là de mon problème. Me remettre de choses terribles, peu importe de quoi il s’agissait, me prenait du temps, beaucoup de temps pour les cas les plus extrêmes, et j’en étais certain à force de continuer de vivre et d’apprendre par conséquent à mieux cerner qui j’étais.

Mais j’avais l’impression que tout pouvait changer avec elle, que j’avais une chance de penser autrement, mais aussi de vivre autrement, car elle me rendait heureux, extrêmement heureux.

Rachel me disait alors qu‘elle ne voulait pas non plus me perdre, et qu‘elle serait toujours là pour me soutenir du mieux qu‘elle pouvait, aussi longtemps que je voulais d‘elle. Mais, je ne la laisserais jamais tomber. La seconde partie de la phrase pourrait durer une éternité pour moi, vu à quel point mes sentiments étaient sincères. Je ne voulais absolument pas mettre fin à notre relation, car j‘y tenais réellement. Aucun mot ne pourrait décrire l‘importance que tout ceci avait à mes yeux. C‘était le même cas pour Rachel. Mon amour était grand, et je savais qu‘il couvrait tous les superlatifs, mais j‘ignorais quel mot pourrait le résumer. À vrai dire, toute notion de bonheur pourrait rentrer dans ce que je ressentais, tellement que c‘était parfait.

- Et tu ne me perdras pas, je te le promets. Je suis sur cette Terre, et aussi longtemps que j’y resterai, je me battrai pour pouvoir survivre et ainsi te revenir, car il est hors de question que je t‘abandonne.

*hors de question…*

- Merci vraiment. Te voir ici, auprès de moi, me rend beaucoup plus serein. Je me sens mieux, uniquement en te regardant.

*sauf par rapport au sommeil…bien entendu…*

Quand je dis à Rachel que je me sentais incapable de dormir, celle-ci me positionnait derrière mon dos, et je commençais à sentir des mouvements relaxants, dignes d’un massage.

Proche de mon oreille, elle me disait d’essayer de me reposer pour lui faire plaisir. Selon elle, je devais me détendre et ne suivre que sa voix.

Son attention me touchait énormément.

- Je vais essayer. disais-je avec un ton de voix, qui sonna sur le coup un peu étrange, la fatigue sans doute. Rien que pour toi, je vais essayer. Mais fais-le également, je t’en supplie. Je vois que je ne suis pas le seul à avoir besoin de se reposer, pour rattraper le sommeil.

Le faire à deux serait en effet plus simple que de le faire seul. Du moins c’était ce que je pensais.

J'avais tellement besoin de sommeil. Depuis, quelques minutes je voulais fermer les yeux et avoir un sommeil qui dure longtemps. Je pourrais dormir pendant plus d'une journée. Mais, simplement 4 ou 5 heures seraient parfait. Car, je devais aller travailler dans la soirée comme toujours. Je n'avais pas le choix sinon c'était le renvoit tout de suite et j'avais besoin de cette argent pour vivre. Donc, je savais que j'avais besoin de ces heures pour me reposer. Même si je ne voudrais pas dormir pour rester ici avec lui. Je devais, mais une partie de moi ne voulairt pas le perdre. C'était une toute petite chose que je n'avais pas dit. Car, avec mon ex je l'avais aimer et on savait dit qu'on ne se quitterait jamais. Mais, ces arriver et par sa faute à lui. Je ne voulais pas que ça arrive avec Samuel. Je l'aimais vraiment et plus fort qu'avec mon ex petit ami. C'était mon âme soeur et je ne voulais pas qu'il part au loin. Mais, ça devait arriver et c'était dommage, car je ne voulais pas qu'il parte aussi loin.

Mais, je devais mis faire, car ça serait comme ça pour un bon moment. Il me disait que je n'allais pas le perdre et qu'il me le prometait. Qu'il serait ici aussi longtemps qu'il y resterait. J'eu un sourire là-dessus, car juste avec ce qu'il venait de dire. Je savais qu'il allait rester. Moi, je ne voulais pas le quittée... ça jamais de la vie. Si je le quitte ces parce que je serais morte. Donc, je serais avec jusqu'à temps que je meurs ou qu'il arrive quelque chose de grave. Mais, je ne voulais plus y penser pour le moment et je ne voulais plus y penser. Dès que je me mettais derrière son dos, je me mis à le masser du mieux que je pouvais. De un ce n'était pas mon métier et de deux j'étais vraiment fatiguer. Mais, je voyais que ça lui faisait quelque chose de bien. Je lui dis de dormir que pour moi et essayer de relaxer.

Il me disait qu'il essayait de dormir rien que pour moi. Mon sourire ne disparaissait pas pour une seconde malgré mon état dans lequel j'étais. Mais, il me dit de le faire aussi, car il voyait dans quel était j'étais. Il avait raison, car même s'il avait eu une grosse fin de soirée avec tout ce qui est arriver. Je dois dire que moi aussi sur le plan émotionnelle j'en n'est vécu beaucoup aussi et j'en n'était vraiment épuisser.

D'accord je vais aussi dormir et cette fois-ci j'espérais que ça sera la bonne. Même si je ne veux pas dormir pour me réveiller le lendemain et savoir que tu ne sera plus là.

Je savais que ma journée de sommeil allait bientôt commencer, mais je savais que j'avais mon amoureux à mes côtés. Donc, je savais que tout allait bien aller.

Light Of The Assassin

Mon corps voulait m’entrainer dans les bras de Morphée, alors que je ne pensais qu’à rester avec celle que j’aimais, les yeux éternellement ouverts et fonctionnels, rien que pour la contempler dans les yeux, et sans cesse lui répéter que j’étais amoureuse d’elle, au point de ne plus jamais la quitter. Je voulais simplement être avec celle que j’aimais, était-ce trop demandé ? À priori, le Destin l’entendait de cette oreille, comme si c’était une évidence pour lui, mais moi je prenais ceci pour une injustice, une terrible injustice qui portait atteinte à des sentiments sincères et normaux. Il s’agissait d’une vie humaine plus que normale, mais ce n’était pas ce que je possédais…j’en avais assez.

Partir au loin était une notion qui me dérangeait, tout simplement parce que cela signifiait que je devais m’en aller, et la laisser. Rachel était devenue importante pour moi. Elle était tout ce que j’attendais depuis très longtemps, l’étincelle ou la flamme nécessaire pour la renaissance de mon âme. Je ne parvenais pas à me faire à l’idée, que j’étais obligé de m’enfuir, alors que ma raison de vivre n’était qu’ici. Ce n’était qu’elle. En la simple présence de Rachel, mon sourire était là et mon humanité aussi. Peu de personnes parvenaient à me rendre aussi heureux que lorsque je voyais Rachel. Son amour suffisait à me faire renaître. Malheureusement, cette fuite me fatiguait. J’en avais assez…Je voudrais simplement que quelque chose parvienne à me délivrer. Rachel était la clé de ma délivrance, mais toute raison était bonne, pour le hasard, afin de m’obliger à fuir.

Cette idée me révoltait…mais je ne pouvais pas faire autrement. C’était comme si je n’avais pas le choix. Mon cœur ne voudrait que rester avec elle, mais les événements m’obligeaient à fuir, pour éviter de la mettre en danger, et ainsi de risquer sa vie justement parce que je l’aimais. La complexité de cette histoire me donnait une affreuse migraine.

Mais j’allais essayer de dormir, rien que pour elle, en priant également pour la voir dormir à son tour. La meilleure chose à faire était justement de rester ensemble pour pouvoir le faire.

- J’espère aussi que ce sera la bonne. On a besoin de sommeil, que ce soit toi ou moi.

*mais je ne veux pas m’enfuir…*

- Moi non plus je ne veux pas dormir avec l’impression de devoir encore m’enfuir le lendemain et encore courir alors que je ne souhaite qu’être avec toi. Je ferai tout pour que ceci puisse s’arrêter rapidement, car je n’ai pas envie de m’éloigner de toi encore plus longtemps.

*pas question…*

- Tentons de dormir…il le faut…

*même si je n’en ai pas envie…pas du tout…*

- Je t’aime, et je reviendrai…toujours.

Je bougeais de nouveau pour être au côté de Samuel. Sa présence me donnait un peu de chaleur dans le froid que j'avais. J'étais heureuse de l'avoir connu. Dans le fond, je me dit qu'il y a du bon et mauvais dans se que je vis. Dans le mauvais, j'avais laisser ma meilleure amie dans la ville de Londres, seule et avec personne à qui parler. Je n'avais qu'une partie de moi même qui vivait même si j'avais Samuel avec moi. Car, une part de moi-même était toujours là-bas en Angleterre. Mon pays, ma ville et même l'appartement dans lequel je vivais me manquais beaucoup. De l'autre côté, j'avais fait de super rencontre depuis que j'étais ici. Celle de Taylor, Claire et celle de mon amoureux. Je me dis que si je serais rester dans ma ville. Je n’aurais jamais vécu le bonheur que j'avais en ce moment. J'avais rencontrée mon âme soeur ici en Amérique et je ne voulais plus le quitter.

Il y avait de bon côté à avoir déménager ici. D'autres pas du tout, mais la tranquillité me manquait beaucoup. Ici tout était différent et pourtant tout nouveau. J'avais trouver la personne avec qui je voulais finir mes jours. Certains diront que ces trop vite et que je ne finirais jamais ma vie avec lui. Mais, il y avait ce quelque chose de différent dans se début de relation avec lui et moi. Je savais que même nous allions avoir des moments très difficile nous seront toujours plus fort après lui et moi. Ma peur sera toujours là... celle de le perdre, mais je crois qu'elle sera toujours là peut importe ce que je fais.

En l'écoutant parler, je me dis que bientôt nous seront de nouveau ensemble. J'espérais pour plus que quelques heures, car ceci me faisait mal de le laisser partir après notre journée de sommeil. Je savais qu'il fallait dormir et cela me rendait un peu triste, mais je devais comprendre et j'allais dormir pour de bon. J'étais face à lui et je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder. Jusqu'à temps que mes yeux se fermait sur l'image de son visage qui voulait dormir. Je pouvais enfin dormir sans me réveiller par un évènement non prévue. Même en plein sommeil j'avais un léger sourire. Car, j'étais heureuse d'être la petite amie de l'homme le plus merveilleux à mes yeux, à côté de moi. J'espérais que Samuel pourrait dormir, car il en n'avait grandement de besoin et je le voulais très fort.

Light Of The Assassin

L’influence de la présence de Rachel sur mon âme était très importante, et jamais…oh non jamais je ne souhaiterais la voir me quitter. Mon amour pour elle était très fort, plus puissant que n’importe quoi d’autre, parce qu’elle était mon âme sœur, celle que j’attendais. Depuis le départ, tout mon amour se réservait pour elle, et elle seule. Ce sentiment salutaire aidait mon âme à renaître, et à devenir même largement meilleure que ce qu’elle était auparavant. Je baignais dans une pleine humanité, et uniquement grâce à elle. Mes émotions pouvaient sortir en plein jour, sans regret, et ceci me faisait un énorme bien, un bien que je n’avais pas envie d’abandonner.

Malheureusement, nous devions dormir.

Le sommeil nous rattrapait réellement, et nous ne pouvions plus lutter sans nous faire du mal. Il était donc temps de dormir.

Rachel bougeait de nouveau pour être à mes côtés, et son geste me procurait une douce sensation, un calme absolu. J’étais heureux, calme, et ce sentiment était tellement rare depuis quelques temps…que j’en profitais pour être honnête…mais qui ne voudrait pas être heureux dans le fond ? Qui ne souhaiterait pas sourire, vivre heureux, rire, ressentir de l’amour pour quelqu’un ? Personne…car il s’agissait d’un but logique, quelque chose que beaucoup de monde poursuivait…pour tenter de l’atteindre. C’était un objectif.

Maintenant, je ne la quittais pas des yeux, attendant qu’elle puisse les fermer la première. Je n’avais pas envie de la précéder dans son mouvement. Je ne voulais surtout pas quitter ce visage si souriant qui me faisait tant rêver. Elle était celle qui, en un regard ou bien un sourire, pouvait changer ma vie, et elle l’avait fait, de la plus charmante des manières. Jamais je ne pourrais oublier ce coup de foudre que j’avais eu pour elle. Il surpassait tout sentiment que j’avais pu ressentir envers qui que ce soit, et ceci restera toujours évoqué en moi comme la plus belle chose, qui avait pu arriver dans toute ma vie.

Je vis ses yeux se fermer peu à peu, et ceci me soulageait.

Je la regardais quelques instants en train de dormir, avant de penser à le faire également.

- C’est toi qui m’a sauvé. Marmonnais-je

Je restais auprès d’elle, tout en commençant à fermer les yeux à mon tour.

Enfin…je dormais…

fin

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Merci de me sauver une fois de plus - avec Samuel

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