Merci de me sauver une fois de plus - avec Samuel

Depuis, quelques jours j'étais enfin retourner travailler dans une des plus minable boite de nuit de New York. Le patron n'était le plus gentil non plus. J'avais beau lui expliquer que j'ai du manquer ces dernier jours à cause que j'étais malade il ne voulait rien savoir. Il poursuivait en disant que si je refaisais un coup comme celui-là je pouvais dire adieu à ce job et me retrouver dans la rue sans travaille. Tout était revenu presque normal, la voix que j'avais entendus la nuit de la lune rouge était partit pour de bon. Dans le fond, c'était peut-être mon choc à tout ceci qui avait déclencher ceci. Donc, je servais les clients au bar et la nuit passait très vite. Jusqu'à temps que je termine vers les 2 heures du matin. Je mis ma veste que j'avais et prit une bonne marche. Peut-être que je ne devrais pas marcher dans les rues vers 2 heures du matin. Surtout, avec les fous qu'il peut y avoir dans cette ville. Mais, j'habite quand même proche de ou je travaille, donc je sais que j'arriverais bientôt. Même si nous étions en été, il y avait un petit froid dehors et j'avais eu raison d'avoir prit ma veste.

Cela faisait environ 5 minutes, que je marchait dans les rues. Quand j'entendis du bruit derrière moi. Je me retournais discrètement et vit deux hommes. Je crois qu'ils me suivaient depuis ma sortit de la boite de nuit. Bon il est vrai que de la manière que j'étais habiller je devais avoir plusieurs regard sur moi. Je savais que je pouvais me défendre, mais depuis la lune je ne voulais peu me servir de mon don, car je pouvais tuer avec et ça me faisais très peur. Je savais que j'avais tuer des gens avec cette nuit là et je ne voulais plus l'utiliser. Donc, je marchais un peu plus vite et prit un chemin vers la droite. Je courais un peu plus vite et je me rendit compte qu'il était fermer par un très grand appartement de plusieurs étages. Je me retournais et paniquait, car les deux hommes étaient armer. Le premier pas très grand avait une arme à la main et le deuxième très grand et mince avec un couteau qui ressemblait a un poignard. Pourquoi, ça arrivait à moi ce genre de chose j'étais toujours la fille à qu'il arrivait se genre de chose. J'allais me faire battre, tuer ou même violer et je me voyais déjà dans un lit d'hôpital ou même au poste de police.

Le premier petit approchait vers moi et pointait son arme vers mon corps et le deuxième avec sa langue me léchait le visage. J'en n'avais mal au coeur et je ne voulais que faire une chose partir en courant. Pourquoi je ne pouvais pas me rendre invisible ou même voler pour une fois. Le petit enlevait ma ceinture et au même moment je lui mit mon pied ou ça fait mal et partit le plus vite. J'étais en larme et à peine j'ai eu le temps de courir je reçu quelque chose et tombait par terre. Je vis du sang... mon sang. Mon dieu ! C'était une balle j'avais une balle en plein ventre. Je mis ma main pour que ça arrête, mais les deux hommes étaient déjà sur moi et j'en pouvais plus. Donc, je me consentais et les fit exploser tous les deux et me laissait dans un coin. J'allais finir mes jours ici dans un coin d'une rue à New York. Personnes n'alalit savoir que je suis morte ici. Ces dommage, car j'aurais voulu revoir Lucy une dernière fois, Taylor aussi, Claire et même Samuel.

Light Of The Assassin

Depuis une semaine, je m’étais exilé, seul, uniquement pour tenter de réfléchir sur ce que j’étais devenu. Ma nouvelle nature d’hybride ne me dérangeait plus, mais autre chose suffisait à me gêner désormais. Ceux qui avaient voulu me tester, la première fois, tentaient de me retrouver, afin de terminer leur projet, et ainsi tout savoir sur cette chose, cet organisme changeant qui était quelque part, enfermé dans ma tête. Ceci m’effrayait dans un sens, car ces scientifiques étaient capables de tout pour arriver à leurs fins, m’obtenir, et recommencer la même torture que la dernière fois.

J’avais quitté « Le Serenity » pour me retrouver un peu seul. J’aurais pu demander conseil à Amaranth, ou bien à quelqu’un d’autre, comme une amie. Mais, dans un sens, je n’avais pas encore parlé à Taylor du fait que j’étais traqué de nouveau, et que ma vie ne tenait plus qu’à un fil. Si jamais ils me récupéraient, et m’enfermaient dans l’une des chambres tests de leurs laboratoires, qui savait exactement comment tout ceci serait capable de finir ? Qui pouvait prévoir cela ? Personne…absolument personne.

Vers les deux heures du matin, incapable de trouver le sommeil, j’ouvris les yeux et me lever, avec pour projet de prendre l’air extérieur. Je sortais sans attendre, en fermant la porte derrière moi, avant de commencer à marcher. Où allais-je ? Probablement nulle part, mais je marchais quand même, choisissant ma route sans réfléchir. Ma direction était choisie au hasard. Si ceci me menait quelque part, ce ne serait qu’un pur et unique hasard. Là où je me trouvais, j’étais loin de tout, et j’allais devoir probablement attendre un moment avant de tomber sur quelque chose, même sur quelqu’un. A l’extérieur, il faisait un petit froid d’été, mais je ne sentais pas grand-chose. Le contrôle sur le feu était probablement devenu comme une sorte de seconde peau, qui parvenait à me protéger du froid.

La nuit laissait toute l’obscurité prendre place. Seules les lumières de la rue parvenaient à procurer un brin de lumière, qui permettait de voir où je me rendais, bien que mon esprit ne le savait pas.

Au départ, j’étais parti pour tourner à la prochaine rue, sans raison évidente, mais quelque chose me fit changer d’avis, quelque chose de bruyant, très bruyant. C’était une série d’explosions, enfin deux explosions. Là, le réflexe humain me fit prendre une seule et unique décision : courir vers le lieu, en tout cas vers ce que j’ai entendu, afin de découvrir ce qui s’était réellement passé.

Quand j’arrivais sur les lieux, je vis une scène effroyable, qui ne me fit pas fuir, quelqu’un avait besoin d’aide, et je ne pouvais pas abandonner cette personne à un sort funeste. Je courais vers elle, afin de découvrir de qui il s’agissait, mais ce fut pire. En voyant le visage de Rachel, mon cœur prit un sacré coup, comme un choc auquel je ne m’attendais réellement pas. Elle avait subi une agression en pleine rue, tard dans la nuit.

Le réflexe que j’eus en cet instant fut de vérifier si son cœur battait toujours, avant de faire quoi que ce soit d’autre. En quelques instants, je me rendis compte qu’elle était encore vivante, bien que très faible. Si personne ne faisait quelque chose pour elle, elle risquait de mourir. Appeler une ambulance n’allait pas pouvoir convenir car, le temps de la voir arriver, Rachel risquait d’abandonner. Appeler n’importe qui allait prendre trop de temps. Celui qui devait agir n’était autre que moi.

Je pris mon courage à deux mains afin de voir si je parvenais à retrouver la balle que Rachel avait reçu, afin de savoir la nature qu’allait être mon agissement exact. En regardant plus loin, je la retrouvais. La balle avait traversé son corps, ce qui arrangeait un peu mes affaires dans un sens, car ce que j’allais faire allait être un peu…non…très suicidaire. Ce n’était pas une très bonne idée…non…mais il fallait sauver Rachel et j‘étais prêt à tout faire pour y parvenir. Je fermis alors mes yeux, et me concentrais. C’était ce qu’Amaranth m’avait dit. Je devais penser à la personne que je voulais sauver, et à ce que je ressentais pour que mon pouvoir puisse fonctionner, et ainsi la guérir. Pour Rachel, réfléchir à ce que je ressentais pour elle n’était pas très long. Je devais intensifier cela si je voulais lui sauver la vie.

Au bout de quelques minutes, la lumière vint illuminer le corps de Rachel, comme je le souhaitais, mais cela n’allait pas assez vite. J’avais peur de ne pas y arriver, mais un signe me prouva le contraire. Cela fonctionnait, et je me concentrais encore plus afin d’accélérer les choses. Il fallait qu’elle guérisse, qu’elle vive, car je ne pourrais probablement pas supporter de la voir mourir.

- Il faut que ça marche. Il faut que ça marche ! ne cessais-je de répéter

Rachel commençait à bouger, bien que le processus n’était pas encore fini. Il ne manquait que quelques secondes. Je ne savais pas dans quel état j’allais ressortir, mais l’unique chose qui m’importait était le fait qu’elle puisse être sauvée.

Une fois tout achevé, j‘arrêtais de me concentrer, et je vis que Rachel avait ouvert les yeux, probablement quand la lumière était encore présente autour d‘elle.

- Rachel ? Est-ce que tu m‘entends ? demandais-je, inquiet pour elle.

J'allais mourir dans cette rue de New York. J'aurais aimer mourir très vieille aux côtés de ceux que j'aime. Je sentais le froid et je savais qu'il ne me restais pas longtemps à vivre. Je me demande comme ces la vie au paradis. S'il y vraiment un paradis avec un dieu et tout. Vu qu'il ne me reste que quelques minutes je savais que ou j'allais protéger Lucy. Elle ne saura même pas que je suis morte et ça me rend trop triste. Je ne sentais plus rien le froid ne me faisais plus rien et je fermais enfin les yeux. Je savais que j'allais dans un endroit mieux que ici. Je suis sûr que ou j'allais il n'avait pas de chasse aux personnes différentes et je pourrais respirer mieux.

Je ne savais pas combien de temps j'étais ici. Mais, quand je croyais que tout était fini. Je sentais quelque chose qui me ramenait à la vie. Qui pourrait me faire ceci ? Je commençais à bouger mes doigts et je pouvais à nouveau respirer. Puis, quand je ouvris mes yeux je vis une lumière bleu et je toussais un bon coup. Je ne pensais que revenir à la vie était aussi bizarre que ça. Je ne veux jamais revivre cela. Une autre expérience bizarre à ajouter à ma liste qui commençait à devenir longue. Quand je reprit mes esprit je vis devant moi la seule personne qui aurait peu le faire. C'était Samuel devant moi je ne l'avais plus vus depuis les évènements de la lune. Avec tout ce qui savait produit se soir là je comprends qu'il ai prit du recule. Je l'avais fait et ce n'était même pas moi qui avait vécu le plus bizarre de toute cette soirée c'était lui.

Je ne pouvais pas mettre un mot derrière l'autre. Voyant mon visage il me demandait si j'allais bien. J'ouvris ma bouche pour lui dire au moins un mot, mais j'étais encore sous le choc de se qu'il venait de faire pour moi. Mais, je réussis à lui dire ceci :

Comment... tu... as fait... ceci ?

J'étais morte ou sur le point de mourir et j'étais revenu d'un seul coup. Je voulais me lever, mais mon corps ne voulais pas et je retombais tout de suite. Je ne voulais pas rester ici je savais que les deux autres devait être soit mort ou soit blesser, mais je voulais partir au plus vite.

Light Of The Assassin

En voyant Rachel dans cet état, j’avais subi un énorme choc en plein cœur, par peur de l’avoir perdue. Je ne pouvais pas l’abandonner ainsi, alors que j’avais peut-être la possibilité de pouvoir la sauver, avec le dernier pouvoir que j’avais obtenu : la lumière de guérison. Depuis la lune rouge, j’étais devenu un hybride grâce à l’arrivée de ce pouvoir de guérison. Avec le temps, j’avais pu découvrir certaines facettes de ce pouvoir, notamment une chose : je ne pouvais pas défier la mort. Si la personne était déjà morte, il était impossible de lui sauver la vie. Mais, s’il y avait encore des battements de cœur, prouvant qu’il y avait encore l’étincelle de la vie à l’intérieur de son corps, cela prouvait que tout était encore possible, et qu’en pensant à ce que je ressentais, je pouvais guérir les blessures. Ce que je ressentais pour Rachel, était des sentiments, que je n’avais jamais ressentis pour quiconque, et ceci rendait mon cœur bien déterminé à la voir vivante, car il ne serait que davantage brisé si jamais je la perdais. Cette peur, je ne pouvais pas l’ignorer, car ceci appartenait à une longue…extrêmement longue liste de choses capables de me briser, de me faire souffrir, en gros d’accentuer d’une mesure inestimable ma peine, cette lourde peine que je trimbalais depuis le passé, ces épreuves que j’avais subies et qui avaient forgé ma personnalité.

Rachel était encore sous le choc, et je pouvais largement comprendre ce qu’elle ressentait. Son visage ressemblait à celui que j’avais eu lors de la lune rouge, quand j’étais revenu de manière inattendue à la vie. Toutes les fibres de mon corps croyaient que j’allais décéder, et ne plus être de ce monde, mais cette lumière m’avait ramené à la vie. Au départ, je croyais en un phénomène extérieur, mais le lendemain m’avait prouvé le contraire. Alors que je faisais la cuisine, pour me préparer un petit plat pour le diner, je m’étais blessé sans faire attention, avec un couteau mal positionné. Ma main s’était reçue une belle entaille en son centre, et je perdais du sang…en une quantité non négligeable. Quelques instants plus tard, la lumière était revenue, et voilà toute l’histoire. Ma main avait pu guérir, et c’était une preuve de la présence d’un nouveau pouvoir en moi, alors que tout ceci était censé être impossible, en tout cas jusqu’à ma propre personne.

Malgré le choc qu‘elle ressentait, Rachel put tout de même me parler et me poser une seule et unique question, bien que très importante. Elle n‘était pas au courant de tout ce que j’avais pu découvrir après la lune rouge. Elle ne savait pas que la lumière bleue était devenue mon second pouvoir, et que ce n‘était plus un phénomène extérieur, loin de là. Pour répondre à sa question, je devais tout lui dire, et je ne pouvais pas échapper à cela.

- Au départ, ce que je pensais être un phénomène extérieur n’était finalement pas un phénomène extérieur. Cela fait partie de moi. Je pensais que c’était impossible, mais j’ai un nouveau pouvoir, et ceci me permet de guérir les blessures, afin de sauver des vies. Je ne pouvais pas t’abandonner. En te voyant dans cet état, j’ai eu peur de te perdre et je savais qu’en appelant qui que ce soit, tu risquais de mourir, et je ne l’aurais probablement pas supporté.

Une larme voulut même tomber de mes yeux, car je devais me remettre de ce qui s’était passé moi aussi. J’avais eu réellement peur, peur de la perdre et d’être brisé de nouveau. Je ne voulais pas la laisser partir, car j’en aurais été incapable. Elle ne méritait pas de mourir, surtout si jeune.

Par la suite, Rachel voulut essayer de se lever, mais elle retombait tout de suite.

- Reste pour l’instant tranquille, tu as besoin de te remettre de ce qui s’est passé.

*moi aussi dans un sens.*

Je ne savais pas trop comment réagir à ce qui venait de se produire. Samuel m'avait sauvée la vie pour une deuxième fois. Je commence à me poser des questions à chaque fois que je me fais attaquer il vient toujours me sauvée. Au fond, je lui dois la vie parce que il ma sauvée et je ne lui dirait peut-être pas, mais il est en quelque sorte mon héro. J'aurais peu mourir la première fois que je l'ai rencontrer et même s'il ne me connaissait pas il m'avait sauvée comme aujourd'hui. Je me dis que dans la vie on n'avait tous un héro qui nous protégé. Même s'il je lui dit je sais qu'il me dira qu'il n'en n'est pas un, mais au fond je sais qu'il en n'est un, car sinon il m'aurait laisser mourir s'il n'aurait pas eu de coeur pour venir me sauvée. Puis, je lui posais la question de comment il m'avait sauvée, car quelque chose comme ça ces certain que ça n'a pas tomber du ciel.

Il m'expliquait qu'au début il pensait que c'était un phénomène temporaire, mais il ces tromper. Il continuait en disant qu'il avait un nouveau pouvoir et qu'il pouvait guérir les gens maintenant. Il poursuivait en disant qu'il ne pouvait pas me laisser toute seule sur le point de mourir. Sur le coup je ne pouvais pas me retenir et laissait aller des larmes. Autant, de fois que je me le disait personne n'avait dit ce genre de chose à moi et à chaque fois que je entends des mots comme ceux-ci je ne pouvais pas retenir mes émotions. Il y a quelque chose, dans ce qu'il venait de dire qui me surprenait, Samuel venait de me dire que si je serais morte en ce moment il ne l'aurait pas supporter. Qu'est que cela voulait dire, car de se que j'ai vu de lui. Il n'est pas le genre à dire ces sentiments. Même que en le regardant dans les yeux je pouvais voir que ces yeux était mouiller, mais aucune larmes ne coulait.

Wow ! J'ai jamais entendus parler de quelqu'un avec deux pouvoirs et même si je sais que je ne peux pas comprendre se que tu ressent. Je sais que ça n'a pas du être un cadeau d'avoir vécu ceci.

Je séchais mes larmes qui coulait et essayait de me lever au plus vite, car je ne voulais pas rester ici avec les deux hommes qui étaient peut-être morts ou blessés gravement. Mais, mon corps était encore faible de ce qu'il venait de vivre et je retombais très vite. Samuel me disait que je devais me reposer avant de marcher. Mais, je ne voulais pas rester ici au beau milieu du coin de rue.

Non je veux pas rester ici... pas après ceci. J'ai peur de les avoir tuer mon dieu qu'est que j'ai fait.

Ces deux hommes avaient peut-être voulu me violer, mais je ne voulais pas les tuer. Je voulais juste faire peur pour qu'il me laisse tranquille. Je déteste ceci et je ne veux pas devenir un monstre comme ce que m'avait dit cette voix dans ma tête.

Light Of The Assassin

Si jamais Rachel était morte cette nuit-là, et que j’avais été incapable de la sauver, je n’aurais probablement pas été capable de le supporter, car j’aurais perdu une personne importante à mes yeux, quelqu’un que je refusais de voir en train de souffrir, de pleurer, mais aussi de partir. Avec le temps, j’avais pu comprendre la sincérité de mes sentiments, bien que je les enfermais à l’intérieur de moi-même, par pure timidité. J’avais pu ainsi voir que je ne pouvais pas les oublier, ni faire comme s’ils n’existaient pas, car ce serait comme mentir à ma propre conscience.

Rachel était désormais au courant de ce que j’étais devenu depuis la lune rouge, avec ce nouveau pouvoir qui avait pu apparaître en moi : la lumière bleue qui m’avait empêché de mourir cette nuit-là. Je n’avais pas eu le choix, car je devais lui dire. Sinon, elle n’aurait pas pu comprendre comment elle avait pu échapper à la mort, et je lui aurais caché quelque chose d’important. Mentir ou bien dissimuler un secret à une personne qui comptait pour moi, était quelque chose que j’étais incapable de faire, sans m’en rendre extrêmement coupable, m’en vouloir, et après souffrir.

- A vrai dire, je n’avais également pas entendu parler de quelqu’un possédant deux pouvoirs, en tout cas jusqu’à ce que la présence de cette lumière bleue puisse être confirmée en moi, comme étant mon nouveau pouvoir. Je suis devenu un être hybride, bien que je ne comprenne pas encore tout ce qui m’arrive en moi. Je suis parvenu à l‘accepter avec le temps.

Mes yeux brillaient dans leur humidité, comme si j’allais pleurer alors que je tentais de me remettre du choc que j’avais subi en la voyant à terre. Honnêtement, si je n’avais pas pu parvenir à la sauver, je ne serais probablement plus grand-chose à présent, car j’aurais perdu quelqu’un, qui n’était plus qu’une simple personne pour moi. Depuis la lune rouge, Rachel était devenue plus qu’une simple personne à mes yeux. Elle était ce que je ne disais pas à voix haute : ces sentiments que je n‘avouais pas, bien que mes yeux voulaient à priori s‘exprimer et tout dire en versant des larmes.

En voyant que Rachel avait du mal à se lever, je pensais qu‘il valait mieux qu‘elle reste tranquille, le temps de se remettre, mais elle refusait. Qu‘elle puisse se remettre était quelque chose de logique, mais elle ne voulait pas le faire ici. Rachel était encore sous le choc, notamment parce qu’elle se posait la question sur ce qu’elle avait fait à ses agresseurs. La voir dans cet état m’inquiétait. Je n’avais pas envie de la voir pleurer, ni en train de souffrir.

- Calme-toi Rachel, calme-toi. Tout est fini et tu n’as plus rien à craindre à présent. Je suis là, avec toi, et si quelqu’un ose vouloir te faire du mal, je lui ferais comprendre ma colère, car je n’ai pas envie de te voir souffrir.

*je ne veux pas la voir pleurer…*

- Je suis certain d‘une chose Rachel, c‘est que tu n‘as pas voulu faire cela. Si ceci est arrivé c‘est parce que tu as voulu te défendre. Tu n‘es pas coupable. Ils n‘avaient pas le droit de te faire subir ce que tu as subi.

Je pensais à son envie de quitter cet endroit, et j’allais respecter cette volonté. En restant ici, elle allait repenser à ce qui s’était passé, sans cesse, et se rendre coupable de ce qu’elle avait du faire. Il ne fallait plus qu’elle souffre à cause de ce qui s’était produit. Je n’aimais pas la voir pleurer.

- Si tu veux quitter cet endroit, je vais t‘aider. Tu pourras prendre appui sur moi et nous partirons d‘ici. Qu‘en penses-tu ?

*Rachel…je…non je ne peux toujours pas le dire…*

Malgré que Samuel me parlait que je n'avais plus à m'inquiète et qu'il était là maintenant. Je n'arrêtais pas de penser à ce que j'avais fait. Un partie de moi était heureuse de ceci, car je m'avais défendu et je savais que je ne devais pas me sentir coupable. D'un autre côté, il y avait la partie sensible et blesser de ce qui venait de se produire. J'avais presque été violer et tuer se soir. Je m'aurais retrouver dans un coin de la rue seule et abandonner comme dans les séries policières de nos jours. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis toujours la cible facile. Quelque chose comme ça ne serait jamais arriver en Angleterre. Pourquoi tout ceci maintenant et pourquoi tout sur moi j'étais au bout du rouleau. Peut-être que se soir je devais mourir et pourtant je me suis fais sauver. Mais, j'avais toujours cette voix qui me disais de faire du mal et je n'avais pas réfléchit deux minutes sur les deux hommes. J'avais juste utiliser mon don comme je devais et pourtant il y a toujours une partie de moi qui disait que j'aurais du mourir.

En revenant à la réalité, j'entendis Samuel me parlait que maintenant il était une sorte d'hybride. Il ne comprenait pas tout ta fait et bien moi-même je ne comprends rien du tout. Mais, il me dit que avec le temps il avait fini par l'accepter avec le temps. Au moins, il avait cela moi depuis cette lune je ne sais plus ou aller. Cette voix dans ma tête me parlait pendant plusieurs jours et après elle arrêtait pour revenir quelques jours plus tard. Mais, je ne voulais pas monter se côté pour le moment, car elle ne me parlait pas en ce moment était c'était pour le mieux.

Je continuais d'écouter se que me disait Samuel. Quand il eu fini je ne disais aucun mot j'étais toujours perdue dans mes penser, mais j'écoutais se qu'il me disait. Puis, je regardais ses yeux il était mouiller comme s'il voulait pleurer. Je savais qu'il avait vécu des choses horrible, mais s'il se retient trop un jour ça va sortir à un moment non prévu. Mais pourquoi pleurer pour quelqu'un comme moi. Depuis, que je suis ici oui je me suis fait des personnes sur qui je peux compter, mais je ne pouvais pas parler à quelqu'un comme je le faisais avec Lucy. Mais, je sais pas avec Samuel c'était autre chose je savais que si je disais quelque chose ça allait rester entre nous deux. Pas que je ne fais pas confiance à Taylor ou Claire, mais lui je sais que ça resterait entre nous deux.

Puis, quand j'ai voulu me relever et que je retombais tout de suite. Samuel me disait de rester ici pour quelque minutes. Mais, je ne voulait pas rester ici en sachant que les deux corps des hommes qui ont voulu me violer était juste devant nous. Après quelques secondes, Samuel comprit et me disait que si je voulais quittée cet endroit il pouvait m'aider et qu'il allait servir d'appuis pour moi. Je ne pouvais refuser et de toute façon je voulais quittée au plus vite.

Oui je veux bien que tu m'aides. Je veux quittée cette endroit au plus vite.

J'étais toujours sous le choc, mais au moins j'avais arrêter de trembler et de pleurer par moi-même. Ces le reste de tous ceci qui risque de prendre un peu plus de temps.

Light Of The Assassin

Dans ma vie, un grand nombre de calvaires avait pu se succéder et pourrir ma conscience, au point que j’en demeure encore terriblement bouleversé, et que je puisse parfois vouloir pleurer, sans que rien ne veuille sortir de mes yeux. Pour ne citer que quelques calvaires, il y avait ces scientifiques qui voulaient me tester, ce James Flanagan qui m’avait transformé en hybride, et beaucoup d’autres choses venant d’une longue liste invisible, que je gardais pour moi. Ces genres de malheur, je n’aimais pas les révéler à voix haute, tout bêtement parce que je savais à quoi tout ceci allait pouvoir conduire à mon sujet : mes larmes, ma douleur, et quelque chose de bien pire. Je n’avais guère envie de repartir dans le profond traumatisme de mon passé, lorsque j’avais perdu mon meilleur ami. Sa mort m’avait plongé dans un profond sommeil, dont j’avais pu sortir que grâce à la guérison de Genevieve. Sans elle, je ne me serais probablement jamais réveillé, mais je vivais actuellement sans elle, tout bêtement parce qu’on avait ôté sa vie, uniquement parce que ces types me voulaient pour eux-seuls, afin d’être capable de découvrir la raison de mon côté unique : cette chose que mon cerveau possédait et que les autres cerveaux humains ne possédaient pas. Pour les scientifiques, je n’étais qu’un ramassis de découverte, et non pas un être comme les autres, comme je pensais pouvoir me voir.

Rachel était loin de faire partie de ces calvaires, qui obscurcissaient mon esprit, loin de là. Au contraire, elle était une lumière, quelque chose qui me faisait sourire, bien que je ne lui disais pas. Ce que je ressentais pour elle, était sincère, mais je n’osais pas lui révéler, uniquement par timidité. Pourtant, tout était clair dans ma tête. La phrase, le sens, j’avais décidé de tout ! Mais rien ne sortait, tout bêtement parce que j’étais stupide, terriblement stupide. J’appréciais Rachel, beaucoup plus que comme une simple amie, et elle n’allait probablement jamais le savoir, tant que je ne lui disais pas tout ce que je ressentais à voix haute. Malheureusement, c’était impossible.

S’il y avait bien une chose, que j’aimerais faire pour Rachel, c’était bien lui rendre le sourire. Malheureusement, je savais que tout ceci allait être impossible, du moins pour l’instant. Rachel avait en effet encore en tête ce qui s’était passé, et elle ne pouvait pas oublier ce qu’elle avait fait. La seule chose qui pouvait l’aider à occulter cet événement, serait de quitter cet endroit et, pour cela, elle allait avoir besoin de moi, enfin comme un appui. Je pouvais au moins faire ceci pour elle, même si je devais encore taire mes véritables sentiments, et ne rien lui dire. Cette situation demeurait de plus en plus insupportable, mais je ne pouvais malheureusement pas faire autrement. Que cela me plaise ou non, je devais attendre.

Voyant qu’elle souhaitait réellement mon aide, j’allais respecter sa volonté sans broncher et sans rien dire, uniquement parce que je…l’appréciais…non plus que cela oui…

- Je vais t’aider Rachel. Ne t’inquiète pas. Tu as juste à t’appuyer sur moi, et tout se passera très bien.

Je m’approchais d’elle et plaçait son bras derrière ma tête afin de l’aider à se relever. Nous allions quitter cet endroit au plus vite.

Quelques minutes suffirent à notre départ. Nous étions désormais assez loin de là d’où nous étions partis tous les deux. J’étais encore perdu dans mes pensées, et je n’avais plus parlé depuis que nous avions pu quitter cet endroit, et je n’avais pas rompu le silence, bien que j’avais envie de parler.

Une fois que nous étions bien éloignés de là-bas, nous atteignons un embranchement de rue, où personne n’avait l’habitude de passer, sauf moi. A vrai dire, ce chemin était maudit pour agrandir toutes les destinations possibles à adopter. Pour aller plus vite, les gens ne passaient pas par ici. Moi j’y passais, parce que justement je savais que personne ne venait. Il s’agissait d’un énième moyen de pouvoir éviter la foule, et de me sentir entre guillemets en sécurité. Nous pouvions ainsi nous poser n’importe où, sans avoir peur d’être dérangés par qui que ce soit.

C’était ce que nous fîmes en fin de compte, en nous posant dans un endroit tranquille de la rue tranquille, oui cela faisait beaucoup de tranquille en une seule phrase. Nous étions suffisamment éloignés désormais, mais je n’arrivais toujours pas à parler, comme si ma bouche s’était bloquée sur la phrase fatidique, mais aussi à cause des problèmes que j’avais en ce moment.

*Mais pourquoi ne puis-je pas parler bon sang ?!?*

Donc, pendant tous le trajet je ne savais pas trop ou nous allions, mais je savais qu'on serait au moins en sécurité. Donc, je me laissais faire quand Samuel prit mon bras pour le mettre derrière son cou. Et nous commencions à marcher et à passer par des coins de New York que je n'avais pas vus. J'étais peut-être là depuis 1 an environ, mais je n'avais pas vus ces rues. Tous le temps que nous marchions je ne faisais penser qu'au évènements de se violer qui était presque arriver. Est-ce que je devais en parler ou rester dans le silence et ne rien dire comme pour les évènements avec la voix dans ma tête. Je ne sais plus ce que je devais faire ou à qui en parler. Ces dans ces moment que j'aimerais avoir ma famille et même encore je crois que si j'en n'aurais parler. J'aurais fini dans un hôpital psychiatrique pour les personnes folles. Je devais rester peut-être dans le silence pour au moins le viole et la voix... pour le moment.

Je remarquais que pendant tous le trajet Samuel, ne dit pas un mot. Après tous ça devais être un peu de ma faute. Je n'avais pas parler depuis, que nous étions partit, car je pensais dans ma tête. Je me demandais ce que j'avais fait pour avoir toute ces choses qui m'arrive en ce moment. Je ne pourrais pas avoir une journée normal dans ma vie. Je croyais qu'en changeant de ville et même de contient je serais tranquille. Je crois m'avoir tromper sur toute la ligne et ces bien dommage. Si je serais rester chez moi j'aurais pu rester avec Lucy, ma famille et tous ceux que je connais. Mais, j'ai suivis une idée folle que j'ai eu et je suis partie sans un au revoir à personne. Maintenant, je me retrouve ici à New York, un ville qui ne dort jamais et ou plein de chose arrive. Et je me retrouve dans un endroit que je ne connais pas, mais à voir le visage de Samuel il devait connaître l'endroit. Il n'y avait personne autour de nous et je me demandais pourquoi, mais cela devait être un endroit qu'il connaissait. Alors, je me dis que c'étais normal que personne ne soit ici, car Samuel ne parlait à personne de se que je voyais. Car, les fois ou je l'ai vus nous avions parler normalement je ne poussais pas trop ou il ne fallait pas aller, mais je savais qu'il ne parlerais pas de certaines choses. Donc, je n'allais pas vers ces choses il y a des choses qui doit rester pour nous, car tous le moment à ces secrets.

Puis, quand je repris mon bras après notre petite marche. Je vis que Samuel voulais dire quelque chose, mais il n'arrivait pas à ouvrir la bouche. Ça se voyait qu'il voulait parler, mais il ne pouvait ou il ne voulait pas. Donc, je pris mon courage et lui demandait :

Que veux tu dire Samuel. Je sais que tu veux dire quelque chose.

J'étais curieuse et je ne sais pas si en ce moment c'était une bonne ou mauvaise chose. À chaque fois, ça m'avait mener vers de mauvaise chose, donc j’espérais que cela ne serait pas une mauvaise chose. Je ne sais vraiment pas si je devais parler de ce qui savait produit avant que Samuel arrive, car si je ne peux pas faire sortir un mot de sa bouche ça va être dur d'en parler.

Light Of The Assassin

Une chose était certaine. En restant dans ce coin de rue si peu fréquenté, ensemble, nous ne risquions plus rien, car personne n’allait avoir l’idée de nous chercher ici. Ce gage de sécurité me rassurait dans un sens, car je pourrais également éviter de mêler Rachel à mes ennuis, et de lui faire subir, ce que Genevieve avait subi elle aussi. Je n’avais pas envie de la perdre, ni de la voir souffrir, surtout par ma faute. La culpabilité que je pourrais ressentir dans ce genre de situation serait suffisante, rien que pour me briser encore plus que ce que j’étais déjà. Mon passé n’avait été qu’un gage de souffrance immense, qui demeure enfermé dans ma tête nuit et jour, pour me tourmenter dès que je n’en avais pas besoin.

Pendant tout le trajet, qui nous avait mené jusqu’ici, je n’avais dit aucun mot, rien du tout. Ma bouche demeurait fermée, bien qu’un grand nombre de choses ne demandait qu’à sortir, et à être révélé à Rachel. Malheureusement, j’en étais incapable, et j’allais probablement toujours rester bloqué sur cette absence de parole. Si je parvenais à tout lui révéler, je me libèrerais d’un poids mais, dans un sens, je devais probablement avoir peur…de plusieurs choses probablement. D’une part, j’avais peur du fait de voir mes sentiments mal passer, et ainsi être…j’en sais rien moi…être ridicule. D’autre part, j’avais peur pour elle. Je n’avais pas envie de la voir souffrir ni atterrir dans mes ennuis, uniquement parce que je tenais à elle. Oui, mes peurs étaient contradictoires, et c’était bien ce qui me bloquait, en plus de ma timidité habituelle. Bien sûr, je n’osais jamais parler, surtout pour révéler ce type de sentiment à quelqu’un, et à voix haute. Malheureusement, j’étais ainsi, et je ne parvenais pas à changer qui j’étais. Si c’était le cas, ma vie serait probablement beaucoup plus simple, en tout cas selon moi.

Malheureusement, un problème me précédait…et je ne m’attendais pas réellement à cela. Rachel s’était en effet rendue compte que je ne parlais pas, alors que j’avais peut-être envie de lui dire quelque chose. Cette situation demeurait problématique, surtout pour ma conscience. Maintenant, elle me demandait de lui dire ce que j’avais sur le cœur, mais comment pouvais-je faire, sérieusement ? Lui dire ? Ne pas lui dire ? Rester bloqué ? Me faire du mal ? Mais bon sang, pourquoi les choses ne demeuraient pas plus simples dans la vie ? Pourquoi les révélations telles que celles-ci ne pouvaient-elles pas se faire à voix haute et ainsi libérer n’importe qui, d’un poids qui exaspérait le cerveau. En parlant de cerveau, le mien me dérangeait, mais c’était une toute autre histoire. Pour cela je fuyais des sortes de chasseurs qui tentaient de me rattraper, ce n’était pas une déclaration telle que celle que je retenais dans ma tête depuis la lune rouge. Ce n’était pas n’importe quoi, et cela n’allait jamais être n’importe quoi…jamais.

Je baissais les yeux après la question de Rachel, et les fermais même pendant quelques secondes. Les yeux si mouillés ne purent pas résister sous la pression, et les larmes retenues furent rapides, rien que pour traverser mon visage et finalement tomber. Peu après leur chute, je pris ma main pour essuyer l‘humidité de mes yeux, et ainsi reprendre mes esprits. Je relevais mes yeux, changés par l‘humidité, et regardais Rachel.

- J‘aimerais bien pouvoir en parler, mais…je ne sais pas…je n‘y arrive pas. J‘ai plusieurs choses sur le cœur, mais je n‘arrive pas à les sortir. Il y a des bonnes choses, et je n‘arrive même pas à prendre mon courage à deux mains, afin de pouvoir te les révéler.

Il y avait certains jours où j’aimerais ne plus être bloqué, et savoir tout révéler à voix haute, à n’importe qui, et surtout n’importe quand. J’aimerais tant mettre fin à mon blocage, et ainsi mieux vivre ma vie. Ce serait un rêve, un immense rêve, mais qui n’allait probablement jamais se réaliser.

La preuve, je n’arrivais même pas à faire mes propres déclarations, même quand elles étaient le synonyme de quelque chose de bon, et non d’ennuis, de mauvaises choses. Ce maudit blocage empoisonnait ma vie…à la longue, et j‘aimerais tellement que cela puisse changer. Malheureusement, je me faisais peut-être de faux espoirs. Mon passé m‘avait changé, et revenir vers un caractère logique…normal…était comme une espérance qui ne signifiait rien du tout, car ce n‘était pas ce que j‘étais, et cela n‘allait jamais être ma personnalité.

Si seulement je pouvais lui dire bon sang…

- Cette question va peut-être te paraître stupide, mais je te la pose quand même. Ne t‘est-il déjà pas arrivé de vouloir à tout prix dire quelque chose de réellement important à quelqu‘un, mais de te retrouver bloquée quand tu as enfin l’occasion de lui révéler ?

Décidément…je n’étais réellement pas doué…et ceci ne s’arrangeait pas…

Même si je savais que j'étais dans un endroit tranquille ou il n'y avait pas vraiment de gens qui passe. J'avais un peu peur et pas juste avec ce qui ses produit, mais avec le temps qui faisait dehors et l'ambiance dans ma tête c'était comme un film d'horreur. Donc, pendant tout le trajet je n'avais dit aucun mot et Samuel non plus. J'avais trop de chose dans ma tête en ce moment que je ne posais aucune question. Je crois que ces la même pour lui. Je n'étais pas une experte en émotion, mais je savais qu'il se posait tous pleins de questions. Car, à chaque fois il y avait toujours des questions à chaque fois que je le rencontrait. Mais, je me dis que dans le fond avec la vie qu'il doit mener ça doit être devenu une sorte de sortit pour ne pas parler avec les gens. Je trouve cela dommage, car j'aurais aimer parler à quelqu'un pendant le trajet. Je n'aurais pas penser au chose de se soir.

Puis, quand nous étions enfin arriver j'avais un peu plus de force qu'il y a quelques minutes. Mais, j'étais toujours un peu fatiguer. Je n'avais jamais fait d'explosion comme celle que j'ai fais et en plus j'étais presque morte se soir. Belle façon de finir sa soirée. Moi, qui pensait me couler un bon bain et aller dormir après... j'avais tord sur toute la ligne. Quand je reportais mon intention sur Samuel je le vis la tête baisser. Et pour la première fois je le vis les yeux mouiller et des larmes coulait le long de ces yeux. Depuis, la première fois que je l'avais vue c'était la première fois que je voyais se genre d'émotion chez lui. Est-ce que c'était quelque chose que j'ai dis. J'espère que non, car sinon là je me sentirais très mal. Puis, dans un réflexe que je fais à tout mes amis je lui pris une de ces mains et écoutait ce qu'il me disait. Il m'expliquait qu'il avait plusieurs choses sur le coeur, mais il ne savait pas comment les sortir. Il poursuivait en disant que c'était des bonnes choses, mais il n'avait pas le courage pour me les dire. Car, en plus ce qu'il voulait dire avait un rapport avec moi. Je me demandais ce que c'était, mais à voir les émotions qu'il eu je ne voulait pas trop le pousser. J'aimais pas voir les gens que j'aime avoir des larmes.

Je ne savais pas trop quoi répondre, mais je lui disais ceci :

Parfois, il faut dire ce genre de chose, mais je ne veux pas te pousser après tout je suis sûr que tu vas trouver le courage de le dire... un jour.

Ce n'était mon style de pousser les gens à dire des choses qu'ils ne veulent pas dire. Je regardais ce qui étaient devant nous et même si c'était rien. J'aimais cela avec le petit vent dehors je pris mes cheveux et les attachais ensemble pour ne pas les avoir dans mon visage. Quand je revenais vers Samuel il me surprit avec sa question que je ne trouvais pas stupide du tout. Je voulais répondre non, mais je devais cacher des choses aux gens que j'aime et je savais que je ne devais pas pousser avec lui. Donc je lui répondit ceci :

Oui en ce moment je cache quelques petites choses à ma meilleure amie qui est en Angleterre. Ça me rend vraiment triste, car elle est comme ma soeur jumelle si on veut. Si je la revoit un jour je crois que je ne serais pas capable de lui dire je crois que j'aurais un blocage moi aussi, car elle pourrait me prendre pour un monstre si elle apprend que sa meilleure amie et une spécial.

À chaque fois, que j'ai pense je me demande comment Lucy pourrait réagir si un jour elle apprend que je suis pas normal comme tous les autres humains. Une chance que je me suis fait des amis qui sont comme moi, sinon je crois que je me serais enlever la vie bien avant d'avoir renconter mes amis que j'ai aujourd'hui.

Light Of The Assassin

*Sèche tes larmes…même si elles sont plus fortes que toi…*

Ma conscience se perdait…

Dans ma tête, tout se forgeait comme un film d’horreur, notamment à cause de la traque que je subissais, cette chasse qui n’avait pour objet que mon cerveau…enfin plutôt une infime partie de mon cerveau : l’organisme qui changeait sans cesse, et qui subissait toute modification. Quel était ce truc ? Personne ne le savait…mais ces scientifiques s’en fichaient dans un sens, car ils ne voyaient en moi qu’une découverte scientifique, quelque chose entre guillemets d’intéressant et qui avait une grande utilité d’être étudiée, scrutée de part en part…en tout cas selon eux, car il ne s’agissait que de torture en fin de compte, quelque chose qui me faisait souffrir, terriblement souffrir. Maintenant, je souffrais aussi parce que je retenais des sentiments dans mon esprit, de peur de voir le pire arriver, et des ennuis ternir la vie de Rachel. J’avais peur pour elle, et je n’avais pas envie de la voir souffrir, ni de la voir pleurer, car je ne le supporterai pas. En lui disant ce que j’avais sur le cœur, qui pouvait me garantir que je n’allais pas la mettre en danger, et ainsi faire le contraire de ce que je souhaitais. Cette tourmente me faisait du mal, à chaque seconde, à chaque fois…

Rachel avait du en plus comprendre que ce que je souhaitais dire, mais qui restait bloqué au fond de moi, devait avoir un rapport avec elle, alors j‘étais dans de beaux draps non de Dieu ! Embarrassé, peiné, mais aussi effrayé, comment pouvais-je être serein ? Malheureusement, je ne pourrais probablement jamais y arriver, jamais…

Que pouvais-je faire et que pouvais-je dire ? Probablement rien du tout, si jamais je me comportais toujours de la même façon. Rien n‘allait s‘arranger si je ne changeais pas de fusil d‘épaule, et que je n‘ouvrais pas ma bouche pour tout révéler à Rachel au sujet de mes sentiments.

Selon Rachel, il fallait parfois trouver le courage de dire ce genre de chose, mais je ne parvenais pas à le trouver. Il s‘agissait là d‘un sentiment profond, quelque chose de si bon, et que je ne ressentais que rarement, mais quand il s‘agissait de le dire, tout se bloquait. En ces instants-là, ma voix se bloquait, et j‘étais incapable de dire quoi que ce soit, même autre chose que ce secret qui siégeait dans mon esprit, toutes mes pensées, toute mon âme…

- Je sais qu’il faut trouver le courage de dire ce genre de chose, afin de se libérer d‘un poids qui pèse lourd sur notre conscience, mais c‘est beaucoup trop dur, surtout quand il s’agit de ce que je ressens.

Oh là…j’étais allé loin. Je n’avais pas dit l’objet même de ce que je ressentais, mais j’avais dit que c’était en rapport avec mes sentiments. En gros, j’avais tout dit, sans rien dire, ce qui n’était pas une chose dans laquelle je m’enfermais habituellement. C’était terrible, trop terrible…

Quand j‘avais posé ma question à Rachel, je m‘étais trouvé stupide sur le coup, car il s‘agissait d‘une immense indiscrétion, quelque chose qui me mettait mal à l‘aise car je me mêlais de sa profondeur, ce qui ne me regardait pas forcément, et ceci me dérangeait dans un sens. C‘était un peu comme une sorte de culpabilité intérieure, qui ne sortait pas…et qui n‘allait jamais sortir.

- Je suis désolé. Je n’aurais peut-être pas du poser cette question, car c’est un peu comme se mêler de quelque chose qui ne nous regarde pas. Je n’aime pas habituellement faire cela…non. Je suis désolé pour ta meilleure amie. Je pense que les circonstances t’aideront pour lui apprendre ce que tu es. Je pense que pour révéler un tel secret, il faut avoir conscience d’une chose. Tu n’es pas un monstre Rachel. Tu as certes un pouvoir mais tu es quand même humaine, quelqu’un qui mérite de vivre sa vie. Elle t’a connu sans pouvoir, d’accord, mais il y a une chose qui ne change pas malgré l’arrivée de ce pouvoir dans ta vie. Tu es toujours Rachel, et tu es toujours sa meilleure amie. Personne ne pourra dire que tu as changé, car ce serait injuste, complètement injuste.

Pourquoi arrivais-je à m‘en sortir avec le secret des autres et non à révéler mon propre secret, et à tout dire ? Contradictoire…à chaque fois c‘était mon problème…à chaque fois.

- A chaque fois, c’est la même chose. J‘arrive à aider les autres avec leurs secrets, mais quand il s‘agit des miens, c‘est une autre histoire. Je me bloque, et je ne peux rien dire, même quand c‘est important pour moi. Tu dois probablement me trouver bizarre en entendant cela, mais c‘est une chose que je ne comprend pas par moi-même.

Mon téléphone vibrait pendant quelques instants, et je vis un message d’Amaranth, pour lequel je n’avais pas besoin de répondre. Ce message disait : « Tu es hors de danger. »

S‘était-il alors occupé de ce qui m‘avait gêné aujourd‘hui ? Je lui avais parlé de quatre scientifiques, qui avaient voulu me capturer, et là il me disait que j‘étais hors de danger. A peine sorti de l‘hôpital, il m‘avait sauvé… Il était incroyable et il me surprenait encore et encore, comme si je n‘allais jamais pouvoir le connaître entièrement.

- Nous sommes en sécurité ici, bien que l‘atmosphère n‘est pas géniale. Si tu veux, nous pouvons aller ailleurs, histoire de se sentir mieux, et être plus à l‘aise.

Peut-être que dans un autre endroit, et dans d‘autres circonstances, je pourrais me sentir mieux et ainsi parler, parler de ce qui me dérangeait tellement, ce que je ne pouvais pas dire, uniquement par timidité, mais aussi par peur. Je n‘avais pas envie de retrouver la même scène que la dernière fois. Si je retrouvais Rachel étendue sur le sol, tout comme Genevieve par le passé, je ne pourrais probablement pas le supporter, car cet écho du passé était la pire des tortures enfermées à l‘intérieur de mon âme.

Je n‘arrivais plus à supporter cette histoire. Il fallait que cela puisse cesser, mais je n‘avais pas envie de révéler ce genre de chose par accident. C‘était trop important pour moi. Afin de tout dire, je devais me mettre en confiance, chose qui allait compliquée. Rachel était présente auprès de moi, mais je n‘allais probablement jamais réussir, du moins en cet instant.

Ce silence me faisait un peu de bien. Je pouvais mettre en place les évènements des derniers jours. Comme la voix dans ma tête qui n'arrêtais pas de me murmurer des choses horribles, depuis la lune rouge et ce qui est arriver ce soir me prendrait sûrement du temps à m'en remettre. Il fallait que j'en parle d'au moins un des deux, mais à qui. Ma meilleure amie était le plus loin possible et je ne pouvais pas aller la rejoindre, car je n'avais pas assez d'argents. Il est certain que je pouvais en parler à Taylor, mais encore là je ne savais pas ou elle était, depuis les évènements dans l'avion. Je crois que je pouvais en parler à Samuel, car j'étais en sécurité d'une façon et je savais qu'il en dirait à personne. Mais, j'avais un genre de manque de confiance depuis que je suis dans cette ville. Je ne sais pas si ces du fait que je suis dans une ville inconnue ou bien mon mode de vie, mais je ne faisais plus confiance aux gens.

Puis, quand je dis à Samuel que un jour il faudrait qu'il trouve le courage de dire ce qu'il a dire. Il me répondit qu'il le savait, mais que de se libérer d'un poids comme celui-ci était beaucoup trop dur. Qu'est qui était trop dur ? Encore d'autres questions sans réponse. Parfois, parler avec Samuel était comme faire un puzzle à chaque fois que je met un pièce une autre arrive et ça devient beaucoup plus compliquer. Surtout que ceci me concernait supposément, mais pourquoi je ne le savais pas. Peut-être, qu'une partie de moi voulait le savoir et une autre ne voulait pas le savoir et pour le moment ces la deuxième partie que je choisis. Je ne pousse jamais les gens à me dire ce qu'il ne veulent pas tout de suite. Donc, je lui dit ceci :

Je respect ton choix, mais si ça me concerne... j'espère qu'un jour je le saurais.

J'avais dit cela, mais je ne sais pas trop se qu'il allait me répondre. C'était toujours un mystère avec lui et c'était intéressait dans un sens. Mais, un chose que pouvait t'il avoir comme sentiment pour pouvoir être aussi bloguer là-dessus. Parfois, je me dis que les hommes sont trop compliquer surtout celui devant moi. Mais, c'était quelqu'un que j'aimais bien et je savais qu'il avait un lourd passé et qu'un jour il devra passer par-dessus et aller de l'avant. Puis, venait la question pas vraiment stupide de Samuel. Dès que je lui répondit il me dit qu'il y une chose que je devais savoir c'était que je n'était pas un monstre. Mais, la voix ne faisais que me le répéter je ne savais plus qui écouter. Tous le reste de ce qu'il me disait était vraiment des bonnes choses, car c'était vrai ce qu'il disait. Mais cette voix ne faisait que détruire se que je savais.

Merci de me dire tout ceci et je sais qu'elle ne dirait pas que je suis un monstre, mais j'ai toujours cette peur en moi qu'un jour elle pourrait me le dire. Je veux pas la perdre elle est comme une soeur jumelle pour moi. Mais, depuis quelque temps j'ai comme quelque chose qui me fait détruire tous ce que je crois dans ma tête et j'ai peur que ça arrive.

Oh non ! j'en n'avais peut-être trop dit et maintenant Samuel va s’inquiéter un peu plus qu'il ne l'ai peut-être en ce moment. Bravo Rachel ! Quand tu veux que personne ne le découvre tu le dit à voix haute. Il continuait en disant que à chaque fois c'était la même chose. Il pouvait aider n'importe qui avec leurs secrets, mais avec les siens c'était autre chose.
Donc, j'avais toujours une des mes mains dans la sienne et lui dit ceci :

Un jour je suis sûr que tu pourras le dire à une personne que tu fais assez confiance et tu pourrais passer au-dessus de tout ceci.

Ces moi qui venait de dire ceci on dirait que je me revoyais dans le temps quand j'étais à l'école et que j'écoutais ce que Lucy me disait. Avec les problèmes qu'elle avait et le fait qu'elle n'avait qu'une meilleure amie. Si un jour Samuel trouvait la bonne personne à qui en parler peut-être que le reste sera mieux. Que ça soit moi ou quelqu'un d'autre je suis sûr qu'il la trouvera un jour.

Hj: Ton avatar et ton gif son super !!!

Light Of The Assassin

S’il y avait bien une chose, que j’aimerais plus que tout au monde, c’était bien l’arrêt de tous nos problèmes. Sans ceux-ci, je ne serais pas autant renfermé sur moi-même, et ce que je souhaitais dire serait déjà sorti depuis longtemps. J’aurais pu faire ma déclaration, tout dire à Rachel. Tout aurait pu faire en quelque chose de ridicule, ou bien tout le contraire, mais au moins je le saurais. En restant ici, bloqué, et sans rien dire au sujet de mes sentiments. Là, dans cette issue exacte, l’avenir m’échappait, et il m’échapperait toujours.

Rachel respectait entre guillemets mon choix, bien que cette issue me dérangeait. Au fond de moi-même, une partie de ma conscience souhaitait tout dire à Rachel et enfin être fixé sur l‘avenir, mais une autre voulait rester enfermée dans ma tête, et garder la bouche verrouillée malgré le secret qui ne demandait qu‘à sortir, et à enfin être révélé.

- Moi j’espère surtout que je serais capable de le dire. C’est un peu étrange ce qui se passe en moi. Une partie de moi aimerait crier ce que j’ai à te dire, mais une autre préfère avoir la bouche fermée, et rester bloquée. C’est étrange et aussi très dur à vivre à la fois.

Au fond d‘elle-même, Rachel aimerait dire à sa meilleure amie qu‘elle était une spéciale, mais une peur la dominait quand même, et elle était effrayée par le fait qu‘elle puisse la prendre pour un monstre. Elle redoutait cela, car elle avait peur de la perdre.

Par la suite, elle me dit quelque chose qui me surprenait. En effet, depuis quelques temps, quelque chose la ferait tout détruire, et que cela se situerait dans sa tête. Au fond de moi, un écho du passé se ranimait, quelque chose que je ne pensais pas revoir. Je repensais à la lune rouge, celle qui nous avait rendus tous dingues, et qui nous avait changés aussi. Peut-être que ce qui la perturbait en cet instant était né cette nuit-là, et que cela la perturbait sans cesse depuis ce jour-là. Mais…ce n‘était qu‘une supposition, quelque chose dont je n‘étais pas certain.

- Même si tu dis que quelque chose cherche à te faire tout détruire sur ton passage, je ne changerais pas d’avis sur toi. Tu n’es pas un monstre, et tu ne le seras pas. Cela va peut-être être faux, mais je préfère quand même te le demander. Est-ce que cela a à un quelconque rapport avec ce que tu m’avais dit lors de la lune rouge, quand tu disais que tu avais l’impression d’être possédée et que tu avais pu entendre des choses horribles ? Si c‘est cela, je crois savoir quel est le meilleur remède à cela, et c‘est le soutien. Si des personnes sont là pour toi, tu parviendras à surmonter cela.

Non de Dieu, j’étais zen ! Alors là, je ne m’y attendais pas réellement à celle-là ! Même mon cerveau me faisait des blagues à présent, sérieusement.

- Ce n’est pas une chose que je veux dire à quelqu’un d’autre que toi Rachel.

C’était simple à dire, mais pourtant vrai. Ce genre de secret, qui pesait sur ma conscience, n’était pas une chose que je pouvais dire à quelqu’un d’autre que celle qui mérite de connaître ce que je ressentais sincèrement. La bonne personne, c’était elle, et cela ne pouvait être personne d’autre qu‘elle.

Hj:

Depuis que Samuel avait dit qu'il avait de la difficulté à dire ce qu'il avait à me dire. Mais, reste à savoir qu'est qu'il y avait de si important à me dire. Je savais que c'était quelque chose d'important, car sinon je crois qu'il me l'aurait déjà dit. J'étais curieuse de le savoir, mais je savais que je devais respecter son choix. S'il veut me le dire un jour il le fera, sinon tant pis. Il expliquait aussi que une partie de lui voudrait le crier et l'autre non. L'autre partie de lui restait en silence et il finissait en disant que c'était très dur et étrange à vivre. Peut-être parce que ces la première fois qu'il ressent ceci en plusieurs années... je ne pouvais pas le savoir je ne lis pas les pensées. Mais, ceci réveillait ma curiosité et je savais que je ne devais pas poser trop de questions. S'il veut me le dire il le fera un jour ou l'autre de mon côté je devais attendre que ce jour arrive.

Je ne sais pas trop comme tu peux vivre avec un poids comme celui-ci. Moi je l'aurais peut-être déjà dit, mais je n'est pas le même passé que toi, donc ça change tout. Mais je suis sûr qu'un jour tu pourras le dire et après tu sera libérer de ce poids que tu as. Mais, tu ne devrais pas te retenir de le dire si ces un sentiment bon. Je devrais peut-être arrêter de pousser ma curiosité ces quand même ta vie priver et je ne veux pas aller trop loin.

La curiosité est une vilain défaut et je l'avait comme défaut. Donc, il eu un silence pendant quelques minutes avant que je ne m'échappe et dit que j'entends cette voix dans ma tête. Vraiment c'était une grosse gaffe que je venait de faire. Je ne voulais pas en parler et surtout pas à Samuel. Mais, il me disait que même si la voix me dit que je suis un monstre... lui savait que j'en n'était pas un. Moi je ne savais plus quoi penser de tout ceci. Il me demandait si cela avait un rapport avec la lune rouge et ce que je lui avait dit quand j'étais sortit de ma possession.

Oui je crois au début, elle avait disparue, mais deux jours après elle est revenue et j'en peu plus de l'entendre. Elle me dit tout le temps de tuer ceux que j'aime le plus, car ces pour cela que j'ai un don comme celui que j'ai.

Je ne pleurais pas, mais j'étais triste et j'avais l'air d'une enfant de 7 ans qui avait peur et qui voulait pleurer. Mais, je ne voulait pas passer pour une fille qui pleurait tout le temps, donc je me retenais. Je devais rester forte même si je ne savais plus ou aller chercher cette force pour me battre contre elle. Puis, il revenait que la chose qu'il voulait dire et il ne pouvait que le dire à moi. Pourquoi simplement à moi et pas à quelqu'un d'autre ? Il est vrai que quand nous étions seuls je savais que je pouvais parler comme si rien ne se passait. Comme si tout pouvait être normal pour quelques heures, mais je me demande qu'elle était se secret pour qu'il me le cache.

Light Of The Assassin

Avoir autant de difficulté à dire quelque chose, qui serait capable de libérer mon cœur, et d’améliorer ma vie, était une chose incompréhensible. Il s’agit d’un côté positif, quelque chose de bien à faire, mais je ne parvenais pas à le faire, voilà le comble. Mais pourquoi n’y arrivais-je pas ? J’étais certain de mes sentiments, de tout ce que je ressentais, mais alors pourquoi ne disais-je rien ? Pourquoi étais-je bloqué ? Pourquoi ? Je n’arrivais pas à mettre un nom sur le mal qui me faisait tant souffrir, et qui me paralysait de l’intérieur. Je voudrais juste être capable de dire à Rachel ce que je ressentais, que je termine ridicule ou bien sincère. Ça, je ne pouvais pas le savoir avec certitude. Je ne pouvais que me sentir ignorant, envers une chose que je ne pouvais même pas dire.

- D’habitude, quand j’ai du mal à parler, ce n’est pas pour révéler une chose positive. Je ne me bloque que lorsqu’il s’agit de malheurs, de choses qui ne me font que souffrir, mais là je me bloque pour une bonne chose. Cela n’a plus aucun sens.

*contradictoire…*

- Si seulement tu pouvais avoir directement conscience que je pourrais…

Je baissais les yeux sans finir ma phrase…je n’y parvenais toujours pas. C’était trop difficile.

- A chaque fois que j‘essaye de t‘en parler, je me bloque à la fin, dès qu‘il s‘agit de te dire les deux mots qui résument ce que je ressens.

Je repensais à ce que Rachel avait pu me dire au sujet de la voix, et je voyais son visage, ce visage que j‘aimerais…non laisse tomber ! Elle se sentait plutôt mal, comme une sorte de tristesse retenue de force.

J’avais envie de la soutenir. Je pris sa main dans la mienne avant de dire.

- N’écoute pas cette voix Rachel. N’écoute que la mienne. Tu n’es pas un monstre, ni une tueuse. Tu es quelqu’un de bien, d’extraordinaire même, et je clouerais le bec à n’importe qui qui oserait dire le contraire. Tu n’as pas reçu ce don pour faire le mal, et je ne peux pas croire à cela. Ce que je vois en face de moi, est une personne bénéfique, et non un monstre.

J’espérais qu’elle allait écouter mon discours et voir comment je la percevais. Ce discours était en fait une sorte de double réponse. Sans m’en rendre compte, j’avais dit une phrase très longue, pour résumer ce que je ressentais pour elle dans un sens. En un long paragraphe, j’avais dit une chose qui contournait deux mots, et oui deux mots, mais il s’agissait de deux mots très importants…trop importants pour n’importe qui en fait.

- Ne te focalise que sur ce qui se trouve autour de toi, et non sur cette voix qui te demande de faire des mauvaises choses, qui ne font que définir le contraire de ce que tu es. Ne regarde que la personne que tu es. Tu es quelqu’un de bien, et tu n’es pas cette voix qui souhaite te voir faire des mauvaises choses. Tu es Rachel, juste Rachel. Tu es quelqu’un de bien, une perle qui mérite d’être remarquée par les personnes autour d’elle, et je l’ai remarquée cette perle. Je ne peux pas dire le contraire.

Et encore quelque chose qui pourrait remplacer ces deux mots…

J'écoutais se que Samuel me disait et je pense que je ne pourrais pas comprendre pourquoi il ne pouvait pas dire quelque chose de positif à moi. Il disait aussi que la plus part du temps quand il a du mal à parler ce n'est pas pour dire quelque chose de positif. Et que la plus part il ne se bloque que quand ces des mauvaises choses, mais la ces différent pour lui. J'aimerais le comprendre et l'aider, mais je ne pouvais rien faire.

Je crois que ça serait plus facile si oui je pouvais savoir directement ce que tu voulais me dire, mais je suis patiente et j’attendrais que tu me le dises.

Puis je le vis baisser ces yeux et je ne savais pas pourquoi, mais on dirait qu'il avait de la difficulté à aller plus loin dans sa phrase. Il continuait en disant que à chaque fois qu'il veut m'en parler il bloque qu'à la fin de sa phrase. De plus, il ne s'agit que de deux mots qui pourrait tout résumer ce qui se passe en ce moment. Je ne répondis pas, car je ne savais pas trop quoi dire. Tout ceci était mystérieux dans un sens et je voulais le savoir, mais j'allais attendre, car ces ce que je lui ai dit.

Puis venait le sujet de la voix dans ma tête. Et ceci avait avait fait grandir l’inquiétude que Samuel avait en ce moment pour moi. Je ne voulais pas pleurer pour rien je devais rester forte et passer par-dessus ceci. Puis, je sentis la main de Samuel dans la mienne et il me dit que je ne devais pas écouter cette voix. Que je n'étais pas un monstre et surtout pas quelqu’un qui pouvais tuer. Aussi, il rajoutais que j'étais quelqu'un d'extraordinaire et qu'il le dirait à n'importe qui qui lui dirait le contraire. Il finit en disant que je n'avais pas eu ce don pour faire le mal et qu'il ne me voit pas en faire. Pour la première fois, dans toute la soirée ce n'était pas des larmes de tristesse, mais des larmes de joie. J'aimais que quelqu'un me dise que j'étais une bonne personne et quelqu'un de bien, car ces temps-ci je ne le croit plus vraiment. Et le fait que Samuel me le dise me fait beaucoup de bien.

J'écoutais le reste de ce qu'il me disait et les larmes continuait. Ça fait du bien de pleurer pour autre chose que des mauvaise chose. Aussi, j'entendis Samuel me dire que j'étais un perle ui méritait d’être remarquée par les personnes autour de moi. Il finissait en disant qu'il avait remarquer la perle que j'étais et qu'il ne pouvait pas dire le contraire. La je ne savais pas trop quoi dire, mais je lui dit ceci.

Merci, honnêtement je ne sais pas trop quoi dire. Au moment, ou je ne crois plus au belle chose qu'on pourrait me dire. Toi tu arrives et me les rappelle, alors merci.

Ça me faisait beaucoup de bien d'entendre ceci de sa bouche.

Light Of The Assassin

Je ne parvenais absolument pas à faire ma déclaration, ces deux mots de toute une vie, mais de longs discours sortaient de ma bouche, et je les pensais réellement. Au fond de moi, je savais que Rachel était importante, au point de mériter ces qualités que je lui attribuais. Ce n‘était pas de l‘idéalisation, mais quelque chose de sincère, car la présence de Rachel avait suffi à transformer mon âme. Oui…malheureusement, les paroles pouvaient être belles, mais elles étaient enfermées à l’intérieur de ma conscience sans pouvoir être capable d’en sortir, et d’être révélées à Rachel.

Plus tard, je vis Rachel pleurer. Je pensais pendant quelques instants que j’avais fait quelque chose de mal, mais j’avais tort, car la suite me prouvait l’exact contraire. Rachel n’était pas triste, bien au contraire. Ces larmes symbolisaient la joie, car elle me remerciait pour ce que je venais de dire.

Là, je pouvais enfin sourire, même si mes yeux étaient encore humides. Pour ma part également ce n’était en rien un sentiment négatif. Il ne s’agissait que de la joie, uniquement que de la joie. Je préférais largement cela à la tristesse, et je parvenais à ressentir cela en présence de Rachel. Rien que pour cela, elle était spéciale à mes yeux, une personne unique que je ne voulais pas perdre.

- Tu n’as pas à me remercier Rachel, car je le pense réellement. Ce que je t’ai dit, je le pense réellement, car cela définit ce que je vois devant moi. Il s’agit de ma vision de toi.

De ma propre vision de moi-même, je ne m‘étais jamais autant révélé face à quelqu‘un. Tout ce que j‘avais dit à Rachel définissait, d‘une manière extrêmement sincère, comment je la voyais, avec les mêmes mots que ma pensée. Je ne disais toujours pas les fameux mots fatidiques, mais ces longs discours de sincérité étaient une chose que je n‘allais probablement jamais sortir face à quelqu‘un d‘autre, surtout si spontanément.

- Toutes ces choses que je t‘ai dites, sont sincères, et également réelles. Il s‘agit de ma véritable vision de toi, et comment je te perçois depuis que je te connais.

*ce n’est pas un « je t’aime » mais c’est déjà quelque chose*

Enfin, je parvenais à vivre quelque chose qui ne me dérangeait pas, mais qui était terriblement sincère. Pour une fois, je disais des choses réelles, qui amenaient un sentiment bon en moi, même si je ne parvenais pas à le dire à voix haute, du moins pour le moment.

Dans un sens, je disais des très bonnes choses, par l’intermédiaire de discours véridiques, qui résumaient la vision que j’avais de Rachel. Je la voyais tel que je l’avais dit, et même en encore plus grand que cela : Rachel avait changé ma vie.

J‘étais victime d‘une migraine très forte, mais je parvenais à rester le même, et à me maintenir bien face à elle. Je parvenais même à sourire alors que j‘avais mal au crâne. En pensant à ma douleur, je pensais à elle. Il se faisait tard, et Rachel était peut-être fatiguée. Elle devait aller se reposer. Le sommeil pouvait être d‘un grand secours dans certaines situations.

- Si tu veux, je peux t‘emmener ailleurs afin que tu puisses te reposer. Qu‘en penses-tu ?

Je ne savais plus quoi dire ou quoi penser. En ce moment je me disais que oui je devais être un monstre, une folle ou bien quelqu'un qui n'était pas important. Mais avec ce que les gens que je connais et se que Samuel venait de me dire. Je ne pouvais qu'avoir des larmes de joie le long de mes joues et un petit sourire sur mon visage. Combien de fois, je me suis mis dans l'idée de de me tuer, me couper les veines ou bien me pendre juste pour ne plus entendre cette voix dans ma tête. Si en un seul mouvement de elle pouvait partir. J'aurais été heureuse et je ne serais pas comme je suis en ce moment. C'était la première fois, que j'avais un sourire depuis le début des évènements avec cette vois et ça faisait du bien.

Je sais pas pourquoi, mais ces toujours comme ça quand je suis avec Samuel. J'oublie certaines choses comme le fait que je suis différente et que du jour au lendemain je pourrais peut-être mourir. J'oubliais tout ceci et pour une fois depuis le début de tout ceci je me sentais comme un fille de 21 ans normale. Les deux seuls personnes qui m'ont fait sentir comme ça avant Samuel était mon ex petit-ami et Lucy. Et je dois dire que pour mon ex petit-ami j'étais plutôt contente qu'il m'ai quittée, car il m'aurait tout de suite porter chez les policiers, s'il aurait découvrait que j'étais différente. Pendant un partie de se que Samuel me disait je ne disais rien, mais j'écoutais quand même et je me dis qu'il devait avoir raison sur certain points vu qu'il était la deuxième personnes à me le dire. Puis, il me demandait s'il pouvait m'emmener ailleurs ou je pouvais me reposer si je le voulais.

Je regardais ma montre et vis qu'il était environ 4 heures du matin. Le temps passe trop vite à mon goût, mais ces vrai que j'étais quand même fatiguer. Ces pas tous les jours qu'on passe proche de la mort et se fait ramener à la vie par un de ses amis que je pourrais même dire un amis proche, car je n'ai jamais parler comme ça à un autre ami. Même à Lucy je crois que je ne pourrais jamais lui dire certaine chose.

Oui il se fait quand même tard et je suis quand même très fatiguer je dois dire, donc je te suis.

En fin de compte peut-être que tous se malheur qui m'arrive va peut-être déboucher vers quelque chose avec du bonheur un jour. J'espère que ça sera pour bientôt, car je ne sais pas pour combien de temps je vais tenir comme ça avec malheur par-dessus malheur.

Light Of The Assassin

Environ 4 heures du matin…mais quelle horreur…

Je pensais tellement pouvoir m’épuiser lors d’une nuit blanche et de ne plus penser à quoi que ce soit d’autre qu’à quelque chose de positif, mais mon souhait ne s’était réalisé qu’à moitié. Le sens positif de ma vie m’avait percuté, en plein cœur, bien que la principale concernée ne demeurait pas au courant de mes sentiments. J’aimais Rachel. J’aimais être avec elle, mais je ne parvenais pas à oser franchir le pas, et tout lui avouer. Je me sentais terriblement diminué dans cette histoire, car la seule chose, qui me faisait réellement plaisir, demeurait enfermée dans ma tête, sans une voix haute pour l’exprimer pleinement.

Après un mouvement de tête, je revins enfin vers le véritable objet de la conversation. Il fallait trouver un endroit où Rachel et moi nous pourrions nous reposer, mais il se trouvait, justement, que j’en connaissais un. Il s’agissait d’une espèce d’hôtel, mais qui n’avait pas d’étage. Cet hôtel était à la propriété de B., et seul lui et moi-même possédions une clé capable de l’ouvrir. Nous étions les seuls à pouvoir pénétrer dans cet endroit. Conduire Rachel là-bas était un gage de sécurité, que ce soit pour elle ou pour moi.

- D’accord, suis-moi. Je connais un endroit qui sera suffisamment tranquille pour nous permettre de nous reposer. Si cela ne te convient pas une fois que nous y serons, n‘hésite pas à me le dire, et j‘en suggérerais un autre. D‘accord ?

Nous recommencions alors à marcher, lentement. Il s’agissait de notre rythme, et il valait mieux que cela soit ainsi, plutôt que trop rapide. Je n’avais pas envie de subir quelque chose d’indépendant de ma volonté, ni de le faire subir à Rachel, car ce serait injuste, surtout pour quelqu’un qui m’avait bouleversé comme elle avait su le faire.

Pendant notre marche, je boitais énormément, ce qui n’était pas réellement simple. A vrai dire, ceci était le résultat d’un faux-mouvement complètement stupide lors de ma marche, quand j’étais encore le seul à marcher. Je n’étais pas blessé, et c’était pour cela que mon pied ne guérissait pas, mais cela n’avait pas d’importance. A vrai dire, je m’en fichais pas mal, car je ne pensais qu’à Rachel. Mais mon problème s’arrangeait un peu plus tard, trouvant un truc planqué là où je ne le dirais pas, capable de servir de canne. Il s’agissait à la base d’une faible boite, qui ne servait à rien, mais qui pouvait ressembler à une canne, lorsque je l’étirais sur sa longueur. Voilà maintenant une canne qui m’aidait à m’appuyer pour m’avancer. C’était étrange comme situation, je le savais.

- Désolé. J‘ai fait un faux-mouvement lors de ma marche de tout à l‘heure, quand je suis sorti de chez moi…cela s‘arrangera ne t‘inquiète pas.

Je ne pouvais pas dire le sentiment que j'avais en ce moment. Mais, c'était un sentiment que je n'avais pas ressenti depuis, un moment. Je crois depuis que j'avais quittée mon ex petit-ami et l'Angleterre. Je ne pouvais pas mettre le doigt dessus, mais je me sentais très bien. Malgré, que je venais de passer à deux doigts de la mort et que j'avais été sauvée par un ami... un ami proche je dois dire. Car, quand je parle avec Samuel ces différent de quand je parle avec Taylor ou Lucy et je ne sais pas pourquoi. Je regardais ma montre et vit qu'il était environ 4 heures du matin. Mon dieu 4 heures du matin ! Le temps passe trop vite quand on n'est un bonne compagnie.

Quand Samuel me demandait s'il pouvait m'emmener à quelque part ou je pourrais me reposer. Je pris quelques minutes pour réfléchir. Il était quand même tard ou tôt le matin et je ne voulais pas faire tout le chemin jusqu'à chez moi. Donc, je répondit tout de suite oui à Samuel. Celui-ci me répondit en disant qu'il connaissait un endroit tranquille ou on pourrait se reposer. Il continuait en disant que si ça ne me convient pas une fois que je le vois il me suggérerais un autre endroit. Je lui fis un signe positif et nous commencions à marcher. Notre marche était lente, mais c'était toujours comme ça entre nous deux et c'était mieux comme ça. C'était toujours mieux comme ça et même si on ne disait aucun mot c'était comme un routine entre nous deux. Mais une chose que je remarquais quand nous marchions ces que Samuel boitait assez gravement et je me demandais pourquoi. Quand il prit quelque chose qui pouvait lui servir de canne il m'expliquait qu'il avait fait un faux-mouvement. Il me disait de ne pas m’inquiéter pour ça, mais je ne sais pas pourquoi, mais je m’inquiétais un peu.

J'espère que oui ça va s’arranger, car tu n'est pas supposer guérir de n'importe quel blessure maintenant ?

Je savais que ce n'était pas quelque chose de trop grave, mais je m’inquiétais, car je savais qu'il pouvais guérir de tou, alors pourquoi il avait pas guérit pour ceci. J'avais un peu d’inquiétude même si je ne voulais pas le montrer je savais que ça devait se voir un peu sur mon visage.

Light Of The Assassin

A 4 heures du matin, il y avait bien une action qui demeurait compliquée, surtout quand la fatigue commençait à monter à l’intérieur de notre cerveau. Ce n’était pas rien.

Marcher dans les rues de la ville, avec une jambe boiteuse, n’était réellement pas une action facile, et je parlais d’expérience, tout bêtement parce que j’étais ainsi en cet instant. A proprement parler, mon faux-mouvement n’était guère une blessure, alors peut-être que la lumière n’était pas capable de fonctionner dans ce cas-là…du moins je le pensais.

Ceci m’était arrivé avant que je ne rejoigne Rachel. Je sortais de l’appartement d’un de mes amis, et j’étais en train de faire le chemin du retour, au hasard d’une nuit blanche, quand une espèce de skateboard, trainant dans les marches d’un escalier, m’a forcé à faire un faux-mouvement. Ce n’était pas à proprement parler une blessure, mais plutôt un déplacement. Honnêtement, j’ignorais complètement si mes os étaient capables se replacer avec cette lumière, mais cela me surprendrait si c’était le cas.

En attendant que cette jambe puisse se replacer correctement, je me servais d’un espèce de gadget, que j’avais pu convertir en une sorte de canne, afin de pouvoir m’aider à avoir une sorte d’appui sur le sol, et de ne pas tomber sur le sol. Avec le temps, cela allait passer…je gardais espoir. En présence de Rachel, je savais garder espoir, et espérer que tout puisse s’arranger. Rachel était un peu une sorte de lumière pour moi, la lumière qui animait mon sourire et qui rendait le sens positif de ma vie significatif à mes yeux. Elle était unique pour moi, bien qu’elle ne le savait pas encore.

En me voyant boiter, Rachel avait l’air de s’inquiéter, et se posait également une question logique. Elle se demandait pourquoi je n’avais pas guéri de cette blessure, alors que je savais guérir du reste des blessures possibles. Honnêtement je ne le savais pas trop. Peut-être devrais-je lui parler de cette histoire de skateboard…enfin quelque chose en tout cas, afin d’expliquer que la blessure n’avait rien de sanguinaire.

- A vrai dire, je ne sais pas vraiment pourquoi je ne guéris pas de cela, mais peut-être que cela ne se peut pas à cause du fait que ce n’est pas une histoire de sang. Il s’agit d’un faux-mouvement, qui m’a juste amené à mal placer ma jambe pendant quelques instants, alors cela n’a peut-être rien à voir avec mon pouvoir, mais bon je n’en sais rien en fait. Peut-être suis-je tout bêtement épuisé et que mon pouvoir ne peut plus s’attarder sur les petites blessures, mais je n’en sais rien non plus. Ce ne sont que des hypothèses.

Nous arrivions enfin devant le pseudo-hôtel, et je me servais de la fameuse clé que je possédais, afin d‘ouvrir la porte.

- L‘endroit dont je te parlais Rachel est celui-ci. Est-ce que cela te convient ?

Pendant le trajet, je me posais toujours des questions sa la jambe de Samuel. Je savais que ce n'était rien de grave. Mais d'une certaine façon j'étais inquiète. Je ne m'avait jamais inquiéter pour un simple blessure avant. Quelques années auparavant, je m'avais inquiéter pour une maladie que mon père avait eu. C'était les deux semaines les plus longues de ma vie. Me voilà aujourd'hui encore plus inquiète d'un façon pour un jambe boiteuse. Après tout Samuel n'était qu'un ami ou bien un ami proche. Je ne savais pas comment décrire se que je ressentais. Tout était bizarre, mais c'était un bizarre qui me faisait sentir bien.

Puis, Samuel me sortait une fois de plus de mes pensées. Il m'expliquait que il ne savait pas s'il pouvait guérir de ce faux-mouvement qu'il avait fait un peu plus tôt dans la soirée. Au moins, un partie de moi fût rassurer à ce moment. Ce n'était qu'un faux-mouvement qu'il venait de faire. Il poursuivait en disant que vu que ce n'était pas un question de sang c'était peut-être un des raisons pourquoi rien n'a guérir. Sinon, il disait qu'il était peut-être simplement épuiser c'était5 peut-être une autre raison de pourquoi ça n'a pas marcher. En regardant, son visage je pouvais voir qu'il était vraiment fatiguer comme moi, mais lui on dirait que ça date de quelques jours.

Au moins tu me rassure là-dessus, car pendant un instant je croyais que c'était plus grave que ça et je m’inquiétais déjà.

Nous marchions quelques minutes, de plus avant qu'on s'arrête devant une porte. Samuel allait devant avec une clé et ouvrit la porte. Il me laissait entrer en premier et je peu voir l'endroit en quelque sorte. Ce n'était pas le gros luxe, mais je pouvais mit faire pour un soir et de toute façon mon appartement était pas mieux non plus. C'était le genre d'endroit ou personne ne voudrait vivre, mais c'était devenu mon chez moi. Donc, Samuel me demandait si l'endroit était correct. Je me retournais vers lui et lui fit un petit sourire et lui dit :

Oui ces bien ces même un peu mieux que mon propre appartement que tu as vu et tu sais que ce n'est pas le gros luxe mon appartement, donc ceci est vraiment bien pour cette nuit... ou le peu de nuit qui reste.

Je regardais ma montre et vit qu'il était 4:45 du matin et malgré ma fatigue j'étais assez contente de comment ma soirée avait fini. Je suis presque morte se soir, mais même s'il ne veut pas que je lui dise il est en quelque sorte mon héro, car il me sauve tout le temps quand je suis en difficulté ou proche de mourir comme se soir et ces ce que j'aime de lui. Même s'il ne me connaissait pas le premier soir que je l'ai vu il m'avait sauvée. Donc, dans ma tête ces un peu mon héro tout le monde à un héro, moi je crois que ces Samuel.

Light Of The Assassin

Ma fatigue ne datait pas uniquement d’aujourd’hui, mais d’une semaine entière. Depuis le début de cette semaine, les scientifiques, qui voulaient ma peau, avaient accéléré leur traque, et ils ne me lâchaient plus. Cette soirée était une des rares que je pouvais passer en étant seul…c’était une chance, quelque chose dont j’allais probablement profiter ne serait-ce qu’une seule fois en ce moment. J’étais encore en vie, mais je ne savais pas encore si cela allait pouvoir durer, ni combien de temps j’allais pouvoir tenir avec autant de pression. Plus ils me traquaient, plus ils me surveillaient, et plus j’avais peur de perdre. C’était comme une chose inévitable, quelque chose que je ne pouvais pas défier, ni fuir, sans perdre des plumes dans la bataille. Je boitais encore, mais ceci n‘avait plus d‘importance pour moi à présent. Je voulais aider Rachel, et non m’attarder sur mon propre sort. J‘allais perdre un jour, mais je ne voulais pas que Rachel puisse avoir des ennuis, alors que je savais ce que je ressentais pour elle, même si elle ne le savait pas par elle-même.

En restant dans cet endroit, nous pourrions être capable de nous reposer, et ainsi reprendre des forces. Je n‘attendais que l‘avis de Rachel sur cet endroit, car je ne resterais ici, que si elle restait également. Je ne le ferai pas sans elle parce que je ne pensais qu‘à elle. Elle était la seule chose importante pour moi, surtout maintenant.

- Je suis content que cela te convienne Rachel. Tu pourras te reposer ici, car personne n’aura l’idée de nous chercher dans cet endroit. Si tu veux, je peux t’aider à t’installer, afin que tu puisses être le plus à l’aise possible.

Avant que je ne puisse terminer de parler, mon téléphone sonnait, et j‘étais obligé d‘y répondre vu l‘identité de celui qui m‘appelait. Il s‘agissait d‘Amaranth.

- Pardon, mais il faut que je réponde.

Au départ, Amaranth souhaitait savoir si j’étais disponible pour une mission, même tard dans la nuit, mais cela tombait très mal. Je n’avais pas envie de quitter Rachel, et de la laisser seule. J’étais également trop épuisé pour travailler. Voici ce que je lui dis en fin de compte :

- Ecoute, cela tombe très mal ce soir. J‘ai du m‘enfuir toute la semaine, et là j‘ai besoin de me reposer. S‘il ne s‘agissait que de demain, ou plus tard, je t‘aurais dit oui, mais là je ne peux pas. Je suis désolé. J‘espère que tu comprend.

Un « au revoir » rapide termina notre conversation. Je regrettais un peu le fait d’avoir refusé cette mission, mais je ne pouvais pas l’accepter en regard de mon état actuel, qui ressemblait à tout sauf à rien.

En quelque sorte soulagé d’avoir raccroché, j’éteignais mon téléphone et le rangeais dans ma poche.

- Excuse-moi Rachel pour cela. Je n‘ai pas une semaine très facile, et on n‘arrête pas de m‘appeler pour savoir si je suis disponible pour faire ceci ou cela. Je frise l’overdose et j’ai besoin d’une pause, surtout après la dure semaine que j’ai pu avoir. Ce n’est pas facile, mais bon, ce n‘est pas l‘important. En dormant cela ira mieux je pense. On a besoin de se reposer, qu‘il s‘agisse de toi ou de moi.

Enfin, je pouvais me reposer par rapport à cette soirée en enfer que j'ai eu. Même si l'endroit n'était le grand luxe je pouvais mis faire. La preuve mon appartement n'était pas se qu'on pouvait appeler du grand luxe. Donc, en regardant un peu partout je pouvais déjà voir quelques pièces. Puis, quand je répondis à Samuel par rapport à comment je trouvais l'endroit je lui dis tout de suite se que je pensais. Mais, c'était plus du positif que du négatif, car je crois que pour se soir si j'aurais voulu être avec quelqu'un ces certain que ça aurait été lui. Je ne sais pas pourquoi, mais pour le moment j'étais peut-être trop fatiguer pour répondre à ma propre question.

Mes yeux fermaient doucement pour que je les ouvre à nouveau après quelques secondes. Je crois que pour le moment je devais juste prendre place sur une chaise et me reposer. Puis, Samuel répondit à mon commentaire sur comment je trouvais l'endroit. Il me proposait même de m'aider à m'installer pour le nuit ou le peu de nuit qui me reste.

Oui bien sûr je veux bien que tu m'aides, mais ou je vais dormir, car il ne doit qu'y avoir un lit ici et ces le tien.

Je ne voulais quand même pas lui prendre son lit. J'étais peut-être passer à deux doigts de la mort, mais je savais qu'il avait besoin de plus d"heure de sommeil que moi. Ça ce voyait dans ces yeux qu'il en n'avait de besoin. Je ne savais pas trop se qu'il avait vécu au fil des semaines, mais je savais qu'il n'avait pas dormit ou dormit très peu durant se temps. Puis, il me laissait toute de seule pendant un moment. J'entendis juste qu'il parlait avec quelqu'un, mais je ne savais pas qui ? Mais, je ne voulais pas le savoir non plus ce ne son pas mes affaires. Donc, je restais là à me perdre dans mes pensées jusqu'au moment ou il revenait. J'eu un petit sursaut quand je le vit, mais c'était juste parce que je suis sortit de mes pensées que j'avais.

La première chose qu'il fit et de s'excuser, car il m'expliquait qu'il avait eu une semaine très occuper. Et que des gens le téléphonait pour savoir s'il pouvait faire ceci ou cela. Pauvre lui il disait même qu'il pourrait peut-être frôler l'overdose. Il poursuivait qu'il avait besoin d'une pause. Finalement, il me disait que tous les deux nous avions besoin de nous reposer. Je pouvais le voir que nous en avions de besoin. Mais, je savais que lui en avait besoin un peu plus que moi. J'avais juste une petite fatiguer et lui elle datait de plusieurs jours. Je ne sais pas comment il fait, moi je serais déjà morte de fatigue.

Tu as raison, mais toi tu en n'a plus de besoin que moi je te le dis et ne dis pas le contraire ça se vois dans tes yeux que tu l'ai.

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