Merci de me sauver une fois de plus - avec Samuel

Se soir, je pouvais dire que j'avais passer par toute les émotions. J'avais passer de la peur de mourir, à la sécurité, en passant par la joie de se que j'ai avouée et aussi l’inquiétude de perdre celui que j'aimais. Je me rendais compte que ça faisait beaucoup en une soirée. Je respirais un peu mieux maintenant que je savais que Samuel était sortit de ceci. Mais une question me revenait et ces est-ce que ça allait recommencer ou c'était la première fois que ça lui arrivait.

Je ne savais pas si je voulais lui poser la question ou non. Car, il devait se reposer et il avait l'air encore épuiser de se qu'il venait de vivre. Je ne pouvais être que spectatrice de ceci à chaque fois que quelque chose lui arrivait. Comme celui qui venait d'arriver et ça jouait sur mes nerf. J'écoutais ce que me disait Samuel et il me disait qu'il s'en voulait de m'avoir fait souffrir comme ça se soir. Je ne lui en voulait pas, car ce n'était pas vraiment de sa faute. C'était quelque chose qu'il savait battu pour ne pas me voir de l’inquiétude dans mon visage. Malheureusement, sa n'avait pas marcher, mais ce n'était pas vraiment sa faute, juste que je voulait savoir pourquoi ça lui était arriver. Bizarrement, je me revoyais la première fois que je l'avait vu et qu'il était venu chez et qu'il avait eu son mal de tête et que j'avais paniquer, car je ne savais pas quoi faire. Et bien ce qui ces produit il y a quelque minutes c'était l’inquiétude que j'avais, mais à la puissance 10.

Il se pardonnait après de la peur qu'il m'avait fait. Je le regardais droit dans les yeux et lui dit :

Tu n'a rien à te pardonner, ces moi qui ne peut pas garder mon sang froid dans des situation comme celle-ci. Je suis trop sensible et ces un gros défaut de ma personnalité. Mais je peux te poser une question ?

Je pris mon courage à deux mains et lui dit :

Est-ce que tu sais pourquoi ça t'est arriver ?

Je voulais une réponse qu'elle soit positif ou négative. Je voulais savoir si c'était encore la faute d'une organisation qui poursuivait mon amoureux. Car, si c'était le cas j'aimerais qu'il le laisse de côté un peu.

Light Of The Assassin

La première fois que j’avais rencontré Rachel, le hasard m’avait mené jusqu’à elle, et un seul regard m’avait suffit pour comprendre que cette jeune femme, parmi tant d’autres, allait devenir spéciale à mes yeux. À cette époque-là, je n’avais pas encore compris ce que je ressentais, mais elle m’avait déjà percuté. Une soirée, une seule, avait suffit à ma conscience pour admettre que Rachel était devenue mon essentiel. Cette lune rouge avait été l’occasion, pour moi, de voir que je tenais terriblement à elle, et que je ne voulais pas la perdre. Ma seule volonté avait été de la sauver, et de la ramener à son état normal. Depuis ce jour, j’étais conscient de mes sentiments. Je l’aimais…mais je ne lui avais pas encore dit.

Une soirée, comme celle qui venait de nous arriver, avait débloqué ma peur, et m’avait permis de tout lui dire, de lui déclarer ma flamme, et de comprendre qu’elle avait également des sentiments pour moi. Ma joie était alors entière.

Malheureusement, cet évanouissement eut lieu, et avait provoqué en Rachel une terrible inquiétude envers ce qui m’arrivait. Des larmes étaient même tombées, et je m’en voulais sérieusement. Je m’étais promis de ne pas la faire souffrir, et pourtant cela s’était produit, malgré moi. Elle était une personne d’une valeur inestimable à mes yeux, et la voir en train de pleurer, des larmes d’une sévère tristesse, suffisait à me poignarder. Pardonner mon acte était quelque chose d’impossible, car j’avais trahi un immense principe de ma conscience : celui de ne pas briser le cœur de mes proches, au point de provoquer leurs larmes. Rachel ne méritait pas ce soir, et c’est pour cela que je m’en voulais terriblement.

- C’est très gentil de ta part de me dire que je n’ai rien à me pardonner, mais, je ne pourrais probablement jamais l‘admettre, simplement parce que, pour moi, tu ne mérites pas de pleurer. Je t’aime énormément, et il est de mon devoir de faire que tu ne souffres pas.

J’étais sincère. Pleurer était l’âme profonde de la souffrance, et cette blessure était quelque chose d’important à mes yeux. Je ne pouvais pas l’ignorer en faisant comme si elle n’existait pas, car elle existait au contraire beaucoup trop pour moi.

Rachel me posait par la suite une question. Elle me demandait si je savais pourquoi cet évanouissement m’était arrivé. Malheureusement, non. Si j’avais un souci à l’intérieur de mon crâne, je l’ignorais. La seule chose qui amènerait une telle conséquence serait mon surmenage, cette utilisation trop intense de mes pouvoirs, dans un unique but de fuite. Ces scientifiques me poursuivaient toujours, et c’était pour cela que je devais me dépasser un maximum, au point même de m’écrouler sur le sol, et d’avoir peur de ne jamais me réveiller. Cette peur, je l’avais subie tout à l’heure car, durant mon inconscience, j’avais eu peur de me perdre, mais aussi de perdre Rachel, simplement parce qu’une hypothèse de non-réveil restait le pire des scénarios dans ma tête, ce scénario qui n’allait jamais me laisser la chance de vivre pleinement mon bonheur.

- Malheureusement, je ne le sais pas. Tout ce que je sais, c’est que je n’arrête pas d’utiliser mes pouvoirs en ce moment, et de plus en plus, uniquement pour m‘enfuir. Cela doit être du surmenage, mais je ne peux même pas le prouver. Je suis désolé de ne pas être capable de te fournir une réponse précise, bien que je le voudrais réellement.

J‘étais encore affaibli, et j’avais besoin de repos, mais je tenais le coup. Ma conscience était dotée d‘une bonne raison pour l‘amener à se battre : et c‘était elle. Rachel était ma raison de vivre et ma raison pour continuer de me battre. Jamais une peur, comme celle qu‘elle avait du subir par ma faute, n’allait se produire. Je ferais tout pour que ceci ne puisse jamais recommencer.

J'étais dans la position dans lequel j'étais. Dans les bras de celui que j'aimais. Dans ma tête, je me disais que ce n'était pas le hasard qui m'avait amener vers Samuel la nuit qu'il m'avait sauvée. Au début, je croyais que ce n'était qu'un ami proche comme je l'ai dit à Taylor, mais après cette lune t les jours qui on suivit. Je savais que ce que je ressentais c'était quelque chose de fort et d’imbattable. L'Amour était un sentiment si fort que parfois on ne pouvais pas le nier. Ces ce que ma mère me disait quand j'étais petite et que je lui posais des questions de comment elle était tomber en amour de mon père. Mon père avait été le seul véritable amour de ma mère et sa mort à beaucoup affecter ma mère. Tout comme ce soir avec moi et se qui venait d'arriver à Samuel. J'avais eu tellement peur qu'il ne se réveille pas que pendant un moment je me sentais comme ma mère quand elle a su que mon père ne s'en sortirait pas et qu'il était mort sur le coup.

Mes larmes avaient arrêter, mais l'eau qui avait couler avait sécher et je sentais l'effet que ça fait après qu'on n'ai pleurer. Je me déprit des bras de Samuel pour me placer d'une façon plus confortable. De façon à ce que moi je sois le dos coller contre lui avec ces bras autour de moi. Je me sentais beaucoup mieux comme ceci. Puis, il me disait que c'était gentil de ma part de dire que ce n'était pas de sa faute, mais il disait que je ne méritait pas de pleurer. Il m'aimait vraiment et qu'il était de son devoir de ne pas me faire pleurer. C'était très beau ce qu'il venait de me dire. À ce moment, je me rendit compte que ce que je vivais avec mon ex n'était pas vraiment se que je pouvais appeler de l'amour. Ce n'était même pas comparable face à ce que je vivais en ce moment comme sentiment pour Samuel.

Je t'aime aussi et aussi fort que je ne peux même pas le dire en mots. Mais, je dois dire que même si tu essaye de me protéger pour ne pas que je souffre. Il y aurait toujours quelque chose qui va faire en sorte que je souffre.

C'était quand même vrai nous vivions dans un monde cruel et je n'aurais peut-être pas dit ceci si j'avais rencontrer Samuel dans d'autre circonstance et dans le monde qu'on vivait avant tout ceci. Puis venait le temps de la question à savoir pourquoi ceci était arriver. Mon amour, m'expliquait qu'il n'en savait rien du tout. Mais, que ce n'était que peut-être l'épuisement du à ces dons qu'il avait, car il ai avait utiliser plusieurs fois pour s’enfuir. Pauvre lui, je trouvais cela si triste qu'il soit poursuivit comme ça. Juste parce qu'il était différent des autres et qu'il était unique. Pour moi, il était unique, mais pour d'autres raisons que pour ces dons. Je suis sûr que même s'il n'aurait pas eu tout ces évènements j'aurais rencontrer Samuel d'une manière ou d'une autre. Comme le destin, car chaque personne dans le monde avait son âme soeur à quelque par sur la terre et je crois que le mien était justement à mes côtés.

Je suis désoler que tu sois poursuivit comme ça ces vraiment injuste. Juste parce que tu est différent des autres. Parfois, je voudrais juste leur exploser la tête pour qu'il arrête, mais je ne suis pas une personne violente. Je ne ferais mal à eux que s'il le font à toi.

Ces vrai pour un fois il pourrait le laisser tranquille et il pourrait se reposer un peu mieux que quelque heures ou minutes. Il le mérite quand même après tous les effort qu'il a mit pour se trouver des cachettes. Je crois qui si j'aurais été à sa place je serais des morte et six pieds en dessous de la terre.

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Un seul regard envers elle suffisait à faire disparaître toutes mes peurs, au profit d’une seule et unique chose : l’espoir, ce sentiment qui pouvait me faire croire en un avenir meilleur. Rachel était une sorte de seconde conscience qui manquait à ma vie, cette lumière qui ramenait mon bonheur.

Habituellement, en étant seul, et dans le même état d’inconscience que ce soir, je n’aurais probablement pas tenu le choc. Quand quelque chose n’allait pas dans ma tête, c’était certain, et mon inquiétude aurait été beaucoup trop forte, si je restais enfermé dans ma solitude. Mais…avec elle, tout s’évanouissait. Je pensais à elle, sans penser à moi, simplement parce que je l’aimais. Ce genre de sentiment, aussi beau et magnifique que celui-ci, je ne pensais vraiment pas le retrouver un jour, après tout ce sang qui avait noircit ma vie. Pourtant, le contraire était clair aujourd’hui. J’étais amoureux, et elle ressentait la même chose pour moi. Enfin, nous étions ensemble, au cœur d’une relation qui me rendait différent, largement meilleur qu’avant.

Les larmes de Rachel avaient alors arrêté de tomber, mais l’eau qui en découlait avait pris le temps de sécher. Par la suite, Rachel changea de position. Mes bras étaient autour d’elle et son cos collé au mien. Rien qu‘ainsi, je n‘avais pas envie de pleurer et ceci me faisait beaucoup de bien

- Moi non plus aucun mot ne pourrait résumer ce que je ressens pour toi. Je tiens à toi et c’est pour cela que j’aimerais te protéger. Même si des larmes peuvent tomber, tu sais que je serai toujours là pour toi. C’est une promesse que je me suis faite, et je la tiendrai, rien que pour toi.

Le monde était si cruel, et j’en avais une preuve rien qu’avec ce que je vivais tous les jours, lors de ma fuite continuelle. Les scientifiques rendaient ma vie difficile, et je ne parvenais plus à avoir de répit, sauf un jour rare parmi tant d’autres. Aujourd’hui, celui-ci correspondait un peu à cette définition. Cela me faisait beaucoup de bien d’être heureux, et soulagé de vivre une expérience positive pour une fois, et celle-ci était la plus inestimable.

En Rachel, je trouvais une sorte de soutien, un poids capable de relever ma conscience lors de temps difficile, et avec ces scientifiques qui me poursuivaient, j‘en avais réellement.

- Ils voient uniquement que je suis différent et ils se fichent pas mal du reste. Je fuis pour éviter de me retrouver face à eux.

*rien que cette fuite est trop difficile…*

Je souriais après ce qu’elle venait de me dire, mais je prenais également conscience d’une chose. En ayant voulu tout lui dire, ce qui était une bonne chose, il restait quand même un bémol : elle allait être mêlée largement à mes ennuis actuels, et cela n’allait pas être supportable.

- À la longue, ils arrêteront. Quand, je l’ignore, mais ils arrêteront. En tout cas, je suis sur d’une chose. Ils ne te feront pas de mal. De toute façon, ils n’ont même pas intérêt à y penser, car je les en empêcherai sans attendre.

Je savais que Samuel voulait me protéger et c'était normal. Nous nous aimons aussi fort l'un que l'autre, mais je ne suis pas indestructible. Si je suis blesser gravement un jour. Je ne pourrais pas guérir de mes blessures ou elles prendront du temps, avant de guérir. Je savais aussi que maintenant que j'avais dit comment je me sentais face à celui que j'aime. Je savais que du jour au lendemain je pouvais me faire enlever. Juste pour que Samuel ai peur et tombe dans un piège. L'amour est aveugle et quand il est fort et qu'il n'est pas touchable pour les autres. Ma mère me le disait assez souvent quand j'étais jeune. Avant je ne comprenais pas pourquoi elle me disait ceci. Aujourd'hui, je comprends et je sais que s'il m'arrive quelque chose, mon amoureux ferait n'importe quoi pour me sauver. Tout comme moi pour lui, j'étais même prête à utiliser mon côté un peu plus violent. Car, je ne suis pas une fille violente. Mais, je ferais n'importe quoi pour défendre mes amis, mais famille et celui que j'aime.

Je sais que ce moment que nous avions ensemble ne se reproduira pas avant longtemps. Car, à un moment il va falloir que nous dormons tout les deux et après je vais devoir retourner à ma routine qui est de dormir le matin, me lever, manger, me préparer pour aller travailler et après aller dans la boîte de nuit ou je travaille. Mais, la seule chose qui va me rester dans la tête et l’inquiétude que je vais avoir pour Samuel. Car, j'étais certaine que dès qu'il allait mettre un pied dehors. La chasse à l'homme allait recommencer, mais l’inquiétude que je vais avoir et le prix à payer pour avoir quelque chose avec lui.

Je l'écoutais parler depuis un bon moment. Mais, sans répondre, car j'étais dans mes pensées. Mais, quand il me disait qu'un jour ceux qui le poursuit vont arrêter. J'aimerais assez tôt, mais s'il me dit qu'il ne le savait pas, alors je ne dit plus rien.

Moi j'aimerais aussi qu'il arrête le plus tôt possible. Il est vrai que tu es unique, mais pour moi ce n'est pas à cause de tes dons. Mais, pour ta personnalité tu m'a eu au premier regard et tu as ramener un sentiment que je ne croyais plus qu'il était là. Ma mère me disait souvent que chaque personne à son âme soeur sur la planète, moi je crois qu'il est dans cette pièce à côté de moi.

Il est vrai que j’allais avoir des hauts et des bas. Dès moment ou je ne pourrais pas le voir pendant des mois ou des semaines. Mais, ces lui que j'aime et il fallait que je me prépare à les affronter, car ça va être un long voyage d'émotions que j'allais vivre.

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Tout mon corps, jusqu’au plus profond de mon âme, ne souhaitait que trois choses : l’aimer, la rendre heureuse, mais aussi la protéger.

Avec la cruauté du monde d’aujourd’hui, le mal demeurait présent partout autour de nous, et je ne voulais pas qu’il puisse l’atteindre, en la torturant comme j’avais pu l’être dans mon passé. S’il y avait bien une chose qu’elle ne méritait pas, c’était bien cela. Je savais pas expérience que les souffrances pouvaient détruire une conscience, et je ne voulais pas qu’elles détruisent la sienne. Jamais je ne pouvais accepter cela, alors que Rachel avait réussi à ramener un sentiment, que je pensais disparu depuis un long moment. Ce sentiment n’était autre que l’amour.

Aujourd’hui, grâce à elle, ce sentiment était réapparu, et je le vivais pleinement. Il s’agissait d’un amour sincère, un coup de foudre qui m’avait transformé en quelqu’un de meilleur. Pour rien au monde, je ne serais capable de revenir en arrière, et remettre en question cet amour. Chaque seconde, qui passait, le rendait de plus en plus précieux à mes yeux, un essentiel dont je serais toujours incapable de me séparer, sous peine de replonger dans quelque chose qui ne me ferait pas forcément plaisir. Cette tristesse, qui avait été la mienne, m’avait sérieusement changé, au point que je ne puisse plus retrouver celui que j’étais auparavant. En quelque sorte, j’étais un ange brisé avec un passé horrible…un peu trop horrible. Maintenant, j’avais l’espoir de changer cet état de fait, simplement en regardant Rachel en train de sourire, et c’était pour cela que je voulais à tout prix la protéger, et lui éviter de subir autant de souffrance, que j’avais du subir avant. Vivre ces horreurs-là n’était pas quelque chose d’idyllique, mais une peine qui pouvait briser n’importe qui. Je ne voulais pas lui briser le cœur, alors qu’elle venait de ranimer le mien, pour qu’il puisse battre encore plus fort, rien que pour elle. Il s’agissait d’un répit immense pour moi, alors que j’étais toujours recherché par ces scientifiques.

- J’aimerais qu’ils puissent arrêter, mais honnêtement je ne sais pas ce qui pourrait faire disparaître leur envie de me capturer. Mais là, pour être sincère avec toi, je n’ai pas envie d’y penser. Ce n’est pas ce qui m’importe le plus en cet instant, car cette chose en question est juste devant moi.

Rachel me touchait, car la suite de son discours ressemblait étrangement à ce que je pourrais dire par moi-même. Elle me disait que j’avais pu lui rendre un sentiment, qu’elle pensait ne plus avoir. En effet c’était également le cas pour moi.

- Tu as également fait cela pour moi. Depuis un long moment, je ne pensais plus vivre ce genre de bonheur, au point de ne plus savoir de quoi il pouvait bien s’agir. J’étais perdu mais ce n’est plus le cas à présent, et grâce à toi.

*tu m’as sauvé…*

- Au fond de moi, je pense que ma conscience t‘attendait.

J'étais dans un bonheur qui ne voulait pas se terminer. Je ne voulais pas qu'il disparaisse, mais je sais que même s'il sera loin. J'aurais toujours se bonheur quoi qu'il arrive. Je crois que la seule solution pour me l'enlever se bonheur et cette joie ça serait de tuer un de nous deux. Et je ne veux pas que ça arrive... tant que je serais là. Sinon je ne saurais pas quoi faire. J'étais vraiment amoureuse pour la première fois de toute ma vie. Avec mon ex ce n'était même pas proche de se que je vivais en ce moment. J'étais prête à affronter les douleurs de la relation que j'allais commencer avec Samuel. Je savais aussi que je pourrais beaucoup souffrir dans ceci. Mais, c'était mon choix et pas celui de quelqu'un d'autre. Je ne voulais pas reculer face à ceci. Je n'écoutais pas ce que mon cerveau me disait, sinon je ne l'aurais pas embrasser se soir. J'avais écouter mon coeur qui était tomber en amour. Un amour si fort que je ne pouvais pas le décrire.

Samuel m'expliquait qu'il aimerait que les gens arrête de le chercher. Mais que honnêtement il ne savais pas se qui pourrais faire disparaître l’envie de le capturer. À y penser moi non plus je ne savais pas, mais je voulais qu'il arrête. Ce n'est pas une vie. À chaque jours, il devait se cacher et souffrir et s'épuiser pour juste vivre. Ça me rendait très triste, mais je ne le montrais pas du tout. Il rajoutait qu'il n'avait pas envie d'y penser. Et que pour le moment ce qu'il lui est important était juste devant lui. J'eu un sourire au visage, car moi aussi la chose la plus important en ce moment était devant moi. Du plus profond de moi-même, je ne pensais jamais avoir une relation comme celle-ci.

Quand je lui dis que ce que je vivais m'étais revenu, car je n'y croyais plus. C'était plus que vrai, car avec mon ex. Je dois dire que j'ai eu des bons moments, mais ces tout. Et de plus je n'avais jamais eu se sentiment quand j'embrassais quelqu'un c'était comme un feu d'artifice ou une explosion d'émotion. J'entendis Samuel me dire que c'était la même chose pour lui. Il ne pensait plus vivre ceci et que peut-être il ne savait plus se que ça voulait dire. Qu'avant il était perdu, mais aujourd'hui il ne l'était plus et c'était grâce à moi.

Quand j'y repense la première fois, que je l'avais vu. Il avait tellement un regard triste et au début je n'aurais jamais imaginer un sourire sur son visage. Mais, quand je l'ai vu sourire la première fois devant moi ça m'avait remplit de bonheur. J'avais en quelque sorte changer Samuel pour qu'il soit un peu moins triste et refermer sur lui même.

Je me souviens de notre première rencontre. Tu avais tellement l'air triste et refermer sur toi même. Je ne pensais jamais voir un sourire sur ton visage ou une larme. Car, tu gardais tes sentiment pour toi même, mais quand j'ai vu ton visage sourire la première fois ça ma fait beaucoup de bien. Et si j'ai en quelque sorte été capable de te changer en te sortant de cette solitude que tu avais j'en suis heureuse.

Même de mon côté, il m'avais changer en quelque sorte. Car, je croyais rester seule et ne jamais avoir quelqu'un dans ma vie après la découverte de mon don. J'avais fait une bulle que personne ne pouvait détruire. Jusqu'au moment ou je l'ai vu et je pouvais parler normalement sans avoir un mur devant moi. J'étais vraiment heureuse de tout ce qui ces produit se soir, car j'ai une relation avec l'homme que j'aime et que je crois que j'attends depuis un bon moment déjà.

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Ce bonheur sans faille m’avait radicalement changé, et il suffisait de repenser à mes épreuves du passé, pour me rendre compte de ce que cette fabuleuse rencontre avait pu avoir comme effet sur mon âme.

Avant que je ne puisse rencontrer Rachel, ma vie se résumait à une succession d’épreuves, en particulier mon passé, lorsqu’un crime avait réussi à me bouleverser définitivement. Mon visage avait pris une expression de tristesse, qui ne provoquait que rarement un sourire sur mes lèvres. Je ne faisais que m’épanouir dans le sauvetage d’innocents, que je ne connaissais même pas. Aider les autres me permettait de me rendre utile, mais au fond quelque chose me manquait : le bonheur. Je n’étais pas heureux, et mon sourire restait absent. Il était impossible, pour moi, de montrer un quelconque sentiment, simplement parce que la tristesse me dominait. Je n’étais jamais parvenu à oublier ces morts que j’avais subies dans le passé.

Aujourd’hui, en plongeant mon regard dans celui de Rachel, j’étais en quelque sorte devenu un tout autre homme, capable d’exprimer sa joie sans le regretter, ne serait-ce qu’une seule seconde. Bien au contraire, j’étais sincère. J’éprouvais de l’amour pour elle, un sentiment plus que sincère. Quand je l’avais rencontré, j’avais déjà pu comprendre que ma vie allait changer, mais ce soir c’était une évidence. Ma conscience n’attendait plus qu’elle afin de parvenir à exprimer pleinement sa joie, en un sourire, des rires, et des battements de cœur qui ne montrait en aucun cas ma peur.

Cette détente que j’avais avec elle, je ne l’avais avec personne d’autre. Peut-être était-ce réellement mon âme sœur, celle qui possédait la clé de mon cœur. Maintenant j’en étais certain. Ce que je ressentais pour elle était très fort, et je ne voulais en aucun cas que cette relation ne s’arrête. Il ne fallait pas que cela puisse s’arrêter. Ma vie avait été terrible, le temps de retrouver ce sentiment, alors je ne voulais pas le perdre de nouveau, avec une chose en tête. Si jamais ce bonheur repartait, cela m’étonnerait que la chance ne puisse me l’amener encore une fois, pour que je puisse aimer sincèrement une personne. Aucun mot ne pourrait décrire ce que je ressentais pour Rachel, simplement parce que cette relation était unique à mes yeux. Une seule et unique chose m’importait à présent, et ce n’était qu’elle. Je voulais tant que notre relation puisse durer…éternellement…

- Lors de notre première rencontre, je n’étais pas la même personne. Des choses horribles m’étaient arrivées, et j’en ai perdu mon bonheur. Rien que le fait de pouvoir te rencontrer, et voir ton visage, a suffit à me changer. Une étincelle, que je croyais éteinte, s’est rallumée grâce à toi. J’ai pu renaître grâce à toi, et enfin sourire. Ce bonheur, je le vis grâce à toi. Être heureux et voir quelqu’un d’heureux juste devant moi, n’est pas un événement qui m’arrive souvent, et le vivre rafraichit mon esprit. Une très bonne bouffée d’air frais.

Je croyais rester seul, ne plus jamais revivre un bonheur complet avec quelqu’un, mais mes croyances étaient fausses. Désormais je n’étais plus seul, car elle était là, avec moi, et elle animait mon sourire comme personne.

Quand j'y pense si je n'avais rencontrer Samuel. Peut-être que je serais autant rester refermer sur moi-même. J'aurais eu Taylor pour me soutenir, mais ça n'aurait pas été la même chose. Avec l'aide de lui je me suis habituer à cette nouvelle chose qui était mon don et le fait de l’accepter, un peu grâce à lui. Si ça n'aurait été que de moi. Je m'aurais déjà tuer, car je n'aurais pas été capable de vivre avec mon don. Même aujourd'hui j'ai encore de la difficulté à vivre avec. Pour la simple et bonne raison que malgré tous les effort que je faisais. J'avais toujours de la difficulté à le contrôler et ça me faisais peur de jours en jours. J'en n'avais parler à personne, mais cette peur venait depuis les premières fois que j'ai du utiliser ma capacité face à un ennemi ou quelqu'un qui me voulait du mal.

Mais, quand on n'a un visage comme celui de Samuel devant soit. Ces très facile d'oublier ceci et de ne penser à rien d'autre. J'avais retourner mon visage et j'étais revenu dans ma position d'avant ce qui veux dire ma tête sur son corps. De la façon, dont j'étais placer je pouvais écouter ses battement de coeur et sa me relaxait juste de les entendre. Au moins, je savais que ces battement était redevenu normal et que je n'avais plus à m’inquiéter, car ces battement était faible. J'avais prit une de mes mains dans la sienne et je l'avais mit sur moi. J'avais juste besoin de se contact pour me dire qu'il était là et qu'il allait me protéger. Je savais qu'il allait tout faire pour me protéger et faire que je ne soit pas mêler dans ce qui lui arrive en ce moment.

Mais, quand il me dit que pendant notre première rencontre il n'était pas la même personne. Je le croyais, car il avait un visage triste comme s'il avait vécu trop de chose triste. Je n'avais pas besoin de boule de cristal pour savoir que son passer ne doit pas être très heureux. Mais, quand il me dit qu'il avait perdue son bonheur et que le fait de m'avoir rencontrer le lui a redonner. Je ne pouvais que sourire à moi-même. À un moment, de ma vie ou je croyais que je n'aurais plus de bonheur et que la simple solution était de m'enlever la vie. Je suis tomber sur un homme qui ma redonner la joie de vivre et de me battre. Non seulement contre ceux du gouvernement, contre la voix dans ma tête, mais aussi face à mon don qui ne veux toujours pas se contrôler.

De la façon, dont Samuel me disait ceci. J'en venais à croire que je l'avais sauvé d'une certaine façon de la solitude et de la noirceur qu'il y avait dans sa vie. Il finissait en disant que ceci lui donnait une bonne bouffé d'air frais. Je quittais ma position et me mit devant lui. J'avais toujours ma main dans la sienne. Je l'aimais comme je n'avais jamais aimer auparavant. Je ne sais pas si un jour on sera séparer pour de bon, mais je ne veux pas ça tout de suite. Je ne veux même pas y penser. Rien en ce moment ne pourrait enlever mon bonheur... rien du tout. Je voulais vivre une relation avec Samuel même si elle doit se faire à distance parfois... je m'en fou royalement. Une chance que nous sommes dans un endroit que personne ne connaît, car sinon j'aurais exposer la tête de la première personne qui serait venu nous déranger, si ça aurait quelqu'un de méchant, mais si ça aurait été quelqu'un que je connais j'aurais simplement envoyer quelque chose pour qu'elle ferme la porte. Je ne voulais que personne ne brise se moment, car je voulais le garder longtemps dans ma tête.

Je suis si bien en ce moment. Je voudrais que personne ne vienne nous déranger, mais je sais qu'il va falloir bouger. Car, il va falloir que je retourne travailler et toi il va falloir que tu cache encore. Une chance que pour le moment personne sait ou nous sommes. Car, sinon j'aurais exploser la tête ou quelque chose autour pour leur faire peur. Je ne veux pas que ce moment fini, mais il le faut... un jour. Mais, je veux profiter de se moment, car peut-être que je vais te voir que dans quelques semaines ou mois qui sait pendant combien de temps tu ne serais pas avec moi.

Je voulais pleurer, mais je me retenais pour mon bien et pour le sien en même temps. Car, je sais que mon amoureux n'aime pas me voir pleurer et moi non plus je n'aime pas me voir pleurer.

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Si un questionnaire à choix unique venait à terminer devant les yeux de ceux que je connaissais, du moins dans le passé qui précédait ma rencontre avec Rachel, une question dominerait.

« Avez-vous pu remarquer un sourire sincère, et durable sur le visage de Samuel Langster ? »

La première réponse serait : oui tout le temps
La seconde réponse serait : oui de temps en temps
La troisième réponse serait : avec une rareté extrême
La quatrième réponse serait : pas un seul

Ceux qui osaient, rien que pour m’embêter, dire que je souriais tout le temps, mériteraient de comprendre cette souffrance immense, que j’avais subie, car la réponse la plus valable à mon problème n’était autre que la quatrième. Avant ma rencontre avec Rachel, je ne savais pas sourire. Même quand j’avais l’occasion de le faire, je ne le faisais pas. Une fois que je l’avais vu, tout était clair. Ma vie allait changer, et devenir une toute autre expérience. J’avais une chance de renaître.

Avec le temps, j’avais compris que l’amour était entré dans ma vie, et ce sentiment avait suffit à me changer. Une étape importante avait été franchie, car je pouvais sourire, même si j’étais encore bloqué par ma timidité.

Maintenant que mes sentiments étaient dévoilés, je pouvais adopter un large sourire sur mon visage, qui voulait tout dire : j’étais heureux. Ma joie de vivre était sincère, et je ne voulais jamais oublier cet instant. Rachel m’avait aidé à revivre. Alors je ne pouvais être que sincère en avouant à Rachel, que je n’étais pas la même personne lorsque je l’avais vue pour la première. La noirceur de mes ennuis était trop forte sur mon esprit, au point de me laisser réellement triste. Rachel avait été ma lumière, celle qui avait suffit à me faire comprendre que le bonheur existait encore. En un sens évident, Rachel m’avait sauvé la vie.

Rachel quittait alors sa position pour se mettre devant moi, sa main toujours enfermée dans la mienne. Cet instant me laissait sérieusement serein, et j’appréciais cet instant comme aucun autre. J’aimais Rachel, mais d’une intensité si indescriptible, que je ne pouvais pas trouver un quelconque mot pour en parler. Tous les superlatifs du monde pourraient décrire ce que je ressentais, absolument tous !

S’il y avait bien une chose, à laquelle je ne voulais pas penser, c’était à une séparation. En cet instant, je n’avais pas envie de la quitter, même si mes ennuis étaient toujours d’actualité. Si nous étions seuls, c’était parce que nous étions encore dans un endroit, que personne ne connaissait. En gros, la chance du mirage nous souriait, et c’était tant mieux, car je ne souhaitais réellement pas que toute cette magie prenne fin, et me fasse souffrir comme personne. Je ne voulais pas que tout ceci puisse s’arrêter. Je ne le voulais pas…

Ce moment ne devait pas se briser.

- Je partage ton sentiment, et c’est réellement exceptionnel, car je ne le ressens qu’avec toi. Je vis comme si je me trouvais sur un nuage, et je suis si bien. Ce moment est magique, et il sera gravé dans ma tête à jamais.

*jamais il ne partira*

- Rachel, je ne veux pas m’en aller. S’il y a bien une chose que je ne veux plus, c’est m’éloigner de toi ne serait-ce qu’une seule seconde. Je ne veux pas que cela s’arrête, et cela ne s’arrêtera pas.

J’avais l’impression qu’elle se retenait, comme si une larme allait tomber.

- Jamais je ne te laisserai. Je sais que le fait de courir n’est pas simple pour moi, que cela me fatigue et j’en passe et des meilleurs, mais il y a une chose qui m’importe davantage et c’est toi. Je ne te laisserai jamais tomber. J’en suis incapable surtout après ce soir.

En attendant, nous étions toujours dans cet endroit, et personne ne nous trouvait. Nous avions une chance d’être tranquille, et il n’était pas question que je m’en aille. Je savais que si je sortais, je n’aurais que peu de chance de pouvoir faire demi-tour et revenir ici.

Mes seules chances d’être tranquille avec elle, pour ce soir, étaient de rester ici, et ne pas partir pour le moment.

J'étais si bien que je ne voulais pas que ce moment se termine. J'avais une peur que sa ne soit qu'un rêve et je me réveille chez moi toute seule. Que tout ceci ne soit que le fruit de mon imagination. Que je ne sentirais plus sa main dans la mienne. Que je sois de nouveau seule avec mes problèmes et que personne ne puisse m'aider. Mais, rien n'était partit, j'étais toujours dans la même pièce en sécurité avec l'homme que j'aime. C'étais étrange à mes yeux que quelqu'un pouvait m'aimer. Mais, avec tous ce qui ses produit ces dernières semaines. J'ai réaliser que celle que je laissais voir en ce moment était la vrai moi. Celle que les autres voyaient avant quand j'étais en Angleterre, sauf Lucy était une autre personne. Peut-être que le fait d'être différente des autres me la fait réaliser... enfin ! Dans le fond, j'ai toujours été différente des autres filles de mon école ou de ou je vivais. Mais, avant je voulais être populaire comme toutes les autres filles de mon âge et j'avais réussit, mais je n'avais jamais été heureuse. Le bonheur que j'avais aujourd'hui ne pouvais s'expliquer. Je n'avais aucun mot pour le dire ou même me l'imaginer.

Aujourd'hui, ça ne me sert plus à rien. J'étais une jeune femme de 21 ans qui était différente et qui aimait son amoureux comme personne d'autre. Justement, en parlant de mon amoureux il me disait qu'il ne voulait pas partir lui non plus. Juste à ces paroles je retenais mes larmes. Je ne voulais pas le quittée et je savais que lui non plus ne voulait pas me quitté. Mais, il le fallait un jour et ces une de ces raison de pourquoi j'allais garder tous ce qui ses produit se soir dans ma tête. Car, après se soir dans combien de temps j'allais le revoir ? Dans deux semaines, trois semaines, un mois ou peut-être beaucoup plus qui sait ?

Je voulais pleurer juste à y penser, mais je me retenais avec beaucoup de force. Je ne voulais pas avoir l'air d'une petite fille de 8 ans qui pleurait. J'avais assez pleurer à mon goût pour la journée et même pour le mois entier. Donc, je lui dit ceci :

Au plus profond, je sais que je ne veux pas que cette journée se termine. Mais, je sais qu'elle va se terminer et qu'après je ne pourrais pas te voir pendant des mois peut-être. Donc, en ce moment j’enregistre tout ce qui se passe dans ma tête pour m'en rappelé quand tu ne sera pas là avec moi. Juste une chose, après se soir jure moi que tu vas faire très attention, même si tu as cette lumière bleu en toi qui te protégé si tu es blesser Je ne veux pas entendre quelqu'un comme Taylor venir me dire que tu es mort, car je ne sais pas ce que je ferais si j'apprenais que tu es mort. Alors, soit juste très prudent tu veux bien.

J'étais très bonne aucunes larmes avait couler pendant que j'avais parler. Mais, pendant tout le long j'avais eu une voix triste. Car, je savais que la journée était déjà commencer et que tout les deux nous devions dormir un jour. Mais, je ne voulais pas, mais je n'avais pas le choix. J'étais de nouveau fatiguer et j'avais besoin de repos. Mon corps me disait de dormir, mais le reste ne voulait pas écouter.

Light Of The Assassin

Pour une rare fois dans ma vie, je pouvais dire que le bonheur me souriait enfin, pour que je puisse profiter de sa saveur, et dire que j’étais amoureux, amoureux de cette belle blonde qui se trouvait juste devant moi. Rachel était devenue importante à mes yeux, au point de définir mon essentiel, quelque chose qui fixait mon sourire dans une existence logique.

Désormais il était évident que je ne pourrais jamais supporter le fait de la perdre…alors que j’avais tant attendu l’instant où je pourrais enfin revivre ce sentiment merveilleux : l’amour. Ce sentiment rafraichissait mon âme : cette bouffée d’air frais que je disais ressentir en étant avec elle. Rachel me rendait ainsi : un homme meilleur, et qui était en plus capable de sourire en étant extrêmement sincère. Et, pour être honnête, je me préférais largement ainsi, car j’en avais assez de vivre dans une sorte de désespoir constant, tout en étant conscient que ma tristesse me tuait petit à petit, et effaçait toute trace de bonheur. Avec elle, je retrouvais tout ce qui me manquait, et pour rien au monde je ne pourrais quitter ces superbes sentiments.

Quand Rachel me parlait, je pouvais très bien percevoir le ton si triste de sa voix. Elle avait beau ne verser aucun larme, j‘entendais quand même le complet opposé dans son discours. Mais, au fond, je la comprenais, car j‘adoptais en fait le même ton, sans pleurer ce qui était plutôt étrange. La tristesse des paroles n‘avait qu‘une seule source.

Je ne voulais pas partir. Pour l‘instant, je savais que ce que je vivais était, en quelque sorte, un temps de répit, pour revivre ensuite la course poursuite qui m‘épuisait tant. J‘en avais assez, car je ne voulais pas trahir ma volonté : je ne voulais pas partir, et surtout laisser cette ange que j‘aimais ! Maintenant que j‘avais trouvé une bonne raison de vivre, pourquoi devrais-je encore courir ? Pourquoi devrais-je encore fuir, alors que ma source de bonheur était là ? Ceci n‘avait aucun sens…aucun.

- Moi non plus je refuse de voir ce moment s’arrêter, car cela m’a permis de prendre conscience de beaucoup de choses, en seulement quelques instants. Je ne souhaite plus fuir, ni gâcher les moments les plus importants de ma vie, notamment ces instants magiques que je peux passer avec toi. Jamais je ne pourrais m’en aller, et rester séparé de toi aussi longtemps, pas pendant des mois…c’est impossible. Mes sentiments sont beaucoup trop forts pour rester muet pendant des mois. Je ferais attention à moi, je te le promets, mais il est hors de question que je me sépare de toi pendant si longtemps. J’ai réussi à me redécouvrir avec toi, alors ce n’est pas pour me reperdre de nouveau. Je ne veux pas. Alors je ne mourrais pas, je ne m‘échapperai pas aux quatre coins du pays, parce que je reviendrai toujours. Jamais je ne pourrais m‘absenter plus d‘une semaine sans te voir. Une semaine sans toi…ce serait dur je le pense…

Aucun sommeil n’était parvenu dans mes yeux, dans cette espèce de nuit blanche. Le sommeil s’était enfui, comme si mon corps avait déjà fait son choix, comme si ma conscience avait déjà décidé qu’il valait mieux être heureux que de dormir et rester passive. Mon esprit préférait la magie de l’amour…et je le comprenais.

La fatigue me gagnait de plus ne plus, mais je ne voulais pas dormir. Simplement, car je savais que si je dormais quand j'allais me réveiller. Soit il ne serait plus là ou soit qu'il m'aurait ramener jusqu'à chez moi sans que je sois au courant. Je luttais contre cette force qui voulait que je dors un peu. Les yeux se fermaient souvent, mais je les gardais ouvert le plus longtemps que je pouvais. J'écoutais toujours ce que Samuel me disait. J'étais peut-être fatiguer, mais à chaque fois qu'il me parlait je me réveillais tout de suite. J'eu un sourire au coin, car il me promit qu'il allait faire attention. Cela m'enlevait un poids que j'avais. Je ne voulais pas stresser à chaque jours, mais le fait de savoir cela me rassurait un peu. Il continuait ne disant qu'il ne serait jamais absent trop longtemps. Moi non plus je ne voulais pas qu'il soit absent trop longtemps, car sinon je me poserais trop de question à savoir s'il était en vie ou bien s'il fait attention.

Pour moi aussi une semaine sans lui pourrait être un enfer même si j'ai jamais vécu l'enfer. Déjà je pouvais voir le lien fort qu'il y avait entre nous deux. J'avais donner un sens à sa vie à lui et de son côté il est non seulement mon héro, mais il est aussi celui qui a refait battre mon coeur. Parfois, je me demande ce qui me serait arriver si je serais morte la première fois que nous sommes rencontrer ? Moi je serais six pieds sous terre et ma famille ne saurait même pas que je serais morte et Samuel serait peut-être encore le solitaire qu'il montrait aux autres. Car, j'étais une des seuls personnes à voir la vraie personne derrière le masque qu'il avait à chaque jours. J'avais pleins de raison pour sourire en ce moment, malgré la fatigue.

Une semaine trop loin de toi sera comme un enfer pour moi. Je ne peux pas décrire mes sentiments pour toi et j'ai remarquer un lien fort déjà entre nous deux. Mais fait très attention à toi sinon je ne saurais plus quoi faire. Tu sais ou j'habite de toute façon, donc je sais que tu frapperais à ma porte. Et cette journée là quand ça va arriver je serais vraiment la plus heureuse des filles sur la planète.

À partir de se soir, je savais que ça allait devenir une routine. Il passerait une nuit ou journée avec moi et après il devrait partir pour d'autres semaines. Je sais que je serais occuper moi aussi, mais j'Aurais toujours une arrière penser pour lui à chaque seconde ou presque. J'étais devant lui et je mis ma tête contre la sienne. Juste à y penser j'avais une boule dans la gorge et le sentiment de verser des larmes, mais rien ne coulait, car je me retenais du plus fort que je pouvais.

Light Of The Assassin

Dissertation : Samuel Langster est-il un homme dépressif ou bien sur une voie de rédemption. Vous avez quatre heures.

Pour un devoir comme celui-ci, il faudrait séparer le plan directeur en deux parties.

La première parlerait de celui que j’étais avant, en étant dominé par un passé terrible, des morts par centaines, et des larmes, de terribles larmes. Ces épreuves ne me faisaient plus sourire, car je ne pensais qu’au combat, à l’aide, et non à moi. Le bonheur ne signifiait plus rien pour mes larmes, qui ne se dessinaient plus comme une banane, mais comme une poutre lisse de négativité. Mes yeux étaient tristes, bien qu’ils ne versaient des larmes qu’en cachette.

Cette partie de moi-même s’appelait : la dépression…

La seconde parlerait d’une toute autre chose, bien meilleure que n’importe quel sentiment. J’étais heureux, amoureux, et non effrayé par un quelconque bonheur, car il me percutait de plein fouet. Mes sentiments étaient positifs, sincères, et c’était grâce à Rachel. Ce coup de foudre, que j’avais eu pour elle, avait transformé ma vie, pour faire de moi un homme largement meilleur, avec un cœur qui battait en rythme pour lui dire : « Je t’aime ». J’aimais Rachel. Je l’aimais réellement et il était impossible pour moi de la quitter.

Dissertation n°2 : Quelle partie de Samuel est la meilleure âme de l’espèce humaine ?

Il n’y avait pas besoin de s’étendre pendant longtemps, car la réponse était évidente. Je préférais largement la deuxième.

Dissertation n°3 : Samuel Langster pourra-il vivre son amour sans obstacle ?

Malheureusement, je n’avais pas de réponse valable à cette question, tout bêtement parce que je ne le savais pas. Beaucoup d’obstacles étaient présents dans ma vie, mais ils ne m’avaient jamais dérangé comme ils pouvaient me déranger quand j’étais avec elle. Je maudissais toute négativité car je voulais sourire. Je ne voulais pas partir car j’étais avec elle. Je ne voulais surtout pas la voir pleurer, car je le ferais aussi. Ces larmes pouvaient me briser le cœur, parce que je souhaitais la voir heureuse, sans souffrance, même si je savais que je ne pouvais pas lutter contre la conscience humaine, mais je trouvais ceci normal de vouloir son bonheur. Rachel m’avait rendu mon bonheur, et je ne voulais plus le quitter, alors je voulais en faire de même, rien que pour elle, simplement parce qu’elle le méritait sincèrement.

Pour moi tout était clair : Rachel méritait le bonheur, et j’allais lui donner, le plus possible, parce que je l’aimais.

Fin des dissertations, vous pouvez rendre les copies au professeur passant dans les rangs, et n‘ajoutez plus rien sur vos feuilles, car c‘est de la triche !

…ouf je peux arrêter mon délire et revenir dans un récit logique.

La fatigue, qui dominait mes yeux mais aussi ma tête, demeurait puissante, largement trop présente, alors que je ne souhaitais pas dormir. Mon seul souhait, en cet instant, était de continuer à vivre ce moment magique, juste avec elle.

Je pouvais très bien subir une succession impossible de nuits blanches, que je resterais quand même souriant, parce que j’étais avec elle. Une tonne de promesses naissait dans ma tête, pour définir tout ce que je devais faire pour rester avec elle. Je devais tout faire pour ne pas laisser, car il était hors de question que je parte plus d’une semaine. Une semaine sans elle ne serait qu’une horreur pour moi, quelque chose que je ne supporterai jamais, simplement parce qu’elle était devenue importante à mes yeux. Encore une fois, rien que pour le répéter : je l’aimais. Rachel était mon essentiel, et je ne voulais plus la laisser. Il était hors de question que je m’en aille.

Jamais je ne pourrais le supporter.

- Je frapperai à ta porte, encore plus vite que ce que tu crois, et tu me verras. Moi, quand j’observerai ton sourire, je pourrais revivre, à chaque fois. C’est un immense cadeau que je ne pensais même plus avoir, mais je le possède, uniquement grâce à toi. Jamais je ne partirai plus d‘une semaine…jamais…

Pendant deux secondes, mes yeux avaient voulu se fermer, mais je venais de les rouvrir, pour éviter de m’endormir, car je n’avais pas envie de quitter la vision d’un visage tel que le sien. Rachel était la plus belle, rien que pour moi, et il était hors de question d’oublier quelqu’un comme elle. Je voulais garder ce visage dans mon esprit, car son sourire suffisait à me faire revivre. Il suffisait que je plonge dans son regard, pour y découvrir une âme fabuleuse, celle dont j’étais tombé amoureux dès le départ. Rachel était mon coup de foudre, une âme sœur que je ne pensais jamais pouvoir trouver, mais elle était là.

La seule vision du visage de Rachel me rendait heureux, simplement parce qu’elle était angélique. J’étais meilleur, plus expressif, et surtout en absence de tristesse. Aucune larme de tristesse ne tombait encore, même si elles avaient envie de le faire, simplement parce que je ne voulais pas la quitter. Je ne voulais pas partir et la laisser, alors qu’elle m’avait fait le plus beau des cadeaux : une renaissance ! Personne ne m‘avait offert quelque chose d‘aussi fort qu‘elle.

- Rachel, je t’aime sincèrement, encore plus que le plus grand superlatif du monde, et je suis certain d’une chose. Jamais je ne t’abandonnerai, car jamais je ne le pourrai. Tu es trop importante.

La fatigue montait encore dans mes yeux, mais je parvenais à les conserver ouverts, bien que ceci était difficile. J’étais épuisé…

Ma tête contre la sienne, une boule immense déchirant ma gorge. J’avais envie de pleurer, mais je me retenais. Au final aucune larme ne coulait, et c’était tant mieux. Ce moment me rendait heureux, et je ne voyais pas pourquoi je verserais des larmes pour prouver une souffrance, alors qu’il n’y en avait aucune. Au contraire, j’étais heureux d’être avec elle, alors pourquoi pleurer ? Pourquoi verser des larmes ? Pourquoi montrer une souffrance ? Ceci n’avait aucun intérêt, aucun !

Quand Samuel me dit que la prochaine fois, il allait frapper à ma porte plus vite que je le penserais. Je savais qu'à ce moment je serais très heureuse, car mon amour serait en vie. La seule penser de savoir que pourrait le perdre me faisait mal. Mais, je devais faire de mon mieux pour ne pas y penser. J'avais déjà perdue mon père, ma mère et Lucy quand j'étais partit de l'Angleterre. Je ne voulais pas perdre Samuel en plus. Je crois que ceci était une des mes plus grandes peurs en plus de celle de perdre le contrôle de mon don face à la voix.

J'avais vu ce que je pouvais faire et je ne voulais pas tuer. Jamais de ma vie, la seule chose qui pourrait me faire tuer quelqu'un et si on fait du mal à ceux que j'aime. Samuel juste devant moi était celui qui avait fait rebattre mon coeur et ce lien entre nous deux étaient quelque chose qui ne pouvait être expliquer. Nous étions deux personnes totalement différente et pourtant nous nous aimions plus fort que tout. J'étais une personne douce, à l'écoute des autres et timide sur certaine chose. Samuel de son côté, avait été tellement blesser par le passer que je crois que personne n'aurait peu prévoir que nous finiront ensemble. Pourtant, le destin en n'a voulu qu'on soit ensemble et je ne le regrette pas du tout. J'étais une fille beaucoup plus heureuse et je crois qu'à mon travaille les filles vont vouloir le savoir. Car, d'habitude je ne fais que de faux sourire aux clients que nous avons. Maintenant, je crois que je pourrais sourire pour beaucoup de choses.

Je remarquais que même Samuel était fatiguer et qu'il luttait autant que moi pour rester debout. Surtout, que lui en n'a vu de toute les couleurs se soir et je savais qu'il avait besoin de sommeil avant de recommencer à fuir. Mais, je n'avais pas la force de parler pour le moment j'étais trop heureuse d'être avec lui. Dès qu'il dit qu'il aimait j'étais la plus heureuse et je savais que même s'il serait au loin je le serais toujours. Personne ne pourrait briser cette joie que j'avais et si quelqu'un ou quelque chose le ferais il ferait de quel point je me chauffe.

Au moment, ou j'avais ma tête contre la sienne j'avais juste une envie c'était de fermer les yeux pour dormir au près de celui que j'aime. Mais, je ne voulais toujours pas et je voulais que le temps s'arrête pour que j'en profite le plus longtemps possible. J'arrivais proche de son oreille et lui chuchotait ceci :

Je t'aime aussi et aussi longtemps que je vais vivre. Personne ne pourrait briser ce que nous venons de commencer et s'il le font je vais leur montrer ce que je suis capable de faire.

J'allais briser la règle que je me suis mise moi-même si on s'en prend à celui que j'aime et il allait voir une Rachel en colère. Mais pour le moment je voulais juste être sur le nuage de bonheur que j'étais.

Light Of The Assassin

Ces larmes, qui étaient tombées de mes yeux, lorsque j’avais perdu ma famille entière, je ne m’en rappelais que trop bien.

Lorsque j’étais tombé entre les mains de ses scientifiques, ils avaient osé mettre fin à mes espoirs, en anéantissant ma famille juste sous mes yeux. Elle était sur le sol, et avait subi d’immenses tortures par ma faute, et mon fils, à seulement trois mois, avait été assassiné juste devant moi, à une heure où j’étais censé trouvé le sommeil dans cette cellule ridicule. Ce jour-là, j’avais été brisé, complètement anéanti, et même laissé dans un état de sommeil plus qu’inquiétant pour B. Ma peine était inestimable, car l’ultime crime de mon cœur avait été commis juste devant moi. Depuis quelques temps, des images remontaient dans ma tête. Je parvenais encore à tenir le coup, mais combien de temps allais-je tenir ? Je l’ignorais encore malheureusement.

En cet instant, j’étais sérieusement heureux, mais il m’arrivait encore d’avoir un écho de ce passé qui m’avait tant brisé. J’avais peur de la voir souffrir tout comme elle avait pu souffrir, et ainsi de la perdre. Je ne voulais pas revivre une telle souffrance, parce que j’étais certain d’une chose : que cela allait être la dernière. Le bonheur que je vivais avec Rachel était quelque chose de supérieur à mes espérances, comme si je venais de trouver mon âme sœur, la personne que j’attendais depuis le départ.

J’avais conscience d’une chose à présent. Même si je devais fuir, et vivre un véritable calvaire rien que pouvoir survivre, et ainsi empêcher ces scientifiques de me rattraper, je savais que Rachel serait toujours là. Je pourrais toujours penser à son amour, et vivre mon bonheur. La fuite n’était qu’un obstacle dans un sens, et je devais l’affronter. Malheureusement pour moi, je n’avais pas le choix. Je devais tout faire pour m’en sortir et pour éviter que Rachel ne soit mêlée à mes ennuis. Elle ne méritait pas cela.

À présent, je savais pourquoi je devais me battre. Ma raison de vivre était évidente. C’était elle.

Je me battais contre le sommeil car j’étais heureux avec elle. Je ne voulais pas oublier ce sourire car je m’étais battu pour l’obtenir.

Au moment, où Rachel avait sa tête contre la mienne, mes sentiments étaient inestimables. Il s’agissait d’une position où je pouvais facilement comprendre pourquoi je l’aimais. Une seule envie dominait ma tête. Je voulais fermer les yeux, et m’endormir auprès d’elle : celle que j’aimais, mais quelque chose dans ma conscience me laissait éveillé, comme s’il s’agissait d’une meilleure solution. Je ne comprenais pas tout.

Proche de mon oreille, Rachel se mit à chuchoter quelques mots, et ceci me fit sourire.

- Rien ne me fera oublier à quel point je t’aime.

Même le pire ne pourrait jamais me faire oublier mon amour pour Rachel. Il s’agissait de quelque chose qui me rendait heureux comme jamais.

- Je ne veux pas bouger, et quitter cet endroit. J’ai juste envie de rester heureux en ta présence, et de continuer à t’aimer. J’ai juste besoin de ça.

Alors que j’étais de nouveau heureux, je refusais de fuir mon sourire, alors que j’avais une chance de revivre le bonheur pour lequel je m’étais tant battu. Dans le passé, j’avais tout perdu, mais maintenant j’avais une chance de m’en sortir, de renaître en quelque sorte.

Si ce que je ressentais en ce moment était le fait d'être sur un petit nuage de bonheur. Je ne voulais peu le quittée. Je pouvais être comme n'importe quelle jeune de mon âge. À ce moment, je ne pensais plus au mauvais moment et à cette bataille qu'il y avait entre ceux du gouvernement et nous les spéciaux. J'avais beau être dans un monde différent des autres filles de 21 ans, mais après ma relation avec mon ex je ne pensais jamais revivre ceci. Être aimer de quelqu'un pour se que nous étions. Pendant, un an je m'avais mis dans la tête que j'étais un monstre et quelqu'un qui ne méritait plus de vivre. Tout ceci avait changer en un soir et je ne revenais plus en arrière si on me demandait de changer ce qui ces produit.

Après avoir chuchoter ce que je pensais vraiment de se qui pourrait arriver si on faisait du mal à soit moi ou lui. J'eu un sourire à sa réponse, car je savais quelle était sincère. De mon côté, je l'étais aussi, car personne ne détruirait ce bonheur qui était avec moi. Je pourrais mourir avec ce bonheur je sais que personne ne viendrais le me prendre. Je crois qu'on pourrais appeler Samuel un sorte d'âme soeur. Nous en avons que une sur la planète et je crois que j'avais le mien devant moi. Je l'aimais d'une façon que je n'aurais jamais penser aimer quelqu'un. Avec mon ex je n'aurais jamais affronter un tel danger s'il lui était arriver quelque chose. J'avais aimer mon ex, mais pas comme Samuel.

Je ne voulais que dormir maintenant, mais je crois que tous les deux nous ne voulions pas fermer l'oeil. Je ne voulais pas que ceci se termine et lui non plus. Le monde était mal fait, mais ses dans celui-ci que nous vivions en ce moment. D'une façon j'étais contente de vivre dans se monde et de l'autre non. Car, de un des gens mourraient pour rien et il souffrait. Mais, d'un autre j'étais contente, car j'avais connu cette homme devant moi qui remplissait mon bonheur. Mon bel amoureux me disait qu'il ne voulait pas bouger et qu'il avait juste besoin d'être ici comme ça avec moi.

Moi aussi je suis trop bien, comme sur un nuage de bonheur. Mais, un jour il va falloir dormir, car je ne sens plus mes yeux et toi de ton côté après la nuit que tu as eu ta besoin de te reposer autant que moi.

D'un côté il voulait me protéger, mais pourrait le protéger comme se soir. Je voyais très bien qu'il avait besoin de sommeil et qu'il était vraiment épuiser. Si personne ne pourrait lui rentrer ceci peut-être que moi je pourrais le faire. Car, je n'aimais pas le voir comme ça... trop fatiguer. Car, après se soir il aurait besoin de toute ces forces pour se cacher. Je voulais au moins lui donner quelques heures de sommeil à mes côtés avant de se séparer.

Light Of The Assassin

En cet instant, le bonheur qui envahissait mon esprit, n’avait pas envie d’en sortir, au point même de me maintenir réveiller, alors que mon cerveau ne demandait qu’à voir mes yeux se fermer, pour ainsi prendre du repos. Le repos me faisait un peu peur dans un sens, car je ne ferais que perdre du temps en dormant, alors que celle que j’aimais était juste à côté de moi. À vrai dire, je n’avais peur que d’une chose : de voir cette vision idyllique disparaître, et de me rendre compte que je devais encore fuir, sans espoir de revivre ce bonheur. Je ne voulais pas reprendre ma vie de fuite et de douleur. J’avais juste besoin d’elle, uniquement que de Rachel. Sa seule présence suffisait à me faire sourire, et à me rendre meilleur. Elle me changeait, dans un sens positif que je ne voulais plus oublier. J’étais certain, à présent, que je ne voulais plus me séparer d’elle, plus jamais.

Mais pourtant, il fallait dormir, et prendre du repos, car plus on oubliait le sommeil, plus il nous rattrapait. On devait s’abandonner dans les bras de Morphée, sous peine de nous écrouler l’un et l’autre, même si je me sentais réellement si bien… Je regrettais la rapidité trop flagrante, avec laquelle ce moment avait pu passer. J‘avais souhaité l‘éternité, mais tout avait été trop rapide.

- Tout comme toi, je me sens comme sur un nuage immense de bonheur, et je n’ai pas envie d’en descendre. C‘est pour ça que je n‘ai pas envie de fermer l‘œil, mais dans un sens tu as raison.

*cela me fait mal de l’admettre…*

Je me frottais les yeux pour les garder encore ouverts face à Rachel et pour éviter de m’écrouler alors que je n’avais même pas fini de parler. Ce serait franchement ennuyeux.

- Tu as raison. Moi non plus je ne sens plus mes yeux et je commence sérieusement à fatiguer. Cela m‘ennuie réellement parce que je n‘ai pas envie de fermer l‘œil, voir les heures se défiler et me rendre compte que…je devrais partir. Je ne veux pas m‘en aller. J‘ai envie de rester avec toi. Je veux juste rester avec toi.

*je ne peux même plus tenir éveillé…*

Il fallait que nous puissions dormir. J’avais combattu suffisamment longtemps pour tenir éveillé face à elle, car je n’avais pas envie de la quitter.

Malheureusement, je n’en pouvais plus, et ceci me décevait. Je l’aimais…je ne voulais pas partir ! Je voulais juste…être avec elle.

Toute bonne chose avait une fin et celle-ci devait arriver. Je devais fermer les yeux sur cette belle nuit/journée que j'ai eu pour me reposer. Car, là je crois que si je me regardais dans un miroir. Je serais une parfaite zombie sans le sang et l'envie de tuer, mais dans le regard j'étais fatiguer. Je pouvais aussi le voir très clairement dans les yeux de Samuel aussi. Mais, autant lui que moi nous ne voulions pas les fermer, par peur que notre beau moment se termine. Mais, je me dis que toute bonne chose à une fin pour qu'après se soit de merveilleuse retrouvailles. Au moins, il avouait que j'avais raison sur le fait qu'il fallait dormir un peu. Oui, car si je devais ressembler à un zombie lui aussi ressemblait à un zombie, mais un très beau zombie.

Puis, je le vis se frotter les yeux pour qu'il garde les yeux ouvert. Je le voyais il en n’avait de besoin et je ne sais pas si quelques heures serait assez. Car, s'il aurait pu je lui aurait dit de dormir toute la journée pour qu'il soit plus en forme après. Mais, tel que je le connaît il va se réveiller quelques heures plus tard et partir. Moi de mon côté, je pouvais dormir quelques heures ici et après le faire chez moi je ne travaillais qu'à 11h00 se soir. Donc, j'avais ma journée pour dormir au bien et à côté de Samuel.

Puis, il me dit qu'il ne voulait pas dormir, car il ne voulait pas que les heures passe et qu'il doit se rendre compte qu'il doit partir. Mais, c'était une réalité et cette réalité je devais commencer à m'en rendre compte. Moi aussi je voulais rester avec lui, mais ça ne pourrait pas arriver avant un bon moment.

Moi aussi je voudrais rester avec toi, mais notre réalité est que tu dois repartir et je dois mit faire. Mais, même si nous dormons je sais que je serais protéger et en sécurité et ces un autre moment que je vais mettre dans ma tête.

Je revenais à côté de lui et le regardais avec mes yeux endormit. J'avais un sourire fable par la fatigue et mit de nouveau ma tête sur son épaule. J'étais confortable j'aurais pu dormir comme ça tellement que j'étais fatiguer. Je fermais donc, mes yeux et me laissait aller dans un monde pleins de beaux rêves. C'était la première fois en plusieurs jours, que j'allais peut-être avoir un sommeil sans cauchemar, mais pourquoi avoir des cauchemars. Quand j'avais la personne que j'aimais à côté de moi.

Light Of The Assassin

« Toute bonne chose a une fin »

Je maudissais cette phrase de tout mon cœur, tout simplement parce que cela signifierait que je devrais me séparer de mon amour. J’en souffrais rien qu’en y pensant, parce qu’il s’agissait de la dernière chose que je pourrais souhaiter dans ma vie. J’aimais Rachel, plus que tout au monde, et je n’avais pas envie de partir.

Mon souhait était de défier cette phrase, de faire que cette bonne chose en question puisse durer, mais le Destin avait vraiment le chic pour me jouer de sales tours. Une chose, que personne ne pouvait combattre éternellement, était passée à l’action. Il s’agissait d’un appel : celui du sommeil. Ceci appuyait beaucoup trop sur nos consciences, et nos yeux ne résistaient plus. J’étais déçu parce que je croyais en l’éternité. Je gardais espoir dans un sens.

La réalité était malheureusement mal faite, comme si elle m’obligeait à m’en aller, et que je n’avais pas le monopole d’une quelconque décision. J’étais amoureux, heureux, et je n’avais aucun pouvoir pour continuer à sourire. Dans un sens, je trouvais cela injuste. Ce moment était magique, alors pourquoi devait-il cesser ? Cet amour était ce que j’attendais depuis toujours, alors pourquoi ajouter un obstacle ?

Ces questions me torturaient…

- La réalité est mal faite… Je ne veux pas partir, ni dormir, ni voir le temps passer si longuement pour prouver que je dois m‘en aller…mais on doit dormir.

Rachel revint à côté de moi, et m’observait avec un regard fatigué. Son sourire était affaiblie par l’envie de trouver le sommeil, et sa tête était appuyée contre mon épaule. Elle avait finalement trouvé le sommeil, mais je ne fermais toujours pas les yeux, alors que ma conscience ne demandait qu’à le faire. Je ne faisais que fonctionner dans un sens contraire, encore une fois.

Je ne faisais que rester éveillé. J’aidais alors Rachel à s’allonger lentement dans le lit, alors que je restais à côté, les yeux malheureusement encore ouverts, capables seulement de regarder mon amour en train de dormir, et de contempler sa beauté. Rachel était sereine, et c’était une émotion tellement positive à ressentir. Grâce à elle, j’avais pu la ressentir en sa présence, et jamais je ne l’oublierai.

Malheureusement, avec le temps qui passait, une nouvelle émotion frappait mon esprit et il s’agissait de mes larmes, qui tombaient en nombre à présent. Je les retenais face à Rachel, mais je ne pouvais plus les emprisonner à l’intérieur de moi. C’était comme si ma conscience se relâchait alors que mon amour dormait.

L’intensité de mes larmes était si grande que je ne pouvais pas les contrôler. Elles ne pouvaient que tomber sans que je ne puisse les retenir.

- Je ne veux pas partir…ni me remettre à fuir ou bien à penser aux horreurs que j’ai subies dans le passé. J’ai besoin d’oublier…de penser à sourire…je veux juste rester ici…avec celle que j’aime. marmonnais-je alors que Rachel dormait toujours.

Je pouvais enfin me reposer tranquille. Je ne pensais à rien et je commençais à aller dans le monde des rêves. Je n'entendais rien de se qui se produisait. Mais, je sentis deux mains me placer dans le lit. Je savais que c'était Samuel, car il était à côté. J’espérais de tout coeur qu'il allait dormir pour quelques heures au moins. Mais, tel que je le connaissait il devait encore se poser des questions. Moi, de mon côté j'aurais voulu ouvrir les yeux et lui dire de dormir. Mais, j'étais trop fatiguer et trop bien dans ma position pour me lever.

Je bougeais un peu pour me retrouver sur le dos. Quand, j'étais trop fatiguer comme ce soir. Je bougeais un peu plus souvent. J’espérais que ça n'allait pas réveiller Samuel à côté...s'il dormait bien sûr. Car, moi je n’entendais rien du tout. Pour une fois, ce soir je n'avais pas de cauchemar avec cette voix. J'étais chanceuse qu'elle m'ai laisser tranquille. Je n'aurais pas aimer voir mon petit ami s’inquiéter encore plus qu'il l'ai en ce moment.

Puis, comme si c'était plus fort que moi pour ne pas avoir peur je cherchais sa main. J'étais toujours endormit, mais je savais que le simple fait de lui tenir la main allait me faire du bien et à lui aussi. Dès que je la trouvait j'étais beaucoup mieux. J'avais eu à son contact la même chaleur que tout ta l'heure. Je ne sais pas s'il elle venait de lui ou non, mais ça me faisait beaucoup de bien. J'avais un peu froid, mais je commençais à aller mieux.

J'espérais de tout mon coeur qu'il dormait, car à mon réveille. Je ne voulais pas voir un Samuel qui ressemblait à un zombie. Même s'il serait un zombie, un vampire ou même un loup-garou il serait toujours beau pour moi. Je n'aime pas le voir fatiguer. J'avais toujours ma main gauche dans la sienne et au moins je savais qu'il était toujours là. Car, quand il allait partir après il y aura une partie de moi qui ne sera plus heureuse. Elle sera avec lui, car il me manquera trop.

Si je ne dormais pas en ce moment. Je serais devant lui et je verserais beaucoup de larmes. Car, j'étais très sensible et j'avais de la difficulté à cacher mes émotions. Mais, je ne sais pas pourquoi je sentis quelque chose de mouiller sur moi. Proche de mon bras gauche quelqu'un pleurait et cela me rendais triste à un point que moi aussi je versais des larmes. J'ouvrais un de mes yeux et vis un très émotif Samuel devant moi. Mon réflexe fut de me lever et de serrer encore plus sa main et lui dit :

Je suis là sa va. J'aime pas te voir pleurer. Mais ont n'a pas le choix de se séparer.

J'avais les larmes aux yeux et le simple fait de le voir pleurer me faisait pleurer. La réalité me faisait mal , mais c'était comme ça et on ne pouvait rien n'y faire.... pour le moment.

Light Of The Assassin

Tous les mauvais souvenirs atterrissaient dans mon esprit, et ceci me faisait grièvement souffrir, au point d’en verser d’immenses larmes, des larmes auxquelles je ne m’attendais pas. Tellement fortes, j’étais incapable de les contrôler. Elles ne pouvaient que tomber, et me faire du mal.

Je repensais à mon passé, à ces choses que j’avais perdues, mais aussi à la chasse dont j’étais l’unique victime. Cette dernière horreur fournissait un obstacle à mon bonheur, car je ne pouvais pas rester constamment avec celle que j’aimais, à savoir Rachel. J’avais une chance d’être heureux, de sourire, d’être enfin enfermé dans des souvenirs positifs, qui n’avaient rien à voir avec la mort, des larmes, ou des cœurs brisés. J’étais amoureux, mais la fuite subsistait toujours. Je devais partir, et fuir ces scientifiques, mais la contrepartie était justement ce qui me dérangeait. Il fallait courir…courir, et je n’allais pas rester avec elle.

Au fond, je me demandais si le destin n’avait pas une dent contre moi, quelque chose qui m’obligeait à sacrifier mon sourire au profit d’une souffrance qui ne m’apportait rien du tout. Je n’en pouvais plus, mais le destin s’en fichait pas mal…j’en avais conscience à force. Je ne fis que pleurer alors que Rachel dormait toujours.

À un moment donné, je la vis bouger, peu à peu, comme si elle cherchait ma main. En fin de compte, elle la prit quelques instants plus tard. Dans un sens, ce geste me soulageait, mais la sensation n’était pas suffisante pour arrêter ma tristesse. Cet état ne faisait qu’empirer, de minutes en minutes, jusqu’au moment où Rachel se réveilla, et qu’elle vit mon émotivité extrême. Elle serra davantage ma main dans la sienne, et ce geste me faisait comprendre qu’elle était là.

- Pardon. disais-je en tentant d’essuyer des larmes qui tombaient toujours. Je suis désolé de t’avoir réveillée alors que tu dormais.

Je voyais des larmes qui commençaient à tomber de ses yeux, et je commençais à me rendre responsable de ce qui se passait. Je tentais de les essuyer avec l’extrémité de mes doigts.

- Pardon, je suis désolé, ne pleure pas par ma faute, je t’en supplie…

J’en avais assez de craquer…mais aussi de fuir. La longueur de ses problèmes me faisait souffrir, et pleurer, alors que d’habitude je parvenais à me retenir. Mais là, cela me faisait beaucoup de mal.

- J’en ai assez de fuir, de courir, de me cacher…alors que j’ai enfin trouvé une raison pour être heureux, à savoir toi. Je sais qu’il n’y a pas le choix, et c’est bien cela qui me fait mal. Je t’aime…je ne veux pas partir…

Je n'aimais pas le voir pleurer. Je savais aussi qu'il devait retenir ces émotions devant moi, car il voulait montrer qu'il était fort pour surmonter ceci. Mais, il est quand même un humain et le voir comme ceci me faisait mal. Car, il vivait ceci et sa le détruissait à chaque minute de sa vie. J'en n'avais des larmes aux yeux. Il s'excusait en même temps de m'avoir réveiller, mais en le voyant comme ça j'en oubliais de dormir et le pris dans mes bras. Il avait l'air d'un petit enfant qui pleurait et qui savait retenu trop longtemps avant de laisser aller ces émotions.

Je lui chuchotais que tout allait bien et de se laisser aller. Il ne fallait jamais se retenir aussi longtemps sutout que je ne savais pas combien de temps il se retenait. Je ne disais aucun mot, car je ne savais pas quoi lui dire. Je ne faisais que le tenir dans mes bras et même si j'étais fatiguer. Je resterais réveiller pour lui et dès qu'il fermera les yeux je pourrais dire qu'il aura un bon morceau de partit, car il aura laisser aller ces émotion. Comme ça je savais que j'aimais un humains comme les autres qui laissait aller ces émotions, mais il avait cacher un peu trop longtemps je crois. Puis, il me disait de ne pas pleurer à cause de lui. Mais, je n'y pouvais rien, car j'étais triste de se qu'il vivait à chaque jours. Moi, je crois que j'aurais fait une très grande dépression si j'aurais vécu cela à sa place.

J'aime pas te voir comme ça et tu en devrais pas te retenir comme ça, sinon tu vas exploser comme en ce moment et je ne saurais pas quoi faire.

J'avais toujours les larmes qui coulait et le regardait toujours. Puis, il me dit qu'il en avait assez de fuir, de courir et qu'il ne voulait qu'être heureux avec moi. Cela me fit mal de l'entendre dire cela, car je savais qu'il ne pourrait avoir de moment de paix comme ça avec moi pendant un long moment encore. Moi aussi je voulais être heureuse avec la personne qui m'aimait. Mais, je savais qu'avoir une relation avec Samuel ne serait pas la plus facile du monde. Mais, je devais faire avec, car je ne voulais pas briser cette relation, alors qu'elle venait de commencer... jamais de ma vie. C'était comme une âme soeur et je ne voulais pas la voir partir.

Je sais moi non plus je ne veux pas te voir partir, car je suis la fille la plus heureuse quand je suis avec toi, mais je savais que d'avoir une relation avec toi était quelque chose de difficile, mais je suis prête à ceci. Je ne veux pas te voir partir ça jamais et ces pour sa que je pleurer aussi.

Light Of The Assassin

Fondre en larmes n’était pas quelque chose qui m’arrivait souvent, mais quand cela m’arrivait, ce n’était jamais anodin, loin de là.

Devant Rachel, je pensais être capable de me retenir, montrer que j’étais suffisamment fort pour supporter toutes les épreuves, qui me frappaient. Malheureusement, j’avais tort, car je craquais encore plus qu’avant. Désormais, j’avais une raison de vivre, sincère, et je n’avais pas envie de la laisser tomber au profit d’une fuite constante, qui ne faisait que m’épuiser, de plus en plus. J’en avais assez. Ma seule envie était que tout puisse enfin changer, et que le bonheur puisse me frapper, sincèrement, sans obstacle. J’avais besoin de vivre l’amour que je ressentais pour Rachel ! Je voulais être heureux avec elle, mais aussi la rendre heureuse. N’était-ce pas le schéma normale d’une relation amoureuse, quelque chose à laquelle j’avais droit moi aussi ? Je l’espérais… je gardais toujours espoir, parce que je voulais être avec elle, en couple normal ! C’était tout ce que je voulais, depuis le départ, alors pourtant tant d’obstacles, d’épreuves, et de douleurs…je ne comprenais plus rien.

- Je crois que je n’aurais pas du me retenir aussi longtemps. Je me croyais fort, mais j’ai eu tort. Je ne voulais pas craquer, je n’avais pas envie que tu puisses me voir en larmes, mais je n’ai pas réussi. J‘ai juste envie que cela change, et cela changera.

Rachel pleurait toujours, et c’était ma faute.

Je n’aimais pas la voir ainsi, comme elle n’aimait pas non plus me voir en train de pleurer. Je ne voulais pas briser une relation qui venait de débuter, et qui était capable d’arracher un sourire venant de ma bouche. J’étais heureux avec elle, comme si elle était mon âme sœur, et je ne voulais pas la perdre.

Le changement devait se profiler de mon côté, car Rachel n’avait rien à se reprocher.

- Et moi non plus je ne veux pas m’en aller, justement pour ses raisons. Je suis extrêmement heureux avec toi, comme je n’ai jamais pu l’être avec qui que ce soit d’autre, et c’est pour cela que je ne veux absolument voir tout ceci s’arrêter. Je ferai tout pour que ceci puisse cesser, car j’en ai réellement assez. Après ce moment que l’on a pu vivre ensemble, il est hors de question que cette fuite se poursuive. Je ne l’accepterai pas, tout bêtement parce que je ne veux pas m’éloigner de toi, ni te perdre.

Mes larmes avaient finalement arrêter, mais j'avais toujours la même vois triste. Je pouvais déjà voir une relation assez partager entre amour et beau moment comme ce que j'Ai vécu se soir. D'un autre côté, ça sera la tristesse et la douleur d'une relation comme celle-ci. Mais, je devais me montrer assez forte en ce moment, car Samuel ne l'était pas et je devais faire mon possible pour qu'il aille mieux. J'allais avoir beaucoup de travaille là-dessus, mais je l'aimais et j'allais tout faire pour qu'il soit mieux.

Dès qu'il me dit qu'il n'aurait pas peu se retenir aussi longtemps. Je pouvais le croire et dès qu'il me dit qu'il avait juste le goût que ça change je pouvais le croire. Car, à voir comment il était aujourd'hui il en n'avait assez de cette vie. Ces mon âme soeur et je ne voulais pas le laisser partir ou disparaître à cause de scientifique fous qu'il le voulait pour l'étudier. Je pris mes deux mains et les mit sur ces joues et essayait de le calmer pour qu'il aille mieux. Mais, il continuait à ressembler à un petit enfant qui pleurait tous ce qu'il avait dans son corps. Donc, je ne disais aucun mot, mais je montrais que j'étais la pour lui et que je resterais aussi longtemps qu'il le voulait.

Puis, il disait qu'il ne voulait pas partir. Je pouvais très bien le comprendre, car je ne voulait pas partir moi non plus. Ce qu'il me disait du fait qu'il n'avait jamais été aussi heureux avant me touchait beaucoup. Il voulait que tous s'arrête pour avoir une relation normal avec moi. Comme moi avec lui je ne voulais qu'avoir une relation normal sans qu'il me quitte à toute les semaines. Au début, je serais normal, mais après un moment je serais très triste de le voir partir à chaque fois. Il ne voulait plus s'éloigner de moi tout comme moi avec lui. J'étais attacher à lui maintenant et je ne voulais pas m'en défaire, pas maintenant et je pourrais même dire jamais.

Moi non je ne veux pas me séparer de toi. Même si tu voudrais rester tu pourrais me mettre en danger pour le moment. Je sais que tu ne voudrais pas me mettre en danger. Alors, on doit se quitté pour le moment... au moins et je sais que ça nous faire souffrir, mais on n'a pas le choix et tu le sait très bien.

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