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| You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) | |
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Auteur | Message |
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Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Sam 17 Déc - 17:04 | |
| Le temps ne me faisait plus rien en ce moment. Quand j'étais avec Samuel, la notion du temps ne semblait pas être là. Si j’avais redonner un peu d'humanité à Samuel. De son côté, mon coeur avait recommencer à battre pour quelqu'un. Avant j'étais dans ma bulle à moi-même. Au travail, mes collègues essayait de me parler à chaque fois sans succès. Quand quelqu'un disait une blague je me forçais à rire ou sourire. Aujourd'hui, le sourire et les rires me venait aussi souvent que je le voulais. J'étais une femme heureuse avec Samuel et je pouvais oublier le fait que je me suis refermer sur moi-même pendant près d'un an. Je voulais redevenir moi-même celle qui était dynamique et qui était n'était pas fermer sur le monde. J'étais sur la bonne voix pour redevenir moi-même avec un peu de la personnalité que j'ai maintenant. Il ne manquait plus qu'un élément et c'était Lucy. Mais, j'allais travailler là-dessus après. Pour le moment, je ne voulais qu'une soirée normale et je voulais l'avoir.
Samuel me disait que j'avais changer sa vie tout comme lui pour la mienne. Je lui avais redonner l'espoir. J'étais fière et en même temps un timide, car c'était vraiment beaucoup, mais je le croyais. Car, juste à voir notre première rencontre et le soir ou on ces dit que nous aimions. Je pouvais voir la différence et ça me rendait heureuse. Il disait que le fait de lui avoir redonner l'espoir et la part d'humanité qu'il n'avait plus était le plus beau des cadeau au monde. Honnêtement, je ne savais plus quoi dire. Je mis ma main sur ma bouche et l'enlevait quelques secondes plus tard pour lui dire ceci :
Tu vas me trouver un peu bizarre de dire ça. Mais, je crois que mon cadeau de Noel je l'ai eu plus tôt cette année. Tu es ma perle rare et je t'aime plus que tout. Si je ne t'avais pas rencontrer ce soir là je serais encore dans ma bulle à parler à personne et à me croire pour un monstre. Mais, maintenant je sais que je ne le suis pas et ces un peu grâce à toi. Je t'en remercie du plus profond de mon coeur.
Si je pouvais sourire à pleine dent et bien je pouvais voir celui de Samuel aussi. J'étais heureuse de voir mon homme heureux. Je ne voulais pas que ça se termine... jamais. Et ça va commencer ce soir. Pour le moment, nous avions aucun danger devant nous et c'était bien comme ça.
Je suis la plus heureuse des femmes sur la terre et je suis vraiment chanceuse d'être ta petite amie. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Sam 17 Déc - 23:07 | |
| La notion du temps ne me frappait plus désormais, car j’étais si bien avec elle. L’éternité était si belle que je la partageais avec elle, avec plaisir et amour, comme si cette scène restait figée dans le temps, la passion éveillée éternellement, sans aucun remord. Être avec elle était un si bon moment, que j’avais attendu toute ma vie. L’existence ne m’avait pas fait de cadeaux, m’apportant des moments si douloureux, qu’ils n’avaient jamais cessé de me blesser, de me faire du mal, et mon cœur avait été brisé tant de fois. Avec chance, et en réalisation de mes espoirs, j’avais pu rencontrer l’amour, le parfait amour. Rachel était la femme parfaite pour moi, celle que j’attendais depuis le départ. Elle avait ranimé l’humanité qui sommeillait dans mon cœur, depuis le jour où j’avais vu se succéder tant de morts, tant de douleurs, et tant de tortures. J’avais enfin une chance de voir ma vie redevenir belle. Le bonheur pourrait être présent, et ne plus jamais s’enfuir…plus jamais, car l’amour était la voie de ma rédemption.
Rachel m’avait transformé, et par conséquent aidé à devenir un homme meilleur, quelqu’un de beaucoup plus humain. Je pouvais être généreux, aider tout le monde, mais les émotions n’étaient pas exprimées sur mon visage, comme si elles étaient absentes. Cette ouverture d’esprit, pour exprimer ce que je ressentais, avait été possible grâce à Rachel et uniquement grâce à elle. La lumière de mon âme, je l’avais obtenue avec sa présence, son unique présence. Elle était exceptionnelle, la personne la plus importante pour moi, et je ne laisserais jamais personne oser dire le contraire, sans lui faire comprendre que je n’étais pas de son avis. Voilà l’amour, ce sentiment si parfait qui rendait la présence de l’autre si idyllique. Je ne me voilais pas la face, car je le pensais réellement. Il s’agissait de mon profond sentiment, quelque chose de si bon à ressentir, que je ne pourrais jamais laisser ce sentiment s’enfuir, et disparaître encore une fois. Perdre l’amour et le bonheur une seconde fois pourrait m’anéantir, réellement m’anéantir, sans que je ne puisse être capable de me relever. Rachel était ma renaissance, une réelle renaissance. Ceci était bien plus qu’un cadeau pour moi, la valeur la plus inestimable de l’amour pour moi. Elle avait bouleversé ma vie, dans le plus beau des sens.
- En t’ayant trouvée, j’ai reçu le plus inestimable des cadeaux, car je peux aimer quelqu’un, sincèrement, et redevenir humain. Tu as rendu mon âme plus belle, et mon cœur bat pour exprimer l’amour que je ressens pour toi. Je n’ai plus envie de pleurer en ta présence. Je ne pense qu’à sourire, à vivre ma vie pleinement, avec toi. Tu n’as rien d’un monstre. Tu es la plus importante des personnes à mes yeux. Je t’aime.
J’étais le plus heureux des hommes en la présence de celle que j’aimais, surtout quand je passais un moment si tendre avec elle. L’amour s’exprimait pleinement entre nous. Aucun danger n’était présent, et c’était bien mieux ainsi. Nous pouvions grâce à cela trouver la plus belle des sérénités, en passant une soirée ensemble, en amoureux.
- Et moi je suis le plus heureux des hommes, en étant avec toi. disais-je avec le sourire.
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Lun 19 Déc - 18:08 | |
| Quand j'était toute petite à l'âge de 5 ans, si on m'aurait dit que 16 ans plus tard je serais dans la position que je suis en ce moment. J'aurais ris devant la personne et je serais retourner faire mes choses de petite fille. Mais, aujourd'hui j'étais une adultes et ces choses sont arriver. Certaines que j'aurais voulu oublier et d'autres non. Car, elle mon finalement mise sur la route de Samuel. Si je serais rester en Angleterre, je ne l'aurais jamais vu et je n'aurais jamais eu le bonheur que j'ai en ce moment. On n'avait réussit à changer l'un et l'autre. J'avais réveiller le côté plus tendre de Samuel et lui m'avait sortit de ma bulle de solitude et d'isolement que je m'avais fait au bout d'un an.
Après ce qu'il avait vécu et ce que j'avais vécu en un an. Tous les deux nous méritions notre moment de bonheur. Je voudrais qu'il dur toute une vie. Juste lui et moi, mais nous ne sommes que des humains et nous allions mourir un jour. Mais, cette pensées devait aller très loin dans mon esprit. Elle devait même la quittée et c'était très dur. Je n'étais qu'une simple humaine et même si mon amoureux ferait tout pour me garder en vie. Si je deviens vieille et que je meurs de façon naturelle là il ne pourra plus me ramener du côté des vivants.
Mes pensées étaient ramener à la vie réelle quand j'écoutais ce que me disait Samuel. J'étais vraiment en plein moment d'émotion, car c'était très beau ce qu'il me disait. Donc, je lui dit ceci :
Si j'ai réussis à te changer en mieux. Sache que tu as fait la même chose, mais avec moi. J'étais dans ma bulle de solitude et isoler des autres. Je pensais que j'étais un monstre et que j'étais la seule a avoir un don. Mais, je sais que je ne le suis pas. Je suis juste un peu différente, mais au fond je l'ai toujours été. Tu es celui qui m'a sortit de ma solitude et je t'en remercie. Je t'aime, moi aussi.
Puis, il me disait qu'il était le plus heureux des hommes en étant avec moi. J'eu un sourire et lui dit :
On n'est les deux plus heureux en étant ensemble. Si on n'est séparer on n'est presque rien. Mais, maintenant on va rester ensemble et je veux que ça dure. Hj: J’espère que ma réponse va être ok =) |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mar 20 Déc - 1:50 | |
| Hymne d’un bonheur infini réunissant deux êtres humains, l’amour faisait naître un sentiment si beau dans nos consciences, qu’il pouvait réveiller chaque parcelle d’émotion, même les plus dissimulées de notre esprit, et cela l’avait fait pour moi. L’amour, que je ressentais pour Rachel, cet immense coup de foudre, avait bouleversé ma vie dans le meilleur des sens. Avant d’avoir été percuté par cet étincelle de bonheur, j’étais un être combattif, qui pensait aux autres, mais il me manquait quelque chose. Le bonheur n’apparaissait que peu souvent sur mon visage, car je ne souriais pas. Je ne montrais pas souvent mes émotions, et je dissimulais absolument tout. La souffrance demeurait tout de même largement présente. J’étais torturé, et la vie me faisait beaucoup de mal, mais je ne le montrais pas. Ce modèle de vie était en quelque sorte devenu une évidence, avec le temps.
Quand mon amour pour Rachel avait pu changer ma vie, mon humanité avait subi une renaissance. J’exprimais mes émotions. Mon bonheur était montré en plein jour, et je pouvais sourire, ressentir de l’amour pour quelqu’un sans me dire que cela allait prendre fin deux secondes plus tard. Je croyais en l’éternité, une étendue infinie de ce bonheur qui pourrait nous unir elle et moi. Avant, cette notion ne m’aurait même pas traversé l’esprit. Je l’avais compris grâce à elle, cette femme si parfaite à qui je tenais énormément. J’aimais Rachel bien plus que la vie elle-même. Elle était essentielle.- L’amour nous a changé, tous les deux, et cet effet si bénéfique nous rend meilleur. Je ne pensais jamais pouvoir ressentir quelque chose d’aussi beau, surtout depuis ce qui m’est arrivé. Ce coup de foudre pour toi a ranimé ces sentiments enfouis, ainsi que mon humanité. C’est une vie nouvelle que je peux ressentir grâce à toi.*et je souhaite l’éternité rien que pour ce sentiment* L’amour, me rendait heureux.- Tant que je serais là, je peux t’assurer que je ferai tout pour que ce sentiment soit éternel, et dure pour toujours entre nous.*oh…fichue migraine…pourvu que cela ne se voit pas trop…* J’étais heureux, même avec une petite migraine.
J’étais simplement avec la femme que j’aimais, et aucun sentiment ne pourrait surpasser un si beau sentiment, que celui que je ressentais en cet instant. J’aimais Rachel, plus que tout.- Je resterai ici. Jamais je ne partirais…simplement parce que je t’aime.- Spoiler:
elle est même plus que ok ^^
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mar 20 Déc - 19:24 | |
| C'est fou ce que pouvait faire le pouvoir de l'amour sur quelqu'un. J'avais devant moi un de ces miracle et j'étais contente d'avoir été un facteur de ceci. L'amour m'avait changer et j'étais redevenu à peu prêt la même personne que j'étais avant. Qui aimait la vie et que ne voulait pas s'arrêter deux minutes pour respirer je voulais vivre ma vie à font. Comme quand je le faisait avec Lucy, mais justement. J'avais trouver une partie de moi-même qui me manquait c'était l'amour de quelqu'un pour moi. Mais, ma soeur adoptive n'était pas avec moi à New York Je savais qu'elle était au États-Unis, mais je ne savais pas ou. Après tout New York était assez grand et je ne voulais pas qu'elle se perd ou qu'elle soit en danger.
Mais, quand je regardais les yeux de mon amoureux. Je mis perdis et ça rendais ce danger un peu moins présent, mais il était toujours là tant que je n'aurais pas revu Lucy devant moi. Samuel me disait qu'il ne pensait jamais pouvoir ressentir ceci de nouveau. J'avais jamais poser de questions sur sa vie d'avant et je ne le voulais pas non plus. Mais, je savais que ça avait du être douloureux pour ne plus croire en l'amour. Je savais que je n'avais pas été la première à être l'élu du coeur de Samuel et je savais que c'était le cas. Donc, je gardais toute ces penser pour moi, mais je savais que maintenant il était heureux avec moi comme moi avec lui.
Je voulais, souhaitait et même voulait passer le reste de mes jours avec lui. C'était la bonne personne qui allait avec ma personnalité. Nous étions de parfait contraire, mais nous allions si bien tout les deux ensembles. La bonne pair comme on pouvait dire. J'étais tomber dans un nuage d'amour et Samuel en n'était le seul responsable. Je l'aimais et c’était simple comme dire bonjour.
Il me disait que tant qu'il sera là. Il fera tout pour que ce sentiment soit éternel et qu'il dure entre nous deux. Ces comme ci une ficelle invisible nous avait réuni pour que nous soyons jamais séparer. Je sais qu'il ne pourra jamais partir maintenant, car le danger principal n'était plus là. C'était le commencement d'une vie à deux entre lui et moi. Personne ne pourra me l'enlever et je me mis un peu plus confortable dans les bras de mon amoureux.
Moi non plus je ne veux plus être séparer de moi ces le commencement d'une vie entre amoureux. Toi et moi je ne veux pas qu'on se quitte.
Je lui glissais un simple baisser sur le front. Lui sourit à la fin. Je savais que ça pouvait fonctionner entre lui et moi ces mon âme soeur j'en n'était certaine. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 21 Déc - 1:01 | |
| L’amour était entré dans ma vie, aussi incroyable que cela puisse paraître, et ces effets si bénéfiques rafraichissaient mon âme, la rendaient meilleure et plus humaine. Je me sentais différent, et j’appréciais cela plus que tout.
Quand je plongeais mon regard dans celui de Rachel, tout danger alentour pourrait paraître dérisoire, voire même invisible. La preuve, j’éclipsais même quelque chose d’aussi banal qu’un fichu mal de tête, une migraine dont j’ignorais l’origine, et que je tentais de dissimuler car je ne voulais pas gâcher la douceur de cet instant. Ce moment était si important pour moi que je m’oubliais. C’était comme si rien d’autre ne pouvait exister en dehors de nous deux, et que le bonheur devenait l’unique chose importante à mes yeux. Comparé au malheur d’autrefois, défini par toutes ces épreuves de mon passé, je préférais largement cette aura si positive, qui se dégageait de cet instant. Je pouvais sourire, revivre, et surtout garder espoir, l’espoir de voir l’amour gagner ma vie et surtout ne plus jamais la quitter. En étant en la présence de Rachel, je pouvais croire en cette issue heureuse pour mon avenir. Je pouvais garder en tête que tout allait s’arranger, et redevenir par conséquent normal pour moi. L’horreur pourrait partir au loin et me laisser en paix : j’y croyais, avec toute la profondeur de l’âme, chose que je n’aurais probablement jamais pu dire si je n’avais pas Rachel dans ma vie. Si ce coup de foudre n’était pas entré dans ma vie, pour transformer mon cœur, jamais je n’aurais pu connaître une telle renaissance, et ressentir un sentiment aussi beau que l’amour, le plus parfait des amours.
Jamais je n’allais laisser quelqu’un mettre fin à notre amour, et briser ces moments de bonheur que nous vivions ensemble, simplement parce que je le refusais, et que Rachel le refusait également. Ce que je vivais avec elle étaient des moments d’amour, de bonheur, et surtout d’humanité. Du plus profond de mon âme, je ferai tout pour que ce sentiment, cette magie, puisse durer pour toujours, et que rien ne puisse l’endommager, ou nous mettre en danger. Hors de question que qui que ce soit puisse atteindre Rachel et la faire souffrir, tant que je tenais debout et que j‘étais encore en vie. Je l’aimais beaucoup trop pour oser la laisser subir tant de douleur, ce qui serait une atteinte à mes principes. La puissance de ce sentiment est telle que jamais je ne pourrais l’abandonner et la laisser tomber. Rachel était devenue beaucoup trop importante à mes yeux.
- Et on ne se quittera jamais, ça je peux te le garantir.
Elle déposait un baiser sur mon front, et j’avais même fermé les yeux quelques secondes, pour ne penser à rien. La douceur envahissait mon esprit, dans toute sa profondeur. La migraine n’avait plus aucune importance à présent. Je savais qu’elle était présente, mais je ne faisais plus attention à la douleur. L’amour était comme le plus parfait des remèdes.
Peu après, je pris la main droite de Rachel, et je l‘enfermais dans la mienne. Mes doigts glissaient dans sa paume, comme un geste de caresse. Je faisais ceci par réflexe, mais également par intention, car cela m‘ancrait dans la réalité, me prouvait qu‘elle était là et que notre sentiment était plus que réel. Je pourrais tout faire pour elle, rien que pour la rendre heureuse, simplement parce qu‘elle le faisait également pour moi.
En étant avec elle, j‘étais le plus heureux des hommes.
- Plus rien n’a d’importance en dehors de l’amour que je ressens pour toi, et on se focalisera uniquement là-dessus, toi et moi. Il n’y aura aucun coup de fil, aucun danger, aucune mission pour me faire courir et aucune visite imprévue. Il n’y aura rien du tout, juste toi et moi.
*même la fichue migraine va me laisser tranquille. Elle me fait un peu de mal, mais je vais l’oublier, rien que pour toi. Tu apparais sur mon visage, mais tu n‘es pas là pour moi. Seule Rachel est présente pour moi, seulement elle. Tu n’es qu’un mal de tête, et ce genre de chose n‘a aucune importante comparé à Rachel. Tu n‘en as aucune !*
Garder la main de Rachel et la caresser était une sensation si simple, si douce. Elle me calmait, réellement. Je me sentais bien. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 21 Déc - 17:46 | |
| Qu'est que je connaissais du bonheur ? Pas grand chose je crois. Mais, à chaque fois que j'étais avec Samuel. J'avais un sentiment au fond de moi comme si aucune douleur ne pourra me faire mal. Quand j'étais avec lui j'étais dans un monde ou il n'y avait que lui et moi. Là ou les minutes, heures et même jours ne pouvaient pas se compter, car tout était arrêter pour que nous soyons ensemble et heureux. Comparer à quand je suis toute seule et que je pense au mauvaise chose qui pourrait nous arriver.
Juste le fait d'être dans ces bras me faisait du bien et je pouvais relaxer comme je le voulais. Vu que mon divan commençait à me faire un peu mal au dos. Je me plaçais sur le long du divan et relaxait mon dos en même temps. Ma tête était sur ces cuisse et ça ne me faisait pas mal j'étais trop bien comme ça. Je levais mes yeux et ma tête vers lui et lui dit :
Si je te fais mal. Tu me le dis ok. En tout cas, moi je suis bien comme ça.
De la façon que j'étais, je pouvais voir son magnifique visage, ces si beau yeux et même ces cheveux la façon qu'il était placer j'adorais ça. Si je le voulais je pourrais passer mes mains dans ces cheveux longtemps. Un réflexe de fille, jouer dans les cheveux de quelqu'un. Même si quelqu'un pourrait dire qu'il a une coupe horrible moi je l'aimais bien elle était parfaite. Je ne voulais pas qu'il change il était parfait pour moi. Personne ne pouvait me faire changer d'avis là-dessus.
Je sentis sa main prendre la mienne et la mettre au niveau de ou mon ventre était. J'aimais le mouvement qu'il faisait, car ça me prouvait que c'était la réalité. Que ce que je vivais depuis quelques heures était bien vrai et non le fruit de mon imagination. Je savais que le lendemain quand j'allais me réveiller il sera là avec moi.
Il disait que plus rien n’avais de l'importance sauf l'amour qu'il avait pour moi. Nous allions plus jamais être séparer lui et moi. Nous étions peut-être deux personnes à caractères bien différent. Mais, nous étions une paire d'amoureux inséparable. Tout était derrière nous, vraiment tout. J'eu un sourire et je savais qu'il aimait quand je souriais. Ça le rendait heureux et moi encore plus heureuse.
J'espère que rien ne viendrais t'enlever de mes mains. Je veux passer le plus long moment avec toi. Dans la société dans laquelle on vit on ne sait jamais ce qui peut arriver. Mais, tant que tu est à mes côté je n'y penserais pas. Je veux essayer d'avoir une vie de couple le plus normal possible. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Jeu 22 Déc - 17:18 | |
| Depuis toujours, j’avais sans arrêt rêvé d’un instant aussi beau, rempli d’une si belle intensité d’amour et de bonheur, que toute notion de danger pourrait paraître sans importance. Toutes les douleurs, ainsi que toutes les peurs pourraient s’enfuit sous son influence, et me laisser en paix. Être humain, vivre une vie remplie d’émotions exprimées et non intériorisées à l’intérieur de mon cœur, était l’un de mes souhaits les plus chers, depuis le début de chaque épreuve terrible de ma vie. La réalisation de ce souhait se voyait dans l’arrivée de l’espoir. Je pensais à sourire, et à vivre ma vie, pour une fois, car l’amour était entré dans mon existence. Toutes ces bonnes choses, je pouvais y prétendre, mais aussi y croire grâce à Rachel, car je l’aimais…je l’aimais sincèrement, et ce sentiment effaçait toutes mes blessures.
Juste le fait d’être présent auprès d’elle amenait le plus doux des courants d’air frais dans mon esprit, et là nous étions dans le degré le plus important de la proximité entre nous. Rachel s’était allongée, tout le long du divan, et avait également déposé sa tête sur mes cuisses. Ce geste me faisait sourire et m’incitait encore davantage à éclipser les coups de marteau que mon esprit recevait sans cesse : cette migraine. J’ignorais d’où elle venait et ce qu’elle faisait ici, mais je la faisais disparaître, en l’oubliant et en ne pensant qu’à elle. J’aimais tellement Rachel, que le plus infime des maux m’importait peu. L’amour était le plus puissant des antidouleurs sur mon organisme, et agissait sur moi comme un tranquillisant. Je me sentais bien dans l’illusion de ma mémoire, qui se focalisait sur les bonnes choses pour éclipser les mauvaises, et je préférais mieux agir ainsi que de m’enfermer dans ma douleur.
Je la vis lever ses yeux sur moi, et m’observais. Mon cœur était certain de ne jamais la quitter du regard, ni la quitter tout court. Mon organisme était si bien avec elle, qu’il n’avait pas envie de changer cet état de fait, pour rien au monde. Elle était si parfaite, que je ne pourrais pas rêver d’une meilleure personne qu’elle. Une âme sœur était rentrée dans ma vie, et c’était elle.
- Jamais tu ne pourrais me faire du mal Rachel. Au contraire, ton geste me rend tranquille en quelque sorte.
L’un des doigts de ma main continuait à caresser la sienne, mise au niveau de son ventre. Il était en train d’effectuer de lents mouvements de cercle au centre de sa paume, et il n’allait jamais arrêter. Je me sentais bien en faisant cela, car la réalité me paraissait plus clair. Seul le bonheur atterrissait dans mon esprit, et il n’avait pas envie de prendre la fuite. J’oubliais toutes mes douleurs, comme cette migraine grandissante. C’était comme si elles n’existaient pas. Le sourire et les effets magnifiques du bonheur avaient pris possession de mon âme, et dominaient mon organisme. J’avais de la chance. Je me sentais si bien. Nous n’allions plus jamais être séparés elle et moi, non plus jamais. L’amour était si grand que j’étais devenu inséparable de cette perle rare.
- Rien ne pourra m’empêcher de rester avec toi. Cette fois-ci rien ne viendra m’enlever de tes mains, rien du tout. Je ne veux pas partir, et jamais je ne le ferais, car j’ai envie de rester avec toi, le plus longtemps possible. Je ne pense qu’au bonheur en étant avec toi, et je n’ai pas envie de fuir ce sentiment si beau.
*jamais je ne le supporterais*
Le mouvement circulaire que mon doigt effectuait sur la main de Rachel grandissait de largeur, mais diminuait de vitesse. Il était de plus en plus lent, et par conséquent doux. Pourquoi faisais-je cela ? Je n’en savais rien. À vrai dire, je ne savais pas si je devais affecter ceci à un réflexe ou bien à un effet non-volontaire lié à la migraine, que j’oubliais volontairement. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Ven 23 Déc - 4:47 | |
| Nous étions tellement différent et pourtant ci parfait l'un pour l'autre. À partir de maintenant, je ne pouvais pas imaginer ma vie sans lui. Nous étions fait pour être ensemble. Même s'il allait avoir des moments difficile nous allons les affronter ensemble et en sortir beaucoup plus fort. Dans la position que j'étais, je pouvais voir son visage et voir son visage dans le bonheur était quelque chose qui me relaxait. Ce n'était pas comme la dernière fois ou il était triste de me quitter.
Ce soir, était un soir normal ou deux personnes amoureuses partageait leur première soirée en amoureux. J'étais si bien dans la position dans laquelle j'étais. C'était comme une adolescente qui vivait sa première relation amoureuse. Mais, il fallait dire qu'une relation comme celle-ci j'en n'avais jamais vécu. C'était tellement beau et nouveau en même temps. Je sentis la main de Sam sur la mienne et les mouvement qu'il faisait. Je relaxais et même fermais les yeux pour quelques secondes. Tout était parfait, personne pour nous déranger, aucun bruit de dehors ce qui est assez rare à New York et surtout dans le bâtiment ou j'habitais.
J'avais même une chanson dans la tête c'était ma préférer du moment. No air était cette chanson celle du moment, elle pouvait résumer ce que j'avais vécu pendant la semaine sans Sam. Puis, j'ouvris mes yeux et entendis Samuel me dire que je ne pourrais jamais lui faire mal. Que mon geste le rendais tranquille en quelque sorte. J'eu un sourire à ceci et je lui dis :
Parfait, car de ou je suis. Je ne veux pas bouger, car il y a un bel homme devant moi.
Je continuais de sentir sa main dans la mienne et écoutait se qu'il me disait. Que rien ne viendrais l'enlever de mes mains. Il me disait qu'il ne partirais jamais et qu'il en le voulais pas du tout. Qu'il voulait rester le plus longtemps possible avec moi. Tout comme moi avec lui si je devais passer trois ans avec lui et après mourir. J'aurais eu trois belles années, les plus belles de ma vie. Mais, pour le moment j'étais encore vivante et je ne voulais pas le quittée non plus. Moi aussi je ne pensais qu'au bonheur, la joie on pouvait tous les nommer. Quand j'étais avec lui je vivais toute les émotion en même temps.
La petite fille qui était en moi appréciait chaque moment de bonheur comme celui-ci. Son mouvement de la main commençait à devenir plus lent et plus doux aussi. J'étais sur mon nuage de pure bonheur et je ne voulais pas le perdre.
Si on m'avait dit à l'âge de 5 ans que je rencontrais mon âme soeur à l’âge de 21 ans. Je crois que j'aurais ris dans son visage, mais aujourd'hui je suis devant l'homme le plus courageux, le plus compréhensible et tout plein de qualité que j'ai du mal à tout et les dire. Mais, moi non plus je ne veux pas me séparer de toi ça jamais même si je dois mourir vieille ou jeune. Je veux une vie remplit de bonheur avec toi à mes côtés. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Lun 26 Déc - 1:03 | |
| Tellement opposés mais pourtant si proches, nos deux personnes s’étaient réunies par l’intermédiaire de l’amour, une rencontre qui avait fait naître un sentiment immuable dans mon esprit : quelque chose qui n’allait jamais s’éteindre en moi. Il s’agissait d’une flamme éternelle, invulnérable face à tout danger et à toute objection de quiconque. N’importe quelle opposition ne serait capable de résonnait comme une vérité dans mon esprit.
S’il y avait bien une chose, à laquelle je pourrais passer une éternité, ce serait bien le fait de la regarder. Elle était si importante pour moi, et également la seule à savoir me rassurer dans des temps aussi compliqués qu’en ce moment. Il fallait toujours être en train de courir, de fuir un mal qui ne voulait que ma fin. J’en souffrais, en permanence, et cela ne faisait que briser mon cœur. Le seul moyen de le recoller un peu, et me rassurer, était de plonger mon regard dans celui de Rachel. Une fois à l’intérieur, mon âme s’évadait vers un flot paisible de solitude, qui ne semblait pas avoir de fin. Ce sentiment-là, n’avait l’air de n’apparaître que par l’intermédiaire de sa présence, seulement la sienne.
Mes yeux, tournés vers son unique visage, étaient au moins plongés dans une vision bénéfique de la vie. J’étais bien…je me sentais bien.
Au moins, pour cet unique et si magnifique soir, nous étions seuls, juste nous deux, pour définir la vision normale d’un couple d’amoureux ne profitant que de la vie. Cette position si humaine était celle que je préférais par-dessus tout, car elle montrait la chaleur de nos âmes, les sentiments, tout ce qui pouvait prouver que nous n’avions en aucun cas un cœur de pierre.
Un peu comme un métronome, mes doigts continuaient à caresser la paume de la main de Rachel. La lenteur grandissait parfois, mais les mouvements demeuraient toujours présents, comme un immense réflexe inconscient de mon esprit. Cette action, c’était comme si, dans ma conscience, cette volonté était exprimée d’avance, dès le départ. Mes doigts continuaient à bouger, sans s’arrêter, à tournoyer et tournoyer dans ces cercles ininterrompus.
- Moi non plus je n’ai pas envie de bouger. Je veux toujours continuer à plonger mon regard dans le tien.
Je pourrais continuer éternellement à écouter Rachel, parce que je me sentais si bien avec elle. Plus rien ne pourrait m’enlever de ses mains…plus rien… Je ne pensais qu’à une chose, vivre chaque instant avec celle que j’aimais, et en profiter un maximum. J’avais tant recherché le bonheur. Je ne pourrais pas supporter le fait de le perdre de nouveau alors que j’avais une chance de devenir humain, de vivre heureux, et d’être si…normal. Dans ma tête, je pourrais exprimer mes émotions, tout dire en pleine sincérité, et surtout sembler plus réel. Sans le bonheur dans ma vie, je ne définissais qu’une sorte de carcasse vidée de toute émotion. Je ne savais pas exprimer ne serait-ce qu’un seul sentiment, aussi sincère pouvait-il être. Avec elle, avec Rachel, cette capacité revenait. J’étais si humain, si vrai…que revenir en arrière serait quelque chose de beaucoup trop douloureux, beaucoup trop…
- Moi je ne pensais même pas avoir accès à un bonheur aussi parfait que cet amour que je ressens pour toi. Cette succession de mauvaises choses m’a fait du mal et m’a brisé le cœur tant de fois, que j’ai souvent perdu l’espoir de vivre ma vie normalement, dans la joie et non dans la fuite. Quand je te regarde, je me rend compte de cet immense cadeau que tu es pour mon esprit. En te regardant, je retrouve cet espoir que j’avais perdu autrefois, je renais. Je suis différent, mais tu m’as changé en quelqu’un de meilleur. Pour ainsi dire, je me préfère largement comme cela aussi. disais-je avec le sourire, et toujours sans la quitter des yeux
Ces paroles, que je venais d’exprimer, étaient sincères et reflétaient ce que je ressentais au plus profond de moi. Rachel me procurait toute cette sérénité et ces bonnes émotions, et je n’allais pas me priver de le révéler, sincèrement, en lui prouvant que je l’aimais tellement.
Un maigre tremblement se fit sentir dans la main qui caressait celle de Rachel, un seul et unique qui prit fin quelques instants plus tard. C’était un peu comme un sursaut dans mon oubli pour cette migraine. C’était comme si cette vilaine douleur ne pouvait pas s’éclipser définitivement de ma tête…fichue migraine…
Mais je continuais quand même à caresser la main de Rachel, car il s’agissait d’un mouvement de douceur qui me reposait réellement.
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mar 27 Déc - 1:05 | |
| Je ne voulais plus bouger de la position dans laquelle j’étais. Le seul mot que je voulais dans ma tête pour ce soir c'était... le bonheur. Ce que je ressentais dans mon coeur était vraiment le bonheur à l'état pur. Je ne voulais pas m'en défaire. Deux âmes différentes et qui son rendu deux âmes uni par l'amour de l'autre. Il était vraiment l'homme parfait pour moi et je ne pensait vraiment pas trouver l'amour aujourd'hui. Avec le monde qui a changer, tout ce que je voulais c'était une vie normale.J'ai déjà un bon 25 % de normalité maintenant. Tout ce 25 % était les moments que je partageais avec Samuel.
Peut-être que le reste de ma vie n'était pas normale, mais je l'avais accepter avec le temps. En un an, on n'a le temps d'y penser. Je repensais à la fille perdue il y a un an. Elle ne savait pas ou aller et ne connaissait personne. Elle ne parlait à personne et finalement elle était devenu ce que je suis aujourd'hui. Une fille amoureuse, qui avait accepter sa différence maintenant.
Ma main sur mon ventre et les mouvements que faisait mon chéri m'aidait à relaxer. Je me demandais vraiment si parfois son don de feu et sa lumière qui guérit était vraiment son vrai don. Je disais ceci en blague, mais parfois on dirait qu'il lit dans mes penser. Donc, je reportais mon visage vers lui et écoutait ce qu'il me disait.
Il disait qu'il ne pensait jamais avoir un bonheur comme celui-ci. Il disait aussi qu'avec toute les mauvaises qu'il avait vécu qu'il avait commencer à perdre espoir à avoir une vie normale. Mais, qu'avec moi cet espoir était de nouveau là. Il disait que je l'avait changer, mais en une personne meilleure. Il s'aimait mieux comme ça et moi aussi je l'aimais mieux ainsi.
Je t'ai connu alors que tu ne montrais pas vraiment tes émotions. Mais, quand j'ai connu l'être qui se cachait derrière le masque de tristesse. J'ai découvrait une personne merveilleuse et j'en suis tomber amoureuse. À chaque jours de ma première année ici, je me levais et me demandais si un jour quelqu'un pouvais m’accepter tel que j'étais. Aujourd'hui, j'ai eu ma réponse et je t'aime plus que tous.
J'avais trouver la personne avec qui finir mes jours. J'étais ci bien sur lui. Puis, je sentis un petit tremblement de sa main. je levais les yeux et lui dit :
Tu vas bien ? C'était quoi ce petit tremblement avec ta main. Dis moi que ça va et que ces pas une conséquence de ce qu'il ton fait là-bas ? |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 28 Déc - 15:01 | |
| Même si quelque chose n’allait probablement pas, je continuais quand même ce que j’avais commencé, sans aucune envie de m‘arrêter. Je voulais simplement conserver cet état si profond de tranquillité, que j’avais souhaité vivre depuis si longtemps.
Tel un métronome qui n’arrêtait jamais sa course, mon doigt n’arrêtait pas d’effectuer ses mouvements circulaires dans la paume de la main de Rachel, telles des caresses simples, mais qui symbolisaient un moment de bonheur, chose que je n’avais pas pu vivre depuis si longtemps, depuis le semblant de famille que j’avais pu former dans le passé. Mais cette histoire ancienne, je l’avais perdue de manière cruelle. On m’avait ôté toute parcelle de bonheur, ne laissant que des larmes, des douleurs immuables avec le temps. Plus je souffrais et plus je perdais espoir ainsi que la force de sourire et d’exprimer mon bonheur. Cette carcasse retenant ses émotions était née à cause de ses terribles évènements, et elle n’avait fait que grandir, de jours en jours, pour rester dans mon esprit comme une évidence immuable, que je n’allais jamais pouvoir changer…jamais…
Mais, l’espoir commençait enfin à revenir grâce à l’arrivée de Rachel dans ma vie. Ressentir cet amour aussi puissant pour elle, avait ranimé une flamme qui était restée pendant un long moment en sommeil. Je revivais, mon humanité aussi. Les émotions revenaient, et je devenais meilleur, parce que j’avais pu retrouver le sentiment parfait que je n’avais pas pu avoir pour me sauver. Oui, je considérais cet amour comme un sauvetage, car je me sentais perdu. Je m’étais égaré sur le chemin de la vie, souffrant terriblement à l’intérieur de moi-même. Rachel me ramenait vers le droit chemin, celui d’une vie humaine et normale, avec un amour capable de naitre et de sortir complètement. Je pouvais ressentir toutes ces émotions positives qui m’avaient déserté autrefois. Rachel avait changé ma vie, au point que je puisse espérer pouvoir passer le reste de ma vie avec elle, et l’aimer jusqu’à mon dernier soupir. Je croyais au parfait amour, et j’avais l’impression de l’avoir trouver rien qu’en pensant à Rachel.
Malheureusement, le spectre de mes tortures planait encore sur moi, et ce tremblement en était la preuve. Une douleur demeurait encore en moi. Elle était encore en sommeil jusqu’à maintenant, et je commençais à la ressentir de nouveau, comme si j’étais destiné à voir ma vie s’empoisonner par la tristesse et la souffrance. Mais quelle était la cause de ce tremblement ? Quelle était la blessure responsable de cette marque de souffrance ? Je n’en savais rien, mais j’étais bien conscient d’une chose. Une blessure demeurait forcément présente en moi, et n’avait pas du guérir depuis mon évasion de cet endroit. Je n’étais peut-être pas entièrement rétabli, en tout cas à priori. Je ne savais pas ce qui m’arrivait, et c’était bien ce qui m’embêtait. J’étais peut-être la proie d’une torture inconsciente, et je ne savais même pas de quoi il s’agissait.
Mais je l’aimais ! Je l’aimais plus que tout, au point de vouloir la rendre heureuse, absolument, mais je ne faisais que l’inquiéter, à cause de mon état. J’étais responsable de son inquiétude, encore une fois. Pourquoi me faire autant de mal ? Pourquoi nous faire tant de mal ? Mais pour quelle raison le destin s’entêtait-il à me faire subir le pire, alors que je ne demandais qu’à avoir le meilleur de la vie ? Tout ce que je voulais ne se résumait pas à grand-chose pourtant ! Je souhaitais aimer la vie, l’apprécier à sa juste valeur. Était-ce trop demandé ou bien n’avais-je pas le droit d’espérer cela de mon existence ? Trop de questions existentielles allaient assassiner mon cerveau à la longue…
Ces questions, que je me posais dans ma tête, entrainaient un retard de réponse. Je ne répondais pas tout de suite à l’inquiétude de Rachel. Seule une chose me sortit de cette immobilité qui s’était emparée de mes mots. Un deuxième tremblement s’emparait de ma main, un peu plus flagrant mais toujours d’une courte durée. Dans un sens, heureusement que cela demeurait encore court, car cela ne pourrait être que pire si jamais c’était plus long.
Là, le mouvement métronomique de mon doigt ne put pas résister. Je me mis même à tenir ma main droite, au cas où qu’un autre tremblement veuille surgir, de telle sorte à l’arrêter d’avance.
- J’aimerais réellement te dire que je sais ce qui m’arrive, afin de pouvoir te rassurer, mais j’en suis incapable, parce que je ne le sais pas. Je ne comprend rien. Je suis sorti de cet endroit pourtant. Mes blessures sont guéries, elles ne sont plus là, mais ma main tremble quand même. C’est bizarre, mais peut-être que cela va passer tout seul, que cela ne durera pas.
Mais ma culpabilité demeurait largement présente. C’était très dur, trop dur…
Pour une fois depuis longtemps, j‘avais la chance de vivre une soirée normale avec celle que j‘aimais, mais mes problèmes me rattrapaient quand même, comme si j‘étais destiné à ne pas avoir de chance. Mais j‘allais combattre cette succession d‘ennuis, j‘allais gagner, et je n‘allais jamais pouvoir abandonner. Je restais fort, et je resterai toujours fort.
- J’ai la force de me battre, et jamais je ne lâcherai l’affaire, je peux te le promettre. J’ai simplement envie de rester avec toi, et continuer de vivre ce moment magique.
*je veux continuer à t’aimer…*
- Mais je m’excuse quand même…parce que j’ai l’impression que c’est ma faute ce qui se passe. Tu voulais juste une soirée normale entre nous, et je le voulais aussi, surtout après ce qui m‘est arrivé, mais je t’inquiète de nouveau, alors que je voulais juste te rendre heureuse.
*c’est ma faute*
Je tenais toujours ma main, et j’avais l’impression que cela suffisait à calmer les tremblements de celle-ci. Elle était plus tranquille, et cela me soulageait. Cela me confortait dans l’idée que ce mal n’était peut-être que temporaire.
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 28 Déc - 22:28 | |
| Pourquoi le destin ne pouvait t'il pas me laisser et laisser Samuel tranquille ? Il avait assez soufrait comme ça et moi j'étais pas prête à souffrir de nouveau. Quand je sentis le premier tremblement de main de Samuel. Je me relevais un peu et gardait ma main dans la sienne. Il était guérir des blessures qu'il avait eu pendant sa fuite, alors pourquoi il souffrait toujours ? Si c'était ces personnes qui lui avaient fait mal. J'étais contente qu'on n'en entend plus parler, mais d'un autre je ne l'étais pas, car j'aurais voulu des réponse à ceci. Je ne voulais plus le voir comme ça.
Je me relevais complètement quand je sentis un deuxième tremblement de sa main. Ce ne fut pas pour longtemps, mais je commençais à m’inquiéter pour lui. Comme toujours, mais c'était plus fort que moi. Au moins, ça montrait que je l'aimais et que je ne voulais pas le perdre. Ça jamais mon bonheur est avec lui et seulement avec lui maintenant. Quand il me dit qu'il n'avait pas la réponse à ce qui se passait. J'avais la bouche grande ouverte et je ne pouvais sortir aucun mot. Je me levais debout et faisait les cent pas.
J'avais des larmes comme à mon habitude. Comme je l'avais dit c'était plus fort que moi j'y pouvais rien si j'étais trop sensible. Un défaut qui devenait de plus en plus lourd pour moi. Il me disait que sa allait passer peut-être tous seul, mais j'en n'étais pas sûr. La preuve avec ce deuxième tremblement j'en n'était pas sûr. Je m’inquiétait peut-être trop, mais il fallait que je m'inquiète c'était la vie de mon amoureux.
Il me disait qu'il avait la force de se battre et qu'il ne lâcherais pas. Il me le promettait et j'avais confiance en ceci. J'allais le soutenir au fil du temps comme toujours. Je revenais vers lui et me baissait face à lui qui était toujours sur le divan. Je pris mes deux mains et l'écoutais quand il me disait que tout ceci était de sa faute. Il ne voulais qu'une soirée normale avec moi et il savait que moi aussi je la voulais. Il m'était tout ceci sur sa faute, mais je savais qui était les vrais responsable de ceci. C'était ces scientifique fou qui on voulu jouer dans son cerveau. Je leur en voulais tellement. Donc, je serrais mes deux mains dans la sienne et lui dit :
Ne met pas la faute sur toi. La faute revient à ceux qui ton fait du mal pendant toute la semaine et qui ton séparer de moi. Si ton amis ne s'en n'était pas charger je l'aurais fait moi-même il n'on pas le droit de te faire ce qu'il on fait.
Je laissais un de mes mains dans les siennes et avec l'autre j'enlevais les larmes qui coulait le long de mon visage. Ces larmes je savais que Samuel ne les aimait pas, mais elle coulait et couloait et ne semblait pas s'arrêter. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Jeu 29 Déc - 23:34 | |
| Pourquoi le destin avait-il décidé de s’entêter à endolorir la vie de personnes qui n’avaient absolument pas demandé à souffrir de la sorte ?
Ces malheurs, ces histoires si horribles, n’avaient aucun sens, car elles ne faisaient qu’amener de la souffrance et de la tristesse en chacun de nous. Je ressentais le malheur de cette manière, et je savais que je n’avais pas tort, car personne ne pouvait aimer une vie en pleurant sans cesse, et en ne faisant que crier de douleur. En tout cas, moi je n’aimais pas ce genre de vie, et jamais je ne pourrais apprécier cela. Tout ce que je souhaitais, c’était de vivre dans le bonheur, et surtout d’y rester pour toujours. Cet espoir je l’avais perdu pendant longtemps, mais ce n’était plus le cas à présent, car Rachel était là. Rien que sa présence, ainsi que cet amour que je ressentais pour elle, m’aidait à comprendre que j’avais encore une chance d’être heureux, et de vivre enfin une vie humaine, sans toutes ces tortures qui me faisaient tant de mal parfois. Elle était et resterait toujours la lumière de mon âme, celle qui était parvenu à ranimer une flamme qui s’était éteinte en moi, longtemps auparavant : mon humanité, cet aspect de moi-même qui amenait ces émotions sur mon visage.
Mais la souffrance revenait toujours à la charge, comme si elle ne pouvait pas s’enfuir et me laisser en paix.
Au bout du second tremblement dans ma main, Rachel s’était complètement relevée alors que je me trouvais encore sur le divan. Elle s’inquiétait pour moi, et je le voyais bien. C’était pour cela que je me rejetais la faute de ce qui arrivait, car il s’agissait du complet opposé de ce que je souhaitais pour Rachel. Je voulais la rendre heureuse, qu’elle puisse ne plus pleurer, mais elle s’inquiétait pour moi…voilà le résultat de mes espérances. En fin de compte, je n’obtenais que l’exact opposé comme à chaque fois. Mon bonheur était avec elle, et j’en avais largement conscience. Pourtant, mes tortures ne m’amenaient pas forcément un quota de chance…bien au contraire. Cette souffrance en était la preuve. Les tremblements allaient et venaient, et je ne savais même pas pour quelle raison. Je ne faisais que subir ce qui se passait.
Et elle pleurait…là ça me dévastait. Je souhaitais tout sauf cela. Ces larmes, cette marque de douleur, je l’avais tant subie pendant une semaine entière, que je n’avais pas envie de voir celle que j’aimais la subir par ma faute. Cette injustice, je la refusais, mais elle était quand même là, tout ça parce que ma main tremblait, encore et encore ma faute… Pourtant la source de ce mal était forcément cette succession infinie de tortures. Ces scientifiques avaient du me faire quelque chose, mais j’ignorais de quoi il pouvait bien s’agir. Il ne s’agissait que d’une histoire bien compliquée, trop compliquée, mais si seulement elle pouvait se finir, quel bien immense cela pourrait devenir. Ce serait une fin définitive, quelque chose qui pourrait enfin soulager ma conscience, mais aussi celle de Rachel, car je l‘aimais tellement. Je ne la ferais plus souffrir si mon mal cessait par la même occasion.
C’était une vision idyllique de l’avenir, mais je l’appréciais, et je l’aimerais encore plus si jamais elle se réaliser.
Ma promesse interne était claire, j’allais me battre, jusqu’au bout, et ainsi tout faire, pour que ces larmes ne puissent plus recommencer à tomber, et à la faire souffrir. Je ne voulais plus voir cela…
Rachel serrait par la suite ses deux mains dans la mienne, en me rappelant que ceux qui étaient responsables de mon mal n’étaient autre que ceux qui m’avaient séparé d’elle, pendant toute une semaine. Elle me disait même qu’elle aurait pu se charger d’eux si jamais mon ami ne l’avait pas fait. Et je la voyais pleurer, en tentant d‘étouffer ses larmes, et de les faire cesser. Peut-être était-ce parce qu‘elle se rappelait de ce que j‘avais dit, et que je n‘aimais pas voir ces larmes tomber, enfin ce n‘était qu‘une supposition bien évidemment. À force de voir de les voir, je ne pouvais plus me retenir. Je la pris dans mes bras, car son bonheur était plus important que mon bien-être. Tant pis pour ma main, Rachel était devenue ma vie, toutes mes chances de vivre un avenir heureux, et j‘allais penser à elle, simplement à elle. Ma raison de vivre était toute trouvée désormais, et jamais je n‘allais la perdre…plus jamais…
- Ils m’ont séparé de toi, mais maintenant je suis là. Je suis vraiment là, et je ne partirai pas. Ils ont fait ce qu‘ils ont fait, mais ils ont payé le prix fort pour leur acte. Mon ami me l‘a assuré en me disant qu‘ils ne peuvent plus me faire du mal. Je peux te l‘assurer, cette histoire n‘est plus qu‘une histoire ancienne. lui disais-je en ne la quittant pas des yeux, ces yeux toujours humidifiés par des larmes…de la tristesse.
Cette tristesse était encore présente. Il ne fallait plus qu’elle soit là…
Voyant des larmes toujours tomber des yeux de Rachel, et humidifier ses joues, je bougeais la main, qui n’avait pas tremblé, pour pouvoir les essuyer, et ainsi faire qu’elles ne tombent plus, car il s’agissait de ma promesse : mettre fin à la tristesse et apporter le bonheur, car nous en avions réellement besoin.
Ma main restait un moment sous ses yeux, pour pouvoir essuyer ces larmes, et montrer que j‘étais là pour elle.
*plus de larmes…plus rien…pitié…*
- Rachel, non, ne pleure pas, je t’en supplie. Là, il n‘y a aucune raison d‘avoir peur, car nous sommes ensemble, juste toi et moi. Il n‘y a aucune méchante personne souhaitant m‘enlever pour d‘obscures raisons, ni d‘obstacle qui a envie de nous embêter, ni autre chose qui n‘entrerait pas dans la liste que je viens de construire tout seul. Cette longue semaine, complètement seul, m‘a suffit pour comprendre que ma place est ici, avec toi, et que je ferai tout pour ne plus être éloigné de toi. Je ne veux plus partir.
Cette proximité était une chose que j’appréciais, et que j’aimerais réellement conserver. Cela me calmait et définissait peut-être une sorte de remède à ce qui m‘arrivait : ce tremblement illogique qui n‘avait pas de sens. Un mal profond sommeillait en moi, et le fait de pouvoir vivre une vie humaine, avec des sentiments positifs, surtout liés à l’amour, ne pouvait être que le plus grand des remèdes. Je me sentais mieux quand je pensais à l’amour.
Je ne la quittais toujours pas des yeux, pour montrer que j’étais là pour elle. Tant que je n’étais pas défaillant au point de trembler, je voulais passer du temps avec celle que j’aimais, en espérant que tout ceci ne soit pas trop demandé pour la vision même du destin.
C’était ce dont j’avais besoin. C’était clair, non ?
- Ce sentiment est si tranquille, il apaise l’âme beaucoup plus que n’importe qui pourrait le faire. Je ne tremble plus depuis un moment. Depuis le dernier tremblement, je ne pense qu’à une chose, et c’est toi. Je ne me focalise que sur ce que je ressens de bon, et non sur la souffrance. C’est un principe que l’on a tenté de m’expliquer pendant des années, et que je n’ai pas voulu réellement comprendre, mais maintenant je sais ce que cela signifie. J’ai conscience que le bonheur peut améliorer nos vies, et tu l’as fait pour moi.
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Ven 30 Déc - 23:28 | |
| J'étais toujours debout et les larmes coulait de mes yeux. Je ne pouvais pas avoir plus de 45 minutes de bonheur. J'essayais de les enlever, mais elle revenait à chaque fois. C'était de pire en pire et je ne pouvais rien faire. Je regardais dans le vide et parlait à ce fameux destin qui ne faisait que du malheur dans notre couple en ce moment.
Tu crois que ces drôle ce que tu fait ? Pourquoi avoir mit cet homme sur mon chemin ? Cet homme merveilleux avec qui je veux avoir une relation normale. Et toi fameux destin tu nous met un malheur à chaque fois qu'on se voit. Pourquoi ?
Je revenais vers Samuel et prit ces deux mains dans les miennes. Je savais qu'il n'aimait pas me voir aussi triste qu'en ce moment. Mais, j'y pouvais rien c'était plus fort que moi. Je n'aimais pas le voir souffrir et là avec cette main qui tremblait. Je ne voulais que revenir en arrière il y a quelques minutes ou il n'y avait même pas eu ce tremblement de main. Mais, je ne pouvais pas et je devais rester là. Puis je sentis deux bras me serrer très fort et me réconforter. C'était mon amoureux j'essayais d'arrêter les larmes. Mais, elle continuait et laissait une trace mouiller sur les vêtements de Samuel.
Il me disait que maintenant nous étions plus séparer. Qu'il avait fait ce qu'il avait fait, mais qu'il en avait payer la conséquence. Il essayait de me rassurer en disant que cette histoire était loin et qu'elle était de l'histoire ancienne. Mes yeux ne lâchait pas ceux de Samuel. Je voyais l'autre main de mon petit ami qui essuyait mes yeux. Les larmes coulaient encore et encore, mais après quelques minutes elle arrêtait.
Il me disait qu'il fallait que j'arrête mes larmes. Il n'avait aucune raison d'avoir peur, car nous étions ensemble. Il n'y avait personne pour venir nous déranger. Que la longue semaine loin de moi lui a fait comprendre que sa place était à mes côtés.
Cela faisait quelques minutes qu'il m'avait dans ces bras et je n'avait sentit aucune de ses mains trembler. Je relaxait un peu et écoutait ce qu'il me disait. Ce qu'il me disait me touchait beaucoup et je ne savais pas quoi dire. Il avait raison j'avais changer sa vie. J'avais améliorer sa vie d'un point de vue qu'il ne pensait pas. Donc, je lui dit :
Ce changement je suis contente qu'il soit arriver. Mais si madame destiner pouvais m'écouter quelques minutes. Elle prendrait conscience que ce que je veux se soir ces une soirée normale avec toi. Ces tout ce que je demande après elle pourrait mettre n'importe quel évènement surnaturel sur notre chemin. Je ne veux que se soir de normal ces tout. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mar 3 Jan - 1:03 | |
| À côté de la souffrance, que je pouvais parfois ressentir avec ces migraines, qui pouvaient frapper à tout moment, celle de l’âme était bien plus horrible, et donc très compliquée à supporter. Je voudrais tellement pouvoir y mettre fin, arrêter les assauts de la terrible madame Destinée, mais elle n’avait pas envie d’entendre mes volontés, et surtout de les respecter. La vie était si compliquée parfois, que l’on pouvait s’y perdre.
Mes deux bras serraient le corps de celle que j’aimais, et cela me relaxait. Je parvenais à calmer cet éventuel stress qui pourrait faire trembler ma main car, depuis cet instant, je ne pensais qu’à une seule chose, et c’était elle. J’oubliais mes problèmes en étant avec Rachel car je ne pensais qu’à son bonheur, la rendre heureuse car je tenais à elle.
Ce que je ressentais pour elle, était le plus fort des sentiments d’un esprit. Il s’agissait de l’amour, le plus sincère d’entre eux. Voilà une vision du coup de foudre, le moment où une âme avait conscience du fait qu’elle avait trouvé la personne qui était faite pour elle. Ce jour-là, où ce coup de foudre m’avait frappé, tout était devenu clair dans mon esprit. J’avais compris que cette fille, même si à l’époque je ne la connaissais qu’à peine, était celle que j’attendais. Elle était cette personne qui allait ranimer mon humanité, et je n’avais pas tort, car Rachel avait eu cet effet sur moi, et même bien plus encore que cela. Sa présence, rien qu’elle, m’avait transformé en quelqu’un de meilleur, de plus humain. Je ne cachais pas mes émotions quand je me trouvais avec elle, et je me préférais largement ainsi. Je vivais mieux ma vie quand je devenais humain.
La preuve simple, que le bonheur de ma bien-aimée était bien plus important que n’importe quelle autre chose, était ce sourire, que je pouvais récupérer lorsque Rachel retrouvais également le sien. Cet échange de bonheur était la plus bénéfique des issues pour moi. Grâce à elle, je pouvais penser à quelque chose de bon, quelque chose qui amenait de la douceur dans nos vies, une tranquillité bien nécessaire parfois, si ce n’était peut-être même souvent d’ailleurs. Ce cadeau, je ne l’obtenais qu’avec elle, et seulement avec elle. Voilà une autre preuve que Rachel était unique à mes yeux.
Cette douceur m’aidait. Depuis quelques minutes, je ne tremblais plus. Rachel m’avait guéri. Elle m’avait réellement guéri. C’était incroyable mais pourtant réel. L’amour était le plus puissant remède pour mon âme.
- Je ne pensais vraiment pas pouvoir vivre un changement aussi beau que celui que tu as pu procuré sur mon âme. Mais cela me fait beaucoup de bien, le plus inestimable des biens même. Je me sens meilleur en ta présence. Ce changement, je le dois uniquement à ta présence.
Il s’agissait de la plus puissante des vérités. Je croyais réellement en ce que je disais, car c’était vraiment ce que je ressentais. Rachel me procurait tout ceci, et jamais je ne pourrais oublier cela, jamais.
- Honnêtement, si madame destinée avait un visage et si on pouvait lui parler de nos problèmes, afin qu’elle puisse les effacer comme par magie, tout serait plus simple. Ce serait magique. On a tous des pouvoirs hors du commun, mais on n’a pas celui d’effacer nos problèmes, et là tu ne peux pas savoir à quel point j’aimerais le faire, rien que pour toi. Je pourrais même gravir n‘importe quelle montagne pour toi, même si je ne sais pas ce que cela fait.
*la folie positive ? Original*
Je la regardais toujours. Je n’avais pas envie de bouger et de quitter ma position, simplement pour me prouver que je ne rêvais pas.
Elle était là. Nous étions ensemble. J’étais sorti de ce calvaire, une bonne fois pour toutes. Je pouvais oublier…enfin…
- Mais, l’important est que tu sois là, que nous soyons ensemble. Et, je peux te dire que je ne bougerai pas d’ici. On restera ensemble, et on l’aura cette soirée. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 4 Jan - 17:11 | |
| Depuis quelques minutes, il n'avait pas trembler et ça me faisait du bien. À chaque fois qu'il soufrait, je souffrais moi aussi d'une façon. Je ne voulais pas le perdre. Je ne voulais pas que la peur que j'avais se réalise. Perdre ceux que j'aimais je ne voulais pas y penser. Déjà que j'avais perdue mon père, je ne voulais pas perdre ma mère, Lucy, Taylor ou encore Samuel. J'enlevais cette penser très vite de ma tête. Je ne devais penser qu'à la soirée que je voulais avoir avec celui que j'aime.
J'avais les deux bras de Sam qui me serrait fort et je me sentais plus que bien. Lui et moi c'était de l'amour qu'on ne pouvait décrire. J'avais de la difficulté à le former en mots. C'était si doux d'un façon, mais difficile dans l'autre. Madame destiner ne voulait pas nous laisser tranquille. Elle m'avait mit cet homme sur mon chemin qui avait fait rebattre mon coeur là ou je penser que personne n'allait m'aimer pour ce que j'étais maintenant. Mais, il l'avait fait et je redevenais moi-même à presque chaque minutes de la journée.
Mais, il fallait qu'elle mette des évènements horribles sur notre chemin. J'en pouvait plus de tout ceci et se soir je ne voulais qu'une soirée normale. Tout ce qui sonnait du plus normale, je ne demandait pas la lune. Mais, beaucoup moins que ça et elle ne faisait que me blesser d'une façon. Je respirais un peu plus calmement et je ne sentais plus de mains trembler. Juste deux mains qui me gardait en sécurité. Je n'en revenais toujours pas que j'étais avec lui, car quand je l'avais vu la première fois. Je ne pensais pas me retrouver ici dans ces bras. Au début, c'était comme mon sauveur qui venait me sauver à chaque fois que j'étais en danger. Mais, là je savais que c’était beaucoup plus que de l'amitié que je pouvais avoir avec lui. C'était le coup de foudre que j'avais eu pour lui.
Quand il me dis que le changement qu'il a eu était du à moi. Je devenais rouge comme une fraise, une tomate, une cerise dans le fond n'importe qu'elles fruits rouges. Je n'étais plus habituer à ce qu'on me dise ce genre de chose. Mais, si c'était un peu grâce à moi, alors mieux vaux ne rien dire. Car, je savais que si je disais quelque chose il allait dire que ce n'était pas vrai et que j'étais merveilleuse. Donc, j'écoutais ce qu'il disait sans détacher mes yeux des siens.
Il aimerait effacer nos problèmes. Tout comme moi et j'aimerais le faire juste en bougeant les doigts. Mais, la réalité était que je pouvais exploser les choses et lui contrôler le feu et guérir les lui et les gens. Je ferrais n'importe quoi pour lui. Même si je pourrais en mourir. Je me collais un peu plus à lui et lui dit :
Je ne veux plus que tu bouges trop longtemps ces tout ce que je demande. Pas comme cette semaine, ça me détruit et je sais que ça te fait la même chose. Une soirée je ne demande que ça pour le moment. Après peut-être on pourra peut-être en avoir d'autres.
J'eu un autre sourire et lui donnait un petit baiser sur la joue. J'aimais lui montrer que je l'aimais. Si seulement on pouvait en avoir beaucoup plus, mais quelque chose me disait que c'était la première de plusieurs. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Jeu 5 Jan - 2:03 | |
| Si seulement le temps pouvait se figer et décider de s’arrêter sur cet instant si unique, où le bonheur faisait battre mon cœur si fort, que je comprenais les bons côtés d’un coup de foudre comme celui-ci. Je me trouvais dans ses bras, en toute sincérité, où je pouvais montrer à quel point je l’aimais. Sa présence agissait sur mon âme comme le plus doux des tranquillisants. Elle me rendait serein, tranquille, et je parvenais à penser à une vie remplie d’humanité, où tous les problèmes auraient pu disparaître avec notre union. Nous étions ensemble, pensant uniquement au fait de vivre heureux, comme un couple. Cette vie remplie de joie, avec la personne que j’aimais le plus au monde. Rachel était unique pour moi. Personne ne pouvait être, à mes yeux, aussi parfaite qu’elle ne l’était déjà. Avec un regard, des rires qui réveillaient tant ma joie, et un amour qui m’emmenait toujours dans ses bras, cet amour vibrait dans mon organisme, et jamais il n’allait s’enfuir…jamais. Rachel, au fil du temps, était devenue une personne essentielle dans ma vie, et je voulais rester avec elle, passer ma vie à ses côtés. Ma conscience ne cessait de me dire qu’elle était celle que j’attendais depuis si longtemps, et je la croyais. Je savais qu’elle n’avait pas tort, et que je ne devais pas ignorer ses dires, alors qu’ils pourraient me rendre heureux et surtout humain avant tout, cette humanité avec des sentiments sincères que je recherchais tant depuis un moment. J’avais l’espoir de parvenir à ce but aussi beau, et je l’avais trouvé grâce à elle. Ces évènements horribles avaient une chance de prendre fin, et je pouvais y croire, réellement y croire. Jamais je ne pourrais la remercier à sa juste valeur pour cet immense cadeau qu’elle m’avait fait.
Dans ses bras, je ne tremblais plus. Mes problèmes de santé prenaient fin quand je m’enfermais dans la tranquillité superbe de cet instant. Je me sentais bien, car aucune crise ne venait me déranger. Aucune chose n’allait arrêter cet instant, oh non jamais. En voyant de si belles choses arriver grâce aux sentiments que je ressentais pour elle, je ne pourrais jamais la quitter. Jamais je ne pourrais m’enfuir alors que ces sentiments-là me ramenaient vers elle. C’était impossible. Après un passé horrible, je voudrais tant tourner la page et construire mon avenir avec une âme sœur qui complèterait mon existence. Et cette personne, c’était elle. Je la serrais toujours dans mes bras, sans bouger, et jamais je ne pourrais quitter ma position…jamais, et surtout pas après autant de temps passé sans la voir, forcé de la quitter à cause de ces scientifiques qui m’avaient enlevé et retenu contre mon gré.
Si jamais je possédais le pouvoir de modifier nos vies et de supprimer nos problèmes, je le ferai, rien que pour elle, parce que je l’aimais. Je l’aimais si fort.
Elle ne voulait pas que je parte plus longtemps, car une semaine avait déjà été très dur. Jamais je ne ferai cette erreur. Cette longue absence s’était produite par la force, à cause de ceux qui m’avaient enlevés, mais j’avais désormais toute la force d’agir, de décider de mon avenir. J’allais rester avec elle, pour de vrai, et tout faire pour qu’aucune autre brute puisse me séparer pendant toute une semaine. Une nouvelle fois, je n’avais pas envie de lui briser le cœur, mais également de briser le mien, car ces deux actions se complétaient. Voir la souffrance en elle amenait de la souffrance en moi. Ce schéma se répétait tout le temps, mais vraiment tout le temps, comme si je ne pouvais pas y échapper.
- Tant que je resterai en vie, je ferais tout pour qu’aucune autre brute ne puisse me séparer de toi aussi longtemps. Cette absence forcée d’une semaine a déjà été trop compliqué, surtout que j’étais retenu quelque part sans aucun espoir de venir te voir ou même de t’appeler pour dire que j’allais bien. Ils m’enfermaient, et ils ne voulaient pas que je m’en aille. Mais, cette histoire a trouvé une fin. Je suis désormais avec toi, et je ferais tout pour éviter que d’autres personnes veuillent m’éloigner de toi, et vivre tout ce bonheur que l’on pourra partager ensemble. Cela ne nous détruira plus…
*plus jamais…*
- On passera cette soirée ensemble, et même les suivantes. J’aimerais réellement rester avec toi. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Dim 8 Jan - 20:01 | |
| Même si le temps n'était pas figer. Elle l'était pour moi. Chaque petit moment, passer avec lui était figer. Comme si je pouvais les savourez chaque moment. Lucy me manquait beaucoup et il y avait un espace vide quand elle n'était pas avec moi. C'était ma petite soeur adoptive, elle n'était peut-être ma soeur de sang. Mais, quand je l'avais quittée pour venir habiter ici. Je ne pensais pas avoir quelqu'un qui pourrait remplir se vide qu'elle avait laisser dans moi. Ce vide était remplit à cause de Samuel. Avant je ne pouvais plus sourire, rire ni même avoir une expression de joie dans le visage.
Mais, ceci était terminer quand il était là. Je pouvais être l'ancienne moi. Celle qui prenait goût à la vie. Je ne pensais jamais avoir ce sentiment et pourtant c'était arriver. Je pouvais tourner la page sur ce que j'étais avant et essayer petit à petit de mélanger ce que j'étais avec ce que je suis aujourd'hui. Mon esprit ne faisait que penser à l’amour que je portais pour Samuel. Je voulais le plus que possible vivre une vie normale en couple avec celui que j'aime. Mais, il y avait toujours quelque chose pour nous ramener à la réalité. Celle qui nous faisait dire que nous étions pas normal et que vivre comme ceux qui n'on pas de don était impossible pour nous.
Dans ces bras, j'étais bien et je ne le sentais plus trembler. Je ne sais pas si c'était le stresse ou bien ce qu'il avait vécu pendant la semaine. Mais, ça avait arrêter dès que j'étais dans ces bras. J'étais toujours coller sur lui. Je voulais oublier ce qu'il m'avait pare rapport à cette semaine d'horreur qu'il avait vécu. Mais, c'était plus dur à faire qu'à y penser.
Je ne voulais plus qu'il part aussi longtemps qu'il l'avait fait. Car, je savais que parfois il devrait partir pour des choses à faire. Nous étions peut-être ensemble, mais le monde n'arrêtais pas. Le gouvernement était toujours là, prêt à nous attaquer encore et encore. Nous devrions nous battre même si je voulais rester le plus loin possible de tout ceci. Je n'avais jamais été un fille qui ai8me se battre, mais s'il allait faire du mal à ceux que j'aime il allait voir comme je réagis face à eux.
Puis, il me disait que tant qu'il sera en vie. Il n'y aura personne pour venir nous séparer. Je voulais tellement que ça soit comme ça. Que personne nous sépare l'un de l'autre. Car, s'il souffrait, je souffrais aussi. Il disait que cette histoire était fini et que nous pouvions tourner la page vers d'autre chose. Que le bonheur que nous allons vivre on pourra le partager ensemble. Je ne serais plus séparer de lui aussi longtemps et je ne le voulais plus.
Il me dit que cette soirée et les autres nous allions les passer ensemble et qu'il aimerait rester avec moi. Je ne le lâchait pas des yeux et lui dit :
Et tu sera avec moi aussi longtemps que moi et toi serrions vivant. Nous serons ensemble et je ne te lâcherais pas. On n'a droit au bonheur nous aussi. Ta raison on tourne la page et on passe à d'autres choses. Laissons ce qui est sombre et triste et pensons aux choses heureuses pour quelque temps.
Je voulais vraiment avoir un moment de normalité avec mon amoureux et ça allait commencer aujourd'hui. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Lun 9 Jan - 22:34 | |
| Dans le passé, ce qui marchait dans toutes les rues, traversant chaque recoin de sa vie, n’était autre qu’une coquille vide censée être moi, Samuel Langster, orphelin du bonheur, mais aussi de l’existence en elle-même. Le regard triste, mais n’osant pas l’avouer, il continuait de vivre, mais il se perdait en chemin, sans que personne ne puisse comprendre la nature d’un tel mal. Tant d’horreurs et tant de pertes l’avaient rendu ainsi, et il ne faisait que subir tortures sur tortures. À la longue, tout le monde craquait, et il le faisait aussi, dans le noir. Ces larmes, il ne les montrait pas, sans réellement comprendre pourquoi. Aux yeux du monde, il était clair que des larmes avaient pu tomber, mais jamais quiconque allait pouvoir l’entendre, en train d’admettre que ces larmes lui faisaient du mal, et qu’il en avait assez…J’avais il n’allait admettre sa faiblesse, même si la situation pouvait être calme, paisible, et ne pas prêter cette tranquillité au combat. Le secret était partie intégrante de sa vie, parce que l’amour l’avait quitté d’une manière tragique.
Heureusement, cette facette, cette âme que je croyais conserver pendant longtemps, avait l’espoir de s’enfuir et de me quitter, au point que je n’en parle qu’à la troisième personne. Il s’agissait là de ma volonté primaire de tourner la page et de passer à autre chose, et à quelle autre sublime chose pourrais-je penser en dehors de Rachel, et cet amour immense qui avait pu entrer dans mon existence.
Une renaissance avait pu se profiler dans mon esprit, et changer toute ma conscience. J’étais désormais devenu quelqu’un d’autre, de bien meilleur, capable de croquer la vie à pleines dents parce qu’elle lui procurait des bonnes choses, des sincères et uniques choses. Le sourire, je pouvais le montrer. Une expression intense de bonheur pouvait sortir de mon âme. Je pouvais crier au monde cet amour en exprimant sa perfection et son immuabilité. Le temps restait figé quand je la voyais, car je n’avais pas envie de la quitter, de l’abandonner ou de me séparer d’elle ne serait-ce qu’une seule seconde. Rester dans ses bras, aussi près d’elle, semblait durer une éternité, mais celle-ci était magique, réellement magique.
Ceux qui avaient tenté de m’éloigner d’elle, pendant une semaine, avaient eu tort. Ils croyaient que ceci allait m’anéantir, que je n’allais plus croire à grand-chose, ni même à l’amour, mais tous ces événements avaient eu l’effet inverse sur ma tête, car ils m’avaient rapproché de l’amour. Ils m’avaient fait enlacer cette amour dans une étreinte si douce, que je ne voulais pas cesser, et enfin revoir cette personne que j’aimais tant : Rachel, celle qui avait su faire battre mon cœur alors que j’avais cru qu’il s’était arrêté, abandonnant sa course folle vers le bonheur. C’était censé être mon sort, mais elle avait tout changé. À elle seule, Rachel avait sauvé ma vie, et également donné une seconde chance. J’avais la chance de vivre mon existence, l’âme remplie de sentiments, et je n’aurais probablement jamais été capable d’y croire auparavant.
Tout avait changé dans le meilleur des mondes, le plus beau et superbe des mondes, et je devais absolument en profiter. Je devais profiter de cette joie immense parce qu’elle était là, et parce que Rachel était le plus beau cadeau que j’avais pu recevoir dans toute mon existence, et probablement celui qui le restera jusqu’à la fin. J’étais certain d’avoir trouvé cette âme sœur, que j’avais tant attendu depuis si longtemps. Elle était venue vers moi par le biais du hasard, et la flamme de l’amour s’était animée grâce à cela.
Cette soirée en toute normalité, nous l’avions attendue depuis un moment, et personne n’allait gâcher cela, oh non personne. Si jamais quelqu’un osait arrêter cet instant magique, je n’allais pas rester de glace, et lui faire comprendre que cela me dérangeait.
Je ne voulais qu’une seule chose : rester avec elle, car cette sérénité et ce bonheur que je ressentais étaient inestimables.
- Il n’y a plus que nous deux, seulement nous deux, et seul notre bonheur pourra dominer ce soir. Toutes les choses sombres, qui n’ont rien à voir avec ça, resteront derrière. Là, il n’est absolument pas question que je m’en aille.
*après toute une semaine passée sans toi, je ne pourrais jamais supporter de m’enfuir, surtout que j’y ai été forcé…ces gens me retenaient…mais c’est un malheur pour un bien.*
- Je pourrais passer toute la soirée même plus encore avec toi. Je n’ai pas envie de partir. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mer 11 Jan - 20:29 | |
| Une soirée comme celle que j'avais en ce moment me faisait beaucoup de bien. Le petit accident qu'il y avait eu il y a quelque minutes était déjà fini. Je crois que ce qu'il l'avait cause était le stresse qu'il avait accumuler au fil de la semaine. C'était mon point de vue personnelle à moi. Il n'avait pas eu d'effet secondaire non plus et ça faisait plaisir. Je ne l'avait pas vu tomber dans un mini coma ou avoir mal à la tête est c'était bien comme ça. Dans un sens ça me rassurait qu'il n'ai rien du tout.
Je n'aimais pas m’inquiéter pour rien. L'épisode était terminer et on pouvait tourner la page. Mais, même si le problème de ces scientifique était régler. Il en restait un et je ne voulait pas m’inquiéter encore plus. C'était celui du gouvernement qui de jours en jours attrapait encore plus de gens comme nous. Des gens innocents qui n'on rien fait et qui se faisait séparer de leur famille. Dernièrement au nouvelle, il y avait eu une petite fille de 8 ans qui fut séparer de ces parents à cause d'un don qu'elle avait. Je trouvais cela tellement cruel de leur part. Pour le moment, les actions ne se faisait qu'au États-Unis, mais je savais que bientôt ça serait le reste du pays aussi. Ces une chance que j'ai quittée l'Europe pour venir me cacher ici d'une façon.
Mais, je chassais tout ceci pour refaire place au bonheur qui était avec moi. Après une semaine de torture, on n'avait droit à un peu de normalité là ou il n'y en n'avait pu. Surtout pour Sam, car avant de le rencontrer je ne savais pas combien de temps il avait vécu dans cette coquille de solitude. Mais, je savais qu'il avait droit lui aussi au bonheur peut-être même plus que moi pour le moment. Moi, ça ne faisait qu'un an, mais cette vie me manquait parfois.
Les journées que je passais avec Lucy était les plus merveilleuses que je me souvienne de ma vie normal. Mais, de l'autre le fait que je n'ai plus cette vie m'avait apporter un bonheur, une chaleur, la sécurité et l'amour là ou je croyais ne plus la trouver. Il m'était arriver en plein coeur. Comme si Cupidon avait envoyer toutes ces flèches vers moi et Sam. On n'avait changer l'un et l'autre en mieux. Mon âme soeur à moi et je ne voulais plus qu'elle me quitte.
À écouter comment il me parlait, Sam ne voulait plus partir. Mais, je savais qu'en dehors de moi il avait une autre vie. Et je me demandais s'il allait retourner ou il habitait, car il doit habiter à quel que part. Donc, je le regardais toujours et lui dit ceci :
Moi non plus je ne veux plus te quitter. Mais, je sais que en dehors de moi tu as une autre vie. Comme la dernière fois qu'on savait vu tu avait reçu un appel et tu avait dit que tu était trop occuper. Ça devait être un genre de mission que la personne te donnait. Mais, s'il continue à t'appeler tu ne pourrait pas toujours lui dire que tu est occuper et il va falloir que tu pars pendant quelque jours. Et tu ne pourrais pas passer que tu dors chez toi aussi, car tu dois en avoir un. À moi que tu vienne habiter ici à New York.
Je savais que ce que je disais pouvais être blessant dans un sens, car je disais qu'il ne pourrais pas toujours être avec moi. Je ne voulais pas le quitter non plus. Je vivais ici à New York et je ne pouvais pas bouger d'ici. Pourquoi la vie était compliquer comme ça. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Jeu 12 Jan - 23:53 | |
| Beaucoup de personnes, ou bien « les accros de l’accessoire », disaient vouloir, pour être comblés, qu’une avalanche de cadeaux plus qu’inutiles les percute de plein fouet. Autant d’argent pour peu de choses, car il ne s’agissait d’objets, des dépenses pas forcément utiles. Ce bonheur n’en était pas un pour moi, car je le voyais ailleurs. Pour devenir un homme comblé par la joie, une seule chose était nécessaire à mes yeux, cette présence si magnifique qui n’avait pas de prix à mes yeux. Seule la présence de Rachel suffisait à amener de la joie sur mon visage. Aucun besoin d’argent, aucun besoin de truc superflu qui ne sert qu’à l’argent, seulement elle et l’amour que je pouvais exprimer et lui apporter définissaient ma contribution à l’image de « l’homme comblé » : quelqu’un qui était complété par l’amour et la personne qui comptait le plus pour lui.
La magie de cette soirée, qui pouvait s’échanger en un regard, était une chose que j’aimerais toujours retrouver, en étant avec elle. J’aimerais tant que toutes nos soirées puissent avoir cette folle intensité de bonheur, de normalité humaine. Tout était si simple mais en même temps si magique quand je me trouvais avec elle. Tout malheur disparaissait au profit de l’amour et de tous ses effets. Je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi fort pour une personne. Le véritable coup de foudre m’avait frappé quand je l’avais rencontrée la première fois. Si Cupidon décochait des réelles flèches, prouvant l’existence véritable du mythe, l’une de ses plus belles avait du atterrir dans mon cœur, car cette flamme amoureuse rythmait désormais ma vie, et elle n’allait jamais s’éteindre. En tout cas, j’allais tout faire pour l’entretenir, car il s’agissait clairement d’une chance, pour moi, de devenir un véritable humain, avec des sentiments exprimés pour leur réalité, et non pas par obligation. Je n’étais plus enfermé dans cette coquille de solitude. Tout était réellement terminé. Je n’étais plus cette personne qui retenait tout, et qui souffrait de l’intérieur. J’étais quelqu’un, quelqu’un de normal capable d’aimer sincèrement une personne qui venait de changer sa vie, dans la plus belle des façons. Cette magie allait me suivre pour toujours. J’en étais certain à présent.
Une chose était claire : je ne voulais plus m’enfuir. Je voulais à tout prix rester avec elle, et ne plus la quitter. Une semaine de torture, une si longue semaine de torture où j’avais été enfermé, en larmes, et surtout sans elle. Tout était terminé. Je pouvais enfin vivre ma relation de couple comme je le souhaitais dès le départ, comme n’importe qui d’autre. Je gardais à l’esprit uniquement le fait que nous étions ensemble.
Mais Rachel n’avait pas tort au sujet d’un détail. J’avais également une autre vie en dehors de notre couple, à savoir mon engagement auprès du Serenity. Le détail du chez-moi n’avait pas tant d’importance que cela, car mon domicile principal ne l’était plus réellement. Mon étage au Serenity était en quelque sorte mon chez moi.
Mais je n’allais quand même pas la quitter.
- Il s’agit effectivement d’une mission que l’on aurait du me donner, mais que quelqu’un a du avoir à ma place, vu que je ne suis pas le seul à en recevoir. On est un groupe de plusieurs dizaines, enfin 80 je le pense à présent, donc une mission n’est jamais définitivement refusée. Elles existent pour aider les personnes qui subissaient la chasse aux spéciaux, et leur sauver la vie, car beaucoup souffrent à cause de cela. Le président ne s’en rend pas forcément compte.
Mais je la regardais toujours, en m’approchant d’elle.
- J’ai certes cette vie en dehors de tout le reste, mais l’important reste quand même toi. Ces missions-là ne te surpasseront pas. Je fais ces missions parce qu’il le faut, bien que je ne les fais pas toutes, mais ce n’est pas par envie, contrairement à celle que je ressens pour rester avec toi. Je veux rester avec toi parce que j’en ai envie, que je le veux réellement, et surtout parce que je t’aime. Rien ne pourra égaler cette importance que tu as à mes yeux et surtout pas ces missions où je dois combattre et non penser à moi.
J’étais sincère en disant cela, et j’avais même dit quelque chose que je n’avais jamais pu réellement avouer. Les combats, ces missions, je les faisais parce qu’il le fallait, mais leur longueur me fatiguait. Avant je passais ma vie à combattre, et à prendre les sales coups, mais cela me lassait. Depuis que j’avais trouvé un sens à ma vie, le combat n’avait plus la même saveur, n’existant que par côté nécessaire. La vie humaine m’avait accueilli en son sein, c’était probablement pour cela que mon opinion n’était plus la même au sujet du combat, et de tout ce carnage autour de la chasse aux spéciaux. Ma vie, ma véritable vie, avait trouvé une signification rationnelle, une âme sœur qui me percutait de toute sa magie, et c’était ce qui m’importait le plus dans ce monde.
- Honnêtement, cette notion de chez moi a beaucoup changé, j’ai énormément migré, et je migre encore beaucoup. À cause du fait que j’étais poursuivi, ce qui n’est plus le cas, j’ai du quitter mon précédent domicile pour aller ailleurs car ils savaient où je vivais. J’ai du m’enfuir sans que je ne le veuille, alors au fond je ne sais plus vraiment où aller. Même si on me propose un endroit où rester, par l’intermédiaire de mon groupe de mission, je ne sais pas vraiment si je dois l’accepter ou bien la refuser. Je ne me vois pas tellement plongé dans cet endroit jour et nuit. Ce serait comme s’il n’y a que cela qui existe, alors que c’est faux.
Même Amaranth était au courant. Toutes les séquelles que ma tête avaient subies m’avaient fait comprendre une chose : la vie peut subir des hauts et des bas, et ces derniers peuvent être très douloureux, beaucoup trop au point de commencer à avoir peur des conséquences sur l’avenir. J’avais eu peur au sujet de beaucoup de choses, et Rachel avait été la première. Ma peur de la perdre était plus grande que la peur de me perdre moi-même.
Ces peurs avaient eu pour effet de me faire réfléchir. Je remettais beaucoup de choses en questions depuis quelques temps, et j’avais même demandé à Amaranth de comprendre que j’avais besoin de temps pour me remettre de ce qui m’était arrivé, mais aussi pour réfléchir à mon avenir. J’étais un bon élément pour le Serenity selon lui, mais je ne pourrais probablement jamais continuer ceci pendant toute ma vie. Il était fort possible que je m’en aille, que j’habite ailleurs, sans perdre le contact avec le Serenity bien entendu…mais je n’en savais encore rien. J’étais encore perdu, trop perdu en fait. La seule chose dont j’étais certain dans mon existence, était le fait que Rachel était plus importante à mes yeux, et que cette vie que j’avais avec elle demeurait bien plus belle, plus humaine, meilleure que celle d’avant. Ces bons changements, je voulais les préserver de manière durable. J’y réfléchissais.
Je restais près de Rachel. J’étais serein, réellement serein, parce que j’étais avec celle qui comptait tellement pour moi.
- Des choses ont changé, non pas en négatif, mais en bien. Je suis libre à présent, libre de me positionner où je veux sans qu’une espèce d’équipe de scientifiques ne veuille me récupérer. Je ne suis plus emprisonné quelque part, et cela me permet de faire des meilleurs choix pour ma vie. Je n’ai plus besoin de me forcer à courir et à me cacher pour leur échapper. Je peux vivre ma vie.
*je crois qu’on ne peut pas être plus proche d’une personne que maintenant là.*
- Tu es et tu resteras la chose la plus merveilleuse qui a pu apparaitre dans ma vie. Rien ne pourra changer cela. Ce bonheur je n’ai en aucun cas envie de le quitter, et jamais je ne le pourrais je le pense. Il est tellement fort qu’il a pu bouleversé ma vie dans le meilleur des sens. Maintenant que j’ai la possibilité de choisir où aller, où rester et surtout quoi faire, c’est toi que j’aurais envie de choisir. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Lun 16 Jan - 0:45 | |
| J'aimais mieux voir ce Samuel là que celui que j’avais connu il y a quelques temps. L'amour l'avait complètement changer en quelqu'un de mieux. La magie que nous avions ce soir était vraiment hors mot. Je ne pouvais pas l'expliquer. Je n'avais jamais vécu ce genre d'émotion avec mon ex petit. En fait, avec aucune personne avec qui j'ai pu sortir. Ces comme ci en un regard je pouvais comprendre ce qu'il ressentait. J'avais pas besoin de mot pour voir qu'il était bien à l'endroit ou il était ce qui voulait dire sur le divan avec moi. Ce n'était pas une soirée grandiose, mais c'était une soirée comme je le voulais. Une soirée simple sans méchant rien que nous deux. Deux personnes qui vivaient leur amour pour une fois.
Si y une chose que je n'aimais pas maintenant c'était le fait que Samuel avait ces mission. Je ne savais pas pour quel groupe il faisait ceci, mais je savais que c'était pour aider des gens. Je ne voyais pas Samuel faire du mal aux gens et si ça arrive un jour. Je le réveillerait, car je sais qu'il n'est pas ce genre de personne. Il me disait que maintenant il était 80 au moins dans ce groupe et qu'il pouvait se séparer les tâches. Je le vis doucement se rapprocher de moi et il continuait en disant. Que maintenant c'était moi la priorité numéro 1.
C'était vraiment gentil de sa part. Car, je savais que j'étais protéger dans un sens. Quoi qu'il arrive je serais toujours là avec lui. J'ai attendus une bonne partie de ma vie pour avoir les sentiments que je ressentais en ce moment. C'était arriver et je ne le regrette pas du tout. Il était dans ma vie comme j'étais dans la sienne maintenant.
Il n'arrêtait pas de me dire que j'étais la meilleure chose qui lui soit arriver. Mais, il était la même chose pour moi. Avant lui, je n'était plus rien du tout. Je voulais en finir avec ma vie. Mais, aujourd'hui je voulais me battre autant pour mon amour envers lui que ceux qu'ils veulent lui faire du mal.
Il me disait que s'il pourrait choisir un endroit ça serait avec moi et rien d'autre. Je l’embrassait quelque secondes avant de lui dire ceci :
Alors, après se soir reste avec moi. Tu est libre de ces scientifiques et moi je ne veux qu'être avec toi. Je ne veux pus que tu me quittes longtemps. Je veux juste essayer d'avoir un peu de normalité là ou il n'y en n'a plus dans ma vie et dans la tienne.
Je voulais tellement que ça marche et qu'il reste avec moi. Il était devenu une partie importante de ma vie. Le trou qu'il y avait en vide était disparue, car il était apparue dans ma vie comme par magie. Je me collais encore plus dans ces bras. J'en avait de besoin plus que jamais. Je ne le quittais pas des yeux, je voulais une réponse positif. Mais, c'était son choix s'il voulait ou non je n'allais pas le pousser. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Lun 16 Jan - 22:41 | |
| Depuis toute ma vie, si longtemps, j’avais rêvé ne serait-ce que de l’ébauche d’un instant, où je pourrais choisir le tournant de ma vie sans en regretter, ne serait-ce qu’une seule seconde, les conséquences qui pourraient en découler, mais là, je ne pensais qu’au bonheur, au véritable bonheur. Pour une fois dans ma vie, j’avais l’occasion de me ranger, d’abandonner l’idée de combattre constamment pour n’adopter que l’occasionnel, quelque chose de beaucoup plus supportable. Je pourrais me concentrer sur moi, mon avenir, et enfin cette occasion que j’avais d’aimer quelqu’un et de construire ma vie avec une personne aussi parfaite que Rachel. J’avais pu rencontrer mon âme sœur, et enfin ma vie me donnait l’occasion d’être heureux. Je devais saisir cette occasion au vol, et jamais la laisser s’enfuir. Jamais je ne devais refaire l’erreur de tomber une nouvelle fois dans la tristesse qui m’avait tellement détruit par le passé, surtout quand ma vie pouvait être si belle. Le choix était claire. Je n’allais plus faire autant de missions pour le Serenity. J’allais prendre la majeure partie de mon temps pour penser aux composantes même du bonheur : la joie, la tranquillité et surtout l’amour, le véritable amour. J’allais vivre ma vie pour continuer de la préserver, en fin de compte, et c’était bien mieux ainsi.
Je préférais largement cette situation à celle qui était la mienne auparavant : une coquille forcée à être vidée de ses émotions pour simplement penser au combat. Maintenant j’allais devenir une conscience humaine, quelqu’un qui avait la chance de vivre sa vie remplie de sentiments, mais aussi de rencontrer l’amour. Le combat devait prendre une partie moindre dans mon existence. Il le fallait à vrai dire. Je devais apprendre à définir des priorités et à penser à ces choses si bonnes, qui pouvaient améliorer mon existence, dans le meilleur des sens. Rachel était la meilleure de ces choses, et jamais je n’allais l’abandonner…jamais… Ces sentiments si forts, je les avais attendu toute ma vie, et ils m’arrivaient enfin. Ils m’aidaient à renaître comme jamais !
J’étais libéré, et je parvenais enfin à en prendre conscience à présent. Je pouvais changer ma vie et ainsi prendre des décisions importantes pour la suite. J’étais désormais capable de vivre ma vie comme tout le monde. Après autant de galères subies, tout était clair. J‘allais rester avec elle. Ma vie n‘allait pas connaître le combat comme priorité. Cela allait se définir uniquement avec elle, et seulement elle.
- Je suis en effet libre, pour la première fois depuis longtemps. C’était tellement inespéré, que cela paraît encore incroyable à mes yeux. Mais c’est pourtant réel. Je peux enfin penser à la vie sans pour autant me dire que le lendemain je devrai courir, pour continuer de fuir des scientifiques qui me veulent du mal. C’est du passé, c’est si bon de dire ça ! disais-je en exprimant ma joie. - Ce temps pour rester tranquille m’a aidé, et je pense que tout est clair à présent. La seule chose que je veux, c’est être avec toi. Je ne veux pas être forcé à fuir comme ce qui a été le cas pendant toute cette semaine, où j’ai été retenue de force. Une vie de normalité et d’amour, c’est uniquement à cela que je pense à présent. Je préfère largement ce sort à toute cette tristesse qui m’accablait auparavant.
*et en même temps, comment mentir à ce sujet*
- Ce bonheur, je le ressens avec toi, alors pourquoi m’enfuirais-je, quand je n’ai fait qu’attendre cela pendant toute ma vie ? Il est évident que c’est cela que je veux. J’ai les mêmes souhaits que toi. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) Mar 17 Jan - 23:03 | |
| Pour la première fois de ma vie, je pouvais penser à avoir un futur avec quelqu'un. Alors, qu'il y a quelques mois je ne pensais pas que ça allait arriver. Pourtant, j’avais quelqu'un avec moi, qui m'aimait même avec mes défaut, mes problèmes et le fait que je suis beaucoup sensible sur certains points. Certains, était derrière nous, mais d'autre comme mon côté sensible en pourra jamais partir. J'étais faite comme ça et je ne pouvais pas le changer. Et Sam avait apprit à accepter mon côté plus émotif.
Il n'y avait plus personne pour nous attaquer et nous faire mal. Il était libre de choisir ce qu'il voulait sans avoir peur. S'il voulait rester avec moi c'était son choix. S'il voulait partir et toujours rester ou il était. Je respectais son choix et ces tout à fait normal. Après tout, nous étions encore tôt dans notre relation. Mais, je ne voulais plus qu'il me quitte aussi longtemps. Le seul fait de l'avoir loin de moi me faisait mal. Même si notre relation, ne datait que de quelque temps. Pour moi c'était comme ci ça ferait 2 ou 3 ans. Même si on voulait une relation normale, notre lien ne l'était pas du tout. C'était vraiment plus que magique.
Notre madame destiné, était finalement avec nous se soir. Nous avions notre soirée tranquille juste nous deux. Il n'y avait pas eu aucun évènement pour nous déranger. Juste une main qui avait trembler, mais c'était disparue. Je ferais tout pour protéger notre amour. Je pourrais me jeter devant une balle pour lui. Mais, rien n'allait arriver pour le moment. C'était juste moi et lui et personne d'autre. Les mots me manquait pour exprimer ce que je ressentais. Je ne pouvais même pas aller dans un dictionnaire et trouver le mots, car il ne sera pas là.
Il me dit des paroles qui était très vrai. Ce qu'il avait vécu était terminer et je pouvais l'aider à oublier cette étapes lourde. Il voulait une vie normal avec plein d'amour et je pouvais lui donner ceci. Il me disait qu'il me pouvais pas partir et pourquoi il le ferait quand j'étais ici à côté de lui. Il me disait que ce que je souhaitait c'était ce qu'il voulait aussi. Donc, je lui dit ceci :
Alors, reste avec moi et quand il faudra que tu pars. Tu pourra le faire pour ces mission que tu as à faire et après je serais là quand tu renterais des jours après.
C'était vrai ce que je disais. J'allais toujours attendre qu'il passe la porte de mon appartement. C'était la seule chose négative que je voyais à la relation que j'avais avec lui. C'était trop triste le voir partir pour une mission, mais il y avait des gens comme nous qui n'avait pas autant de chance que ceux que je connais et qui n'on pas la chance de se défendre. Ces des personnes comme Samuel qui les défend. Donc, j'allais être patiente et de toute façon moi de mon côté il fallait que je gagne de l'argent pour faire vivre ce petit appartement dans lequel j'étais en ce moment avec Sam. |
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| Sujet: Re: You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) | |
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| | | | You're the First, the Last, My Everything (avec Rachel A. Silverstone) | |
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