Aidez-moi... sauvez moi - avec Samuel Langster

Encore une autre journée, ou il fallait que je me cache. Depuis, la journée où il y avait eu cette annonce ma vie et ceux de millions de personnes. Ma vie me manquait et j’avais cette chose en moi qui venait d’arriver. Depuis, quelques temps déjà j’étais plus nerveuse que d’habitude… pourquoi ? Tout ceci à cause d’un pouvoir si je peux l’appeler comme ça. Moi j’aimais mieux dire que cet un truc pourri. Le genre de chose que vous voulez vous débarrasser, mais jusqu’à maintenant je ne pouvais rien faire. De plus, il me donnait mal à la tête à chaque fois qu’il se manifeste. Ce qui veut dire à chaque fois que je suis fâchée ou émotionnelle. Je n’aurais pas peu avoir un autre pouvoir comme moins dangereux. Parce que déclencher des feux à chaque fois fait un peu peur. Et plus la colère et grande plus les feux sont dangereux et puissant. La seule façon que j’ai trouvée pour calmer mes maux de tête à été la musique. Mais, je n’écoute plus de musique calme comme des ballades à la sauce pop ou d’autres chansons de ce style. Non, maintenant c’est du métal, punk ou tout ce qui fait beaucoup de bruits. J’avais un petit job qui ne me payait pas beaucoup, mais j’avais de quoi me nourrir et juste assez pour avoir un toit au-dessus de moi.

Je me souviens encore du jour au tout à changer. Mais, maintenant je devais plus me cacher que ça. Je me suis presque fait prendre il y a quelque temps si une certaine fille du nom de Tracy n’était pas venu me sauvée. Je serais peut-être morte ou pire qui sait. Donc, en ce moment je faisais beaucoup de déplacement et je ne restais pas longtemps dans les appartements que je louais. Justement cette fille Tracy voulait que j’aille avec elle et le groupe des Heroes, mais j’avais dit non. Pas que je ne voulais pas, mais pour le moment je voulais être seule et essayer de contrôler mon don. Dans le monde, que nous sommes en ce moment je ne fais pas confiance et je le faisais beaucoup moins avant. Je n’avais qu’une vraie amie dans le temps et aujourd’hui elle ne doit plus se souvenir de moi. Mais, moi elle me manque c’était comme une sœur pour moi. J’aurais voulu lui parler de ce qui m’arrivait et des changements que cela avait causés, mais je devais simplement me taire et attendre qu’un miracle arrive.

Donc, comme à chaque jour je pris le petit qui me ramenait chez moi comme je pouvais l’appeler. Sauf, qu’une personne sortit de nulle part et me prit pas le bras. Il me serrait très fort que je ne pouvais pas bouger. Je levais le visage et vit que c’était le même homme qui était venu m’attaquer la dernière fois quand Tracy m’avait sauvée. Au mon dieu ! J’allais mourir aujourd’hui dans une ruelle proche de ou j’habitais. J’essayais de me défendre du mieux que je pouvais et sans faire attention avec la colère que j’avais envers cet homme qui me voulait du mal je fis une grosse explosion dans un magasin abandonné. L’homme n’y fit pas attention et me prit les deux bras tellement fort. De toute mes forces j’espérais que quelqu’un venait me sauvée soit pas l’explosion que je venais de faire ou parce que je venais de crier de toute mes forces que j’avais besoin d’aide.

Light Of The Assassin

« Cher journal,

Enfin une journée, rien qu’une seule ! Mon réflexe, à peine entré chez moi, était d’exprimer cette superbe émotion à voix haute. Oui, je suis heureux. Pour une fois, j’allais enfin pouvoir penser à autre chose, enfin plutôt tenter de penser à autre chose. A chaque fois que j’avais ce genre de possibilité, quelque chose gâchait mes chances d’être heureux, même si j’en ai terriblement besoin. Il ne me reste plus qu’à prier, pour changer… »

Pour une fois, je pouvais vivre une journée différente, sans travail et sans problème. Ayant pu finir, un peu en avance, le développement du nouveau site internet de mon employeur, ce dernier avait décidé de me laisser un peu de temps pour souffler, et pour enfin prendre soin de moi. Bien sûr, contrairement au commun des mortels, je n’allais pas dormir, mais au contraire me dépenser, et ainsi utiliser ma force pour quelque chose de logique. En effet, j’allais enfin m’entrainer, dans cet endroit que j’avais découvert dans la ville de New-York, en quelque sorte mon sanctuaire secondaire. Là-bas, je pouvais libérer ma conscience, en évacuant mes émotions dans le combat dur de l’entrainement. Ce n’était qu’un défouloir, mais c’était une de mes seules raisons d’exister, car cela me permettait d’éviter d’être rouillé. Sans cette expérience, je serais incapable d’aider qui que ce soit.

Une fois tout mon entrainement achevé, je rangeais ma tenue de combat dans mon sac, gardant quand même quelques armes planquées sur moi. Je fermais la porte de mon endroit à clé, et commençait à prendre le chemin du retour. Je n’allais pas rentrer tout de suite à San Francisco, mais encore trainer à New-York.

*Pour une fois que tu le peux…*

Après cette pensée, mon réflexe fut de tenir ma tête, ce fameux bandage était encore là pour cacher les stigmates de l’accident du métro. Il m’arrivait encore quelques fois d’avoir une longue période de migraine, réellement douloureuse, mais c’était logique dans le fond. Il suffisait de se rappeler de mon état lorsque j’y étais encore, avec cet isolement qui avait failli me tuer, mais bon passons ce détail.

Alors que j’enjambais une nouvelle route, dans le but d’éviter la foule, j’entendais une lourde explosion non loin de moi. Un magasin abandonné venait de partir en fumée à ce que je voyais. Voulant me rapprocher plus près de l’endroit en question, j’accélérais vitesse de marche, pour suivre la fumée. Tout brulait, et ce n’était pas beau à voir. J’assistais ensuite à une scène qui me déplaisait. Un homme attaquait une jeune femme, et il avait l’air brutal. La jeune femme criait et je ne pouvais pas ignorer cet appel au secours. Arrivant par derrière, l’homme ne m’avait probablement pas vu. Me rappelant des armes que j’avais gardées sur moi, j’eus l’idée de saisir un revolver et de le coller sur le crâne du type. Mon arme étant chargée à bloc, et donc capable de perforer sa tête à n’importe quel moment. Si jamais ma colère débordait, le résultat n’allait pas être fameux.

- Ecoute-moi attentivement toi. Si jamais tu ne la lâches pas, ce petit joujou va perforer ton crâne sans remord. Ce sera la même chose si tu essayes de me doubler, car il ne valait mieux pas tomber sur moi en cet instant.

*Oh ça c’est sûr.*

Je me concentrais sur la tête de ce type, dans le but de détourner sa concentration de la jeune femme. Que voulais-je faire ? Juste faire monter un peu sa température. En effet, par rapport à mes progrès effectués dans la maitrise de mon pouvoir, je savais provoquer de la fièvre, même si c’était encore dur. Une haute température pourrait faire s’écrouler ce type, et ainsi me faciliter la tâche.

Quelques instants plus tard, la fièvre était là et le type lâchait la jeune femme dans le but de s‘attarder sur ma présence. Rien qu‘en voyant sa tête, il n‘avait pas l‘air de comprendre ce qui lui arrivait en ce moment. Il allait s‘en prendre à moi, très vite, mais je gardais les yeux fermés pour ne pas perdre ma concentration. N‘importe qui, en me regardant, me prendrait pour un fou, mais j‘étais plus que lucide. Il ne manquait qu‘un léger niveau de chaleur supplémentaire pour que le type abandonne la partie sous la pression de la chaleur, et je voulais à tout prix la lui donner.

- Si tu crois que tu me fais peur, tu as tort.

Cinq…Quatre…Trois…Deux…Un…Tout était enfin terminé. Mon plan avait fonctionné, à priori, mais est-ce que tout ceci allait pouvoir tenir très longtemps ? Je l’ignorais…

J’allais vers la jeune femme, et lui posais la question que je posais tout le temps.

- Est-ce que vous allez bien ?

C’était le moment j’allais mourir violer par un homme inconnu. Je ne voulais pas finir mes jours comme ceci. L’homme ne faisait que me dire dans l’oreille que tous devait se passer comme ceci. Je ne savais vraiment pas de quoi il parlait. Tout ce que je voulais était de revenir chez moi et de prendre le peu de chose que j’avais et changer de ville. Je criais de toutes mes forces, mais rien à faire personne ne me voyait. Encore, pire personne n’avais remarqué la fumée que je venais de faire avec mon explosion. Je ne sentais plus mes mains à cause de la pression qu’il mettait pour que je reste avec lui. Puis, tout ta coup un homme venait et il avait une arme sur lui et la pointait sur mon violeur. Je ne sais pas ce qui se passait à se moment, mais l’homme me lâchait. Comme une personne normale j’aurais peu partir et laisser l’homme contre le violeur. Mais, je ne pouvais plus bouger et à cause de l’explosion j’avais légèrement mal à la tête et mon nez saignait un peu.

Je ne savais pas ce qui venait de se passer, mais l’homme était part terre. Je ne crois pas qu’il soit mort, car l’autre homme n’avait pas utilisé son arme. Mais, j’étais morte de peur jamais je ne m’avait fait prendre dans se coin de la rue. Bon j’habitais proche d’ici depuis 1 mois, mais personne ne passait par ici. C’était un coin du centre ville que personne ne prenait pour aller chez soit. Dès que tous ceci était fini j’allais chez moi et changeait de quartier pour aller ailleurs ou personne ne pourra me déranger. Je devais contrôler mes émotions et ma colère surtout. Mais, d’un côté si je n’avais pas fait cette explosion jamais au grand jamais cet homme sera venu me voir et me sauver. Je devais le remercier de m’avoir sauvée la vie.

Merci de m’avoir sauvée… il n’est pas mort tout de même ?

Il était peut-être un malade mental, car je n’ai jamais aimé ceux qui violent des femmes. Je disais toujours que ceux qui faisait ceci était des fous. Même si maintenant je venais de le vivre je me dis qu’il ne devait pas se faire tuer pour ça. C’est quand même un être humain, mais d’un autre côté il devait se faire tuer. Je commençais à sentir un peu plus mes mains, mais j’avais quand même très mal. Ces fou ces comme si l’homme en question avait une force surhumaine. J’en n’avais même des marques rouges à l’endroit ou il m’avait fait mal. J’essayais de les cacher de mon sauveur, mais je crois qu’il les a vus lui aussi. Je voulais me retourner pour aller me soigner chez moi, mais il prit la parole et je m’arrêtais pour l’écouter.

Light Of The Assassin

L’homme était à terre, inconscient, et j’avais réussi à ne pas utiliser mon arme pour le mettre hors d’état de nuire. Pour une fois, je n’avais eu à me servir du dernier recours dont je disposais, à savoir la mort. J’aimais le combat, cette passion pour les armes, mais je détestais la mort. Penser devoir, ne serait-ce qu’un jour, tuer quelqu’un, n’était pas quelque chose de plaisant pour moi. C’était pour cela que j’évitais chaque jour cette issue. Ce monstre n’était pas mort, mais juste terriblement assommé, sauf si j’avais, bien sûr, beaucoup trop forcé sur cet aspect de ma capacité de pyrokinésie avancée. Quand je regardais cette jeune femme, juste en face de moi, je pouvais voir qu’elle saignait un peu du nez, mais aussi que l’homme en question avait laissé des marques rouges, comme une force surhumaine.

La jeune femme me remerciait de l’avoir sauvée, et voulait également savoir si l’homme n’était pas mort. A vrai dire, je l’ignorais moi aussi, car cela dépendait de la force que j’avais émise dans la déflagration mentale. J’avais quand même ciblé la zone de l’esprit qui provoque les fortes fièvres, et il fallait quand même être sacrément malade pour agir ainsi. J’avais certes sauvé la vie de cette femme, mais j’avais utilisé ma capacité dans un sens plutôt douteux quand même. La jeune femme tentait de cacher ses marques, même si je les avais vues. Elle voulait se retourner pour aller se soigner chez elle, mais je prenais la parole avant.

- Non, attendez. Ne partez pas comme ça. En voyant ce qui s’est passé, surtout avec un homme comme lui, vaudrait peut-être mieux que quelqu’un fasse un bout de chemin avec vous, histoire d’éloigner ceux qui aimeraient vous faire du mal. Enfin…c’est si vous le souhaitez bien entendu.

*Ai-je tué ce type ou pas ? Si jamais je l’ai tué, cela peut être grave même si je n’ai pas laissé de trace. J’aurais tué quelqu’un…Non arrête d’y penser.*

L’explosion de l’endroit risquait peut-être d’amener des personnes par ici, curieuses de savoir ce qui avait bien pu arriver. Rester ici n’était pas une très bonne idée.

- Il vaut mieux ne pas rester ici. Si jamais quelqu’un nous voit à proximité de l’explosion ainsi que d’un homme à terre, ils risquent d’avoir des mauvaises pensées à notre égard. Que pensez-vous de ma proposition ?

*Mais qu’est-ce que j’ai fait bon sang…*

Tout ce que je voyais ces dernier mois n’était qu’un mauvais cauchemar et il allait fini. Il fallait j’allais me réveiller et je saurais que je saurais dans ma chambre en Angleterre au chaud et dans un milieu confortable avec ma famille et mes amis. Mais, non même après avoir fermé les yeux pour voir que ce n’est qu’une illusion… non c’était bien plus que vrai. Je me levais avec une légère douleur aux bras et je ne voulais qu’une chose partir le plus vite de cet endroit. Si j’avais su je ne serais jamais passé par ici. Mais, non au lieu d’avoir des flashs ou images comme des visions j’ai eu le don de faire des explosions. Mon dieu ! J’étais un monstre et peut-être la seule personne. En trois mois à New York, je n’avais pas vue d’autre personne comme moi. La journée ou cette fille, Tracy m’avait sauvée j’aurais aimé qu’elle soit comme moi. Mais, elle n’avait rien monté elle était apparue un peut comme cet homme aujourd’hui et avait sortit une arme pour tirer une balle dans la jambe de l’homme. Elle m’avait dit de courir le plus vite que je pouvais. Je n’avais ajouté la seule chose que j’avais demandé était son nom et elle me l’avait donné.

En sortant, de ce cauchemar que j’avais vécu quand j’étais arrivé en Amérique. Je remarquais que l’homme qui voulait me violer ou me kidnapper était coucher par terre et avait l’air mort. Je regardais l’homme et lui demandait s’il était mort, car il avait bien l’air pour moi. Je ne sais pas à quoi l’homme pouvait penser en ce moment. Mais, moi c’était de partir au plus vite et de ne jamais revenir. Peut-être changer de côté de ville, mais pour aller ou. Oui, New York était assez grande comme ville. Mais, je ne savais pas ou aller je ne venais pas d’ici. L’homme face à moi prit enfin la parole et me disait que je devrais peut-être revenir chez moi, mais accompagner par quelqu’un. Au début, je ne voulais pas car j’étais une grande fille. Je connaissais mon chemin pour aller chez moi. Je ne voulais pas que quelqu’un sache ou j’habite et après le dire à ces patrons qui vont venir me chercher. Je ne savais même pas si la personne devant ou était un gentil ou un méchant.

Mais, continuait en disant qu’il ne fallait mieux ne pas rester. Je devais dire qu’il avait raison, car avec la fumer dans les airs. Plusieurs personnes vont venir ici pour voir ce qui ces produit et vont voir deux personnes à côté d’un corps par terre. En plus, je ne voulais pas me faire remarquer, mais il y avait encore dans mon esprit la question de s’il était un gentil ou un méchant. Et s’il était un méchant qu’allait-il me faire à moi. Est-ce qu’il va attendre d’être chez moi pour me faire du mal. Car, si on prenait le temps de le regarder deux minutes on pourrait presque dire qu’il a un visage de fou ou de malade. Mais, il y avait quelque chose dans moi qui me disait de le suivre et que tous allait bien se passer. Donc, je le regardais un peu faiblement, car après une explosion comme ceci j’étais fatiguer. Je m’avançais et lui dit :

Oui, j’aimerais bien on sait jamais ce qui peut arriver. Vous n’avez qu’à me suivre ce n’est pas si loin.

Mais, ma fatigue me rattrapait et à peine quelques pas je tombais avant de me faire rattraper par l’homme en question.

Light Of The Assassin

Mon esprit demeurait partagé entre mon objectif primaire, à savoir aider cette jeune femme, mais aussi sur quelque chose d’important. J’avais utilisé un aspect plutôt dangereux de ma capacité. En effet, j’avais exagéré sur une technique que seule un psychopathe pourrait employer, et voilà ma frayeur. J’avais peur de changer, de ne plus être le même. Mais, dans le fond, je ne le faisais pas par plaisir, donc l’échelon ultime n’était pas encore atteint. Mon esprit ne pouvait donc pas être défini comme quelque chose de perdu, et d’irrécupérable. J’étais encore là.

Dans les yeux de la jeune femme, même si elle était reconnaissante envers moi, pour ce que j’avais fait, je pouvais remarquer qu’elle se méfiait de moi. En même temps, je n’étais qu’un inconnu pour elle, et j’avais mis cet homme à terre, sans aucune explication pour elle… Je ne pouvais que comprendre cette réaction, en vérité. Un peu faiblement, elle disait qu’elle acceptait que je la suive, et que son domicile n’était d’ailleurs pas si loin.

Mais, sa fatigue la rattrapait. A peine quelques instants plus tard, et quelques pas effectués, la jeune femme commençait à tomber. Je la rattrapais avant qu’elle n’atteigne le sol. J’étais vraiment inquiet pour elle.

- Vous êtes sûre que vous vous sentez bien ? Vous avez l’air plutôt épuisée.

*Y a-t-il un rapport entre….non non c’est stupide…*

- Vous êtes sûre que vous pourrez tenir le coup en marchant ainsi ? Vous pouvez prendre appui sur moi si vous en avez besoin.

J’étais sincère, réellement. Elle n’avait pas l’air de se sentir bien, et je voulais réellement l’aider.

Même si je ne connaissais pas le nom de celui qui m’avait sauvé. Je savais qu’il ne me ferait pas de mal. Je commençais à marcher pour aller chez moi avec l’homme qui me suivait de près au cas où quelqu’un d’autre pourrait m’attaquer. Mais, à peine quelques pas de fait que je commençais à tomber avant de me faire attraper par l’homme. Je savais que j’étais faible, mais je ne pensais pas que je l’étais à se point. Il est vrai que je n’avais jamais fait d’explosion de cette force avant. Après avoir dit à l’homme que je pouvais. Je tentais à nouveau de marcher. Car, j’étais quand même une grande fille. Je voulais peut-être me prouver que je n’avais besoin de personne pour m’aider. Mais, cette nouvelle tentative échouait de nouveau et j’eu la tête qui tournait. Alors, je compris que j’allais avoir besoin d’aide pour aller jusqu’à chez moi.

D’accord pour que vous m’aidez… je crois que je suis plus fatiguer que je ne veux me l’avouez.

Je passais mon bras autour pour avoir moins de support sur moi. Je lui mentionnais la rue et l’adresse ou j’habitais et nous commencions à marcher. Vu que New York était une grande ville avec beaucoup d’habitant et de visiteur, Personne ne remarquait l’homme et moi qui marchait. Si nous aurions été dans mon petit village ou je suis née. Tout le monde, nous aurait arrêté pour savoir se qui savait passer. Car, une fille qui se promène avec le sang qui coule de son nez et qui à l’air de manquer de sommeil avec un homme qui au premier coup d’œil à l’air d’un fou n’est pas toujours bon signe. Personnes ne parlaient, mais je n’avais rien à dire et lui non plus. Je crois que tous les deux étions plus entrait de réfléchir que d’autre chose. De mon côté, je me demande quel était son prénom. Mais, vu l’état dans lequel j’étais. Je pouvais oublier les questions pour le moment et essayer de reprendre des forces. Mais, avec ma voix faible j’arrivais à placer une phrase à l’homme.

Alors, comment se nomme celui qui est venu me sauvée ?

Voila, ma question était posée reste à savoir s’il va répondre ou non. De mon côté, je savais que j’étais bientôt arriver chez moi et que je pourrais me reposer dans mon lit et faire mes valises après.

Light Of The Assassin

Je la voyais épuisée, largement mal, et je m’inquiétais pour elle. Je n’avais pas envie qu’il lui arrive un quelconque malheur, car elle ne le méritait pas, comme tout ceux qui étaient victimes de monstres malhonnêtes. Au départ, elle n’admettait pas avoir besoin d’aide et tentait de marcher toute seule, mais elle eut la tête qui tournait, et sa tentative échouait.

Finalement, elle acceptait mon aide, car elle était plus fatiguée que ce qu’elle pensait au départ. Je m’approchais alors d’elle pour lui permettre de passer son bras autour de moi. Elle mentionnait par la suite la rue et l’adresse de son domicile afin que nous puissions commencer à marcher. Pendant la route, aucun de nous ne parlait, car je ne savais pas quoi dire. J’étais à vrai dire gêné ou bien intimidé. Je ne savais pas quel était le meilleur état pour désigner cela pour être honnête.

Au final, la jeune femme rompit le silence qui pesait entre nous, dans le but de me poser une seule question, à savoir mon nom. Je n’allais pas la laisser en plan et ne rien dire, mais plutôt lui répondre.

- Samuel, je m’appelle Samuel. Et vous ?

*Mon dieu arrête d’avoir peur. Tu te poses des questions sur le type de tout à l’heure et aussi sur toi-même…mais quelle horreur…*

Je lui avais répondu, sans attendre, car je n’avais pas envie d’être responsable d’une énième catastrophe.

- Si jamais vous avez des questions sur moi, vous pouvez me les poser, car je ne suis qu’un inconnu pour vous et je comprendrais le fait, que vous vous méfiez de moi.

*n’importe qui le ferait en même temps…*

Enfin je savais comment l’homme qui ma sauvé se nommait. Il m’avait répondu qu’il se nommait Samuel. Nous étions proche de chez moi maintenant et c’était bien dommage, car je repensais à comment il m’avait sauvée. Il avait une arme sur lui et pourtant je n’avais pas entendus de coup de feu. Comment un homme de sa grosseur avait peu mettre un homme de la grosseur de celui qui m’avait attaqué par terre ? Je trouvais cela très bizarre, mais aujourd’hui tout était bizarre avec moi en ce moment. Je n’avais plus vraiment de job ou de vie sociale. Mes amis me manquaient plus que tout. Mais je pris quand même le temps de répondre à sa question.

Moi ces Rachel, Rachel Silverstone. Je dois le dire merci de m’avoir sauvée Samuel.

Nous continuons de marcher et il me disait que si j’avais d’autres questions je pouvais lui poser n’importe quand. Justement, je voulais lui poser la question qui me trottait dans la tête depuis, quelques minutes. Mais, il fallait ce le dire que ma question n’était pas trop discrète surtout avec les gens autour. On ne sait jamais peut-être qu’il y avait d’autres gens qui nous suivaient tous les deux. Je ne faisais plus vraiment confiance aux gens de la ville. Mais, il y avait quelque chose dans cet homme qui me disait que je pouvais lui faire confiance. Arriver dans ma rue, j’étais enfin heureuse de pouvoir retrouver mon petit chez moi, même s’il était misérable comme appartement. C’était mon chez moi pour le moment et je ne savais pas combien de temps j’allais rester, mais je savais que c’était le plus proche pour moi en ce moment. Dès que nous arrivions devant la porte, je pris mes clés et ouvrir la porte. Avec l’aide de Samuel je montais les escaliers jusqu’au troisième étages. Puis, il me déposait sur mon divan qui était la seule chose que j’avais rapporté de l’Angleterre, car j’avais tellement de beaux souvenirs c’est bizarre à dire, mais c’était vrai. Je vis qu’il commençait à se retrouver alors, je pris une chance et lui posait la question :

Quand vous m’avez sauvée, vous aviez une arme, mais je n’ai jamais entendus de coup de feu. Alors, vous avez fait quoi pour le mettre par terre sans le toucher.

Malgré ma fatigue, je voulais savoir ce qui savait produit. La curiosité est un vilain défaut chez certaines personnes et j’en faisais partie, car à plusieurs reprises elle m’avait joué plusieurs tours. J’étais toujours sur mon divan à le regarder pour savoir quelle sorte de réponse il allait me sortir. Et j’espérais que ça n’allait pas être une réponse du genre que je me suis imaginer des choses ou quelque chose dans se genre.

Light Of The Assassin

Avec Rachel, nous arrivions enfin dans la rue de son domicile. Elle allait enfin pouvoir retrouver la tranquillité dont elle avait besoin. Une fois devant l’entrée de son domicile, Rachel prit ses clés et ouvrit la porte. Nous montions ensuite les escaliers jusqu’au troisième étage, où je déposais Rachel sur son divan. Une fois que je la vis enfin tranquille, je pris un léger temps pour ranger mon arme à feu dans le sac, qui renfermait mon attirail. Soudainement, Rachel me posait une question, qui devait probablement rester dans son esprit depuis un moment. Elle voulait savoir comment j’avais pu mettre le type de tout à l’heure à terre, alors que je n’avais pas utilisé l’arme que je possédais. Finalement, la question qu’elle me posait était largement légitime et compréhensible. Mais qu’allais-je lui dire ? Allais-je révéler qui j’étais ? Probablement…car je n’avais pas le choix.

Je revenais vers Rachel pour lui parler.

- Quand je vous ai vue, je sortais d’un entrainement où justement j’apprend à utiliser les armes pour savoir me défendre face au Gouvernement qui nous chasse. Même si j’essaye de tout faire pour apprendre à m’en servir correctement, enfin plutôt à expertiser l’expérience que j’ai déjà, je n’aime pas le fait d’avoir à m’en servir, surtout de sang froid. Je préfère garder ceci en dernier recours. A la place, j’ai fait quelque chose qui aurait pu m’attirer les foudres du Gouvernement, si jamais j’étais quelqu’un d’autre. Ils pourraient me chasser, mais…non laissez tomber. Je vais plutôt en venir à l’essentiel. J’appartiens au genre de personnes que le Gouvernement chasse, ceux qui ont une capacité en plus de l’être humain ordinaire, mais je ne suis pas dangereux. J’essaye de sauver la population ainsi que le monde, au lieu de le détruire et de le rendre pire que son état actuel. J’ai envie de voir une renaissance, même si je suis indépendant.

J’avais dit ce que j’étais sans révéler la nature de ma capacité. Je ne la révélerais que si Rachel me le demandait réellement, car ce n’était pas quelque chose que j’avais l’habitude de dire à n’importe qui, car ce secret était quand même immense.

Je n’en revenais pas il y en n’avait un autre comme moi. En faite je savais qu’il y en n’avait d’’autre, mais je n’en n’avais jamais rencontré vu que la plupart se cache comme moi. J’étais contente de ne plus me sentir toute seule. Sans le savoir j’eu un petit sourire au coin mes lèvres. Maintenant, j’avais d’autres questions, mais je ne voulais pas le déranger avec ceci. Il devait avoir d’autre chose à faire. Si comme je le pense il a un don il devait se cacher comme la plupart des autres et moi et je ne devais pas le retenir. Mais, je savais que ma curiosité allait l’emporter et je lui posais quand même la question que j’avais au bout des lèvres.

Alors, sans être impolie j’aimerais savoir qu’elle est ce don que vous avez ?

Peut-être qu’après je vais lui dire que moi aussi j’en n’es un. Même si j’étais une inconnue il m’avait quand même parlé de ce qu’il était. Même s’il poursuivit par le gouvernement et il m’avait sauvé quand même. En n’y repensant peut-être que l’homme qui voulait me faire du mal dans la rue était quelqu’un du gouvernement. J’avais tellement de question que je ne savais pas par laquelle commencer. Alors, j’y allais avec celle-ci :

Au moins je ne suis pas toute seule avec le problème d’avoir un pouvoir si on veut. Sauf, que le mieux est plus explosif si on veut.

Depuis les quelques mois, que j’étais ici. Je n’Avais jamais eu de contrôle sur mon don. Personne n’avait été blessé dans ceux que j’aimais, mais des choses comme un téléphone ou une télévision étaient très cher et j’en n’avais brisé plus de un. J’en n’avais vraiment pas le contrôle et cela me faisait de plus en plus peur. Mais, dans des situations comme aujourd’hui j’étais très heureuse d’en avoir un don comme celui là. Si j’aurais été sans don je n’aurais jamais fait exploser ce magasin et tout ceci ne serait jamais arriver. Je n’ose même pas imaginer se qui serait arriver si je n’avais pas été aider.

Light Of The Assassin

Plus j‘y réfléchissais, moins j‘y croyais. J‘avais su révéler ma nature à quelqu‘un, que je venais juste de rencontrer, aidé par un élan de conscience qui n‘était jamais rentrée dans mes habitudes auparavant. Mais quelle étonnante surprise ! Je me sentais capable de parler, à au moins une personne, ce qui était un progrès surprenant venant d‘une conscience comme la mienne. Après lui avoir révélé que je possédais une capacité, je m‘attendais à une autre question venant d‘elle, pour savoir quelle était la nature de ce que je savais faire. Finalement, ceci vint très rapidement, encore plus vite que ce que je pensais

- Je peux exercer un contrôle sur le feu, mais d’une manière plutôt avancée. En gros, je ne me contente pas d’enflammer les choses. J’ai un contrôle sur ce don, mais j’ai souvent le sentiment d’aller trop loin parfois. Si vous avez peur de moi, je le comprendrais et je partirais.

A l’extérieur, le temps virait à l’orage, ce qui prouvait notre chance de nous trouver ici, à l’abri. Finalement, c’était un peu un signe, en quelque sorte, que j’aurais tort de m’en aller, alors que Rachel me parlait de ce qu’elle était à son tour. Son pouvoir serait plus explosif…mais de quoi s’agirait-il ? Un pouvoir semblable à celui de Taylor ? Autre chose ?

- Parfois, ne plus se sentir seul peut nous aider à nous sentir mieux.

*disait celui qui était tout le temps seul…*

- Si vous avez un pouvoir explosif, de quoi s‘agit-il ? Je pose cette question uniquement parce que je connais justement quelqu‘un qui possède un pouvoir explosif, qui est d‘ailleurs une de mes amies. Elle a beau posséder un pouvoir explosif, c‘est une personne extraordinaire.

*t’as en plus l’impression de la retrouver…*

L‘orage déchirait toujours le ciel à l‘extérieur du domicile de Rachel. Le temps était immonde, et cela me faisait d‘ailleurs mal au crâne, sans pour autant y comprendre quoi que ce soit. Mon dieu mais quelle migraine ! Je n‘en pouvais vraiment plus.

- Il faisait un grand soleil pourtant avant notre arrivée. C‘est bizarre que cela vire à l‘orage aussi vite…mais bon…le temps est bizarre.

J’ouvrais mon sac pour y trouver un cachet d’aspirine à avaler. Je buvais un peu d’eau grâce à ma bouteille afin de faire tomber le cachet dans mon organisme, en espérant que tout ceci puisse arranger mon état.

- Pardon, je suis désolé...c‘est juste que j‘ai réellement mal à la tête depuis un moment, et cela ne s‘arrange pas.

*Pourvu que cela marche bon sang…*

En écoutant très attentivement ce que Samuel me disait sur son don. Il expliquait qu’il a un contrôle sur le feu, mais qu’il ne fait pas juste mettre le feu à des choses. Il ajoutait qu’il a un contrôle sur son don, mais que parfois il a le sentiment d’aller trop loin et que si j’avais peur de lui je pouvais lui demander de partir. Hors de question ! Pour une fois que je trouve quelqu’un comme moi je peux lui poser quelques questions. De toute façon il ne me faisait pas du tout peur loin de là.

Non au contraire vous ne me faites pas peur. Pour une fois que je rencontre quelqu’un comme moi ça fait du bien de savoir qu’on n’est pas seule dans le monde comme ça.

Dans le fond avec se que je venais de dire. Samuel me dit une parole qui me fit du bien en quelque sorte. Que parfois ne plus être seul et peut-être pour le mieux. Il avait raison dans un sens et de l’autre ma famille était une de mes parties qui me manquait et avec qui j’étais le mieux, mais je savais que je ne pouvais plus les voir… pour le moment. Je regardais toujours Samuel en face de moi et il me demandait quel était mon don. Je ne pouvais plus reculer je devais au moins en parler à une personne. Il expliquait qu’il avait une amie qui avait aussi un don explosif et que cette personne était extraordinaire.

Disons que je suis capable de faire exploser des choses avec ma penser. Ça fait très mal comme tout à l’heure la grosse explosion… c’était moi. Mon problème est que j’ai des horribles maux au cerveau à cause de mon don. Mais, je me dis que plus que je le pratique la douleur va partir, mais c’est très dur de se pratiquer dans la ville de New York. J’aurais du rester ou j’étais dans mon pays natal.

Je regardais le temps qu’il faisait dehors il y faisait un temps que je n’avais pas vue depuis longtemps. De la grosse pluie et des orages le temps qu’il faisait dehors me rappelait l'Angleterre et sa pluie qu’il y a. Même Samuel l’avait remarqué il faisait beau soleil il y a quelques minutes encore quand nous sommes renter et maintenant il faisait un temps sombre et triste. Je vis qu’il sortit de son sac de l’aspirine et une bouteille d’eau. Il me dit qu’en se moment il avait un peu mal à la tête et que ça ne s’arrangeait pas du tout.

Cela fait combien de temps que vous avez aussi mal que ça ?

Light Of The Assassin

Mon état n’inspirait guère un bon signe, au fur et à mesure que ma migraine prenait forme. Depuis un certain temps, le schéma demeurait le même, mais j’avais toujours mis cela sous le coup d’une coïncidence, mais là, l’orage venait de commencer pile poil au moment où mon mal de tête avait su me tirailler. Je ne savais pas comment je devais prendre cela, mais je ne pouvais pas ignorer ce détail. Quelque chose se passait en moi, et je m’en rendais davantage compte en sa présence. En rencontrant Rachel, j’avais su retrouver une raison de vivre, à savoir aider quelqu’un sans espérer quoi que ce soit en retour, mais qu’étais-je devenu, moi, le mystère ambulant ? Depuis mon passage devant ce James, je ne me reconnaissais pas, car je savais que j’avais survécu à une épreuve, qui n’était pas rien. Personne n’avait compris comment j’avais pu m’y prendre, y compris moi. Le peu de personnes, à qui j’avais pu en parler, considérait cela comme de la chance, mais je ne le voyais pas ainsi. Il n’y avait pas que de la chance là dedans, car j’étais le seul. L’anomalie n’était autre que moi. Même James me l’avait dit.

Au fond de moi, quelque chose me rassurait, énormément. La dernière chose, que j‘aurais voulu, était de faire peur à Rachel, et celle-ci ne me craignait pas. Cela me soulageait, car j‘avais un peu peur de l‘effrayer avec ce que je savais faire. Pour elle, rencontrer quelqu‘un comme elle lui faisait du bien, car elle savait qu‘elle n‘était pas seule dans ce monde, à être dans cette situation. Dans le fond, elle n‘avait pas tort.

- Pendant un moment, car je vous ai dit que je savais contrôler le feu, j’ai eu très peur de vous effrayer, et de me retrouver encore seul. Les fois où je parviens à rencontrer quelqu’un capable de m’accepter sont rares…trop rares en fait. En même temps, c’est un peu de ma faute, car j’ai du mal à me lier aux autres, mais bon je pense qu’il ne vaut mieux pas s’étendre sur ce problème.

L‘explosion de tout à l‘heure, celle qui m‘avait en quelque sorte mené jusqu‘à elle, n‘était autre que son œuvre. Rachel souffrait à cause de son pouvoir, dans sa tête. Elle pensait que le fait de plus pratiquer son don pourrait calmer sa douleur, mais les circonstances actuelles ne facilitaient pas les choses. En même temps, le plan du Gouvernement de Nathan réduisait notre champ d’action. Il fallait être vigilent, sauf si on était moi. Il avait décidé de m’exclure de tout ceci, mais c’était comme si ce n’était pas le cas. J’étais certes exclu, mais la souffrance était loin d’être absente. Cette chose suffisait à ma douleur émotionnelle, et également à ma raison de vivre, car c’était pour cela que j’avais décidé de me battre : aider les autres pour ne plus les voir pleurer. Je détestais les larmes, et en voir de plus en plus ne me plaisait pas. Je voudrais tant que tout ceci puisse cesser, mais il faudrait que Nathan puisse s’acheter une conscience et arrêter ses bêtises, plutôt que d’exclure certaines personnes, et pas d’autres.

- Je peux alors que comprendre la mesure de votre pouvoir. Je suis sérieusement désolé pour vos douleurs. J’ai subi cela moi aussi, au début, quand je ne maitrisais pas encore suffisamment mon contrôle sur le feu, et je peux valider votre théorie. La douleur est moindre quand on a de la pratique. J’ai pris du temps pour cela, et j’ai pu être plus à l’aise avec ce que je suis. Si vous voulez, je pourrais vous aider à stopper ces douleurs, si vous en avez envie bien entendu. Quand vous parlez du fait de rester dans votre pays natal, de quel pays parlez-vous ?

L‘aspirine ne m‘arrangeait guère, car mon mal de crâne était encore plus présent, à la mesure même où l‘orage savait persister et rester bien violent dans le ciel. Je ne me sentais pas réellement bien et cela se remarquait très facilement. La preuve, Rachel me demandait même depuis combien de temps j‘avais aussi mal.

- Mes douleurs ont commencé après une sacrée mésaventure. Quelqu‘un a tenté de me faire du mal, en me prenant comme cobaye vivant pour tester des choses sur moi, des choses qui auraient du me tuer. En théorie, personne n‘échappe à cela, sauf une certaine catégorie de personnes, mais moi j‘ai survécu, et je ne comprend pas pourquoi. Depuis ce jour, ce mal de tête est présent en moi, et j‘ai beaucoup de mal à le faire partir.

L’orage se rapprochait, je l’entendais. Ses impacts dans le sol devenaient de plus en plus violents, et mon mal de tête s’accentuait aussi. La preuve, une extrémité venait même d’être atteinte. Je mettais rapidement ma main droite sous mon nez, pour vérifier ce que je croyais, et voilà que je saignais du nez. J‘étais affaibli.

- Ça par contre c’est nouveau.

Le sentiment que j’eu quand je parlais avec lui en savant qu’il avait un don comme moi me fit beaucoup de bien. Pour la première fois, depuis que j’ai cette nouvelle chose en moi. Je me sentais de nouveau moi en quelque sorte. Je crois que cette rencontre entre nous deux était arrivé dans le bon moment. Samuel m’expliquait que les gens qu’il a rencontré et qu’ils l’ont accepté pour ce qu’il était son très rare. Il avait du mal à se fier aux autres un peu comme moi. J’ai du mal à faire confiance aux autres en ce moment d’où le fait que je vis un peu en solitaire. Mais, il ne voulait pas aller trop loin avec ce sujet et je ne voulais pas trop poser de question là-dessus.

La discutions se poursuivait et Samuel m’expliquait que si je pratiquais plus ma douleur allait partir. Il fallait que je me trouve un endroit pour me pratiquer, mais ou ? La moitié du pays était surveillé par le gouvernement. Et je n’avais plus vraiment d’argent pour revenir en Angleterre. Je devais trouver un endroit ou personne ne pourrait me voir et m’entendre. Samuel comprenait la douleur que j’avais, car il me disait qu’il a vécu se genre de douleur les premières fois qu’il utilisait son don. Puis, il offrait son aide pour qu’il m’aide avec mon don. J’étais heureuse de se qu’il me proposait alors je lui répondis

Oui, je voudrais bien de votre aide. Je serais très heureuse de me débarrasser de cette douleur une bonne fois pour toute. Et pour mon pays natale je suis de l’Angleterre je suis née à Londres, mais j’ai du quittée pour ne pas faire de mal à ma famille. Je ne voulais pas qu’il découvre ceci peut-être s’il y a une fin à ceci je retournerais là-bas, mais pas avant.

Je ne savais pas pourquoi je venais de dire tous ceci, mais ça avait fait du bien. J’enlevais la goûte d’eau qui coulait le long de ma joue. À chaque fois que je parlais de ma famille j’en n’avais les larmes aux yeux. C’était la première fois que je laissais mes parents comme ça et ces comme ci j’avais un grand vide en moi. Puis, je revenais à notre discutions et il me parlait que ces douleurs avait commencé après une aventure qu’il eu. Quelqu’un lui avait fait mal et cette personne avait fait plusieurs testes sur lui. Personne n’avait échappé sauf lui et il se demandait pourquoi lui avait survécu et non les autres. Depuis, ce jour il avait ces maux à la tête. L’orage dehors était encore plus violent que je ne le pensais. Je regardais deux minutes la fenêtre la plus proche et reportais mon visage vers Samuel qui commençait à saigner du nez. Il mit deux doigts sur le bord de son nez et je vis le liquide rouge qui coulait. J’allais très vite dans la salle de bain et mouillait une petite serviette et revenait dans le salon pour la donner à Samuel. Il disait que ceci était nouveau. Il n’avait jamais vécu ça. Mon dieu ! Qu’est que je faisais ci cela devenait pire ?

Light Of The Assassin

Originaire d‘Angleterre, Rachel avait quitté Londres dans le but de ne pas faire de mal à sa famille. Je comprenais sa position, au fond de moi-même. Tenir à sa famille était quelque chose de normal, un sentiment plus qu’honorable venant d’elle. Elle pensait aux autres, aux membres de sa famille, une chose que je ne pouvais pas faire pour ma part. Je n’avais plus personne, aucun membre de ma famille, j’étais seul à être vivant… J‘avais Duncan pour ami, Nathan aussi même si nos relations étaient particulières, mais je n‘avais aucun parent, aucun frère ni sœur…alors comment pouvais-je comprendre la notion de famille ? Je ne le pouvais pas. La moindre des choses était de l‘aider, surtout qu‘elle avait l‘air si gentille et qu‘elle tenait énormément à sa famille. Si je pouvais l‘aider à évacuer sa douleur, je le ferais sans hésiter.

L‘orage, à l‘extérieur, faisait rage et avec une immense violence. Cette violence incitait Rachel à se déplacer et à voir ce qui se passait, en observant l‘extérieur par la fenêtre la plus proche. Peu après, quand elle reportait son attention vers moi, elle vit que je saignais du nez, et que j‘avais mis mes doigts pour empêcher le sang de couler. Elle allait très vite à la salle de bain pour attraper une serviette et revenir pour me la donner. Je la saisissais sans attendre et commençais par la suite à contenir la coulée.

- Merci, c’est vraiment gentil.; disais-je encore affaibli. Je ne comprend pas vraiment pas ce qui m’arrive, c’est vraiment étrange…

L’orage se faisait de plus en plus violent et surtout bruyant. Je n’en pouvais plus. C’était comme si ma tête était prête à exploser d’un instant à l’autre. Les circonstances devenaient incompréhensibles…

- J’ai déjà eu mal auparavant, mais pas de cette manière surtout…surtout comme ça. J‘ai vraiment mal à la tête.

Quand je parlais, j’avais l’impression de ne pas avoir suffisamment de souffle pour me sentir bien. Je ne savais pas pourquoi l’orage me rendait ainsi. C’était réellement étrange. Je savais pertinemment que je n’avais aucun lien avec tout ceci, car cela n’avait pas de rapport avec mon pouvoir, mais alors pourquoi souffrais-je à ce point-là ? Pourquoi maintenant ?

- Je suis désolé de vous inquiéter à ce point, surtout à cause d’une chose que je ne comprend même pas…Ma réaction est plutôt étrange, surtout en saignant du nez un temps d‘orage.

J’étais gêné et je me sentais surtout responsable. Je n’avais jamais envie de me montrer affaibli de peur d’inquiéter les autres…

*ma tête…bon sang…*

J’étais réellement épuisé…Plus je parlais, plus je dépensais la seule force qui me restait, et plus je me sentais mal. Décidément, je n‘étais qu‘un cas désespéré.

Je regardais le visage de Samuel. Juste à voir le visage qu’il faisait je savais que c’était la première fois qu’il avait autant mal. Je ne savais pas ce qu’il ressentait en ce moment, mais je crois que je n’aimerais pas être à sa place. La douleur qu’il devait ressentir devait être assez forte. Moi je ne savais pas comment réagir c’était la première fois que je voyais ceci et quand je suis dans une situation ou je ne sais pas quoi faire je panique légèrement. Samuel me remercia de lui avoir apporté une serviette pour son nez. C’était une des seules choses que je pouvais faire pour le moment. Il m’expliquait qu’il ne savait pas ce qui lui arrivait et que c’était très étrange. Si c’était la première fois qu’il avait des douleurs comme ça. Moi aussi si j’aurais été à sa place je ne serai pas quoi faire. Il poursuivait qu’il avait déjà eu des douleurs, mais pas comme celle-ci. Je voulais lui dire d’aller à l’hôpital, mais dans le fond mauvaise idée on ne sait jamais sur qui on peut tomber.

J’avais remarquée que plus il parlait plus il avait de la difficulté à reprendre sa respiration. Il avait commencé à avoir mal dès que ce stupide orage avait commencé. Si l’orage pouvait se terminée ça sera pas trop demander. Je lui fis signe de se mettre sur le long de mon divan on se sait jamais ça va peut-être le calmer. Toujours avec la serviette sur son nez je lui demandais ceci :

D’habitude quand vous avez vos douleurs que faites vous pour quelle se termine ?

Il fallait essayer quelque chose je ne voulais pas le voir comme ça même si je venais de le rencontre. Il continuait en disant qu’il était désoler il avait remarqué mon visage inquiet que je faisais et il s’en excusait. Il est vrai que j’étais inquiète, mais il ne devait pas s’en excuser.

Ne vous excuser pas. Ces vrai que je suis inquiète, mais on va trouver une solution pour que votre mal s’arrête au plus vite.

Cette situation devenait de plus en plus bizarre, mais je crois que maintenant je devais m’habituer au bizarre que se monde avait. Je voyais qu’il devenait de plus en plus faible. Il fallait trouver une solution au plus vite… avant qu’il ne soit trop tard. J’espérais que l’orage fini bientôt pour que le soleil ressort avec ces rayons de soleil.

Light Of The Assassin

Habituellement, l’orage ne me faisait pas peur, car je considérais ceci comme un phénomène normal, mais plus maintenant. Depuis que cela atteignait ma tête, rien de tout ceci ne pouvait être logique à mes yeux. Aujourd’hui, ma douleur était même encore plus puissante, à la mesure même de l‘évolution du bruit généré par les impacts. C’était la première fois que j’avais autant mal, et cela n‘allait surement pas être la dernière, à la vue de la cadence meurtrie que tout ceci prenait. Même devant une inconnue, je pouvais me montrer très faible…la preuve. Rachel me fit signe de me mettre sur le long du divan, pour tenter de me calmer. J’avais toujours la serviette sur mon nez pour tenter de contenir la coulée de sang. Quand Rachel me demandait ce que je faisais pour arrêter mes douleurs, je ne savais pas quoi lui répondre. D‘habitude, je ne ressentais pas ces douleurs, alors j‘ignorais ce qui serait mieux à faire.

- Cela ne ressemble pas à mes douleurs habituelles. Je…je n’ai jamais eu une migraine aussi forte, capable même de me faire…de provoquer un saignement de nez…surtout un aussi fort. Je…je ne sais pas ce qui m’arrive.

Le bruit de l‘orage n‘arrangeait guère ma migraine. J‘en avais assez, sérieusement assez, mais je ne pouvais arrêter ce qui se passait dehors. C‘était très dur à supporter, surtout pour moi qui était déjà faible. Ce mal m‘empêchait de parler correctement, en affaiblissant ma voix…et je ne savais pas ce qui m‘arrivait. J‘étais pétrifié par la douleur, qui me brisait en mille morceaux.

- Je ne sais pas pourquoi cette douleur m’arrive…surtout maintenant. Ceci n’a aucun sens, aucun… Je ne comprend rien… Un bruit lié à un impact d‘orage n‘est pas censé être destiné à faire mal…alors pourquoi…pourquoi ai-je mal ?

Cette situation devenait de plus en plus bizarre, surtout avec cette douleur qui me brisait de part en part… J’avais besoin d’aide…mais je ne savais pas quoi faire. L‘orage faisait de plus en plus de bruit. J‘étais limite à crier…mais je parvenais à me retenir.

- Il ne peut vraiment pas s‘éloigner cet orage bon sang ? Ca fait beaucoup trop mal…

*bruyant aussi…*

Samuel m'expliquait que ça ne ressemblait pas à ces douleurs qu'il avait habituellement. Il ajoutait qu'il n'avait jamais eu de migraine aussi forte que celle qu'il avait en ce moment. Aussi, que ces migraine ne le faisait pas saigner du nez comme aujourd'hui. Il ne savait pas ce qui lui arrivait. Je ne sais pas mais pour moi il y avait un petit sentiment de peur qu'il voulait cacher. Moi, si j'aurais été à sa place j'aurais déjà pleurer ou même crier de douleur. Car, quand j'ai fait exploser mon premier gros objet j'ai eu un très long mal de tête. C'étais comme si c'était hier, j'étais dans mon salon et j'avais fait sauter mon divan et ma télévision en même temps.

Je pris une chaise dans ma cuisine et la mis à côté de mon divan ou était coucher Samuel. Plus il parlait plus sa voix était faible et j'avais de la difficulté à entendre. Il fallait trouver une solution ça n'avait aucun bon sens. La personne qui avait fait ceci n'avait pas de coeur ou quoi ? Déjà que ceux qui avait des dons comme moi et Samuel nous avions pas une vie facile. Il fallait que quelqu'un viennent jouer dans nous pour encore plus nous faire mal. Encore une fois, je repensais à celui qui avait voulu me faire du mal et peut-être que cette personne travaillait pour lui. Mais, je du m'enlever cette idée le plus vite, car je voyais Samuel dans une telle douleur que j'avais mal pour lui.

A nous deux on devrait peut-être trouver une réponse à ceci.

Réfléchir était la seule chose que je faisais en ce moment, mais rien ne me venait. J'étais pas habituer à ce genre de situation. Je n'arrêtais pas de penser qu'il pouvait peut-être mourir à cause de moi. Si nous trouvons pas de solution au plus vite j’aurais peut-être devant moi un corps sans vie. Non, non et non ! Il n'en n'était pas question je devais rester positif.

Hj : Désoler si ma réponse et un peu tard j'avais d'autre réponse sur d'autre forum à donner.

Light Of The Assassin

Rachel demeurait désormais à côté de moi, car elle avait pris une chaise de sa cuisine qu’elle avait su installer à côté du divan, où je restais allongé en martyr. Ma douleur était flagrante, si horrible, mais également incompréhensible, car elle n’était provoquée que par le bruit d’un orage, rien d’autre que cela. Tout ceci était absurde, mais je ne pouvais pas mettre un nom sur ce qui m’arrivait tant que je continuerai de souffrir. Ma vie ne tenait qu’à un fil, même si je savais que je n’allais pas mourir. Au fond de moi, la présence de Rachel devait me rassurer, même si je ne la connaissais qu’à peine, ce qui bouleversait mes habitudes d’une manière sérieuse, pour moi qui avait un sérieux mal à m’ouvrir aux autres et à leur faire confiance. Ma timidité était une horreur, que je n’arrivais pas encore à maitriser, et je ne pourrais jamais y parvenir, jamais.

Rachel disait alors qu‘à nous on devrait peut-être trouver la réponse à ceci, et ainsi comprendre pourquoi cette douleur était présente, et me faisait autant souffrir. Malheureusement, je ne savais pas si nous allions pouvoir en être capable, surtout rapidement. Comment pouvoir en avoir conscience, surtout si vite ? C’était impossible…

- Je ne sais pas ce qui m’arrive, surtout que cette souffrance est incompréhensible, mais je sais que je ne vais pas mourir, pas alors que je commence à trouver un sens à ma vie.

*Si tu avais une conscience, espèce d’orage, tu me laisserais la vie sauve, mais à priori tu n’en as pas une, alors je vais arrêter d‘espérer pour rien du tout, car ce n‘est pas la peine...ce n‘est pas la peine…*

- Je crois que même si on essaye de comprendre ce qui se passe, que l‘on y parviendra pas. Ce n‘est pas que je manque d‘espoir, c‘est que je ne me fais pas d‘illusion.

Le bruit de l’orage, qui tombait juste ici, fut le plus fort impact, et également le plus douloureux. J’avais beaucoup trop mal à la tête…

- Cela ne va pas s’arrêter tout de suite à priori, pas tout de suite.

*quoique…mais je rêve ou bien le temps est en train de s‘éclaircir ?*

L’orage n’était plus là et le ciel redevenait plus clair à présent. Je préférais largement plus cette issue plutôt que de souffrir dans mon coin, à cause de cet orage qui me faisait saigner du nez. Je demeurais beaucoup trop épuisé, sérieusement, car ce violent orage avait su pomper une grande partie de mes forces, et me laisser fatigué sur ce divan, qui n’était même pas le mien, mais celui de Rachel.

- C‘est fini ? Tout est fini ?

A vrai dire, j’y croyais à peine. Je me sentais tellement perdu que cet orage me semblait interminable, trop interminable. J’étais sorti d’affaire mais j’étais épuisé, et cela se voyait.

[T'inquiète pas, je peux comprendre ^^]

Plus les minutes allait plus je croyais que c’étais des heures. Dire qu’il y a quelques heures encore tout était normal dans un sens. La je me retrouve avec un homme que je connais à peine et qui souffre d’une douleur inconnue. Je pris une des seules chaises que j’avais dans ma cuisine et restait à côté de Samuel. Vraiment j’étais impuissante face à ce que je voyais pourquoi je n’avais pas un don de guérison ? Il n’aurait pas autant souffrait si j’aurais eu ce don au lieu d’avoir un don d’exploser des choses comme je le fais. Ces dans ces moment que ma meilleure amie me manque. Lucy est comme une sœur pour moi et si elle aurait été là elle aurait su quoi faire. Moi j’étais trop nerveuse il pouvait arriver n’importe quoi à Samuel à tout moment. Mais, une petite voix dans ma tête me dit de garder mon sang froid. Je prenais des grandes respirations et écoutais ce que venait de me dire Samuel. Il me disait qu’il n’allait pas mourir pas maintenant vue qu’il venait de trouve un sens à sa vie.

Moi de mon côté je ne voulais pas non plus qu’il meurt. Il m’avait quand même sauvé la vie et je lui devais lui donner ça au moins, car sinon qu’est qui serait arrivé s’il n’aurait pas arrêté cet homme je ne veux pas y penser. Il poursuivait en disant que nous avions peu de chance de trouver une solution. Donc, je l’écoutais après tout il connaissait un peu plus sa condition que moi. Tout ceci était nouveau pour moi et même si cette fois-ci il avait beaucoup plus mal que d’habitude je crois qu’il savait de quoi il parlait. Avec l’orage dehors qui devenait encore plus violent je me levais pour voir et il eu un dernier impact et je me retournais sans bouger de la fenêtre. La situation devenait incontrôlable et je ne pouvais rien faire. Je devais regarder cet homme souffrir devant mes propres yeux. Puis, je vis de la lumière par ma fenêtre le temps redevenait beau avec un gros soleil dehors. La chaleur revenait comme elle devait l’être en plein été.

Je retournais à ma chaise et regardais le visage de Samuel. Il avait arrêté de saigner du nez et son visage exprimait celui de la fatigue et non celui de la douleur comme il a quelques secondes encore. Les seuls mots que je peux entendre de la bouche de Samuel fût que c’était terminer. J’étais contente que ça soit terminer, mais pour combien de temps et si ça se reproduit est-ce qu’elle pourrait être plus forte. J’avais un petit sourire au visage, car j’étais soulager que ça soit fini et lui dit :

Je crois que oui ces terminer, mais reposer vous. Le divan et le vôtre pour le temps que vous en avez de besoin. Et n’essayer pas de dire non je le vois que vous êtes très fatiguer.

Je repris la chaise et la mis à nouveau dans la cuisine et allait chercher deux bouteilles d’eau. Une pour moi et une pour Samuel sait t’on jamais.

Light Of The Assassin

Quand les minutes évoluaient, et que ma douleur ne diminuait toujours pas, je n’arrivais pas à croire que ma peine pourrait prendre à fin. A présent tout venait de prendre fin, une bonne fois pour toutes. J’avais encore mal à la tête, ce qui était normal, mais ma douleur était largement plus atténuée qu’en temps d’orage. Mettre une nom sur ce qui venait de m’arrivait définissait une chose impossible, en tout cas pour tout de suite.

L’orage avait pris fin, et la clarté du ciel pouvait enfin reprendre sa place. L’image de ce temps ressemblait plus à une image d’été qu’à un temps chaotique, responsable de ma migraine, et cela me faisait un peu de bien, surtout que mon saignement de nez avait pu s’arrêter. Evidemment, j’étais épuisé par ce qui venait d’arriver, et ce n’était pas étonnant. Rachel était à côté de moi, un sourire au visage. Le fait que cela soit terminé devait la soulager…car je l’inquiétais, et c’était plus que probable.

Tout était fini mais, selon elle, je devais me reposer. Elle me proposait même de rester ici, sur son divan. Je ne devais pas essayer de dire non, car elle voyait que j‘étais fatigué, mais je n‘avais pas envie de m‘imposer chez elle, alors qu‘elle avait aussi sa propre vie. Mes bonnes vieilles habitudes reprenaient facilement le dessus finalement.

- Vous n’êtes pas obligé de faire tout ceci pour moi, vous savez. Je n’ai pas compris ce qui m’est arrivé et je suis aussi épuisé, mais je n’ai pas envie de m’imposer chez vous de cette manière.

*je n’ai jamais su le faire à vrai dire, car j’ai toujours peur de déranger, de ne pas être à ma place, et également d’autre chose…heureusement que je ne dis pas cela à voix haute bon sang…*

Rachel reprenait la chaise et la ramenait dans la cuisine, d’où elle récupérait deux bouteilles d’eau, probablement une pour chacun d’entre nous. Ma douleur était enfin terminée, enfin, et je ne vivrais plus ce calvaire, en tout cas jusqu’au prochain orage, enfin si cela avait un rapport avec l’orage.

{H.J : ma réponse n’est pas très bonne désolé…}

Même si je ne le connaissais que depuis quelques heures une partie de moi me disait qu'il devait rester ici et se reposer. Car, quand quelqu'un est soit blesser ou autres choses ces comme un réflexe je devais m'en occuper. Je me souviens quand Taylor se faisait poursuivre par ces méchants je l'avais aider avec un endroit ou elle pouvait rester que j'avais vue dès que j'étais arriver ici. Dans ma tête je devais au moins lui donner ceci à cette homme. Je lui disais que le divan était à lui pour qu'il se repose un peu. Avec tout ceci je crois qu'il en n'avait de besoin. Et même si je savais que tous ceci était nouveau je devais en sorte l'aider à se reposer, car avec ce qu'il venait de me dire il fallait qu'il reste coucher au moins pour aujourd'hui. Après il pourra faire ce qu'il veut se n'est plus mon problème après.

Juste à vous voir je sais que vous avez besoin de repos, alors ce divan vous pouvez le prendre et vous ne vous imposer pas. Parfois, ça fait du bien de rencontrer des gens, vous ne pensez pas.

Là dessus je lui fis un petit sourire et allait porter ma chaise et revenait avec deux bouteilles d'eau. Une pour et l'autre pour lui, car il devait quand même avoir envie de boire quelque chose.

Vous devez avoir soif. Prenez cette bouteille ce n'est pas la meilleure eau fraîche, mais elle est quand même très bonne.

Je lui donnais la bouteille et restais silencieuse. Je ne savais pas ce qui venais de se passer, mais je savais que c'était étrange, mais vu que je ne connaissais presque rien de se monde je me demandais si cela ne pouvais être que quelque chose de presque normal dans ce nouveau monde dans lequel je me trouve.

Hj: Désoler pour la courte réponse je la trouve nulle a mienne lol

Light Of The Assassin

Pendant cet orage, ma migraine fut puissante, et terrible aussi. A cause de cela, j’avais même saigné du nez, au point de me poser des questions, même sur ma vie, en me demandant notamment si j’allais survivre à cette histoire. Finalement, j’étais en vie, ce qui était une chose, mais étais-je comme avant ? N’avais-je pas changé en fin de compte ? C’était fort possible…mais je n’étais pas encore assez fort pour en avoir conscience. Je tentais de bouger, me pensant capable de me lever, mais c’était impossible. Le divan me ramenait vers une position allongée, et c’était plus fort que moi. Je faisais un effort que je ne parvenais même pas à assurer jusqu’au bout.

Finalement, Rachel avait raison. Juste en me voyant, il était facile de comprendre que j’avais besoin de repos. Il fallait que je me résigne…et je devais l’écouter. A elle seule, Rachel savait enlever le sentiment d’imposition qui demeurait en moi, en disant que parfois que cela faisait du bien de rencontrer des gens. Grace à elle, j’étais souriant, ce qui ne m’arrivait que rarement dans une journée. Je devenais meilleur, et c’était la seule et unique conclusion valable.

- Vous avez raison, et je dois vous écouter au lieu de m’entêter à garder mon opinion. Je suis réellement fatigué, au point que je ne puisse plus bouger. Je dois me faire une raison. Quand vous dites que cela fait parfois du bien de rencontrer des personnes, c’est bien vrai, et je le vois grâce à vous. J’ai vraiment bien fait de vous rencontrer, vraiment.

Je souriais et c’était un bon sentiment. J’aimais vraiment cela.

- Vous avez raison, je vais m’hydrater un peu. Merci énormément.

Je buvais un peu avant de reposer la bouteille d‘eau sur la table.

- Ce que vous faites pour moi est réellement gentil. Il est rare aujourd’hui de tomber sur des bonnes personnes, vraiment. Vous en êtes une, et je ne peux pas le nier.

*c’est sûr…*

- Je pense que je vais me reposer maintenant, et penser à autre chose. Merci encore pour votre hospitalité.

*et aussi pour le sourire qui est revenu*

Il était temps que je ferme les yeux, et que je me restaure. J’en avais réellement besoin en fin de compte, car le sommeil vint très rapidement.

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