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| Back In Town avec Samuel Langster | |
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Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mar 5 Fév - 1:29 | |
| Mes problèmes cardiaques étaient apparus sur mon mental tel un sérieux coup de massue. Cela m'avait détruit. Au fond, tout mon être s'en était retrouvé littéralement bouleversé comme si tout avait changé et que rien n'allait être pareil. Je ressentais cette douleur à chaque seconde qui passait, à chaque battement extrêmement fragile qui retentissait. C'était horrible. Cette affectation autant psychologique que physique me faisait souffrir et mon pouvoir de guérison ne pouvait rien faire contre cela. J'étais en proie à une faiblesse dont je devais simplement attendre le départ. Je n'avais aucune autre solution que celle-là à l'heure actuelle. Je devais faire preuve de patience, croire que tout allait s'arranger assez rapidement, même si c'était quelque chose d'extrêmement dur à faire. Je devais pourtant garder espoir, me concentrer sur l'amour que je ressentais pour Rachel et toutes ces bonnes choses. Je devais garder l'envie de continuer de vivre même si elle demeurait quasiment absente depuis que je savais ce que j'avais. J'étais certain du fait que tout allait s'arranger...tout ne pourrait que s'arranger...mais quand ? La question qui sommeillait était la suivante. Quand allais-je pouvoir me sentir bien mieux ? Je priais. Oui sincèrement j'étais en train de prier pour mon prompt rétablissement. Cela me faisait extrêmement bizarre de dire cela. Je ne croyais qu'à peine en mes paroles.
Pitié. Je ne réclamais que la pitié du sort qui ne cessait de s'acharner sur moi. J'avais besoin de me sentir mieux, en paix avec qui j'étais. Mon Destin était déjà bien dur à supporter. Le vivre en souffrance aggravait la nature de mon mal-être, cette douleur profonde que je trimbalais depuis maintenant quelques années. Je n'en pouvais plus. Ces larmes me dévastaient terriblement. Elles avaient laissé mes yeux dans un terrible état, un état qui me faisait du mal. J'avais d'ailleurs pas mal de difficulté pour laisser mes yeux ouverts, mais je me battais pour le faire tout de même. Ils me brulaient un peu et c'était fort désagréable. Voilà l'effet des larmes, splendide n'est-ce pas ? Franchement, je ne pensais pas autant pleurer. Je ne pensais pas montrer à ce point ma tristesse et par conséquent en souffrir terriblement. Mes yeux me brûlaient et me piquaient. Cette sensation demeurait extrêmement horrible et insupportable, mais j'étais déterminé à garder mes yeux ouverts rien que pour entendre la proposition que Rachel avait à me faire et j'avais eu raison de le faire. Elle avait en effet l'idée que nous partions ensemble elle et moi, loin de New York et sans mettre au courant qui que ce soit de notre départ. La description qu'elle faisait de l'endroit le rendait magique et me donnait sérieusement envie d'y aller. J'étais enthousiaste, ce qui était exceptionnel quand on savait que je vivais avec ces battements de cœur extrêmement fragiles en bruit de fond.
Je souriais à Rachel, même si on pouvait bien voir que j'avais de la peine à garder mes deux yeux ouverts à cause des larmes qui avaient pu en tomber. Je voulais montrer cette image, afin de lui dire que sa proposition me plaisait énormément. Cet effort pesait bien lourd sur ma conscience, mais je voulais le faire pour elle, parce que je l'aimais. Elle méritait que je fasse des efforts pour elle et que je lui prouve à quel point je l'aime. J'avais mal certes mais ce n'était pas une raison pour rester enfermé dans ma douleur en éclipsant sa présence alors qu'elle était importante pour moi. A mes yeux, cet effort était logique. C'était l'absence d'agissement qui n'aurait eu strictement aucun sens. Je me redressais alors un petit peu, histoire de me mettre tout contre Rachel. Je voulais vraiment la sentir près de moi, sans aucune pincée de frontière. Cette proximité me faisait énormément de bien. Je me sentais si calme, si apaisé. Franchement, c'était splendide. La sentir proche de moi apaisait directement mon cœur. Je le sentais plus calme, plus régulier, comme si mon mal s'effaçait. C'était bien utile, vraiment. Je gardais l'une des mains de Rachel dans la mienne, histoire de pouvoir maintenir le contact le temps de mon discours. J'allais clairement lui dire ce que je pensais de sa proposition, sans aucune pincée de retenue.
- J'aimerais sincèrement pouvoir faire ce voyage avec toi Rachel. La manière dont tu décris cet endroit me donne sincèrement envie de le visiter, de prendre beaucoup de plaisir à en découvrir chaque recoin. C'est une idée magnifique ce que tu as eu et j'aimerais sincèrement pouvoir la réaliser avec toi. Ce serait avec beaucoup de plaisir que je me rendrais là-bas, énormément de plaisir même. Je vois que cette proposition te tient à cœur et elle me tient à cœur à moi aussi désormais. On se rendra là-bas, pour y rester le temps que tu voudras, pour pouvoir faire tant de choses ensemble. Ce serait magique, vraiment. Vraiment...ce serait bien de faire ça...
Voix fragile...c'était un mauvais signe qui me montrait bien que quelque chose n'allait pas. Quelque chose me freinait et me fragilisait en profondeur pour m'empêcher de parler correctement, probablement la même force qui me donnait du mal rien que pour garder mes yeux ouverts. Une crise de toux se déclencha encore et cette dernière fut pas mal intense. C'était comme si ma respiration s'était coupé d'elle-même durant quelques secondes. Mon Dieu...j'allais réellement mal. Il me fut cinq minutes avant de me séparer de cette toux, et encore parce que j'avais pris le temps de boire un peu d'eau pour cela. J'avais oublié de respirer pendant mon long discours, une erreur que je ne pensais même pas faire. Je faisais preuve de beaucoup trop d'inattention, comme si j'avais perdu tout réflexe et toute logique. C'était terrible.
- J'ai...j'ai oublié de respirer...mais quel idiot...pardon...Rachel…
Je fermais mes yeux contre elle. J'étais incapable de les garder ouverts plus longtemps et puis j'allais tellement mal que mes forces venaient de déserter mon organisme. J'avais besoin de repos, même si je n'étais pas plongé à l'intérieur de la plus belle des manières...elle était un peu dangereuse ma manière d'y plonger. C'était comme si je venais de m'évanouir. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Jeu 14 Fév - 18:37 | |
| J’avais vraiment le projet de partir et d’amener avec moi Sam. Je voulais lui montrer que dans la vie il n’y avait pas juste des drames et des pleures. Il y avait des joies et du bonheur à porter de main. J’étais le seul bonheur qu’il pouvait avoir. Je ne voulais pas que quelqu’un nous enlève se bonheur. Nous étions faits pour aller ensemble et nous devions surmonter ce problème cardiaque qui faisait souffrir Sam. D’où le fait que je voulais changer de ville et rester dans le chalet de mes parents. Cela me rappelait beaucoup de bons souvenirs. Les souvenirs d’avant la mort de mon père, la dépression de ma mère, la découverte de mon don et cette guerre entre les humains normaux et les spéciaux comme nous. C’était les meilleures années de mon enfance, ceux que j’aime me rappeler quand je parle de ma famille. Je voulais montrer ce bel endroit à Sam. Quand j’étais plus jeune je disais tout le temps à mes parents que j’aurais aimée vivre là-bas.
Je voulais l’aider à aller mieux et à ne plus rien pensée. Le temps que nous serions là-bas, je voulais qu’il oublie tout. Je voulais qu’il oublie qu’il avait un terrible destin, qu’il était immortel, qu’il avait la vie la plus bizarre au monde et je voulais qu’il oublie qu’un jour j’allais mourir. Je voulais dire à personne proche de nous que nous allions partir. Je voulais passer un moment en parfaite harmonie avec celui que j’aime. Car avec la vie que nous avions nous ne pouvions jamais prendre le temps pour être nous deux et seulement nous deux. Je me souvenais des beaux endroits à voir là-bas. Juste à me l’imaginer j’étais au paradis. Cet endroit était le paradis même et je savais que je voulais montrer à Sam ce petit endroit paradisiaque. Je voulais qu’il se repose au moins une fois dans sa vie. Tout le monde avait le droit à du repos parfois et Sam était la première personne qui devrait le faire.
Je vis Sam me sourire et malgré ce sourire je le voyais faible. Je n’aimais pas voir mon homme comme ça. Le voir faible comme ça était comme si j’étais faible à mon tour. Ces yeux étaient à peine ouverts et je retenais mes larmes pour ne pas pleurer. Je devais être forte pour lui et lui montrer mon support dans cette étape. Je le vis se relever un peu et j’avais peur que ça lui bloque la respiration, mais pour le moment il avait l’air de bien aller. Il prit une de mes mains dans la sienne et commençait en me disant qu’il aimerait aussi faire le voyage. Qu’on pourrait y rester autant de temps que je le voudrais. Si cela ne tenait qu’à moi je resterais là-bas toute la vie. Mais, je savais que nous avions des vies si nous partions dans cet endroit isoler. Je savais que si nous passions un mois là-bas je ne voudrais pas repartir, mais plutôt rester pour de bon. Mais, Sam avait la plus grosse bataille à livrer et c’était de sauver la vie à tout le monde.
Mais, à la minute qu’il fini ces belles paroles que j’aimais tant. Il se mit à tousser mais tellement tousser que cela prit cinq minutes à le calmer. Je n’avais pas pu m’empêcher j’avais versé une larme sans m’en rendre compte. Elle coulait le long de mon œil droit. Il me disait qu’il avait oublié de respirer donc je lâchais sa main pour mettre son dos contre mon corps et lui dit de suivre mes battements de cœur pour qu’il essaye de retrouver le sien et qu’il soit un peu plus normal comme battement. Dès que je le vis fermer les yeux, je respirais un peu mieux disons. Je restais dans ce position et relaxait du mieux que je pouvais. Car, pour le moment j’étouffais en ville. Je voulais trouver la paix qu’il y avait en forêt et ne plus à avoir à me soucier de ceci. Des malheurs que nous pouvions avoir, je ne voulais plus de cela. Tout ce que je voulais c’était profiter de l’endroit que je voulais montrer à Sam. Je me souviens du grand lac qu’il avait ou nous pouvions nous baigner tranquille sans que personne ne vienne nous déranger. Quand j’étais jeune c’était mon paradis enfantin, car il y avait une balançoire pour moi quand j’étais jeune, il y avait un mini carré de sable et aussi la plupart des mes jouets d’enfants était encore là-bas. Aujourd’hui je voulais montrer cet endroit à Sam et même si je ne pensais jamais remettre les pieds dans ce chalet. Je voulais vivre de bon moment en amoureux et montrer à quel point je l’aime.
Sam avait l’air d’être dans un profond sommeil et j’eu une mini sourire faible. Il n’avait pas l’air d’aller mal. Peut-être parce que j’étais coller à lui qui sait ? J’avais une de mes mains dans ces cheveux et je jouais dedans pour me relaxer. J’aimais jouer dans ces cheveux c’était un moyen pour moi de relaxer. Quand il dormait comme en ce moment il me faisait penser à un petit enfant de six ans qui avait beaucoup jouer et qui se reposait. Je déposais un baiser sur son front et continuait de jouer dans ces cheveux en fermant doucement les yeux pour me reposer à mon tour. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Jeu 14 Fév - 22:58 | |
| Au fond de mon cœur sommeillait une torture extrêmement grave, une torture que personne ne pouvait vérifier à cause de cette vue trop sereine que j'offrais. De l'extérieur, je paraissais en sommeil mais c'était pourtant un tort, car je venais de plonger dans un intense cauchemar. En réalité, j'étais bien en présence de Rachel, mais elle n'était pas là dans ma tête. A mes yeux, je me sentais ailleurs. L'endroit était sinistre, trop humide. Ce que je ressentais sur mon corps n'était autre que l'influence d'une averse. Il pleuvait...mais c'était terriblement absurde, du moins à mon sens. Quand je vis la lueur du soleil brûlant se dégager d'un nuage épais, je compris facilement que je n'étais pas enfermé à l'intérieur d'une pièce ridicule. J'étais bien à l'extérieur, attaché lourdement sur un poteau fixé sur le toit d'un immeuble un peu trop haut pour laisser dégager l'ombre de mes cris. Des monstres lacéraient mon corps avec plaisir et en récoltaient le sang. Alors que je ne cessais de souffrir, ils adoptaient un discours plus qu'étrange, un discours que je ne parvenais pas à comprendre.
*Toi qui enchaine le futur à ton destin, nous sommes venus pour te chercher et ainsi servir des noirs desseins. Tu es l'élu, celui qui changera notre avenir. Pas question de te laisser sauver le monde*
J'étais sonné, extrêmement sonné au point d'en paraître malade. Le sang que je perdais m'affaiblissait. Mon visage était pâle. Si je n'avais pas les mains liées, j'aurais sans doute déjà vomi ou perdu connaissance. J'ignorais quel était le miracle qui m'aidait à tenir debout. Peut-être était-ce Rachel. Peut-être que Rachel était celle qui m'aidait à tenir éveillé et par conséquent à croire que tout allait s'arranger alors que rien ne me le montrait.
*Arrêtez...s'il vous plait...*
*Ferme ta gueule toi !*
Une nouvelle fois, je reçus une décharge plus qu'horrible. L'électricité envahissait mon corps et endolorissait l'intégralité de mes organes. J'avais beau essayer de me débattre, de même monopoliser la force de Meknes pour guérir de mes blessures, mais rien ne fonctionnait. Mon corps était toujours dans cet état désastreux, un état qui n'était malheureusement pas prêt d'évoluer pour pouvoir vivre un "mieux". Alors que je demeurais extrêmement étourdi, je vis ces types défigurer mon torse en y inscrivant des choses étranges, des signes runiques assez incompréhensibles. J'étais carrément devenu l'objet d'un rituel...mais un rituel pour quoi ? Quel était l'objet de ce rituel dont j'étais la victime malgré moi ? Quel était réellement le but de tout cela ? Cela me faisait peur. Quand ces types se mirent à faire les mêmes signes sur mes joues, ma peur était à son état le plus maximum. Je tremblais intensément, ne sachant pas ce qui allait m'arriver. J'avais peur pour mon devenir. J'avais vraiment peur de ne pas m'en sortir cette fois.
*Le sang de l'immortel maudit est la clé de l'apocalypse mes frères, profitons-en tant que nous l'avons en notre possession. C'est l'élu sauveur hein ? Le messie soi-disant ? Et bien, détournons tout ceci à notre avantage pour sauver nos fesses personnelles !*
*Vous n'y arriverez pas...c'est de la folie...*
*On sait que tu es la clé alors ne dis pas de connerie*
*Ce n'est pas ce qui vous sauvera...*
*Qu'est-ce que tu sais ? Dis-le !*
*Non...je vais vous laisser crever, ce sera bien plus drôle à regarder vu que moi je ne le peux pas...*
Le monstre me gifla à trois reprises comme pour expulser sa colère avant d'enfoncer une lame extrêmement large dans mon bras droit, comme pour me faire comprendre que c'était lui le patron. Pour moi, il était extrêmement compliqué de tenir réveillé. Je valsais entre l'inconscience et le réveil. J'étais encore vivant, mais resté éveillé m'était impossible. Je n'y parvenais absolument pas. Plus ces types me torturaient et plus je perdais connaissance. Je n'arrivais plus à m'en sortir. J'étais même arrivé à un stade où je réclamais la pitié de personnes qui n'en possédaient aucune.
*Lâchez-moi...vous ne mesurez pas la gravité de votre acte...arrêtez vos tortures...arrêtez tout...pitié...j'en peux plus...*
La suite de mon cauchemar était littéralement indescriptible. Je subissais le pire des tortures dans ma tête et je ne parvenais plus à supporter tout ce qui m'arrivait. J'avais besoin de m'en sortir. Je voulais à tout prix sortir de toute cette tourmente qui me glaçait le sang. Malheureusement, ce cauchemar s'éternisait, mes cris aussi, et je ne supportais absolument plus cette situation. Rien ne changeait. Je vivais désormais dans l'espérance d'un miracle. J'avais besoin d'un miracle pour pouvoir sortir de ce cauchemar, une sorte de lumière attrapant mon corps pour me sortir de là. Ce miracle vint enfin, mais ce n'était pas une lumière. Je voyais une personne arrivée, puis deux. Deux personnes étaient venues à mon secours. Je voyais distinctement la première et cela m'aida finalement à reconnaître Rachel. La seconde me paraissait bien plus floue, au point que je sois incapable de reconnaître de qui il s'agissait. J'avais mal...tellement mal que je réclamais leur aide.
*Sauvez-moi...pitié...sauvez-moi...*
Les monstres détachaient mes liens pour pouvoir déplacer mon corps sur une stèle spécialement prévue à cet effet. Moi, je continuais à regarder mes deux sauveurs, en réclamant leur aide. Je voulais à tout prix sortir d'ici, peu importe le moyen que je devrais employer pour cela. Ces deux sauveurs étaient pour moi une sorte de miracle, un miracle qui me donnait envie de croire en l'existence. Je voulais vivre. Je voulais réellement vivre. Etait-ce trop demandé ? Alors que les tortures et mes douleurs ne cessaient de grandir, je criais...criais à l'aide. Cela devenait une requête plus qu'urgente.
*Sauvez-moi !! Au secours !! Rachel...sors-moi de là...*
En fin de compte l'un des types s'approcha de moi pour me chuchoter quelques mots à mon oreille. Ces mots n'étaient autre que les suivants : *On vient te chercher.* Ce fut sur une vision d'horreur que mon cauchemar prit fin, libérant mon corps ramené à la réalité par un sursaut. Je criais en me réveillant, mais ce cri fut rapidement étouffé par ma faiblesse cardiaque. Coincé, j'avais énormément de mal à respirer pour me remettre de ce cauchemar, cette vision qui avait su attraper mes angoisses, mes peines mais aussi mes problèmes. Mon cœur battait extrêmement mal et le fait d'adopter une respiration normale me semblait impossible. Si je n'étais pas immortel, je pourrais dire que j'étais en train de mourir.
- Détachez-moi...pitié...détachez-moi...arrêtez de me torturer...j'en peux plus.
J'étais plongé dans une réelle psychose. En réalité, je n'étais sorti de ma vision qu'à moitié. Même si j'étais revenu auprès de Rachel, je me croyais encore avec ces types en train de me torturer. Je craquais littéralement alors que je n'avais déjà que trop peu de force pour pouvoir pleurer ou même respirer. J'étais beaucoup trop faible au point que je me mette parfois à tousser.
- Laissez-moi...je ne suis pas ce sauveur...je ne suis personne...arrêtez. Ce...n'est...pas...moi.
Quand j'eus enfin la force d'admettre que j'étais avec Rachel, mes seuls mots pour elle furent les suivants, que j'osais prononcer même si j'avais du mal à respirer pour l'instant.
- J'ai...besoin...de...toi
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| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mer 20 Fév - 20:33 | |
| Relaxer comme ça était un petit paradis pour moi. C’était une des choses que j’aimais le plus faire. Moi j’étais coller au mur et j’avais Sam sur moi et je jouais dans ces cheveux avec une de mes mains. Pour moi de où j’étais je pouvais le voir normal et dormir comme un bébé. Comme ça il avait l’air de rêver. Donc, je décidais de fermer les yeux aussi pour me reposer un peu. Entre le fait que je suis arrivé ici, le fait que Sam à été empoissonner et nos drame quotidien nous avions le droit de nous reposer. Juste nous deux et personne pour venir dérange se sommeil que nous prenions. J’avais tellement mal dormit pendant que j’étais en Angleterre. Justement parce qu’il me manquait un élément important c’était Sam. Maintenant je l’avais et je pouvais me rendormir un peu mieux. J’avais fait quelques cauchemars, du genre qu’il pouvait arriver de terrible chose à ceux que j’aime.
Je ne voulais pas que ça se produit comme aujourd’hui avec Samuel. Je ne voulais plus voir des gens que j’aime souffrir seulement à cause que celui que j’aime à un terrible destin. Pourtant tout pointait dans cette direction. Sam et moi devrions souffrir tout le temps. Si ce n’était pas lui qui souffrait c’était moi et parfois c’était nous deux. Mais, pour le moment rien ne pouvait se mettre dans mon chemin. Je voulais faire visiter mon coin de paradis à Sam et j’allais le faire dès qu’il aille mieux. Puis, je sentis Sam bouger de façon nerveuse comme s’il faisait un cauchemar ou bien une de ces visions d’horreur. J’essayais de le rassurer mais il gardait toujours les yeux fermer et ne il disait aucun mot mais je le voyais bouger de plus en plus.
Puis, il ouvrit les yeux et criait avant de s’étouffer par manque d’air. Je le rassurais au début en disant que j’étais là pour lui. Mais, c’était comme si Sam était encore prit au piège dans cette vision car il ne m’écoutait pas trop et je le vis encore en état de choc. Je le pris dans mes bras et essayait de le rassurer. Je sentais son battement de cœur aller de façon anormale et je ne pouvais rien faire pour changer cela. Cela me brisait le cœur de le voir comme ça mais je ne le laisserais pas pour autant. Je le voyais tousser et je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer comme la pauvre fille sensible que j’étais.
Je l’entendis prononcer qu’il avait besoin de moi tout bas, car il avait de la misère à parler. Je lui dis qu’il pouvait compter sur moi. Je séchais mes larmes avant de remettre ce masque sans émotion que j’avais eu pendant mon voyage en Angleterre. Je pris le mon sac de vêtement et essayait de mettre le plus de vêtement à Sam. C’était décider nous partions maintenant j’en pouvais plus de le voir comme ça. Je ne savais pas si je prenais la bonne décision mais je le faisais pour le bien de moi et pour le bien de Sam. Je ne voulais plus le voir comme ça c’était une torture mentale pour lui et pour moi. Peu importe ce qu’il avait vu, je savais que c’était horrible pour qu’il en ressorte comme ça. C’était un gros choc qu’il avait vécu et cela ce voyait. Je devais jouer celle qui reste forte et qui s’occuper de l’être qu’elle aime.
Je vais m’occuper de toi mon amour ne t’inquiète pas. Tu es avec moi et seulement avec moi. Si quelqu’un ose te faire mal je vais te défendre jusqu’à mon dernier souffle de vie tu m’entends. Je prépare un sac de vêtement pour toi. On part se soir toi et moi, je veux plus te voir souffrir comme ça. Je préfère mieux partir comme ça pour que tu te repose dans un vrai endroit paradisiaque. Tu le mérite et comme ça tu pourras oublier toute les souffrances reliées à ce que tu viens de rêver ou de voir en vision.
Parfois j’aimerais qu’il n’ait pas de vision. Parfois j’aimerais que Meknes ne soit pas là. J’aimerais qu’il soit le Samuel que j’ai rencontré la première fois. Le Samuel qui n’avait qu’un seul don. Mais, je devais faire avec et réaliser que l’homme que j’aime et peut-être le plus important de tout les spéciaux. Que je devais vivre avec ce danger tant que la guerre ne soit pas fini entre les humains et nous les spéciaux. Mais, parfois je rêve d'avoir une vie normal avec Sam à mes côtés. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Jeu 21 Fév - 1:37 | |
| Durant mon sommeil, cette vision terrible avait décidé de me frapper et m'avait sérieusement marqué. J'avais réussi à m'échapper mais je ne pouvais pas cacher le choc que cela m'avait fourni. Ma respiration était encore extrêmement fragile et ne parvenait pas à redevenir régulière pour l'instant. Ma voix s'en retrouvait littéralement fragilisée, comme brisée en profondeur dans sa force. Parler était une galère. Au sujet de mon cœur, aucun commentaire ne pouvait être fait à la vue de la situation désastreuse qui l'endolorissait. J'étais de nouveau ancré dans ce monde, avec Rachel, mais je ne pouvais pas m'empêcher de songer à ce que je venais de voir. Etait-ce vrai ? N'était-ce que le fruit de mon imagination ? Je ne parvenais pas trop à déterminer la frontière entre la réalité et la fiction. Cela me perdait car cela me rendait peu à peu obsédé par l'objet de ma vision. Si c'était vrai, qui me voudrait du mal ? Quel serait mon rôle là-dedans, en tant que sauveur ? Les questions me hantaient, remuant sans cesse mon esprit. Cela me faisait sérieusement mal. J'avais vraiment mal en cet instant précis.
Ces dilemmes mentaux qui m'habitaient en plus des maux physiques étaient forts désagréables et cacher leur influence était extrêmement horrible. Je ne parvenais pas à les supporter au point même d'en trembler quelques fois. Mon esprit pouvait réfléchir, mais il avait comme toute chose humaine une certaine limite. Quand il en subissait trop, il ne supportait plus rien, un peu comme en ce moment. En regardant parfois le vide, les horreurs de ce cauchemar revenaient dans mon crâne, surtout le mot "sauveur". Pourquoi m'appeler ainsi ? Pourquoi me considérer comme tel alors que je ne me sentais pas à la hauteur d'un tel rôle ? Cette vision était sans doute la preuve d'une énième dissimulation sur ma destinée. Cela me faisait peur. J'étais en effet effrayé par le fait de découvrir quelque chose de grave sur mon compte, quelque chose qui pourrait bouleverser ma vie à jamais. Je ne le montrais pas, mais l'intégralité de mon corps était affecté par cette éventualité. Je ne supportais plus l'ombre de toutes ces interrogations sur mon compte, et je ne montrais que le quart de ce que je ressentais à cause de tout cela. Oui, j'avais peur, cela se voyait, mais le fond de ma pensée était encore plus grave en réalité. Je songeais à moi mais également à Rachel en réalité. Je songeais à tout ce qu'elle subissait par ma faute.
Imposer ce style de vie à Rachel me blessait profondément. J'étais quelqu'un d'étrange avec un destin plus que désastreux et je ne trouvais rien de mieux que de partager mes souffrances avec celle que j'aimais le plus au monde. Cela me brisait au fond de moi, car je ne souhaitais que l'aimer, la chérir jusqu'à la fin. Malheureusement, mon mauvais karma m'offrait une vie difficile, une vie que je partageais avec elle en même temps que mes sentiments. Cela rendait notre vie horrible, souvent ternie par des attaques ou des actes extrêmement malsains. Je savais qu'elle en souffrait. En même temps, comment croire que ce n'était pas le cas ? Seul un aveugle y songerait et moi je ne l'étais pas. Je sentais bien qu'elle en souffrait et je ne pouvais pas m'empêcher d'être triste rien qu'à cette idée. Je l'aimais mais elle était bien plus souvent triste qu'heureuse avec moi.. Une larme sommeillait tout le temps dans mon regard quand je songeais à tout ce que je lui faisais. Elle ne méritait pas de souffrir en accord avec ce que je subissais. Elle ne méritait pas de subir une quelconque souffrance par ma faute. Pourtant, je lui en imposais. Cette douleur naissait par ma faute. Je m'en voulais tellement alors que je ressentais de plus en plus le besoin de me sentir proche d'elle. J'avais besoin d'elle...mais je lui faisais mal.
Pourtant elle était si attentionnée qu'elle en devenait extrêmement touchante. Elle était attentive à comment j'allais et voulait à tout prix me venir en aide. Rachel était celle sur qui je pouvais compter, la personne qui voulait à tout prix que je me sente bien. Quand je la vis s'agiter un peu partout pour prendre des vêtements qui m'appartenaient, je me demandais ce qu'elle pouvait bien mijoter. Seulement à cet instant, j'avais eu le déclic du souvenir du voyage qu'elle souhaitait me faire faire en Angleterre. Peut-être songeait-elle déjà à partir, qu'on y aille au plus vite pour chercher le bonheur. C'était sans doute cela. J'eus la confirmation quand je la vis revenir près de moi Elle voulait m'emmener ailleurs qu'ici afin que je puisse me reposer et oublier ces souffrances. Les oublier ? Comment le pourrais-je ? Ce que je venais de voir était tellement ancré dans ma tête que cela n'allait pas en sortir comme cela. Même à l'annonce de Rachel, je ne réagissais qu'à peine, enfermé dans une crise de panique à cause de ce choc qui me noyait peu à peu. Extrêmement tendu, je tremblais, me tenant parfois la tête. Je ne parvenais même pas à dire que j'étais ravi de pouvoir partir faire ce voyage avec elle, à cause de mon blocage.
Ma crise de panique s'intensifiait au point que je me roule en boule dans le lit, ne cessant de dire à voix haute que je souhaitais voir tout ceci s'arrêter le plus vite. C'était devenu littéralement un souhait désespéré. Les larmes tombaient à la longue alors que je ne quittais pas ma main droite des yeux, comme si j'y voyais quelque chose que personne d'autre que moi ne voyait. Je m'enfermais moi-même dans ma crise ne percevant que l'existence de ma peur et rien d'autre à part cela. Malheureusement, plus j'avais peur et plus j'allais mal. Mon cœur avait du mal à battre parce que je ne respirais qu'à peine. Mon état de santé était extrêmement désastreux à mesure que je plongeais dans une nouvelle psychose. J'étais avec Rachel en réalité mais mon esprit se voyait ailleurs qu'ici, de nouveau en présence des types de ma vision. Extrêmement recroquevillé, je m'imaginais une chose qui n'avait malheureusement rien à voir avec la réalité.
- Non...lâchez-moi...pitié...pitié...
A chaque torture fictive que je subissais, je poussais un cri de douleur alors qu'en réalité je n'avais rien du tout. J'étais en train d'inclure ma vision dans la réalité alors que cela ne se passait que dans ma tête. En d'autres termes, ma peur me dévorait littéralement au point que je ne puisse plus avoir de place pour agir. C'était extrêmement dangereux pour mon bien-être autant physique que mental. J'étais extrêmement désespéré.
- Sortez-moi de là...au secours... |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mar 26 Fév - 22:46 | |
| Comment pouvait t'on rester calme face à ce qui se produisait ? À peine Sam sortit de son sommeil, je le voyais bouger dans tout les sens. Comme s'il avait été choquer par quelque chose. S'il avait été choquer par quelque chose, quel pouvait être cette chose ? C'était une bonne question, mais avant de savoir les réponses. Il fallait que je met tout de notre côté pour savoir ce qu'avait vue mon chéri pour qu'il soit si renfermer sur lui même. En le voyant je pouvais dire qu'il était revenu dans la réalité, mais que lui se croyait toujours dans son cauchemar. Je n'avais pas la force de rester là et de ne rien faire. Je faisais tout pour qu'il revienne dans la réalité pour de bon. Je le rassurais, j'avais préparer nos valises je voulais partir maintenant et pourtant il restait toujours dans la même position.
J'essayais de rester le plus neutre face à ceci. Je pris mon amoureux dans mes bras et ne n'arrêtais pas de lui répéter les mêmes mots pour qu'il aille mieux. Je savais qu'avec la vie que nous vivions il ne voulait pas me blesser. Je commençais à bien le connaître. Je pouvais lire en lui seulement par le fait de regarder dans son regard. Je savais qu'au plus profond de lui, il n'aimait pas le fait que je puisse subir toute ces choses. Pourtant je l'ai vivais et je pleurais beaucoup ces temps ci. Le monde n'arrêtais pas de faire du mal à ceux que j'aimais et je ne pouvais rien faire pour que cela arrête. D'ou le fait que m'était venu cette idée de partir pour l'Angleterre. Car de un personne ne nous connaissait vraiment. Ma famille était toute morte et je n'avais pas de nouvelle de cette supposer demi-soeur dont ma mère m'avait parler. Et de deux nous allions être dans un endroit complètement isoler du reste, donc nous pouvions être tranquille juste nous deux.
Ces ce que je veux le plus au monde rester avec l'homme de mes rêves. Le soutenir pour que rien ne lui arrive. S'il le faut je prendrais sa défense face à n'importe quel ennemi. J'allais me battre pour non seulement pour que rien ne lui arrive, mais aussi pour qu'il arrête de souffrir. C'était injuste de le voir comme ça en petite boule sur le lit. Il n'arrêtait pas de répéter qu'il voulait que sa s'arrête. Je ne pouvais plus garder se masque sans émotions et je laissais couler mes propres larmes qui tombait sur la tête de Sam car je le tenais dans mes bras. Donc, j'essayais de le balancer doucement en chuchotant ma berceuse préférer.
J'aimerais tellement que ces choses ne se soit pas produit. Cette guerre contre les humains et nous. Comme ça Sam n'aurait pas autant souffrait. Je faisais toujours la même chose et continuait cette berceuse pour le calmer. Malgré que sa respiration soit toujours anormal et que sa voix était briser par la douleur et la souffrance. Je continuais en lui disant que j'étais là et que nous étions dans le monde réelle. Que personne ne pouvait nous faire de mal. Je regardais toujours la deux valises que j'avais faite. L'un pour lui et l'autre pour moi et je me demandais s'il me suivrait dans mon idée folle de partir maintenant. Je l'aimais plus fort que n'importe quel autre chose sur cette terre. Mon âme lui appartenait, il était mon âme soeur. Personne n'allait lui faire de mal maintenant et j'allais faire souffrir n'importe qui. La première personne qui viendrait le faire souffrir allait mourir de mes propres mains douce et sensible. Je continuais toujours jusqu'à temps que je vis le visage de Sam se relever vers le mien. J'avais peur de se qui pouvais arriver, mais je pris mes deux mains et les mis sur ces joues. Je déposais un baiser sur sa bouche le temps de quelques secondes qui durait une éternité et lui prouvait que j'étais bien là pour rester avec lui peu importe se qui arrive dans les prochains temps pour nous deux. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mer 27 Fév - 1:39 | |
| Ma fragilité mentale était plus qu'évidente rien qu'à voir l'état dans lequel je me trouvais actuellement. Cette vision que j'avais eue était différente de toutes celles qui avaient pu me traverser jusqu'à maintenant. Elle m'avait plongé dans un état de choc si immense que la réalité prenait l'image de la fiction même de la vision. J'avais beau revenir dans la réalité, dans cet endroit précis où tout devrait aller pour le mieux, je ne parvenais même pas à m'ancrer dans cette dernière, comme si je croyais beaucoup trop en cette vision pour la prendre pour une vérité. Pourtant cette vision n'était qu'une illusion. Elle n'était matérialisée en réalité uniquement parce mon esprit était beaucoup trop fragile pour y croire. Chaque frayeur était décuplée. Chaque douleur était omniprésente. Je vivais tout pour de vrai, au point même de me croire attaché alors que je ne l'étais pas du tout. Plus le temps passait et plus j'y croyais. Même Rachel, alors que je l'aimais à la folie, ne suffisait pas pour m'aider à croire que j'étais en sécurité et non pas attaché par ces monstres qui aimaient me torturer. J'avais si mal. Ce baiser me faisait croire un peu plus en la réalité, mais les choses s'aggravèrent.
En plus, dans ma vision, je subissais des coups extrêmement lourds entre les poings et les fouets qui ne cessaient de me percuter. Les coups de fouets furent plus que matérialisés. A chaque fois que j'en recevais un, mon corps se pliait automatiquement sous la pression et mon visage subissait de lourdes crispations. J'étais limite à crier. Au départ, je parvins à me retenir, mais cela ne dura pas très longtemps. Au bout d'un moment, mes cris devinrent réels eux aussi mais je ne parvenais pas à comprendre comment une chose pareille était possible. Autant la matérialisation de ma douleur seule ne m'aurait pas étonné, autant la matérialisation intégrale était plus qu'horrible. Je parlais d'une matérialisation intégrale car on pouvait cette fois-ci observer la trace des coups que je recevais comme si une force invisible était en train de me faire du mal. Contre un fantôme, impossible de se défendre. Je ne faisais que subir les coups, me cambrer de plus en plus. J'étais en danger et je ne pouvais pas expliquer la chose qui m'incitait à plonger dans mes souffrances car je ne savais même pas de quoi il s'agissait. J'étais plongé dans le flou le plus total et cela me faisait de plus en plus souffrir.
Extrêmement paniqué, je cherchais la main de Rachel sans pour autant la voir. Je voulais à tout prix disposer de sa présence et enfin pouvoir me sentir mieux dans cette réalité que je devais à tout prix réintégrer. Je devais tout faire pour reprendre ma place dans la croyance du monde réel. Je devais croire en ce monde réel, au fait que mes visions étaient extrêmement fausses et que le monde réel n'était pas rempli de douleurs et de tristesses, mais ce n'était même pas facile. C'était une mission impossible, une mission que je ne parvenais pas à réaliser. Les douleurs devenaient de plus en plus fortes et les représentations des coups devenaient quant à eux de plus en plus réels. A force de recevoir des coups, j'en pleurais. J'avais extrêmement mal...et toute cette douleur me brisait de l'intérieur. Ma voix était de plus en plus fragile. Je n'arrivais qu'à peine à parler.
- C'est réel...c'est de plus en plus réel...ils n'arrêtent pas de me frapper. J'ai l'impression de croire en l'illusion de cette vision...alors que la réalité est avec toi...mais...aïe...ces coups deviennent de plus en plus...aïe...réels...c'est comme si on les...excitait à distance. Je...je ne comprends pas du tout...aïe...qu'est-ce qui se passe...
Je me faisais de plus en plus frapper alors que je venais enfin de trouver la main de Rachel. On pouvait d'ailleurs observer les traces de coup qui naissaient peu à peu à cause du choc que je subissais. J'étais à bout de force mais également à bout de nerfs. Je fis d'énormes efforts pour pouvoir embrasser Rachel. Je voulais dans un sens tenter de me rassurer par ce baiser. Je voulais rester le plus longtemps possible dans cette position, mais un coup me percuta de nouveau. Ce coup de fouet entraîna ma chute. Je m'effondrais dans les bras de celle que j'aimais. Comme par hasard, une fois assommé, je ne subissais plus l'influence de coups de fouet fictifs...comme si tout était calculé par avance, comme si quelqu'un avait tout prévu. |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mar 12 Mar - 18:42 | |
| Observer se qui se produisait devant moi était plus qu’horrible. Je ne parvenais même pas à d’écrire à quel point c’était une horreur. Avant aujourd’hui j’avais vue Sam avoir des visions, mais celle d’aujourd’hui était la première que je voyais et qui paraissait tellement réelle. Je ne savais pas quoi faire. Je n’étais pas prête à voir un tel drame se produire sous mes yeux. Je restais impuissante face à mon amour qui souffrait à chaque seconde. Puis les secondes devait des minutes interminable et les minutes devenait trop longues. J’avais peur que cela dure pendant plusieurs heures et qu’il soit à bout de force mental et physique. Pourquoi toujours le faire souffrir comme ça ? Je comprenais que Sam était le plus spécial des humains avec des dons spéciaux. Mais de la à le faire souffrir parce qu’il était un sauveur ou un autre truc du genre m’était impossible à regarder.
Je le gardais dans mes bras et je voyais qu’il essayait de se retenir de crier. Il voulait seulement sortir de cette prison de douleur. J’aimerais mieux être à sa place et de subir tout ceci à sa place. Il ne méritait pas de souffrir comme ça. Je me répétais dans la tête que cette souffrance devait finir. Je ne pouvais pas continuer de vivre comme ça et Samuel non plus. Nous avions un fils dans le futur et je ne voulais pas que Tyler vive dans une vie comme celle-ci. Je voulais que les enfants que j’allais avoir avec Sam (car oui j’en voulais plus qu’un), aille une bel vie et une belle enfance. Je ne voulais pas qu’il vive dans un endroit comme celui-ci. Je voulais qu’il aille une belle enfance comme j’avais pu avoir, du moins pour les premières années.
La seule chose que je pouvais entendre c’était les cris de douleur intense de Sam. J’en pleurais comme je ne l’avais jamais fait auparavant. C’était atroce de voir Sam dans cette position et je pouvais le voir se plier en deux à cause de la douleur. Je le voyais même pleurer s’en n’était trop beaucoup trop pour moi. J’allais me battre pour qu’il revienne vers la réalité. Au début j’avais essayé la méthode douce qui était la berceuse pour qu’il ne se concentre simplement sur ma voix, ça n’avait pas fonctionné. Puis j’avais essayé le long baiser, mais encore là c’était un échec. Je n’avais eu aucune chance de le ramener à la réalité.
Je voyais mon chéri qui essayait de parler et ce malgré la douleur et les pleure. Je ne voulais pas qu’il utilise toutes ces réserves d’énergie pour moi… pour me parler. Je savais qu’il voulait me parler, mais je lui mis un doigt sur la bouche pour qu’il arrête de parler et qu’il essaye de ne pas trop utiliser ces forces. Je savais qu’il devait les garder pour lui-même, car je pouvais le voir même respirer était devenu trop dure pour lui. Je le gardais et déposait mes lèvres sur son front et essayer de nous calmer tout les deux. Mais, je faisais cela beaucoup plus pour lui que pour moi. En ce qui me concerne, je pouvais attendre de voir Sam de nouveau sur ces deux pieds. J’aimais mieux le voir remplit de bonheur et non détruit comme ça. Si je pouvais juste inverser de corps ou même inverser la douleur pour que je la vive à sa place.
Je voulais seulement qu’il entend ma voix et seulement la mienne, mais je ne savais pas comment faire pour qu’il s’ouvre les yeux et sort de cette vision. Si seulement je n’avais pas été seule sur ce coup. Mais, j’étais certaine que même Meknes ne pouvait pas nous aider cette fois ci. Je devais agir toute seule et seulement faire confiance à moi-même et trouver un bon moyen. Donc, je l’embrassais de nouveau et cette fois ci avec une telle passion et tellement d’amour qu’il ne pouvait pas ignorer que je lui donnais ceci. Je commençais à avoir une réaction de mon amoureux. Quand d’un seule coup, Sam chutait d’une seul coup dans mes bras. Comme si le dernier coup fut trop pour lui. Je ne savais pas s’il était tirer d’affaire, mais pour essayer de le réveiller je lui donnais quelques petites tape sur le visage. Rien ne se produisait au début. Donc, je priais pour qu’il se réveille lui-même. Mais, les minutes devenait longue et j’aimais mieux le mettre sur une surface plus confortable. Donc, je le glissais jusqu’au divan et le plaçait et prit sa main dans la mienne et attendit le temps qu’il se réveille.
Je pleurais toujours mais en silence et espérait avoir une réponse à ce qui sait produit. Si ce n’était pas Sam qui me la sortait. J’aimerais que ça soit sa fameuse conscience égyptienne qui me la sorte, car moi à chaque fois qu’une nouvelle chose bizarre se produit j’en perds de grand bout. Car, à chaque fois que Samuel doit partir je reste plusieurs jours seule et je m’inquiète car même parfois Tyler est avec lui. Et à chaque fois qu’il revient il se passe toujours quelque chose de pas bien et je me retrouve à me faire du mal à moi-même. Je ne voulais pas m’en rendre malade mais tout pointait là-dessus. Puis, au bout de je ne sais pas combien de temps je sentis sa main bouger. J’eu un sourire et effaçait mes larmes même si on pouvait voir que j’avais pleuré à cause de mon maquillage qui avait beaucoup trop coulé.
Oui c’est ça mon amour revient dans le monde réelle. Doucement mais sûrement et après nous seront ce qui sait produit. Tu es capable de te réveiller mon amour, je t’aime tellement. Tu ne peux pas savoir à quel point tu ma fait peur. Mais tout va bien aller maintenant… non ?
Je l’espérais que tout irait bien maintenant, mais c’était trop bien. Je savais qu’avec ce que Sam à eu comme vision tout n’irait pas bien. Mais, je pouvais toujours rêver après tout. |
| | | Samuel LangsterLight Of The Assassin
Date d'inscription : 17/05/2011 Messages : 11778 Capacité(s) : Pyrokinésie Avancée et Lumière de Guérison/Bouclier (autoguérison et guérison d'autrui) Camp : Neutres/Hybrides Feuille de personnageActivité RP: 20 sujets en coursMode RP: On, mais bon...j'en ai quand même 20 x)Tes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Mer 13 Mar - 16:10 | |
| Ces si nombreux coups...ce n'était qu'une vision mais cela paraissait pourtant si réel. Ces multiples chocs me percutaient comme si je les ressentais réellement, comme si ces types étaient réellement là pour me frapper. J'avais même pu observer l'apparition de rougeurs, notamment sur mon bras, comme si j'avais reçu des coups réels par des personnes qui seraient alors invisibles. Cela me paraissait insensé sur le coup mais je commençais pourtant peu à peu à y croire, surtout à la vue de ce que je venais de subir. Mais une ombre restait quand même effective. Comment avais-je pu être frappé par des personnes que je ne voyais même pas ? Ou bien comment une vision pouvait avoir autant de pouvoir sur moi ? Comment tout ceci pouvait-il être possible ? Je ne comprenais rien du tout, mais vraiment rien. Là, je venais de succomber à un ultime coup, le plus fort d'entre eux. Je n'avais plus aucune force pour supporter quoi que ce soit. Je venais de m'effondrer dans les bras de celle que j'aimais, alors que mon souhait était simplement de l'embrasser. Je profitais de cette période d'inconscience pour me retrouver avec Meknes.
*Meknes...qu'est-ce qui s'est passé...*
*Je ne sais pas du tout...*
*C'est une blague ?*
*Non...*
*Qu'est-ce qui a bien pu se passer...il faut qu'on sache...*
*Je pense que c'est un avertissement, la preuve que quelque chose de grave va se produire et qu'il faut qu'on soit prêt à l'affronter. Mais peu importe de quoi il va s'agir, je serais avec toi pour te soutenir. On restera toujours ensemble, je te le promets.*
*Merci...*
*Je vais t'offrir un peu de mon énergie pour que tu parviennes à émerger de ton sommeil. Tu as besoin du soutien de Rachel et elle n'a pas besoin d'une conscience comme moi à la place de celui qu'elle aime.*
*Meknes...*
*Ne me remercie pas*
Le transfert d'énergie se fit sans encombre. Meknes acceptait de s'affaiblir volontairement pour me permettre d'émerger de mon sommeil forcé, même si j'allais sans doute encore pas mal souffrir en me réveillant. Ce qui me rassurait était le fait que j'allais me trouver avec Rachel. J'allais au moins trouver un peu de réconfort avec celle que j'aimais et cela me faisait du bien. Ce transfert d'énergie prit du temps mais je pus enfin bouger ma main et par conséquent reprendre connaissance peu à peu. Je revenais enfin dans le monde réel. Ma peur pouvait enfin diminuer. J'étais tiré d'affaire. L'inconscience semblait avoir contribué à l'évanouissement de ces coups virtuels. J'étais encore pas mal affaibli, mais au moins je ne demeurais plus torturé, et cette libération était vraiment inestimable. Cela me faisait énormément de bien de me sentir libéré. J'observais Rachel. Je voyais à quel point je lui avais fait peur et je m'en sentais extrêmement responsable.
- Je suis désolé...je ne voulais pas t'effrayer ou attraper tes larmes...je ne voulais pas ça.
Je levais ma main droite comme pour tenter d'effacer les traces de cette douleur que j'avais provoqué en elle, dévoilant au passage certaines des rougeurs provoquées par les coups que je venais de recevoir. Un peu de sang coulait aussi de mes lèvres, comme si j'avais reçu un coup de poing...enfin plutôt une série de coups, mais je n'y prêtais pas attention, préférant largement me focaliser sur Rachel plutôt que sur moi-même.
- Je suis vraiment désolé...je ne pensais pas que ça m'arriverait...
Meknes avait du me transmettre pas mal de son énergie pour permettre mon réveil. Je ne le sentais qu'à peine, dans un endroit reculé de ma conscience. Il avait fait ça pour me sauver, se fichant complètement des souffrances qu'il pouvait subir en retour. Il voulait juste me voir réveillé car j'étais l'hôte de nos deux consciences. Si je faiblissais, on était tous les deux affectés. Il voulait me sauver. Cela me touchait réellement venant de lui, même s'il avait toujours tout fait pour me protéger, même les choses les plus douloureuses.
- C’est grâce à lui si je peux te parler. Meknes m'a sauvé...en me transmettant une grande partie de son énergie. Il a fait ça car il ne voulait pas être à ma place...il ne voulait pas se réveiller et prendre ma place auprès de toi. Il voulait me sauver au détriment de lui-même. Ce qu'il fait pour moi me touche vraiment...il me protège. Et puis maintenant...
Je caressais la main de Rachel comme pour me convaincre que j'étais effectivement réveillé. Au fond, j'avais besoin de croire au fait que mes souffrances étaient achevées. Cela m'aidait pour tourner la page. Je me sentais bien mieux, bien plus serein. Maintenant j'étais pleinement réveillé et surtout ancré de nouveau dans le monde réel. Cela me faisait énormément de bien. Je me sentais pleinement capable de revivre, non tourmenté par des coups invisibles. Vous ne pouvez pas savoir à quel point rien que ce fait peut soulager quelqu'un surtout à la vue des tortures que je ne cessais de subir à côté à cause de ce destin soi-disant exceptionnel qui était le mien. J'étais l'objet de l'intérêt de pas mal de personnes à cause de tout ce qui faisait de moi un être unique, et j'en avais sérieusement assez de vivre cela. Je voulais juste me sentir un peu plus libre.
- Maintenant...je suis revenu dans la réalité...avec toi. Tu ne peux pas savoir à quel point ça me soulage de pouvoir te sentir pleinement de nouveau. J'ai enfin conscience de la réalité qui m'entoure...on ne me frappe plus...je me sens libéré d'un poids...ça fait du bien. Même si ces fichus m'ont fait du mal pour de vrai...alors que ça parait vraiment absurde. Tout ne peut qu'aller mieux maintenant que je suis libéré de cette vision. Je te le promets...sincèrement… |
| | | Rachel A. Silverstone
Date d'inscription : 31/05/2011 Messages : 2348 Date de naissance : 18/06/1990 Age : 34 Capacité(s) : Explose des choses avec la force mental et renaît de ces cendres comme un phénix Camp : Neutres Feuille de personnageActivité RP: 2 Rp en ce momentMode RP: n'est pas libre pour le momentTes Relations: | Sujet: Re: Back In Town avec Samuel Langster Dim 17 Mar - 21:35 | |
| Je me faisais tellement de souci pour Samuel en ce moment. J'avais été en mesure de le ramener jusqu'au divan et attendit qu'il se réveille. Je gardais sa main dans la mienne. J'avais tellement pleurer que je ne ressemblais plus à grand chose. Mon maquillage avait beaucoup trop couler et malgré que je l'essuyais il s'entendait sur mes yeux et j'avais l'air d'un raton laveur. Je serrais très fort la main de Sam pour me faire garder espoir qu'il était encore vivant. Puis par je ne sais quel miracle, je vis ces yeux bouger et s'ouvrir. Je séchais mes larmes lui donnait un bisou sur le front. Je ne pouvais cacher ma joie de le voir bouger. Je le prenais dans mes bras et remerciait le ciel que tout ceci soit terminer.
Quand il essuyait mes dernières larmes, je peux voir les blessures qu'il avait à la main et réaliser les blessure qu'il avait un peu partout sur le visage. Je pris des mouchoirs dans un boite proche de nous et essuyait tout ceci. Il s'excusait par rapport à ce qui venait de se produire. Je lui mis mon doigt sur les lèvres. Je savais qu'il avait encore beaucoup de repos à prendre et je ne voulais pas qu'il dépense le peu d'énergie qu'il lui restait.
Chut... ne parle pas mon amour. Économise les forces que tu as, je suis tellement contente de te voir bouger et ne pense plus à ces visions de malheur. Tu vas voir bientôt nous ne seront plus ici à New York, mais dans mon petit coin de paradis qui j'espère pourrait devenir le tien aussi.
J’espérais partir de cette ville dès que mon amour serait de nouveau en pleine forme. Pour le moment peut importe l’évènement mauvais qui allait nous tomber dessus j'allais le protéger. J'allais tout faire pour qu'il aille mieux. Puis, il me disait que c'était grâce à Meknes qu'il pouvait bouger, car Meknes ne voulait pas prendre la place de Sam et se retrouver à sa place. Je pouvais comprendre et j’appréciais le geste de ce dernier. Au début, je dois dire que je ne l'aimais pas beaucoup à cause que j'avais peur que ça change Sam, mais avec le temps je voyais bien qu'il ne voulait que le bonheur de Sam et le mien dans un sens aussi.
Je sais pas si tu peux m’entendre Meknes, mais merci pour ce que tu as fait. Sincèrement je ne t'aimais pas au début, mais maintenant je dois dire que je t’apprécie beaucoup et même si je te vois pas physiquement je vois que tu veux notre bien à Sam et moi.
Maintenant tout pouvait aller pour le mieux. J'avais l'être que j'aimais devant moi et tout pouvait aller pour le mieux. Donc, je dis ceci :
Tu te sens assez fort pour pouvoir marcher jusqu'au lit ?
Au début, je n'eu pas de réponse mais finalement je le vis se relever doucement. Je mis un de ces bras autour de mon cou et l'aidais à marcher jusqu'au lit. Arriver je le plaçais doucement dans le lit et prit place à côté de lui et mit mes mains autour de lui. Je déposais un bisou sur sa bouche et lui dit de fermer les yeux pour essayer de trouver le repos mériter. J'étais enfin à la maison avec mon amoureux et je fermais les yeux pour me reposer de l'affreuse semaine que j'ai eu. Maintenant qu'est qui allait se passer ? Et pourquoi Samuel à vécu une vision comme ça ? J’espérais avoir une réponse et vite et après pouvoir aller me reposer dans le magnifique endroit qu'ai le chalet de mes parents. Je me collais à lui et pouvait me reposer comme il le fallait. |
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