Waiting for the end (Intrigue The day they all died - Pv avec Dilan Sorian et Patrick G.Sandman)

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J'étais de retour à la Maison Blanche après de nombreux rebondissements qui ont fait que j'ai perdu mes objectifs. Aujourd'hui, je tiens à remonter la pente et je ne vois qu'une seule chose de bien pour y arriver : le travail. Il me suffisait de replonger dans le problème des spéciaux et je pourrais de nouveau reprendre le contrôle de ma vie. Ce nouveau don que je possède ne va pas tout détruire. Je ne pourrais le permettre. Soudain, un des assistants de Max Hawkins vient me voir et m'apporte un document. Je viens vers lui. Je le regardais attentivement et je pouvais remarquer que le virus avait muté. Il s'attaquait aux personnes ayant des pouvoirs. Plus personne n'était épargné y compris moi. Je lui donnais l'ordre de revoir en détail le plan de sécurité. Je voudrais bien appeler Max mais il n'était pas dans les environs. D'ailleurs, il ne m'a pas dit où il était parti. Je commence bien à croire Alex sur les intentions de Max. Je verrais cela en temps voulu. Pour l'instant, il était question de cette crise. Comme quoi, quand je réclamais du travail, j'étais servi. L'assistant partait et je retournais vers mon bureau. Je voyais sur mon bureau un papier assez étrange. Je le prenais et je le retournais. Il y avait un message dessus. Il était inscrit que je n'étais plus en sécurité maintenant et surtout que j'allais mourir dans peu de temps. Je lâchais le papier sous le choc. Quelqu'un avait réussi à venir jusqu'ici pour me donner ça sans que je ne me rende compte de quoi que ce soit. C'est Sylar le fautif ? Non, je ne crois pas mais c'est un spécial qui a pu faire ce genre de chose, c'est certain. Je n'étais pas du tout tranquille et je décide finalement de quitter la Maison Blanche ayant peur pour ma sécurité. Les choses se compliquent. Je n'aimais pas du tout cette situation. Je n'avais pas le temps de penser à prendre la voiture avec mon chauffeur. Je regardais s'il n'y avait personne et je m'envole. Il n'y avait personne aux alentours. Le vol se passe plutôt bien. J'atterris au niveau d'un hôtel loin de la population. Je regardais s'il y avait quelqu'un aux alentours mais ce n'est pas le cas. Je rentrais dans l'hôtel et discrètement, je pique une clé afin de me protéger au sein d'une chambre. J'avais mon portable avec moi. J'envoyais un sms aux personnes qui pourraient me protéger à savoir Dilan et Patrick car être dans cet hôtel, c'était risqué. J'avais bien précisé le numéro de la chambre qui était la 107. J’espère que Patrick pourra se libérer de sa couverture. Je suis sûr que mon frère ne le lâchera pas d’une semelle. Je m'installais sur une chaise. J'attendais tranquillement quand soudain, j'entendais du bruit. J'avais mon arme et je la sortais immédiatement pour me défendre.

Nathan : Qui est là ? Si vous êtes là pour me tuer, je vous préviens que je suis armé ! Je vous conseille immédiatement de vous présenter. Je peux tirer très rapidement sur vous. Je vous conseille de ne pas me mettre en colère.

Je ne sais pas si on va écouter mes conseils mais j'espère car sinon, je serais obligé de tirer peu importe qui était derrière. Je me demandais si c'était bien les personnes que j'attendais. Il est possible que l'on m'ait suivi et dans ce cas-là, la menace que j'ai reçue pourrait être effective.

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Avais-je fais une connerie en allant voir James Flanagan. C'est vrai qu'après l'histoire de Daeman, j'ai commencer à me poser des questions. Après sa propre histoire avec le Dr Flanagan, il avait acquérit un nouveau pouvoir. Tout cela il me l'avait raconter dans les moindre détail. Daeman était un bon type dans le fond, uniquement quand on met ses problèmes psychologique d'agoraphobie et de schizophrénie avancée de côté. J'ai eu de la chance de l'aborder de la bonne manière, car ce genre de type c'est vraiment dangereux, et j'aurais pu y laisser ma peau. Mais j'avais réussi à le "dompter" en quelque sorte, et il me faisait confiance, c'était une chance. Il aurait aussi pu faire tomber le gouvernement tout entier grâce à ses découvertes.

Mais donc, depuis Daeman, une idée me taraudait l'esprit. Et si j'allais voir ce James afin qu'il m'applique aussi son sérum et que j'acquérisse aussi un pouvoir, qui augmenterais ma capacité à capturer des êtres dangereux. Et après quelques temps (quelques mois en fait) de réflexion, j'avais décidé ds'y passer à mon tour. J'avais été voir James Flanagan afin qu'il m'administre sa piqûre. Je m'étais débrouillé pour lui dire que je servais la cause du bien en chassant les spéciaux dangereux, et qu'il pouvait apporter son aide à cela. Ouf ! Il avait accepter (peut être que dans le fond il espérait que je meure, qui sait ?!). Dans les premières semaines, je n'avais pas senti une grande différence. Le seul truc, c'était d'affreuse migraines. Je m'étais demandé à ce moment si je n'avais pas fait une connerie, pour une fois. Mais non, heureusement, je réussis à trouver ce que j'avais en plus. Pas un pouvoir qui fasse boum boum à la Taylor Hawkins 'j'espère que ca main va bien d'ailleurs !), non, loin de la. Tout mes sens c'était décuplés. Je voyais mieux, j'entendais beaucoup mieux, ainsi que je respirait et goûtais à la perfection. Mon touché me permettait de tout connaitre de l'objet que je tenait. Un flot d'information inédite à chaque mouvement. Un pouvoir réellement utile !

J'avais reçu un message de Nathan. Il me demandait de le rejoindre dans un hôtel afin de le protéger. Ok, pas de problème, j'arrive. Je charge le voiture avec quelques armes et des gilets pare-balle, on ne sait jamais ce qu'il pourrait se produire. Surtout si Nathan est en mauvaise posture et me demande d'aller le protéger. Une M16, quelques 9mm, des couteaux de chasse et aussi des grenades. Aller savoir pourquoi je prenais tant de chose. C'était comme si je venais de dévalisé ma propres maison. Une intuition en fait. Je m'étais déjà vêtu de la tenue réglementaire pour les agent de l'état, avec mon propre gilet.

Arrivé à l’hôtel indiqué, je descend d'abord de la voiture, pour aller voir Nathan, puis revenir chercher les armes. Je rentre dans l'hôtel sans faire attention au gens qui m'entoure, puis je m'engouffre dans l'escalier. Chambre 107 qu'il avait dit dans son SMS, ok. Sauf que arriver un palier au dessous de l'étage où il était, grâce à mon nouveau pouvoir, je perçois des bruits bizarre. Un homme, qui semble parler tout seul et avoir .... des envie de meurtre ?!?! Contre .... LA CHAMBRE 107 !!!! Lentement, je monte et tirant mon 9mm de ma ceinture. Je charge discrètement l'arme. Puis j'arrive à la hauteur du type. J'entedis Nathan crier quelque chose, il avait une arme et savais s'en servir ou un truc comme ca. Le type eu l'air d'hésiter devant la porte. Pas moi. D'un geste de la main, je coupe tout l'air qu'il y a au tour de lui, puis je m'élance en courant sur le parquet en bois grinçant, viens coller mon arme contre la tempe du mec et tire.

Je n'ai aucune envie de décrire ce qu'il s'est passé. Limite, j'ai a peine vu sa cervelle explosé car j'ai été occupé par autre chose. Mon nouveau pouvoir avait de gros inconvénient. Le bruit du coup de feu avait retentis avec une force effrayante dans mes oreilles. J'avais lâché mon arme pour plaquer mes mains sur mes oreilles et tenter de reprendre mes esprit. Même le flingue tombant sur le parquet faisait beaucoup trop de bruit. Après un lourd instant de silence (Nathan no'sait surement pas sortir) je rouvrit les yeux pour constater les dégâts. Chose que je n'avais pas vue en fait (ce qui est un paradoxe dans la situation présente) le type avait un fusil à pompe de très gros calibre. Je souffla un fois, ramassa mon arme puis lentement, j'ouvrit la porte qui donnait sur la chambre de Nathan. J'avais levé mes mains car son arme était braquée sur moi.

" Ne tirez pas ! C'est moi, Dilan, on dirait que je vous ai encore sauver la vie (sauf que ca a fait des dégâts) !!!"

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Nathan & Dilan & Patrick

« Wating for the end »

Dans ces moments-là, Peter Petrelli devenait vraiment agaçant et Patrick ne pouvait utiliser ses pouvoirs sur lui, vu que ce cher "ami" avait cette fâcheuse capacité à copier le pouvoir de ses semblables. Donc par conséquent, celui de Patrick, ce qui lui valait d'être immunisé contre la télépathie de celui-ci. Patrick avait reçu un message urgent de Nathan, à un moment où Peter trainait dans le coin. Bien entendu, les questions ont tout de suite fusé à son égard, et Patrick s'était alors esquivé. Mais Peter ne l'avait pas entendu de cette oreille, il s'était mis à le suivre. Patrick avait du le semer en route, et ce n'était pas chose facile. Après ca, Peter risquait de se méfier de Patrick, mais notre télépathe n'avait pas le choix face à l'urgence. Ce fut par un rapide tour de passe passe et une illusion mentale bien placé qu'il avait réussit à le semer dans le métro. Celà lui avait pourtant pris plus d'une heure !

Il sorti à l'arrêt le plus proche menant à l'hôtel que Nathan lui avait indiqué. Il regarda une nouvelle fois le message. Chambre 107. Ok. Patrick remonta le col de son manteau et enfonça durement ses mains dans ses poches. Il baissa les yeux et dans une barrière mentale, réussit à se faire passer pour invisible aux yeux des passants. Une mesure qu'il préférait prendre. On ne sait jamais. Il ne voulait pas faire d'erreurs. Il se demandait ce que lui voulait Nathan d'ailleurs... Il passa son regard une dernière fois derrière son épaule et il sonda rapidement les lieux par sa télépathie. Peter ne semblait pas l'avoir suivi jusque là. Mais Patrick préférait se montrer méfiant, vis-à-vis de lui. Et il n'avait pas tord. Sauf quand dans ces petits jeux là, notre télépathe était très fort. Il n'était pas un ancien agent de la Compagnie pour rien.

Il entra dans le dit-hôtel. L'homme au comptoir ne daigna même pas lever la tête. En même temps, il aurait fallu qu'il ait un quelconque intérêt pour Patrick. Notre blond sonda les lieux télépathiquement, en vérifiant si une menace persistait et se dirigea vers la chambre 107. Alors que Patrick se dirigeait vers l'étage, celui-ci entendit un coup de feu. Il se figea un instant. Crap. Il n'avait même pas besoin de sentir la présence qu'il savait que c'était Dilan. Pas de danger pour Nathan. Il pouvait encore entendre ses pensées et celle de son incorrigible agent dévastateur. Patrick entendit alors des pas derrière lui et le gars qui était placé derrière le comptoir s'était avancé vers le bruit, un air paniqué sur le visage. Il sortait déjà son portable pour appeler les autorités... Surement...

HOMME - Vous avez entendu ?

Patrick roula des yeux.

PATRICK - Ce sont des pétards dehors. Ce n'est pas grave.

L'homme baissa son portable et le rangea en secouant la tête. Il dit d'un léger air absent:

HOMME - Ouais...

Il tourna les talons pour reprendre ses occupations. Patrick souffla longuement, en relevant les sourcils. Il remerciait son pouvoir dans ces moments-là. Il pesta contre Dilan Sorian et sa délicatesse entre ses dents, avant de tourner les talons pour se diriger vers la chambre. Quand il entra dans le couloir, il remarqua le cadavre qui gisait devant la porte. Il ne put s'empêcher d'avoir un rictus. Il s'avança et arrivant près du mort, il l'enjamba sans ménagement. Avant d'entrer dans la chambre, il lança un appel télépathique à Nathan.

PATRICK - Pourrais tu prier à Sorian de ne pas me foutre une balle entre les deux yeux quand je rentre. Non, mais... Rha...

Il entra et dit à voix haute avec de larges mimiques grotesques, accompagnant gestes à la parole:

PATRICK - ...Mon Dieu ! Ce pauvre type à la cervelle éparpillée sur la moquette ! C'est ignoble. Sorian pourrais-tu dégager cette... chose du couloir avant que ca empeste le mort dans tout l'étage ?!? Tss... Que de violence... De plus, dans la discrétion, tu reviendras...

Il s'avança vers les deux hommes tout en joignant ses mains de façon apaisante ou presque...

PATRICK - Sérénité. Si tu veux je te présenterai à un professeur de Yoga. Si elle est encore en vie... Enfin... Désolé du retard, j'avais un pot de colle aux basques. Il a fallu que je m'en débarrasse. Et avant que tu dises quelque chose Sorian...

Il prit un grand sourire et ajouta:

PATRICK - Oui, je suis d'humeur festive, et si ca peut te plaire, c'est toi qui me met dans cette humeur là. Ho ! Prends le comme un compliment.

Petit arrêt. Mains dans le dos. Petit mouvement de talons d'avant en arrière comme un gosse alors qu'il se pencha vers ses chaussures.

PATRICK - ... ou pas... Quoi qu'il en soit ? Nathan ? Je suis à ta dispostion !

Finit-il en se tournant vers son beau frère et président des États-Unis.

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On voulait me tuer et je le savais depuis peu. Je ne connaissais pas l'identité de celui qui voulait me tuer tellement, j'avais des ennemis. Mon conseiller ne m'aurait pas trahi de cette manière, je ne pense pas. Cela devait faire partie des rebelles à mon système, ceux qui veulent changer ma manière de diriger ou de me jeter en prison. Celui qui a fait ça devait être sûrement un spécial. Il a quand même osé faire ça alors que j'étais présent dans le bureau ! C'est un comble ! J'ai entendu des coups de feu. Mon dieu ! Quelqu'un a payé pour moi. Quelqu'un a dû venir me tuer. Je me disais que finalement, mon meurtrier serait autre chose que Sylar. J'étais prêt à tirer. J'étais prêt à me défendre jusqu'au bout. Je n'avais pas peur. La porte était en train de s'ouvrir. Je levais mon arme afin de bien viser. Je voyais une silhouette. Finalement, je voyais que c'était Dilan. Il avait levé ses mains afin de me montrer que je n'avais rien à craindre. Il me demandait de ne pas tirer car c'était Dilan. Selon lui, on pouvait dire qu'il m'avait sauvé la vie. Seulement, à cause du bruit, cela devait être assez violent. Je baissais mon arme. Le danger devait être écarté.

Nathan : Merci Dilan pour cette intervention. Je ne me sens plus vraiment en sécurité depuis que j'ai reçu une menace sur mon bureau alors que j'étais présent. Je me suis planqué ici pensant être en sécurité mais on tient absolument à venir me chercher.

Je pouvais ranger mon arme. Je n'étais plus seul désormais. Il ne me restait plus qu'à attendre Patrick afin de pouvoir gérer la crise au mieux. Soudain, j'entendais quelqu'un en train de parler dans ma tête. Cette chose me faisait toujours bizarre surtout que l'on avait l'impression que quelqu'un pénétrait dans quelque chose de réellement privée mais à force, je m'habituerais. Après tout, Matt Parkman fait également la même chose. Il me demandait si je pouvais à Dilan de ne pas lui foutre une balle entre les deux yeux quand il rentre. Je le lui dirais. Il allait dire quelque chose mais je n'entendais plus sa voix. Pendant quelques secondes, je me demandais ce qui se passait. Patrick avait été scandalisé. Il disait que le pauvre type avait la cervelle éparpillée sur la moquette et que c'était ignoble. Dilan ne serait pas allé dans la dentelle avec ce type ? Cela n'avait pas d'importance. Par contre, il demandait à Dilan de dégager cette chose du couloir avant que cela n'empeste la mort dans tout l'étage. J'ai l'impression que Patrick essaye de provoquer Dilan. Il disait qu'il n'y avait que de la violence. Pour la discrétion, selon lui, Dilan devait repasser. Il a agi sous le coup de l'action.

Nathan : Nous devons essayer de garder notre sang-froid. Ce corps sera rapidement qu'un lointain souvenir.

Je devais calmer rapidement les esprits car il y avait réellement une urgence. Si j'étais menacé, le pays était menacé. Je me rendais compte de l'importance que j'avais pour la sécurité de la population. Patrick s'avance vers nous. Il avait joint ses mains. Je me demande ce qui va se passer. Il disait à Dilan le mot sérénité. Je craignais le pire. Il lui proposait que si Dilan voulait, il pouvait lui présenter un professeur de yoga si elle était encore en vie mais s'arrête là. Je préfère mieux ne pas m'en mêler. Si jamais, cela devait dégénérer, je devrais calmer les ardeurs. Patrick s'excusait de son retard. Il avait un pot de colle aux basques. Il a fallu qu'il s'en débarrasse. Je pouvais comprendre. Je sais de qui il parlait. Mon frère commence à refaire parler de lui. Je vais devoir me méfier. Si ça se trouve, il a tenté de m'assassiner par l'intermédiaire de quelqu'un d'autre. Si c'est ça, il va payer. Il disait qu'avant que Dilan ne dise quelque chose avec un sourire, qu'il était d'humeur festive. Si cela pouvait plaire à Dilan, selon Patrick, c'était l'un de mes meilleurs agents qui le mettait de cette humeur. Patrick ajoute qu'il devait réellement le prendre pour un compliment. Je sens réellement que les choses ne vont pas rester aussi calmes. J'ai intérêt à rester vigilent. Après un petit arrêt, il disait finalement qu'il ne pourrait pas prendre ce qu'il vient de dire pour un compliment. Par contre, il me disait qu'il était à ma disposition. Nous allons pouvoir commencer cette réunion de crise. Finalement, Patrick était tourné vers moi.

Nathan : Je suppose que Peter ne devait pas être loin. Je te félicite d'avoir su le distancer si vite Patrick. Mais en tout cas, tu es excusé pour le retard. Tu as réussi à te libérer dans l'urgence et c'est le plus important. Heureusement que vous êtes là tous les deux car le moment est grave. Je vous ai demandé de venir ici car la situation a évolué au sein de notre pays. Avant que je ne me réfugie ici, j'ai été au bureau à la Maison Blanche et j'ai reçu une lettre de menace sur mon bureau. Ce n'était pas anodin car la personne était encore sur les lieux pour me la déposer. Je n'ai pas vu son visage. J'ai pu en déduire que c'était un spécial. De plus, j'ai appris qu'à l'extérieur, le virus avait muté et peut atteindre les personnes dotées de pouvoirs. Il faudra être extrêmement prudent. Les captures des spéciaux deviennent plus compliquées. Nous allons devoir prendre les mesures nécessaires. Si vous avez des idées à me soumettre, je suis preneur car nous allons devoir tout concilier. Ma sécurité est sûrement compromise à la Maison Blanche sauf si on fait une véritable inspection générale.

J'appréhendais leurs réactions et surtout ce qu'ils allaient pouvoir me dire concernant ses évènements récents. Aujourd'hui, la sécurité était devenue essentielle et pour cela, je devais faire attention. Dilan et Patrick vérifiaient les alentours mais pour l'instant, le but pour moi était de rester ici.

Fin.

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