Quand la réalité dépasse la fiction... (RP Chroniques d'Amaranth)

Reveal The Truth

Quand la réalité dépasse la fiction...

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Contexte du RP : Vous vous trouvez dans un avion à destination de New-York. Le vol se passe normalement jusqu'au moment où une bande de criminels se met en tête de vouloir détourner l'appareil. Votre but est de les arrêter pour sauver les passagers et ramener l'appareil sur la terre ferme.

Plus de précisions ? Visitez le lien de l'article posté dans la chronique d'Amaranth
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Invité

Je vais repartir d'un voyage assez mouvementé. En effet, après avoir appris une nouvelle des plus déconcertantes, j'ai voulu enquêté afin d'en savoir plus. J'étais partie en Allemagne, lieu où je pouvais apprendre beaucoup de choses. Malheureusement, je rentre avec peu d'informations. Je vais devoir approfondir mes recherches. J'ai finalement pris le premier avion qui partait en direction de New-York. Je pouvais voir qu'il y avait déjà beaucoup de monde à l'intérieur. J'entendais de la part du pilote qui était déjà à bord qu'il y avait eu des problèmes techniques et qu'ils ont dû faire des escales en urgence. C'est bien ma veine mais bon l'essentiel, c'est que je puisse retrouver mon fils. Je montais dans l'avion. Il y avait beaucoup de monde. J'ai pu me faufiler en douce car bien sûr, j'étais une fugitive et même ailleurs qu'aux Etats-Unis, j'étais une terroriste. Je m'asseyais tranquillement à un endroit afin de ne pas me faire repérer. Vive la classe éco !!!! Je regardais un peu partout. Tout était tranquille et aucun agent n'était présent pour le moment au moins dans ce compartiment. Je pouvais me reposer tranquillement. Je m'asseyais et je prenais un verre d'eau que l'hôtesse m'apportait tranquillement. Le pilote annonçait que nous allions décoller pour New-York. Après quelques minutes, l'avion se mettait à décoller de la ville de Berlin. Je me reposais tranquillement tout en regardant autour de moi s'il y avait quelque chose d'étrange. En effet, en étant dans ma position, je pouvais difficilement faire confiance à quelqu'un. Soudain, je voyais des personnes assez peu fréquentables en train de se regarder. Je les observais discrètement. Je voyais qu'il se rendait vers les toilettes. Je ne les lâchais pas d'une semelle. J'allais sûrement m'attirer des tas d'ennuis mais il valait mieux penser à la sécurité des passages. Je me lève et je m'approchais des toilettes. Là, un homme arrive avec une arme. Il annonce que c'est une prise d'otages. C'était bien ma veine. Cet homme qui l'avait annoncé était en train de pointer une arme dans ma direction. Je détestais ça. Par contre, je devais faire attention car avec mon pouvoir, je pouvais facilement provoquer le crash de l'appareil. Un seul trou dans la coque et c'était la dépressurisation.

Taylor : Je vous conseille vivement de poser votre arme à terre. Vous ne savez pas à qui vous avez affaire et je pense que vous allez être surpris.

Il se marrait et insistait pour que je rejoigne les autres sinon, il va tuer un passager. J'entendais du bruit vers les autres parties de l'appareil. C'est évident qu'ils ont dû investir tout l'avion. Je levais mes mains afin de lui montrer que j'allais coopérer mais au contraire, j'utilisais mon pouvoir de manière faible afin de projeter le preneur d'otage contre le mur. Les autres ne pourront rien comprendre sauf si ce sont bien sûr des personnes comme moi. Il était temps pour moi de m'échapper. Le but était d'aller vers l'avant de l'appareil et de libérer les pilotes. Je partais rapidement mais les autres étaient en train de me poursuivre. Je suis mal.

Light Of The Assassin

Mon voyage s’était forgé sur une mauvaise raison. A vrai dire, je ne savais même plus pourquoi j’étais parti. A vrai dire, le plus stupide n’était finalement que moi. J‘avais quitté les Etats-Unis, pour une sorte de période de vacances à l‘étranger, mais ceci n’avait pas voulu se passer comme je l’espérais. Je repartais le cœur dans un miette, pour prendre le premier avion à destination de New-York. Il y avait d’ailleurs beaucoup de monde à l’intérieur, mais ceci était largement compréhensible, surtout que le vol était habitué aux hautes fréquentations. A un moment donné, lorsque nous étions arrivés à Berlin, le pilote, disait qu’il y avait des problèmes techniques, et que l’avion avait du faire des escales en urgence. Mon dieu…mais quelle chance ! Entendez-vous la large ironie dans ma phrase ? En tout cas, moi je la voyais. J’étais assis, faufilé dans un coin où il était difficile de me voir. J’étais tranquille, et je pouvais être calme, enfin… Etant incapable de dormir dans un avion, je voyais toutes les étapes du vol.

Soudain, quelque chose d’étrange attirait mon regard. Des personnes assez peu fréquentables étaient présentes, et je ne pouvais pas les ignorer, loin de là. Ils se dirigeaient vers les toilettes. Moi, je préférais mieux ne pas bouger, pour éviter des problèmes. Quelques instants plus tard ils revenaient avec une personne en otage, qu’ils menaçaient d’une arme. Oh non Taylor ! Mais que faisait-elle dans cet avion ? Evitait-elle aussi les Etats-Unis, et donc Nathan ? En tout cas, cette situation était effrayante, trop effrayante. Tout allait très vite. Elle utilisait son pouvoir, de manière très faible pour projeter un ennemi contre le mur, avant de se mettre à courir pour aller vers l’avant de l’appareil et libérer les pilotes. Malheureusement, les criminels étaient en train de la poursuivre. Elle était en mauvaise posture. Il fallait que je fasse quelque chose.

A distance, je mobilisais ma concentration sur la jambe de celui qui était le plus près de Taylor, dans le but de l’enflammer. Ceci se fit quelques instants plus tard, et énervait d’ailleurs la personne en question, qui se demandait d’où pouvait bien venir ces flammes, en dehors d’une espèce de combustion spontanée, qui était impossible en avion. Par cette manipulation, j’avais pu permettre à Taylor de gagner du temps devant eux, davantage occuper à trouver l’identité de celui qui avait bien pu vouloir leur nuire.

Le problème était maintenant qu’ils souhaitaient effectuer leur plan, à savoir abattre l’un des passagers. Ils tournaient autour de nous, à la recherche de celui ou celle qui allait atterrir dans leurs mains. Ils s’arrêtaient non loin de moi. Avec le bol que j’avais toujours, allais-je finir abattu par ces mauvaises personnes ? Mais, quand j’y pensais, je pouvais faire ce que je savais toujours faire, à savoir me battre. Si jamais j’étais choisi, j’allais me battre avec les honneurs, sans abandonner.

Finalement, ils choisissaient la passagère juste à côté de moi, mais ce n’était pas une meilleure situation. Je refaisais mon stratagème, et permis à la passagère de partir s’enfermer dans les toilettes. Pourvu qu’ils ne m’aient pas repérés…car je n’avais pas envie de provoquer un combat capable de blesser des passagers par la même occasion. Je ne voulais pas les mettre en danger, même en cas de dernier recours.

Après ce qui ces passé à New York, j’ai voulu prendre une petite pause de cette ville. Alors, avec le reste de l’argent que j’avais prit de mes parents. Je pris un avion pour Berlin et avait passé deux semaines au loin de tout ce qui se passait en ce moment au Etats-Unis. J’ai peu profité qu’un des avions faisait une escale et je pris cet avion en question. J’avais aussi pratiqué dans un coin reculé de la ville mon don. J’avais un peu mal à la tête, mais beaucoup moins qu’avant et aussi j’étais de moins en moins fatiguer quand les explosions étaient plus puissantes. Donc, après ces deux semaines il était temps pour moi de revenir à New York pour essayer à nouveau d’y vivre. Donc, j’étais dans la classe normale avec tous pleins de bruit autour de moi. Moi qui voulais que le voyage se fasse très vite. Je mis mes écouteurs de Ipod et fermait les yeux et essayait de dormir un peu avant d’arriver en Amérique. Au début, tous se passait très bien jusqu’à temps ou j’entendis des gens crier à cause de se qui se produisait. Je regardais autour de moi et vit une femme aux cheveux bruns passer devant moi et elle suivait quelqu’un.

Je regardais devant moi et la vit revenir quelques secondes plus tard, mais elle n’était pas seule. Elle avait été prise en otage par les personnes qui n’avait pas l’aire trop fréquentables. J’enlevais mes écouteurs et mit mon Ipod dans mes poche de veste. Je regardais toujours la femme qui était proche de ou j’étais. Elle fit un petit mouvement avec sa main et un des personnes allait contre le mur. J’eu une réaction de surprise, car je croyais être la seule dans mon cas. Mais, cette femme qui courrait maintenant vers la cabine des pilotes venait de me prouver le contraire. Il y avait d’autres personnes comme moi. En dedans, de moi j’étais heureuse, mais bientôt un autre problème venait et les personnes qui avait prit la femme en otage commençait à courir pour la rejoindre. Je commençais à me lever pour le faire tomber avec jambe, mais une autre personne se levait de sa place. Je remarquais son visage c’était justement la personne qui m’avait sauvée il y a deux semaines d’une attaque que quelqu’un m’avait faite. Je vis que la personne qui se dirigeait vers la femme avait tombé et je me demandais si ce n’était pas l’homme en question qui avait fait ceci. Je regardais toujours et vit que sa jambe était un peu flambé. Est-ce que l’homme qui m’avait sauvée avait lui aussi un pouvoir comme la femme et moi ?

Pas le temps de le savoir, car les personnes avaient enfin prit une personne. À mon avis, je crois qu’il pense que ces elle qui a mit le feu à la jambe de l’un de leurs collègues. Puis, je vis l’homme sauvée la passagère et elle peu aller un peu plus loin. Puis, les personnes ont décidé de prendre une autre personne dans l’avion. Ils marchaient vers le début de la cabine et j’espérais qu’il ne me prenne pas. Mais, a mon plus grand malheur il me prit et maintenant je ne pouvais rien faire. J’essayais de bouger du mieux que je pouvais pour partir, mais rien à faire. Et je n’étais pas assez expérimenté pour utiliser mon pouvoir comme il le fallait. De plus, si je fais un faux pas tout le monde meurt à cause de l’explosion. Mon dieu ! Il n’y a que moi pour se mettre dans se genre de chose. Il fallait que je trouve un moyen et peut-être après aider qui sait ?

Light Of The Assassin

Ces mauvaises intentions commençaient à tourner un peu partout dans l’avion, à la recherche d’un autre passager à brutaliser. Je ne les quittais pas des yeux, cherchant le moment où ils allaient saisir la peur d’une autre personne, et espérer l’abattre juste devant nous. Bien évidemment, je n’allais pas les laisser faire. Peu importe qui ils allaient prendre, je n’abandonnerai jamais mes principes, jamais. C’était à ce moment-là que je la vis. La dernière fois que je l’avais vu datait de deux semaines, alors que j’errais dans la rue après un énième entrainement. Ces brutes l’avaient prise elle, et ceci faisait justement écho avec notre dernière rencontre. Je ne pouvais pas laisser faire cela, oh non. Pour éviter de lui faire prendre des risques, j’allais devoir agir comme la dernière fois, en utilisant l’aspect assez psychopathe de ma capacité. Il fallait provoquer la fièvre, une nouvelle fois, mais allais-je y parvenir aujourd’hui ? J’avais considéré la première fois comme une chance, et non comme quelque chose de garanti depuis le départ. Au bout de quelques instants de chaleur, il la laissait partir, mais je n’étais désormais plus en sécurité. Un des collègues du type qui subissait la poussée de chaleur pointait une arme vers ma direction. Il était en colère, et savait désormais que la jambe brulée, et maintenant la poussée de chaleur de son collègue venait de moi.

Maintenant, il criait avec violence son ordre. Il voulait que je me lève et que je vienne immédiatement vers eux

- D’accord, je viens, mais ne faites pas de mal aux autres passagers.

Je me levais de ma place sans aucun bruit et me dirigeais vers les brutes. L’arme était désormais sur mon front. Rien que cette position faisait rire la personne juste en face de moi. Je devais faire quelque chose, à tout prix, pour me sortir de cette mauvaise passe, car je pouvais très bien connaître mes derniers instants face à ce type.

*Cinq, quatre, trois, deux, un…*

Avec l’espoir que j’avais en moi, j’augmentais la température de l’arme, mais seulement de très peu de degrés afin de rendre sa tenue insupportable. Obligé de la lâcher, j’attrapais son arme, et nous inversions les rôles.

- Désormais c’est vous et uniquement vous qui allez m’écoutez.

Désormais, j’étais en colère et je menaçais une brute avec sa propre arme. Au cas où, j’en avais d’autres en réserve. Heureusement que je savais encore détourné les capteurs à l’entrée des aéroports, pour éviter de me faire confisquer mes armes. C’était un contournement de quelque chose de légal, mais bon la cause était juste. J’allais m’en servir pour sauver les autres, donc je n’avais rien à me reprocher.

Invité

Je devais courir le plus vite possible afin de libérer les pilotes et de faire en sorte que les passagers puissent s'en sortir. Pour ce qui est de mon sort, ce n'était que secondaire. En regardant par derrière, je ne voyais plus vraiment ceux qui voulaient me capturer afin que je fasse partie des otages. Je sais, je suis plutôt tenace. Je me demande ce qui a pu arriver à mes poursuivants. Quelqu'un avait réussi à les faire fuir mais je ne sais pas qui exactement. Malheureusement, au cours de mon voyage dans cette ville, je n'ai pas pu rencontrer des personnes que je connaissais. Maintenant, mon objectif était de voir les pilotes. En les libérant, on pourra facilement faire descendre les passagers et je partirais dans l'ombre afin de ne pas me faire arrêter par les agents de police voire même du gouvernement. J'entendais tout d'un coup du bruit. A priori, les preneurs d'otages veulent montrer qu'ils ne plaisantaient pas. Je devais essayer d'intervenir. Le plus important, c'était les otages. Je faisais demi-tour. Je me mettais à courir jusqu'à ce que j'arrive dans une autre partie de l’avion. Je pouvais voir un groupe de personnes qui avaient les mains en l'air et ils étaient en train de se regrouper. La situation allait dégénérer. Il fallait absolument intervenir. Parmi les personnes que je pouvais voir, je voyais une personne en train de tenir une arme mais j'ai comme l'impression que c'était l'un des ravisseurs. C’est une scène plutôt inattendue. En examinant attentivement la scène, je pouvais remarquer que c'était Samuel, l’un de mes meilleurs amis. Il était en colère et je devais agir à sa place afin qu'il reste celui que j'ai toujours connu à savoir un homme droit et juste. Je levais mes mains sans me faire remarquer et j'expulsais le preneur d'otage contre la porte des toilettes. Cela a dû lui faire sérieusement mal. Je m'approche de Sam.

Taylor : Sam, c'est moi Taylor. J'ai entendu du bruit et je suis venu le plus vite possible. Nous devons faire atterrir cet avion sans dommage. Il vaut mieux ne pas rentrer dans leur jeu sinon, on risque de se perdre dans les profondeurs des ténèbres. Travaillons ensemble afin de faire tomber ses preneurs d'otage et qu'ils soient arrêtés par la police, c'est tout ce qu'il mérite. Je te précise mon plan. Il suffit d'aller libérer les pilotes afin de pouvoir faire atterrir l'avion. Ce sera notre victoire. Cependant, il faudra éventuellement, si tout ne se passe pas comme prévu qu'il y ait quelqu'un qui puisse piloter l'appareil. Est-ce que tu connais quelqu'un dans cet avion qui serait susceptible de nous aider ? On pourrait aller la délivrer si elle est l'une de leurs prisonnières. Dis-moi ce que tu en penses. Sache que tu m'as beaucoup manqué mon ami.

Je me demande ce que va penser Sam de tout ça. J'étais prête à faire tout le nécessaire pour voir mon ami sain et sauf. En effet, la prise d'otage devient une question personnelle dès que l'on s'en prend à l'un de mes amis. Je suis quand même ravi de le voir dans cet avion car j'ai du soutien dans cette épreuve mais je me demande pourquoi il est ici. Je devrais poser la question plus tard car le moment était mal choisi. Il doit sûrement se demander pourquoi je suis là. Seulement, j'appréhendais cette question car il me sera difficile de tout expliquer.

Dès que Samuel me sauvait encore une autre fois. Je le vis se faire prendre par un des hommes. Moi de mon côté, je regardais autour pour voir s'il n'y avait personne de blesser autour. Par chance aucuns passagers n'étaient blesser. Donc, la femme aux cheveux bruns que je n'avais pas encore vue le visage repassait et je me demandais ce qui se passait. Sans me faire remarquer par ceux qui avait les otages. Je vis que même ici en ce moment c,était pas le meilleur. Moi qui pensait avoir un voyage tranquille loin des choses surnaturels... je me trompais.

Je restais dans un coin et écoutait la femme aux cheveux bruns. Elle se nommait Taylor et je me demandais si c'était la Taylor que je connaissais. Si c'était elle parlait que quelque devait faire atterrir cet avion. Aussi que personne ne devait tomber dans leur jeu et qu'ils pouvaient travaillés ensemble pour que les otages soit en sécurité. Et que si quelqu'un pouvait piloter l'avion en cas de problème il faudrait la libérer. C'est à ce moment que je me montrais.

Moi je peux aider même si je ne sais pas trop quoi faire. Je veux vraiment aider si vous me laisser biensûr.

Toutes ces personnes avaient besoin d'aide et vu qu'il ne pouvait rien faire. C'était à nous de les aider et même si nous étions différents d'eux il n'y avait que nous qui pouvait faire la différence. J'attendais devant eux qu'il me donne leurs réponses, car j'avais vraiment envis d'aider j'avais confience en moi et j'étais prête à aider.

Hj: Désoler si ces court, mais je n'avais pas vraiment le temps et en plus j'ai pas eu le temps de corriger mes fautes désoler.

Light Of The Assassin

Ma colère était pleine, et je me faisais d’ailleurs assez peur. Les proportions qu’atteignaient les événements venaient de m’inciter à prendre les armes. Si je le pouvais, j’étais peut-être même capable de tirer, mais une petite voix me disait de ne pas le faire. Même si je restais immobile dans mes faits, mon arme était toujours pointée vers le front de mon adversaire, éteinte de toute explosion. A ce moment-là, sans que je ne fis attention, je vis le preneur d’otage être expulsé avec violence contre la porte des toilettes. Taylor était responsable de cette expulsion. Elle venait alors vers moi et résumait très bien ce qui allait être notre objectif. Sur le coup, encore perdu, je me concentrais sur le fait de baisser mon arme plutôt que de répondre, alors que Rachel venait vers nous. Elle se proposait pour nous aider même si elle ne savait pas réellement quoi faire, bien sûr selon notre vouloir.

- Vous avez raison. Il faut travailler ensemble pour réussir à nous sortir de cette histoire.

*Oh non pas encore…mais pourquoi je déclenche ceci par intermittence moi ? Retrouve ta tranquillité…tout de suite. Ouf, cela se calme…*

- Il faut d’abord libérer les pilotes, et je propose de m’en charger. Si jamais ils veulent combattre à mains nues, il vaut mieux que j’y sois, car si jamais les pilotes sont encore dans le cockpit, la pièce est vulnérable à tout choc explosif dans la carcasse.

*Surtout que tu n’auras pas l’idée de balancer un orage sur l’avion mais bien sûr… Tu es aussi dangereux qu’elles…*

- Vu le bruit...il vaut mieux que j‘y aille.

J’étais en train de courir, rapidement, vers le cockpit, dans le but de comprendre ce qui se passait réellement. Quand j’entrais, la scène à laquelle j’assistais n’était guère plaisante. Deux personnes ennemies étaient sous mon nez, en train de piloter l’avion, et deux autres surveillaient les pilotes, qui n’avaient pas l’air capables de reprendre la conduite de l’appareil. Même si on parvenait à déloger les imposteurs, il allait falloir une toute autre personne pour piloter l’appareil.

Et voilà que la sensation de l’arme percutait de nouveau mon crâne, mais je n’avais pas peur, car une idée me traversait l’esprit. Un impact devrait probablement suffire, car ces pourris n’allaient probablement pas s’attendre à une bêtise pareil venant de ma part. Tout grondait de nouveau, une seule fois, et ils perdirent leur concentration. Je reprenais le dessus et parvenais à les assommer sans les tuer, car je n’allais pas tomber dans les ténèbres, comme ce que Taylor avait dit.

- Vous pouvez maintenant venir.

*quel mal de crâne bon sang…*

Avant de les voir pénétrer dans la pièce, je pris le réflexe de m’isoler auprès des pilotes, pour voir leur état et dissimuler le mien.

Invité

Je devais permettre à Sam de se reprendre. Le voir dans cet état était plutôt effrayant. Je ne tenais pas à le perdre car bien sûr, la colère amène les personnes à faire des choses qu'elles pourraient regretter par la suite. Je ne voulais pas que Sam passe par ce moment pénible. J'espère l'avoir convaincu de renoncer à cette folie. J'entendais du bruit venant vers nous. Je me tournais et là, je pouvais remarquer que c'était une jeune femme. Je ne la reconnaissais pas au départ. Quand elle s'approche, je me rendais compte que c'était Rachel. J'étais cependant ravie de la voir mais en même temps, je me dis qu'elle est en danger comme tout le monde et qu'il fallait essayer de la protéger. Elle a fait beaucoup pour moi et m'avait surtout sauvé la vie. Je lui en serais toujours reconnaissante et j'avais une dette envers elle. Elle nous propose d'aider même si elle ne savait pas trop quoi faire exactement.

Taylor : Bien sûr que tu peux nous aider Rachel. Cela faisait un certain temps que nous ne nous sommes pas vues. J'aurais préféré d'autres circonstances pour nos retrouvailles mais cela me fait plaisir de te voir. Notre but est de permettre aux pilotes d'être libre pour reprendre le contrôle de l'appareil et pouvoir revenir dans notre ville en toute sécurité. Malheureusement, ce sera un peu plus surveillé au niveau de la cabine des pilotes.

C'est vrai qu'il va falloir être prudent lorsqu'il faudrait aller là-bas. Ma première idée était de m'y rendre seule. Mais je ne pouvais laisser Sam et maintenant Rachel entre leurs mains. Je me devais de les protéger. Il valait mieux travailler en équipe. Sam était finalement d'accord avec mon idée sur le fait qu'il fallait travailler ensemble pour réussir à nous sortir de cette histoire. J'étais ravie de l'entendre. Il propose de libérer les pilotes. Il allait s'en charger. Il précise que si jamais les bandits décident de combattre, il valait mieux qu'il y soit car si jamais les pilotes sont encore dans le cockpit, la pièce est vulnérable à tout choc explosif dans la carcasse. Le pire, c'est que Sam n'avait pas tort. On devait le laisser faire. Avec mon pouvoir, je pouvais provoquer énormément de dégâts surtout dans un espace confiné.

Taylor : Tu as raison, on te laisse faire. Il vaut mieux jouer la carte de la prudence. On sera derrière toi au cas où tu en aurais besoin.

On entendait soudainement du bruit. Je me demandais ce qui était en train d'arriver. Sam a précisé qu'il valait mieux qu'il parte. C'est ce qu'il faisait. Nous étions seules Rachel et moi. Je lui faisais signe qu'il fallait suivre Sam. En effet, on devait penser à sa sécurité. On le suivait en courant mais on ne le voyait plus. On n'entendait que des bruits de combats. Je m'inquiétais mais je devais rester calme. Des hommes venaient vers nous pour nous inciter à partir rejoindre les autres mais je ne me laisse pas faire. On restera quoiqu'il arrive. Je lançais mon pouvoir contre l'un d'entre eux qui atterit contre l'une des portes. C'était vraiment violent. Rachel combattait également ses hommes. En tout, on a pu en voir trois. Ils étaient coriaces surtout un qui a réussi à me piéger par derrière et me mettait un couteau sous la gorge. Avec mon pied, je lui faisais rapidement mal. Il perdait l'équilibre mais arrive à me blesser au niveau du coup. Heureusement que ce n'était pas grave.

Taylor : Rachel, nous devons absolument rejoindre Sam sinon nous allons avoir des ennuis.

On s'éloigne d'eux et on arrive vers l'objectif du cockpit. Finalement, le bruit que j'avais entendu laissait place à un silence effrayant. On entendait Sam finalement en train de nous dire que nous pouvions venir. On rentre dans le cockpit. Sam était auprès des pilotes. Quelque chose n'allait pas et ce n'était pas bon signe du tout.

Taylor : Que s'est-il passé ?

Je me demande ce qu'il allait se passer maintenant. A priori, les pilotes ne devaient pas être en état de piloter vu leur état alors qui va pouvoir le faire à leur place ? Je me le demande.

Light Of The Assassin

[en l’absence de réponse…je prend mon tour…]

Je demeurais près des pilotes, affaibli pour une cause indéterminée que je voulais cacher, et je ne les quittais pas des yeux, afin d‘essayer de déterminer s‘ils seraient capables de reprendre le contrôle de l‘appareil, ou bien s‘ils étaient beaucoup trop faibles pour le faire.

- Oh non, pas ça…

Rachel et Taylor pénétraient dans le cockpit, et cette dernière me demandait ce qui venait de se passer. Mais…mais qu’allais-je lui dire ? Je ne comprenais même pas moi-même la nature exacte des événements, alors je me perdais… Je ne savais pas quoi faire ni quoi dire. Il ne valait mieux pas que je parle de moi. Je devais enchainer sur l’état des pilotes, sans parler de moi-même et cela n’allait pas être facile. Sans me retourner vers elles, je leur parlais de la chose la plus importante : le contrôle de l‘appareil… Il fallait prendre une décision très rapidement, avant que l’appareil ne commence à plonger, le pic vers le sol, et donc ne pas perdre de temps. La vie d’un grand nombre de passagers était en jeu, et ce n’était pas rien.

- L’important n’est pas ce qui s’est passé mais ce qui risque d’arriver. L’état des pilotes ne me rassure pas. Il va falloir se débrouiller par nous-mêmes pour prendre le contrôle de l’appareil. Je sais que ce n‘est pas très rassurant ce que j‘ai dit, mais nous n‘avons pas le choix. Il faut le faire et prendre une decision très vite.

*Quelle douleur…ma tête…*

- Vous pensez qu’il faut faire quoi selon vous : voir parmi les passagers ou bien ne rien leur dire et improviser ?

*J’ai déjà une idée en fait, mais elle est suicidaire… Je pourrais essayer…j’en suis capable*

Je ne me retournais toujours pas vers elles, de peur qu‘elles assistent à mon état. Je ne voulais pas leur montrer ma faiblesse, non jamais. Ma migraine était énorme, mais je voulais rester opérationnel, que ce soit pour elles, ou bien les autres passagers. Il le fallait et c‘était important.

Samuel et Taylor me laissaient les rejoindre et même si je ne savais pas trop quoi faire. Taylor m’expliquait la situation qui était de libérer les pilotes avant qu’il ne soit trop tard. Elle disait aussi que la cabine de pilotage sera très surveillée. Elle ajoutait aussi qu’elle était très contente de me voir même si elle aurait aimé dans d’autre circonstance. Moi aussi j’aurais aimé qu’on se revoir dans un autre endroit, mais j’étais contente de la voir. Il fallait que nous restions ensemble. Même si nous étions dans la réalité une chose qu’il ne fallait pas faire était de se séparer ces comme dans les films ou séries ça fini toujours très mal. Samuel se proposait pour aller libérer les pilotes. Je restais avec Taylor au cas où d’autres personnes venaient à attaquer. Car, je n’étais peut-être pas encore bonne avec mon don, mais j’avais des années de gymnastique et art martiaux dans le corps je pouvais me défendre… si on ne m’attaque pas par surprise.

Après que Samuel soit partit, moi et Taylor nous restions derrière au cas où il arrivait quelque chose. Quelques minutes plus tard, du bruit se fit entendre. Je commençais à courir pour le rattraper, mais il n’était plus devant nous. Entre temps, des hommes avançaient vers nous et nous demandait d’aller rejoindre les autres, mais dans ma tête je me dis que non on devait rester ensemble. Un homme avançait vers moi pour m’attaquer, mais avec mes années de gymnastique je vis une figue et lui mit mes deux pieds en plein ventre. Il eu tout de suite le souffle couper et je pu voir ou en n’était Taylor. Elle avait utilisé son don sur un des deux autres et l’autre elle utilisait son pied et le mit en plein ou je pensais. En même temps il avait blessé Taylor, mais elle me fit signe que ce n’était pas grave. Donc, je n’y pensais plus vraiment et suivait cette dernière vers le cockpit. Arriver là-bas les pilotes n’allaient pas vraiment bien, car Taylor se demandait se qui se passait et moi aussi. J’attendais une réponse de Samuel, mais il avait rien dit et nous demandait notre avis sur qui devait faire atterrir l’appareil. C’était soit un de nous ou un des passagers s’il savait comme faire.

J’étais légèrement dans un état de panique. Je ne savais pas quoi répondre ou quoi faire, mais j’essayais de rester normale face aux deux autres à côté de moi. Samuel ne c’était toujours pas retourner. Je pris donc, la parole :

Si un de vous est capable de piloter ce genre d’avion il peut essayer de le faire atterrir. Moi je ne suis pas capable de le faire. Sinon, je peux essayer de voir s’il y a un passager qui serait capable de le faire.

Je devais garder mon sang froid. Tout ceci était nouveau pour moi et je ne savais pas trop comment je devais le gérer.

Invité

Nous étions dans le cockpit alors que nous avons été Rachel face à nos ennemis. Nous nous en sommes bien sortis. En effet, nous n'étions pas blessés gravement à la suite de notre combat. J'ai juste été touché au niveau du cou mais ce n'était pas bien méchant. Je me soignerais dès que nous en aurons terminé avec ses personnes qui ont détourné cet avion. Je me demandais ce qui s'était passé pour nous soyons maintenant dans cette situation avec les pilotes. J'attendais avec impatience la réponse de Sam. Je regardais Rachel et je pouvais voir qu'elle n'était pas à l'aise. En effet, sans la présence des pilotes, nous allons devoir nous débrouiller seul pour faire atterrir cet appareil. Jamais, je n'ai été confronté à quelque chose comme ça. Je ne savais pas vraiment quoi faire. Sam nous disait que l'important, ce n'était pas ce qui s'est passé mais ce qui risque d'arriver. En effet, l'état des pilotes ne le rassure pas. Il pense qu'il va falloir se débrouiller par nous-mêmes pour prendre le contrôle de l'appareil. Le piloter ? Mon dieu, nous sommes en plein cauchemar. Il sait que ce n'est pas très rassurant ce qu'il a dit mais nous n'avons pas le choix. Il a raison. Il fallait prendre rapidement une décision.

Taylor : Prendre le contrôle de l'appareil ? Tu veux dire le piloter ? Mon dieu, je ne pensais pas que l'on en arriverait là. Mais tu as raison, on doit prendre une décision.

Que choisir dans ce cas si difficile ? Il y avait tellement de vies en jeu. On devait faire quelque chose, c'est certain. A ce moment-là, Sam nous laissait un choix à Rachel et à moi. En effet, c'était de voir soit les passagers soit ne rien dire et improviser. Il valait mieux improviser. Les passagers pourraient être paniqués face à cette idée. Par contre, essayer de trouver un pilote et ensuite d'expliquer la situation, c'est mieux.

Taylor : Si on doit voir les passagers, on ne doit pas révéler tout de suite ce qui se passe. Il vaut mieux s'assurer de sa profession avant. Sinon, je peux dire une chose c'est que je serais incapable de piloter cet appareil.

C'est un bon compromis à mon avis. Je me demandais par contre pourquoi Sam ne se retournait pas vers nous. Il se passait quelque chose et je me demandais ce que c'était. Rachel pensait que si l'un d'entre nous devait piloter ce genre d'avion, on devait essayer. Elle n'était pas capable de le faire. Sinon par contre, elle va essayer de voir s'il y a un passager qui serait capable de piloter cet avion.

Taylor : C'est vrai que nous sommes déjà deux à ne pas savoir piloter. Si jamais Sam, tu ne sais pas le faire, c'est sûr qu'il va falloir trouver parmi les passagers quelqu'un qui puisse piloter cet apparteil. Je pense même qu'avant de dire ce qu'il se passe, on doit savoir la profession de la personne. Au moins, on évitera un vent de panique. Je pense même que l'on devrait en trouver deux. Il y aura ainsi un pilote et un co-pilote. On risque peut-être de ne pas trouver une personne capable de piloter cet appareil mais juste un petit avion. Il aura sûrement besoin d'aide. Tu peux y aller Rachel à mon avis. Nous devons par contre rester discret. Je peux me proposer d'arrêter ceux qui sont encore dans l'appareil et qui pourrait nous empêcher de prendre le contrôle de l'appareil. Sinon, Sam, tu ne t'es pas tourné vers nous. Qu'est-ce qui se passe ?

On devait être prudent, c'est la meilleure des choses à faire afin d'éviter un vent de panique. Il peut y avoir des personnes encore qui ont voulu détourner l'appreil debout. On devait les arrêter. Je m'inquiétais pour Sam. J'espère qu'il allait bien.

Light Of The Assassin

Il ne fallait pas être aveugle pour se rendre compte que mon état posait problème. La gravité de ma faiblesse faisait peine à voir, du moins pour ceux qui étaient capables de l’apercevoir, car je ne me retournais pas. Je restais caché, réfugié dans un coin pour ne pas montrer ma douleur. L’orage de l’extérieur, que je pensais sans rapport avec ma personnalité, n’était peut-être finalement pas si normal que ce que je croyais. S’il me faisait tant souffrir, au point même d’en saigner parfois du nez, il devait y avoir une très bonne raison, mais laquelle ? Pour moi, un orage n’était forgé que sur de l’électricité, et non pas sur autre chose, alors quel était le rapport avec moi, mon esprit, mon contrôle sur le feu ? Aucun…en tout cas aucun de logique.

Au sujet de l’avion, un vent de panique était en train de souffler, car nous n’avions aucun pilote. Taylor et Rachel ne savait pas piloter un avion. Il ne restait que moi…mais il allait manquer un copilote, juste au cas où, même si j’aurais été capable de tenter le coup seul, aimant me jeter dans le cœur du danger. Taylor était d’accord par rapport à la proposition de Rachel, d’aller interroger les passagers pour trouver quelqu’un susceptible de piloter cet appareil.

C'est vrai que nous étions déjà deux à ne pas savoir piloter. Si jamais je ne savais pas le faire, qu'il allait falloir trouver parmi les passagers quelqu'un qui puisse piloter cet appareil. Taylor pourrait arrêter ceux qui se trouvaient encore dans l’appareil, et qui pourraient nous empêcher de prendre le contrôle, et ainsi piloter correctement cet avion. Ces propositions étaient sincères, mais l’étais-je tout autant ? Probablement pas…

Taylor voyait que je ne me retournais pas, ce qui prouvait que j’avais un sérieux problème et que je refusais d’en parler, de me retourner pour montrer mon malheur. Je refusais de les inquiéter, même si je risquais ma vie…c’était une impression spéciale, et je n’aimais pas ça. Elle voulait comprendre ce qui se passait.

- Par rapport à l’avion, je peux éventuellement me porter volontaire pour le pilotage, s’il le faut, car si nous ne trouvons personne, il faut bien que quelqu’un puisse prendre le contrôle. Rachel a raison pour le sondage parmi les passagers, même si nos chances de trouver quelqu’un capable de piloter l’appareil, sont sérieusement minimes. Par rapport aux personnes se trouvant encore dans l’appareil, il faut effectivement faire quelque chose et les stopper, pour éviter le fait qu’ils puissent vouloir nous empêcher d’arranger les choses. Au sujet de mon cas, c’est une autre histoire…je ne sais pas à vrai dire.

Mon nez saignait de nouveau, et ceci me faisait mal à la tête. J’aimerais tant pouvoir faire quelque chose pour aller mieux, en quelques secondes, mais je n’allais pas pouvoir le faire, simplement parce que j’étais trop faible, beaucoup trop faible. J’allais devoir leur dire, malheureusement…ce que je fis.

- Je ne vais pas très bien…mais je tiendrai le coup, je vous le promets…

Je devais être fort, comme jamais, pour elles mais aussi pour les passagers. Il fallait se sortir de cette mauvaise situation, et se montrer faible n’était pas la solution. Je refusais mon sort, mais pour une bonne cause.

Invité

Je n'arrive pas à réaliser ce qui était en train de nous arriver. Une prise d'otage dans un avion a provoqué énormément de dégâts, quelque chose qui va changer la vie de beaucoup de personnes mais pour des personnes ayant des pouvoirs, on reprendra tranquillement nos vies en gardant ce mauvais souvenir en mémoire. Il n'y a pas longtemps, j'errais dans les rues de la ville de Berlin afin d'avoir des réponses sur la vie de mon père. Maintenant, j'essaye de sauver un avion de la catastrophe. Je trouve que ma vie est dingue mais malheureusement, il y a un fautif. Sam ne montrait pas comment il allait et j'étais inquiète. Finalement Sam m'explique que par rapport à l'avion, il peut éventuellement se porter volontaire pour le pilotage s'il le faut car si nous ne trouvons personne, il faut bien que quelqu'un puisse prendre le contrôle. Il n'a pas tort mais le savoir en danger m'était tout simplement insupportable. Il donnait raison à Rachel sur le fait de sonder les passagers sur leurs capacités à voler ou non. Mais la chance d'en trouver un est plutôt minime. Il me donnait raison sur le fait qu'il fallait faire quelque chose et stopper les personnes se trouvant encore dans l'appareil. En effet, ils ne doivent pas nous empêcher d'arranger les choses. Au sujet de son cas, c'était une autre histoire. Mais qu'est-ce qu'il est en train de cacher exactement ?

Taylor : Je sais qu'il faut que quelqu'un se dévoue si jamais on trouve personne mais je n'aime pas te savoir en danger Sam. Même si nous avons peu de chances de trouver quelqu'un capable de piloter, il faut quand même tenter le coup. Pour les personnes se trouvant dans l'appareil, je ferais le nécessaire. Rachel, tu vas pouvoir t'occuper des passagers au sein de l'appareil mais nous devons rester discrets. Tu ne piloteras Sam que si réellement, on ne trouve personne pour le faire. Pourquoi c'est une autre histoire ton cas Sam ? Je ne comprends pas à vrai dire.

Je voyais qu'il avait mal à la tête et je n'aimais pas le voir dans cet état. Je me demande ce qu'il fallait faire. On devait l'aider au plus vite. Il nous dit à ce moment-là qu'il n'allait pas très bien mais il tiendrait le coup. Je ne peux laisser Sam prendre de telles risques et donc sacrifier sa vie.

Taylor : Tu dois te ménager à tout prix Sam. S'il le faut l'une d'entre nous va rester avec toi, le temps que l'autre puisse accomplir la mission et nous permettre de nous sortir de cette galère. Si tu dois piloter, tu dois être le plus en forme possible car des personnes comptent sur nous. Si tu as besoin de quelque chose, dis-le nous.

C'était peut-être mieux ainsi. En effet, pour que Sam puisse piloter, il devait être en forme. C'est la meilleure des solutions.

Ma journée avait très bien commencé je pouvais dire que je pouvais enfin revenir au États-Unis. Essayer de faire quelque chose de ma vie pendant un moment. Les premières heures s’avait très bien passé. J’avais mes écouteurs d’Ipod dans les oreilles et écoutait la musique de mon groupe préférer. Quand il eu cette prise d’otage je croyais que ça se réglerais très vite et bien non. Maintenant il fallait faire atterrie cet avion le plus vite possible et que personne ne soit blesser. Moi pour le moment j’étais dans un état à moitié perdue et nerveuse. J’avais jamais vécu ce genre de chose et je devais me monter calme, mais c’était très dure. J’avais proposé à Samuel et Taylor que j’irais voir s’il avait quelqu’un dans les passagers serait capable de le faire. Tous les deux me donnaient leur accord pour que je regarde même si les chances d’en trouve un est très mince. Mais, il fallait garder un peu de positif et ces ce que je faisais.

Donc, j’allais vers les passagers sans me faire voir par d’autres personnes et demandait aux passagers s’il en n’avait un qui pouvait piloter cet avion. Personne ne disait rien et ne bougeait pas je me demandais pourquoi. Je vis une des otages me faire un signe de me retourner et vit un homme assez muscler avec une arme. Il la mit sur mon front je restais toujours calme et essayait de trouver un point ou je pouvais le blesser. L’homme me disait que j’allais mourir comme d’autres personnes qui sont comme moi. Je pris une grande respiration et avec mon don lui fit ma aux jambes comme ça il ne pourrait pas bouger. J’étais fière de moi, car je n’avais aucune douleur à la tête et l’avion n’avait pas explosé en deux.

Je revenais vers le devant de l’avion et entendis les derniers mots que Taylor venait de dire. Ces la que je regardais Samuel il avait le même visage que quand je l’ai rencontré la première fois. Je pense que je sais ce qu’il avait la même douleur à la tête.

Samuel est-ce que c'est la même douleur que la première fois qu’on s'est rencontrés ?

Si c’était cette douleur on n’était mal partit, car ils n’y avaient personnes dans les passagers qui pouvaient piloter. Moi je ne pouvais pas et Taylor non plus. Notre seul espoir était Samuel et s’il ne pouvait pas le faire nous allions mourir ici. Non je dois rester calme et ne pas y penser.

Light Of The Assassin

Nous nous trouvions à présent dans une situation très délicate, car il fallait à tout prix trouver un moyen de piloter l’appareil, à la place des pilotes officiels, qui n’étaient pas en état de le faire, et ils ne pourront pas l‘être avant un long moment. Si nous réclamions la vie sauve, il ne fallait pas compter sur eux. C’était malheureux, mais c’était le cas, et cela n’allait pas changer. Le seul espoir demeurait parmi les passagers, en espérant que l’on puisse trouver quelqu’un capable de jouer le rôle du pilote. Rachel était allée les voir. Ma santé n’avait plus d’importance, même si je devais me ménager, être en forme, mais les circonstances ne me permettaient pas de me reposer, et jamais elles ne le pourraient. Il fallait se soucier de la vie des passagers, et non de ma santé personnelle, car sinon ils allaient tous périr, par notre faute.

- Je ne dois surtout pas faire ça Taylor. Je sais qu’il s’agit de la meilleure chose à faire, pour que je parvienne à retrouver la forme, mais la situation est dangereuse. Tant que nous ne sommes pas sortis d’affaire, il ne faut pas penser à ça. Tout va s’arranger. Je suis convaincu que tout pourra redevenir normal, et que l’on pourra reprendre nos vies. Je ferais tout pour ça de toute façon.

Quand Rachel revenait vers nous, elle observait mon visage, qui devait probablement lui rappeler notre première rencontre. Elle me demandait même s’il s’agissait de la même douleur que la première fois. Je ne fis qu’acquiescer pour lui répondre.

Mais, en voyant le visage de Rachel, j’eus la réponse à ma pseudo croyance envers l’espoir. Aucun passager. Elle n’avait malheureusement pas du en trouver. Tout était clair dans ma tête. J’étais le seul à pouvoir être capable de faire le nécessaire pour piloter l’appareil, même si ma santé laissait à désirer.

- Il faut quelqu’un pour le faire, et ainsi piloter l’appareil, alors je vais le faire. Je vais le faire.

Il n’y avait plus d’orage, mais la douleur était toujours présente, toujours. Mon impression était peut-être alors la bonne, qui sait. J’avais peut-être finalement un rapport avec cette chose que je pensais improbable, et illogique. Peut-être que l’orage venait de moi alors. En même temps pourquoi aurais-je pensé au nombre exact d’impacts, qui avaient eu lieu non loin du cockpit ? Ceci n’était pas qu’une coïncidence, c’était impossible.

En entendant la sonnerie, je pris conscience que le pilotage manuel se remettait en place peu à peu. Il fallait que j’y aille, que je prenne place…

- Je vais le faire.; disais-je avant de me mettre en place.

J’étais aux commandes de l’appareil désormais. Je savais ce que je faisais, sérieusement…ce qui m’étonnait un peu, dans un sens.

Invité

On ne pouvait se trouver dans une pire situation que celle-ci. En effet, il n'y avait plus de pilotes aux commandes. Il fallait en trouver un le plus vite possible. En voyant l'état de Sam, je m'inquiétais. Il souhaitait prendre les commandes mais pour cela, il devait être en pleine forme. Je devais penser à la sécurité des passagers mais également à sa sécurité car c'est mon meilleur ami. Rachel est finalement partie voir les passagers afin de trouver un pilote. Même si j'avais dit que j'irais du côté de l'appareil afin d'arrêter les personnes encore debout qui ont détournées l'appareil, je suis finalement là auprès de Sam. Il me disait à ce moment-là qu'il ne devait pas se reposer même s'il s'agissait de la meilleure chose à faire pour qu'il parvienne à retrouver la forme. Il a en partie raison sur le fait que la situation était dangereuse. Il précisait que tant que nous n'étions pas sortis d'affaire, il ne fallait pas penser à ça. Je me souciais de mon ami et c'est normal. Le voir dans cet état était pour moi insupportable. Il ajoutait que tout allait s'arranger. Il est même convaincu que tout pourrait redevenir normal et que l'on pourra reprendre nos vies. Il ferait tout pour ça. J'aimais bien ce qu'il disait. Il a énormément de courage. Je l'admire.

Taylor : Je sais que la situation est dangereuse Sam. Je me faisais du souci pour toi car tu es important à mes yeux. Je trouve que tu as du courage.

Sam me redonnait l'espoir de me battre alors que la situation était désespérée. Rachel revient vers nous deux. Elle voyait la tête de Sam tout comme moi et se demandait si c'était la même douleur que la dernière fois. Je ne comprenais pas du tout. Mais par contre, j'avais l'impression qu'elle allait nous annoncer une mauvaise nouvelle. Elle n'a dû trouver personne. Malheureusement, Sam devait donc prendre les commandes. Sam disait qu'il fallait quelqu'un pour piloter l'appareil alors il allait le faire. Il n'y avait aucune autre solution. J'avais l'impression qu'il allait un peu mieux. Le temps devait être plus propice à cela.

Taylor : Très bien, je comprends. Il faut prendre les commandes.

On entendait soudain du bruit au niveau du cockpit. Sam disait qu'il allait donc le faire et prenait place aux commandes. Je restais de mon côté au niveau de ma position. Je regardais Rachel. On devait protéger le cockpit afin que Sam n'ait aucun problème pour atterrir.

Taylor : Tu as vu des personnes encore debout qui ont détournées cet avion ? Si jamais, il y en a encore, on va devoir protéger l'entrée du cockpit. Sam ne doit en aucun cas rencontrer de problèmes lors de l'atterrissage. Je ne sais pas par contre si c'est à nous de prévenir les passagers que nous allons atterrir ou non.

Je me posais bien la question. En tout cas, je sais maintenant que bientôt, nous serons sortis de cette galère et que les autorités prendront le relais. A ce moment-là, je sais que je vais devoir disparaître.

Donc, on n'était très mal partit dans le sauvetage de tout le monde dans cet avion. Premièrement, personne ne pouvait piloter l'avion dans les passagers et c'était Samuel qui devait prendre le contrôle de l'appareil. Deuxièmement, à voir son visage il avait la même douleur que la première fois que je l'avais rencontrer. Finalement, moi j'avais une mini-panique dans moi et j'essayais de garder mon sang froid un peu comme Taylor, mais c'était dur. Je n'ai jamais vécu ceci avant. Je vivais à Londres avant et je n'avais jamais vécu quelque chose du genre. Aujourd'hui, j'habitais New York et les évènements bizarre il y en avait au moins un à chaque semaine.

Puis, du bruit se fit entendre derrière nous. Pendant que Samuel prit la place d'un des pilote. Moi et Taylor ont protégeaient l'endroit au cas ou il y avait d'autres personnes debout qui était prêt à détourner l'avion une fois de plus. J'avais un peu peur, mais je ne voulais pas le monter et je ne savais pas si je serais capable de le cacher un peu plus longtemps, car j'ai toujours de la difficulté à cacher mes sentiments quand j'en n'avait une. Ces une chance que mon don ne se manifeste plus quand j'ai une émotion, car sinon je nous aurait déjà envoyer dans le vide. Je répondis tout de même à Taylor en lui disant ceci :

Tu as raison il faut protéger cette endroit. Et non je n'ai pas vue d'autres personnes, mais elles peuvent être cachés dans les gens normaux et ils attentent qu'on se retourne que quelques secondes et puis, il prenne le contrôle.

Pendant, les prochaines minutes il fallait que moi et Taylor regarde les deux yeux grands ouvert. Car, un faux pas de moi ou elle et puis nous sommes peut-être fini. Car, on ne sait jamais il peut y avoir des gens dans les passagers qui n'attends que moi ou Taylor tourne les yeux pour prendre le contrôle.

Hj: Ces court, mais je n'avais pas vue la dernière réponse la dernière fois, alors je rattrape mon retard

Invité

Je n'aimais pas du tout comment les évènements étaient en train de se dérouler. J'étais inquiète mais comme à mon habitude, j'essayais de ne pas le montrer. Sam allait prendre tous les risques et je n'aime pas du tout le savoir dans cette position. Si j'avais su piloter, j'aurais pris les commandes à la place de Sam pour lui éviter des ennuis. Après tous ces évènements, revenir dans New-York me fera le plus grand bien. Seulement, je pensais à l'atterrissage et aux autorités. Ils risquent de me voir et de se mettre à ma poursuite. Il va y avoir tellement de mondes à l'aéroport car je suis sûr que les autorités sont au courant de ce qui se passe. Rachel me donnait raison sur le fait qu'il fallait absolument protéger cet endroit. Par contre, elle me dit qu'elle n'a vu personne mais que les pirates de l'air peuvent très bien se cacher parmi les personnes civilisées. Rachel a raison. Il suffit que l'on ne fasse pas attention pendant ne serait-ce que quelques instants pour qu'ils reprennent le contrôle. Nous devons faire attention au moindre signe suspect.

Taylor : Tu as sans doute raison. Le meilleur moyen pour eux de se cacher est de se retrouver parmi les autres passagers. On va devoir redoubler de prudence si on souhaite qu'aucun passager ne soit blessé. Nous allons arriver à faire atterrir cet avion. Nous allons sortir de ce cauchemar.

J'étais prête à défendre ce cockpit afin que Sam puisse arriver à nous poser sur la piste d'atterrissage. Des personnes commençaient à venir vers nous. Je ne savais pas trop si c'était de véritables passagers ou ses personnes qui ont détournées l'avion. Quand je commence à regarder leurs yeux, je me rends compte qu'il en restait encore quelques-uns. C'était bien notre chance ça. Il était temps d'attaquer. Si on reste ainsi, on risque de perdre et je n'imagine pas ce qui pourrait arriver à Sam. On aurait ensuite plus aucun pilote dans l'appareil. Je ne tiens pas à voir le film en vrai de Y'a-t-il un pilote dans l'avion ? Ce n'est pas possible autrement.

Taylor : Ce sont eux. A priori, il ne doit plus en rester beaucoup. Je vais vers celui de gauche. Tu peux prendre celui de droite.

Je m'avance immédiatement vers l'un d'eux et je l'attaque au corps à corps. Je sais également me battre. Son couteau ne me faisait pas peur. Je commence à l'attaquer directement. A plusieurs reprises, j'évitais qu'il ne me transperce avec son arme. A un moment donné, il arrive malheureusement à me toucher au niveau du bras. C'était une entaille assez profonde. Je devais tenir le coup. Finalement, j'arrive vers lui et je le frappe de toutes mes forces. Il percute le mur et s'effondre. Je me tenais le bras tellement j'avais mal mais aucun cri ne sort de ma bouche. Au moins, j’espère que Rachel s’en sort mieux que moi. Je ne tiens pas à ce qui lui arrive quelque chose. Je ne pourrais le supporter. Je n’ai pas vu comment elle a attaqué cette autre personne ni si elle s’en sort effectivement mais je suis capable de tout pour qu’elle aille bien. Je me tenais contre le cockpit alors que je sens l'avion en train d'amorcer sa descente pour l'atterrissage. Le cauchemar va se terminer, c'est une bonne chose.

Spoiler:

Light Of The Assassin

Aux commandes de l’appareil, je devais tout faire pour que l’on puisse enfin atterrir et enfin être en sécurité. C’était enfin l’occasion de pouvoir changer les choses, et empêcher les personnes, qui souhaitaient détourner l’avion, d’arriver à leurs fins. C’était notre dernière chance. Savoir que j’avais en gros l’avenir de plusieurs personnes sur mes épaules, n’étaient pas quelque chose qui me mettait à l’aise. Je subissais une pression sans faille, et c’était très grave.

J’essayais désormais de tout faire pour permettre à l’appareil d’atterrir, alors que j’entendais le combat qui se déroulait derrière moi, dans une autre pièce. Malheureusement, je ne devais rien faire. Si je détournais mon regard du contrôle de l’appareil, nous risquions le crash.

Enfin, j’amorçais la descente afin que nous puissions atterrir. Tout allait bientôt se terminer. J’en avais conscience à présent. Quand l’appareil touchait le sol, mon soulagement était énorme. Je venais de contrôler un avion, pour une rare fois dans ma vie.

Quand je me relevais, ma douleur était encore plus grande. J’arrivais à peine à tenir debout. Je pensais à Taylor et Rachel, pour toute la force qu’elles avaient mis dans le combat, cette chose que je n’avais pas pu faire. Je voulais marcher, et aller les rejoindre, mais il était trop tard pour moi. Mon saignement recommençait, et il était beaucoup plus fort à présent.

Sans me contrôler, je chutais et me retrouver sur le sol. Je perdis connaissance, et j‘allais probablement ne pas me réveiller tout de suite.

Spoiler:

Invité

Sur le moment, je ne pensais qu'à une seule chose : j'avais mal au niveau de mon bras. Ce que l'un de ses terroristes avait pu faire était quand même assez sérieux et je n'avais pas vraiment de moyens d'arrêter l'hémorragie. Je tenais mon bras en espérant que personne d'autre ne viendrait mais c'était une erreur monumentale. Deux autres venaient dans notre direction. Avec l'un de mes bras, je tente de les viser. Je lève ma main et je les propulse contre le mur à l'aide d'une petite explosion. Ils étaient chaos. J'étais toujours contre le cockpit. Je sentais soudain les roues de l'avion en train de se poser sur le sol. C'était une large victoire. Tous les passagers applaudissent l'atterrissage. Sam mérite bien ses applaudissements. C'est ce que l'on pourrait appeler la coutume au sein d'un avion. On pouvait sortir de cet enfer mais mon problème était les autorités. Il fallait que l'on sorte Sam de là. Je me lève difficilement et il ne restait plus qu'à ouvrir le cockpit. Je prends la poignée pour l'ouvrir. La porte est donc ouverte à présent. Je rentre à l'intérieur et je remarque Sam étendu sur le sol. Je me précipite vers lui. Je m'inquiétais.

Taylor : Sam ? Sam ? Réponds-moi !!!!! Rachel, vite !! Il faut que tu viennes !

J'avais élevé ma voix. Je m'inquiétais tellement pour lui mais mon sort risque d'être scellé d'un instant à l'autre. En effet, les autorités sont là et il faut éviter que je ne me fasse arrêter. Je ne souhaitais en aucune façon leur attirer des ennuis. Je ne savais pas quoi faire. J'aurais tellement voulu rester auprès de Sam, l'épauler dans son rétablissement mais mon statut m'empêche d'aller dans ce sens. J'ai peur à ce moment-là. Je voyais Rachel en train d'arriver vers moi.

Taylor : Rachel, il faudrait que tu prennes bien soin de Sam. Il a besoin de quelqu'un sur qui il peut compter. Malheureusement, je ne peux être cette personne. Les autorités sont là et s'ils me trouvent ici, je serais arrêtée. Je viendrais voir Sam dès que possible mais malheureusement, je ne peux l'aider ou l'emmener à l'hôpital. Cela me déchire le coeur de devoir faire un choix. Je déteste ce système ! Ce que tu as fait Rachel aujourd'hui est tout simplement fantastique. Pour beaucoup, tu fais partie des héros.

J'en voulais à Nathan et à toutes les personnes qui étaient en train de chasser les personnes comme Rachel, Sam et moi. Je m'en voulais de les laisser tous les deux mais je n'avais pas le choix. Les autorités ne doivent pas trouver Rachel et Sam avec moi sinon, ce sera fini pour eux. Je m'approchais de Sam.

Taylor : Sam, je ne sais pas si tu nous entends mais sache que tu as sauvé toutes ses personnes rien qu'en atterrissant dans cette ville et c'est quelque chose d'exceptionnel. Je dois malheureusement vous laisser toi et Rachel. Je reviendrais te voir, c'est promis.

Je m'en voulais tellement mais j'entendais que les autorités étaient en train de s'approcher. Ils pouvaient monter à l'intérieur d'une minute à l'autre. Malgré mon état, je devais courir. Mes soins devront passer ensuite. Je me précipite vers l'extérieur de l'avion en accélérant au maximum. Je voyais les autorités. Je me mettais rapidement à courir en direction d'un endroit à l'abri en laissant deux de mes meilleurs amis.

Spoiler:

J'essayais de garder mon sang froid avec Taylor à côté de moi. Je me sentais un peu mieux et je savais que tout ceci serait bientôt terminer. Toutes les deux nous devions protéger le cockpit ou ce trouvait Samuel. Deux hommes venaient vers nous et tout de suite je vis Taylor les propulser très vite contre le mur et ils perdit conscience. Puis, il eu une petite secousse et j'entendis les roues sortir et l'avion s'arrêtait. Enfin ! Pas que je n'aimais pas cela, mais ce cauchemar allait finir. Je vis tous le monde applaudir et ils avaient raison, car Samuel avait fait du bon travail en sauvant tous le monde dans cet avion. Puis, j'entendis la vois de Taylor m'appeler et à voir le son de sa voix ce n'était pas bon signe.

Quand j'arrivais vers elle mon visage changeait tout de suite. Mon sourire avait disparue et avait laisser place à de l’inquiétude. J'eu un petit flash-back de la première fois que j'avais vue Samuel. Je me demandais si c'était encore ce mal de tête et si ce l'était il fallait que je trouve quelque chose, car cette fois-ci ça avait l'air plus grave. Puis, Taylor et allait en disant qu'elle ne pouvait pas rester, car les autorités pourrait l’attraper. Je n'avais pas besoin de dessin je savais que c'était moi qui devait m'occuper de lui. Le seul problème et que je ne savais pas trop quoi faire. Taylor continuait en disant qu'elle n'aimait pas le système dans le quel nous étions. Moi non plus je ne l'aimais pas, mais pas du tout. Elle finissait en disant que ce que j'avais fait aujourd'hui était fantastique et que pour beaucoup j'étais une héroïne. Je lui souriait à ceci même si je ne me considère pas comme une héroïne le fait d'avoir fait quelque chose de bien comme sauver ces gens ça ma fait du bien.

Merci, Taylor ces gentil. T'inquiète pas je vais m'occuper de lui tu peux partir avant qu'ils t’attrape.

Avant de partir elle s'approchait de Samuel et lui dit quelque chose. Je n'avais pas trop comprit, car je regardais dehors et vis déjà les gens sortir de l'avion. Puis, elle se levait et allait du côté opposer des autorités. Moi de mon côté, avec ma petite force de fille de 21 ans je levais du mieux que je pouvais Samuel et essayait de trouve un endroit ou nous pouvions être en sécurité le temps que je le ramène chez moi. Il n'était pas question de l’amener à l'hôpital. Déjà qu'il avait des problèmes avec ces maux de tête je ne voulais pas que des médecins trouve d'autres choses bizarre. Donc, ces avec joie dans un sens que je partis de cet avion de malheur avec Samuel à côté de moi.

Hj: Pas ma meilleure réponse, mais bon on peu pas toujours en faire de bonne.

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