Tu es perdu, alors moi je t'aide - avec Tyler Anderson

Comment je pouvais décrire le sentiment que j'avais depuis quelques jours ? Tout simplement en un mot et c'était : magnifique. Cela faisait quelques jours, que Samuel était revenu et ma joie était plus grande que jamais. Cela faisait déjà une semaine et demi, qu'il habitait avec mon dans mon petit appartement. Mais, même s'il était tout petit et que les voisins faisaient n'importe quel bruit autour. Personne ne pouvait venir gâcher notre bonheur.

Donc, après une nuit de travail, je revenais tranquillement et vit que Sam dormait comme un bébé. Je ne voulais pas le déranger et le réveiller. Depuis, qu'il dormait chez moi, il ne se réveillait presque plus durant la nuit. Donc, je pris un bout de papier et un crayon. Pour lui laisser un message de ou j'étais partie.

Je détachais mes cheveux et mis une veste avant de mettre mon manteau. Je repris mes clés pour verrouiller la porte et mon Ipod. Je mis mes écouteurs et me laissait tranquillement réveiller par les paroles des chansons de Katy Perry. Les rues était assez animer à cet heure du matin. Les enfants allaient à l'école et les adultes allaient travailler. Je voyais les gens avoir un sourire et ça m'en donnait un à moi aussi.

Rien de bizarre ne m'était arriver depuis quelques temps. Je goûtais à se qui pouvait ressembler à une vie normale. Je pris la direction de l'épicerie la plus proche. Donc, je pris la direction pour aller chercher quelques petites choses pour le déjeuner. Il n'y avait pas de grosse attente avant de payer. Il était quand même 8:30 environ. Donc, je sortis du magasin, et attendais de passer pour ne pas me faire frapper par les voitures.

Sauf que j'étais trop concentrer sur ma chanson préférer de Muse. Je mis un pas dans la rue. À peine, les deux pieds dans la rue. Je sentis deux mains me prendre et me reculer le plus vite possible. Au début, je croyais que c'était Sam, mais il dormait chez nous.

Quand je levais les yeux sur celui qui m'avait sauver je pouvais voir qu'il était jeune. Il devait avoir 18 ans pas plus. Il avait 18 ans et je dois dire qu'il n'était pas laid. Il était même très beau, mais pas aussi beau que mon amoureux ces certain. Personne ne pouvait être à la hauteur de Sam... personne.

Merci de m'avoir sauver la vie. J'étais trop dans ma musique pour voir que le feu était encore rouge.

J'enlevais mes écouteurs pour voir ce qu'il allait dire. Il avait l'air perdu. On aurait dit moi il y a un an quand j'étais arriver ici. J'étais complètement perdue et faut dire que New York était assez grande comme ville. Je pouvais comprendre ce qu'il ressentais. Donc, je lui dit ceci :

Vous allez bien ? Vous avez l'air perdu. Moi, ces Rachel et vous ?

Time Can Be Rewritten

Depuis mon arrivée dans cette époque, je n’avais jamais ressenti une peine aussi immense que celle qui me traversait en cet instant. Toute cette solitude m’avait envahi si rapidement qu’elle amenait des larmes avec elle. Ils me manquaient, de plus en plus, et je ne pouvais pas les oublier. Je les avais quittés pour entreprendre ce voyage dans le passé, les protéger et ainsi enlever cette expression de peur que j’avais pu voir sur le visage de mon père. Mais cela m’avait du mal de les abandonner, même si je l’avais quand même fait. Je me sentais comme fautif, le seul coupable, et cela me torturait de l’intérieur. Cette douleur intense, je ne pensais pas la ressentir aussi vite, mais c’était pourtant le cas. Leur absence me brisait le cœur.

Toujours aussi seul, je marchais dans la rue, tentant de contenir mes larmes comme je le pouvais. En solitaire, c’était plus simple d’agir ainsi. J’observais certains passants, les voitures qui allaient et venaient…et je restais là.

Sauf qu’une scène attira mon attention. Quelqu’un allait traverser, de telle sorte à rejoindre le trottoir d’en face, mais une voiture était trop proche d’elle. Instinctivement je me lançais vers elle, et la retenait à deux mains pour la ramener en arrière. Je ne la regardais pas encore parce que je préférais tout d’abord m’assurer qu’elle n’avait rien. Mais elle me remerciait pour ce que j‘avais fait

- L’important surtout est que vous n’ayez rien.

Le fait d’avoir simplement pensé au fait de préserver la vie de cette femme m’avait fait oublier mes larmes. Je me sentais mieux, mais ce ne fut que de courte durée. Car, quand je la vis réellement, mes larmes et mon égarement réapparurent tout d’un coup.

La jeune femme, dont je connaissais déjà l’identité, me demandait si j’allais bien, avant d’aborder le rituel des présentations.

- Je m‘appelle Tyler…et non ça ne va pas du tout.

J'avais du mal à montrer mes larmes, mais elles étaient là, coulant sur mes joues alors que je la regardais. Il s’agissait là d’une preuve supplémentaire que le fait d’être seul dans le passé me brisait le cœur. Ma famille me manquait.

Il avait quelque chose dans son regard à cet inconnu. Je ne savais pas c'était quoi, mais quand il me dit qu'il était vraiment perdu. Je réalisais que s'il ne m'avait pas sauvée il y a quelques secondes. Je saurais coucher par terre, frapper par une des voitures. On serait entrait de me transporter soit à l'hôpital ou à la morgue. Je le remerciais ce qui était tout à fait normale et me présentait.

J'ai du attendre quelques minutes, avant d'avoir une réponse de sa part. Car, il regardais si j'avais quelque chose, mais je n'avais rien du tout... une chance. Il ne m'avait toujours pas regarder et préférait regarder le sol... tien ça me rappel quelqu'un qui le fait aussi. Finalement, il se présentait, mais juste avec son prénom. Il se nommait Tyler. C'était un beau prénom. Quand il levait son visage, je vis qu'il avait les yeux plein d'eau. Pourquoi ? Je lui faisais penser à quelqu'un qu'il aimait peut-être ?

Tyler me disait que ça n'allait vraiment pas. Je lui rappelais peut-être une petite amie avec qui il n'est plus ou autre chose du genre. Donc, je lui dis :

Ça va aller... ne pleurer pas. Tout va bien se passer. Si vous voulez, laisser moi aller porter mes choses chez moi. Après vous n'avez qu'à me dire ce qui ne va pas. Avant que vous ne dites de quoi, je ne vais pas le crier partout. Je sais garder quelque chose pour moi. D'après mes proches et mon petit ami, il parait que j'ai un grand coeur.

Je ne sais pas s'il allait me faire confiance, après tout j'étais une inconnue pour lui. S'il me faisait assez confiance pour que je l'aide. Je serais heureuse de l'aider, sinon ça serait bien dommage. Le temps d'aller porter ce que j’avais acheter. Je serais à toute écoute pour lui après. J'attendais finalement la lumière verte. Je commençais à marcher et regardais si Tyler me suivait. Il le faisait j'eu un sourire et lui dit :

J'habite tout proche d'ici. Le temps que j'aille mettre ceci dans le frigidaire. Vous pouvez rester à côté de la porte d'entrer ça ne sera pas long.

Arriver devant j'ouvris ma porte et entrait. Je passais par la cuisine pour mette les choses dans le frigidaire. Dès que c'était fait, j'allais vers la chambre ou Samuel dormait toujours. Je déposais un baiser sur son front avant de changer le petit mot que j'avais écrit un peu plus tôt.

Je repris mes clés et fermait la porte. Dès que je revenais, je vis Tyler regarder le sol et essuyer les larmes qui coulait le long de son visage. Je mis une main sur son épaule et lui dit ceci :

Si vous voulez vous pouvez me parler de ce qui ne va pas ? Je ne dirais rien à personne, ça je peux vous le promet. Mais, vous n'êtez pas oubliger de le faire.

Time Can Be Rewritten

Ces larmes, elles avaient pris possession de moi, pour exprimer ma peine devant une peine que je venais seulement de rencontrer, même si au fond je savais déjà qui elle était. La voir me rappelait tant ce que j’avais quitté en venant dans cet époque, à savoir ma famille, une vie dans laquelle j’avais su m’ancrer avec le temps, mais que j’ai du abandonner à contrecœur. Revoir leurs visages, dans mon esprit, me faisait du mal. Cette peine, à la longue, je ne la supportais plus. Je ne parvenais plus à vivre sans la subir de plein fouet. J’aimerais que tout puisse cesser, afin que je puisse vivre sans souffrance, mais je savais que c’était impossible. Quand mon père m’avait parlé de ces tortures émotionnelles que l’on devait subir parfois pour le bien des autres, je croyais au départ qu’il avait tort, mais c’était moi qui était dans le brouillard. J’avais juste refusé de l’écouter parce que je possédais encore une vision idyllique de la vie. Alors que le seul qui avait raison, c‘état lui.

Mais comment pouvais-je me retenir devant elle ? C‘était la plus impossible des choses. Mon corps avait décidé d‘exprimer l‘intégralité de sa peine en une seule et même rencontre. Je n‘avais pas pu me contrôler comme si tout était décidé d‘avance, que le destin avait prévu que j‘allais craquer devant elle, et elle seule. Mais je n‘allais malheureusement pas pouvoir lui dire, comme pouvais-je lui avouer la source de ma peine, alors que toute cette histoire demeurait secrète. Je ne le pouvais pas. J‘en étais incapable.

Rachel tentait de me rassurer, de me dire que tout allait bien se passer, et qu‘elle pouvait éventuellement m‘aider car je pouvais, si je le souhaitais, dévoiler la source de ma peine à ce cœur de tendresse qu‘elle était. Je la croyais, sincèrement. Je savais qu‘elle avait un grand cœur, pour des raisons qui m‘étaient propres. Ces conversations présent/futur me perturbaient énormément, car je n‘arrivais pas à me fixer dans la véritable époque à cause de cela. En réponse à ce discours, je ne fis qu‘un mouvement de la tête, pour signifier un oui, mais ce oui était sans garantie. Même si je la suivais, je ne savais pas si j‘allais trouver la force de lui parler, ni si j‘allais pouvoir simplement lui parler de ce qui m‘arrivait, alors que la majeure partie de ma peine était forgée sur un secret que je devais garder pour moi.

Rachel n‘habitait pas loin d‘ici, en fin de compte, car nous atteignions son domicile en seulement quelques minutes. Je restais à côté de la porte d‘entrée glissant contre le mur pour atteindre le sol. Mes yeux ne le quittaient pas. Quand Rachel revint, ma peine était toujours flagrante, c‘était même pire qu‘avant. Elle posa sa main sur mon épaule. À cet unique moment, j‘osais relever les yeux vers elle, qui me dit que je pouvais, si je le souhaitais, parler de ce qui n‘allait pas. Selon elle, elle n‘allait rien dire à personne. Elle allait garder le secret.

J‘hésitais. Dire cette vérité devant elle était une chose que je ne pouvais pas faire. Je ne pouvais pas lui dire que je venais du futur, pour empêcher une sombre menace de détruire le monde…etc…etc… En bref, j‘étais coincé. Mais si je gardais cette peine en moi, rien n‘allait s‘arranger, j‘en avais conscience. Que faire ?

Finalement j‘osais…je parlais, un peu, mais je parlais.

- Je ne supporte pas de vivre sans eux. J’ai beau me dire que tout va aller bien, que je peux y arriver, et que cette peine n’est que de courte durée, mais ils me manquent. Ils me manquent terriblement, et le temps ne fait qu’agrandir cette peine.

Je tentais d’essuyer mes larmes, en vain, parce qu’elles reprirent facilement le dessus sur moi.

- Je crois que je dois avoir besoin d’une épaule sur laquelle m’appuyer, juste quelqu’un avec qui rester pour l’instant. En restant seul, je ne fais que penser à eux…

À peine sortit de l'appartement, je vis Tyler qui fixait le sol. Je regardais de plus près et vit de grosses larmes couler. Je posais ma main sur son épaule. Il n'avait pas l'air surprit que je pose se geste, mais je lui dis que s'il avait besoin de parler il le pouvait. Je n'étais pas du genre à aller dire le secert de quelqu'un juste après l'avoir apprit.

Même si je connaissais Tyler que depuis quelques minutes, je voulais l'aider à ce qu'il aille mieux. Car, je voyais très bien qu'il n'allait vraiment pas. Je ne savais pas ce qu'il avait vécu, mais pour un jeune comme lui ça devait être terrible. Encore plus terrible que de perdre une petite amie. Cela devait être vraiment secert pour qu'il le garde aussi longtemps pour lui.

Nous étions toujours à côté de mon apprtement et nous ne bougions pas. Je voulais vraiment l'aider et je ne savais pas pourquoi. Mais, il prit la parole et dit qu'ils pensaient à eux. Mais, c'était qui eux ? Il disait que le temps ne faisait agrandir sa peine. Je ne pouvais pas le comprendre dans un sens. Mais, si j'étais loin de Sam pendant un moment j'aurais la plus grand déprime de ma vie. J'en n'avais déjà une petite à cause que Lucy et ma mère était loin. Si je perdais tout je ne m'en sortirais jamais et je me connais assez bien pour le savoir.

Il essayait d'enlever ces larmes, mais elle coulait quand même. Il disait que pour le moment il ne voulait qu'un épaule sur qui il pourrait s'appuyer. Sinon, il ne faisait que penser à eux. Je me demande qui était ces personnes à qu'il faisait référance. Elle devait être très proche de lui pour qu'il soit si émotionelle quand il parlait d'eux. Alors, je lui dit :

Si vous voulez je peux être cette épaule. Je ne connais peut-être pas ceux qui vous manque. Mais, je peux vous aidez à ce que vous aillez mieux.

J'avais déjà fait un miracle avec Sam. Je pourrais en faire un autre avec Tyler. Peut-être pas l'aider comme j'ai aider Sam, car pour Tyler on dirait qu'il voulait garder ces secert pour une raison. Je ne savais pas pour qu'elle raison, mais je devais respecter cela. Donc, je me levais et lui dit :

Je sais pas pour vous, mais on peut parler dehors si vous voulez. Car, je ne veux pas réveiller mon petit ami qui dort. Car, ici dès qu'on fait un bruit ces tout le monde qui se réveille. Donc, si vous voulez on peut aller dehors et essaye de mettre un sourire sur ce visage.

J'espére qu'il va me suivre. Je n'aime pas voir quelqu'un de triste même si ces quelqu'un que je connais à peine.

Time Can Be Rewritten

Cette tristesse, cette intense peine qui se dégageait de mes yeux, était la preuve que je ne supportais plus mon propre départ. En allant dans le passé, j’avais quitté les personnes les plus importantes à mes yeux : ma famille. J’avais abandonné ce père qui m’avait tant appris dans ma vie. Il m’avait enseigné l’art de me battre et de ne jamais renoncer. Ce modèle, je le respectais, mais je l’avais quitté, à contrecœur. Ma mère, oh bon sang mais pourquoi avais-je quitté ce si grand cœur ? Elle qui, avec un seul regard, parvenait à adoucir la peine de tout le monde, m’aidait également à voir le côté positif de la vie. Elle était si…parfaite. Mon père l’avait toujours décrite ainsi, et je pensais comme lui. Il avait raison. Pourtant si parfaits, je venais d’abandonner ces deux immenses cœurs pour voyager dans le temps et tenter d’éradiquer à moi seul une menace qui pourrait détruire le monde, une menace dont je ne devais même pas parler pour préserver le futur que je souhaitais sauver. Je ne devais le dire à personne…

Mais je pleurais tellement…

Je venais de rencontrer contre toute attente une personne que je ne pensais pas revoir : Rachel. Je venais à peine de la rencontrer, enfin plutôt elle venait à peine de me rencontrer, mais elle cherchait déjà à m’aider. Nous étions à côté de son appartement, et nous n’en bougions pas encore. Elle m’écoutait quand je parlais, chose que je n’avais pas pu vivre depuis longtemps. Cette écoute attentive, cette si généreuse situation, était rare dans ma vie, mais se répétait dans le passé, comme si mon voyage m’apportait de bonnes choses depuis mon arrivée, mais que j’étais encore trop aveugle ou bien pas encore prêt à en profiter. Pourtant je devrais le faire. Mes rencontres, Tom, Taylor puis enfin Rachel m’avait aidé à me faire comprendre où j’étais. Maintenant je devais surmonter l’abandon de ma famille, la chose la plus compliquée à admettre. Ces larmes étaient douloureuses, au point de ne pas vouloir disparaître. Elles déchiraient mon organisme de part en part. Ce manque était très dur à supporter, je n’en pouvais plus… J’avais vraiment besoin d’aide pour m’en sortir. Je ne pouvais pas y arriver seul.

- C’est vraiment gentil à vous de vouloir m’aider alors que vous ne me connaissez qu’à peine. D’autres personnes n’auraient probablement pas eu cette marque de gentillesse à mon égard justement parce qu’ils ne me connaissent pas assez.

Rachel se leva et me proposa alors d’aller dehors pour éviter de faire trop de bruit et ainsi réveiller tout le monde, son petit ami et ses voisins. Elle avait raison.

Je me levais sans rien dire, et je commençais à la suivre, tout en tentant de sécher mes larmes. C‘était encore difficile de les faire disparaître, surtout quand j‘étais en présence de quelqu‘un que je connaissais déjà, mais qui me voyait comme un étranger.

Il y avait quelque chose dans Tyler qui me disait que je pouvais lui faire confiance. Il n'était qu'un pur inconnu pour moi. Mais, je lui faisais confiance c'était une confiance aveugle vu que je ne le connaissais pas du tout. Juste en le regardant je savais qu'il cachait des choses. J'étais curieuse de savoir ce qu'il cachait et les gens qui me connaissait le savait, mais je me calmais. Car, je voyais qu'il avait besoin d'aider, car il pensait trop à ces personnes qu'il avait quitter et qui devait être cher à ces yeux.

Il me faisait un peu penser à moi quand j'ai quittée l’Angleterre. Ma mère me manquait terriblement, mais je sais qu'en partant comme je l'avais fait. J'avais sauvée le peu de vie qu'il lui restait. Elle n'était même plus la personne énergique que j'avais connue. Elle ne faisait que rester dans son lit ou sa chaise et ne parlait plus.

Juste à y penser j'eu l'eau qui montait aux yeux. Mais, elle ne coulait pas, car je voyais que quelqu'un avait vraiment besoin d'aide. En voyant Tyler, je me dis pour un garçon qui avait à peine 18 ans être séparer de ceux qu'il aime comme ces le cas en ce moment doit le briser au plus profond de lui.

Donc, je lui proposais de me suivre dehors. Je l'aidais à se relever, car dans l'état dans lequel il était il n'allait pas se lever tout seul. C'était le temps, de sortir mon écoute envers les autres, ma gentillesse et de faire un petit miracle avec quelqu'un qui gardait des secrets. Je ne voulais pas qu'il me dise tout, mais juste un peu pour qu'il en n'aille un peu moyen sur le coeur.

Nous étions dehors, il y avait un petit vent, mais il y avait les rayons du soleil qui ré-chauffait un peu et qui donnait de la lumière. Je savais ou aller pour ne pas se faire déranger. Il y avait un petit parc et c'était le bon endroit. Pendant le trajet, personne ne parlait. Je ne savais pas à quoi il pensait, mais dès que nous allions arriver j'allais me concentrer là-dessus.

Arriver dans le parc il y avait des jeunes qui jouais avec leurs parents et je trouvais cela mignon. Cela me faisait penser à moi et mes parents quand j'était plus jeune. Je vis Tyler qui me suivait mais lentement, il était sûrement dans ces pensés. Dès qu'il prit place je lui pris la main et lui dit :

Si vous voulez aller mieux il va me falloir savoir des choses. Mais, pas toute je vois que vous cacher des choses sombres, ne l'ai dite pas ces votre choix de les garder pour vous. Juste à vous voir je sais que vous n'allez pas tous dire. Mais, les personnes qui vous manque qui son t'elle pour vous ?

Time Can Be Rewritten

Ma famille…à elle seule, forgeait le plus immense manque de ma vie, alors que je les avais quittés simplement depuis peu. Mon père et ma mère…bon sang…mais pourquoi avais-je fait cela ? Surtout pour les rencontrer dans le passé, et qu’ils me prennent pour des inconnus, mon intention pouvait être étrangement perçu, mais j’avais surtout pensé à leur monde et non à ma peine. S’engager dans une telle mission, à mon âge, était quelque chose de lourd à supporter, mais j’en avais accepté la charge, à contrecœur. Je devais les sauver, mais avant je devais prendre mes marques dans cette époque. Je devais apprendre à vivre avec probablement la plus compliquée des rencontres.

Pendant la longueur du trajet, je ne disais rien, car j’étais plongé dans le spectre de mon présent. Je me rappelais de qui ils étaient…mon père et ma mère. Je les revoyais, l’un après l’autre. Les mouvements joyeux de nos vies revenaient facilement dans mon esprit, comme une sorte d’évidence. J’entendais leurs rires, je revivais nos jeux, nos superbes moments. Ceci ne me faisait en aucun pleurer, loin de là, tout ceci me faisait sourire. Le pire était responsable de ma peine, quand je revoyais leurs visages, la dernière fois que je les avais quittés. La peur sur le visage de mon père me retournait encore. La peine de ma mère me faisait du mal. Ce cocktail était terrible…

Nous arrivions Rachel et moi dans un parc. Un petit vent de fraicheur soufflait et secouait nos cheveux. Mais cette fraicheur était atténuée par les rayons du soleil qui réchauffaient l’atmosphère. Des jeunes jouaient avec leurs parents, mais je ne les observais qu’à peine, de peur d’accentuer ce que je ressentais. Je n’avais pas envie de remuer le couteau dans ma plaie. Rachel prenait place sur un banc, je la suivais lentement. Elle me parla une fois que je pris place.

- Je cache en effet des choses sombres, qui ne sont pas très joyeuses à garder à l’esprit, mais je dois malheureusement vivre avec elles. Des règles font que je ne dois pas les dire, de peur de tout changer, mais cela me fait du mal en quelque sorte… J‘ai le droit de dire certaines choses, mais pas toutes malheureusement. Cela m‘ennuie.

Et j’étais honnête.

- Ces personnes qui me manquent, elles sont importantes pour moi, et j’ai du les abandonner. Mon père et ma mère, j’ai du les quitter pour venir ici, alors qu’ils sont tout pour moi. J’ai du le faire à contrecœur.

Ce Tyler devait vraiment tenir à cacher certaines information. Mais, je voulais l'aider du mieux que je pouvais. S'il pouvait me dire quelques petites choses sur lui ça pourrait aider. Je pourrais essayer de comprendre certaine choses. Comme pourquoi il était si perdu que ça ? Pour un jeune de 18 ans, je trouve qu'il en n'a un peu trop sur lui. Si je pouvais lui en enlever un peu. Donc, avec les jeune enfants qui jouait dans le parc, je ne pouvais repenser qu'à mon enfance avec mes parents. Mais, du côté de Tyler c'était autre chose il ne les regardait même pas.

Cela devait lui rappeler des avec ces parents ou autre chose du genre. Pauvre lui, si c'était ces parents qu'il parlait et qu'il lui manquait beaucoup et c'était normal après tout si c'était cela. J'ai 21 ans et ma mère me manque beaucoup. Mais, celui qui me manquait le plus c'était mon père. Il était mort et je ne pouvait plus le revoir. Je ne pouvait plus entendre sa voix, je ne pouvais plus voir son visage et entendre sa voix chanter à ma mère. Je savais que si je perdais Sam, j'allais peut-être finir comme ma mère à ne plus dire un mot. Mon père avait été l'âme soeur de ma mère. Si je perdais Sam, je ne m'en sortirait jamais.

Donc, je le regardais et écoutais ce qu'il me disait. Il disait que j'avais raison car il avait des choses sombres qu'il cachait. Il continuait en disant qu'il n'avait pas le choix et de vivre avec elles. Il avait le droit de dire certaine choses, mais pas toute et il était désoler de cela. Donc, je lui posais ceci :

Comment vous pouvez cacher ces chose, vous avez vu le futur ? Vous avez des prémonitions, vous voyager dans le temps... est-ce que vous êtes un spécial ? Quel sont les choses que vous avez le droit de dire ?

Mon dieu ! Beaucoup de question à lui poser et s'il venait du futur je pourrais lui demander des choses mais, à y penser je ne devais pas. Si j'apprenais des nouvelles qui ne son pas bonne je pourrais être déçu du futur. Donc, je continuait de l'écouter et cela confirmait mes doute. Il a du les quitter ces parents pour venir ici. Pauvre lui, je mit mon bras autour de lui et lui dit :

Je suis sûr que ou qu'ils sont et que vous aller revenir vers eux. Ils seront fière de vous et de se que vous avez fait. Je sais de quoi vous parlez, je ne peux plus voir ma mère et cela me rend triste et mon père est mort. Ces comme si je me retrouvait sans parents.

Je ne savais pas pourquoi je lui disait tout ceci. Mais, comme je l'ai dit, j'avais une confiance aveugle envers lui. Je pouvais lui dire ces choses et je savais qu'elle resterait entre nous deux. Comme moi, j'allais garder les choses qu'il me dit pour moi.

Time Can Be Rewritten

Observer la course de ces enfants me rappelait ce à quoi je n’avais plus droit en venant ici : ces moments de bonheur en famille. C’était pour cette raison que je ne parvenais pas à les regarder. Je ne pouvais pas observer leur bonheur sous mes yeux, alors que j’avais perdu le peu d’aspect de bonheur que j’avais dans ma vie, cette joie qui avait pu naître après tant de combats dans ma famille. Mon père et ma mère s’étaient battus pour ce bonheur. Le combat était encore plus évident du côté de mon père, qui avait du attendre la majorité de son existence avant de pouvoir changer de vie, abandonner la souffrance et vivre autre chose. Ce déclic, que j’avais pu lire dans son carnet, avait bouleversé sa vie, sans aucun retour en arrière. Il avait trouvé la force de rester humain ce jour-là, et ne l’avait jamais perdu malgré les épreuves. Cette force, il me l’avait transmise sans hésitation, pensant que c’était mieux pour moi. Mais je ne pouvais pas me défaire de ce bonheur, par force. Je vivais le pire et je pouvais comprendre pourquoi mon père avait versé tant de larmes. Je comprenais la définition de la souffrance même à présent.

Ces souvenirs, remontant rapidement dans mon esprit, accentuait ma peine. Mes larmes pouvaient tomber, et je ne les supportais plus. J’avais envie que tout ceci puisse cesser, mais je ne le pouvais pas encore, pas tant que le choc de mon atterrissage dans le temps n’était pas sorti de ma tête. Quand j’avais révélé à Rachel la nature de mes restrictions temporelles, beaucoup de questions vinrent en elles, des questions sur qui j’étais.

Bon sang, mais comment lui dire…pourquoi me mettre dans une position pareille alors que je venais d’arriver ?

- Je cache ces choses parce que je n’en ai pas le choix. Si je révèle certains évènements alors que je ne dois pas le faire, cela risque de tout compromettre. Je n’ai pas envie de voir l’avenir devenir pire que celui que j’ai quitté. Si je sais tout ceci, c’est parce que je viens du futur. Mon pouvoir est de voyager dans le temps et je m’en suis servi pour venir ici, pour changer les choses

Je lui avais tout dit, car il valait mieux dire la vérité plutôt que de tourner autour du pot et ainsi lui cacher ce que j‘étais. Ce jeu inutile l‘aurait fatiguée à la longue et je n‘aurais pas aimé assister à quelque chose de pénible, dont je serais responsable.

*pas encore…*

- J’espère honnêtement pouvoir revenir vers eux et me dire que l’avenir est sauvé, qu’ils n’ont plus rien à craindre, mais je ne le peux pas réellement tant que le passé n’est pas modifié. En gros, ma chance des les revoir est suspendue à ma réussite dans cette mission que je me suis fixée. Je suis désolé pour votre père et votre mère, sincèrement.

Ce regard me disait vraimeny quelque chose. Comme si je regardais quelqu'un que je connaissais depuis un moment. Je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus. Tyler disait qu'il venait du futur et qu'il était venu pour changer les choses. Il devait venir d'un futur encore plus horrible que celui-ci. Déjà qu'on vivait dans un monde cruel. Je ne voulais pas imaginer l'enfer que lui est sa famille vivait.

Donc, je lui dit ceci :

Vos yeux il me rappel quelqu'un que je connais. Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus. Je dois connaître ou les avoir vu à quelque part vos parents ces pour cela. Mais, je sais que j'ai déjà vu se regard à quelque part avant. Mais, ne me dite rien dessus, car soit doit être une des choses que vous ne pouvez pas dire.

Dès que je l'entendais Tyler me parler de toute les choses qu'il me dit. J'arrêtais ma curiosité, elle ne devait pas aller plus loin que ou elle était. Je ne voulais pas que tout ceci devient plus pire que ce l'était déjà. Et juste à l'entendre dans son futur c'était déjà pire d'ou le fait qu'il était venu ici pour l'arrêter. J'avais toujours la question de savoir ce que j'étais devenu dans son futur, mais il ne devait pas me connaître et je ne lui poserais pas. Il était déjà assez perdu comme ça.

Il me disait que son pouvoir était de voyager dans le temps. Voilà comment il a fait pour venir jusqu'ici. Je n'avais jamais rencontrer quelqu'un qui voyage dans le temps. Il pouvait ou il voulait sur la terre. Puis, une question me venait à l'esprit et je ne pouvais la retenir plus longtemps.

Je sais que vous ne pouvez peut-être pas les voir ou leur parler, mais est-ce que vous avez vu ceux qui allait devenir vos parents ici ? Juste au loin et savoir qu'ils vont bien dans votre passé qui est leur présent ?

C'était compliquer tout ceci, mais ces vrai son passé était norte présent c'était bizarre à dire. En parlant de ces parents, il disait qu'il aimerait beaucoup revenir et leur dire que tout était arranger. Mais, pour le moment il ne pouvait rien faire. Que sa seule chance de les revoir était de réussir sa mission. Les dernières choses qu'il sortit de sa bouche était qu'il était désoler pour mon père et ma mère. J'eu une larme juste à penser à mes propres parents. Donc, je lui dit ceci :

Je me suis promit que quand tout serait fini avec cette chasse aux spéciaux que j'allais essayer de revoir ma mère. Même si elle ne me parlerait pas comme avant. Je serais heureuse de revoir ma mère et j'irais au cimetière voir la tombe de mon père et lui parler. Même s'il ne pourrait pas m'entendre, je sais que ça me fera du bien. Pour ce qui est de vos parents, même si ça vous prend du temps à réussir votre mission. Je suis sûr que votre père et votre mère seront heureux que vous réussiez cette mission. Ils auront un bel avenir un peu grâce à leur fils. Moi, si je serais à leur place je sais que je serais heureuse.

Wow, je me surprenais avec les mots que je disais. Je pouvais parler librement comme je le faisais avec Sam et Taylor. Même s'il était un inconnu pour moi, je pouvais lui parler comme si cela faisait des années que je le connaissais c'était fou. Un seule chose me dérangeait c'était ce regard qu'il avait. Je l'ai déjà vu plusieurs fois, mais je ne pouvais pas mettre mon doigt dessus.

Time Can Be Rewritten

Une succession d’événement pouvait suffire à une âme humaine pour replonger dans une peine profonde et tomber dans des immenses larmes. J’étais dans cette étape malheureuse de la vie, car j’avais perdu quelque chose d’important dans ma vie : ma famille, ma vie…le reste de la définition de qui j’étais. Au fond, je m’étais perdu en arrivant ici, et je n’arrivais pas encore à me retrouver. Rencontrer quelqu’un comme Rachel était une surprise, surtout parce que je voyais en elle une âme si douce, mais aussi une grosse difficulté, car voir ces notions de bonheur autour de moi me rappelaient sans cesse ce que j’avais perdu. Je n’en pouvais plus, c’était beaucoup trop difficile.

Je ne parlais pas réellement quand Rachel évoquait le regard que j‘avais, car je savais pertinemment qu‘elle avait compris quelque chose à mon avis. Si je lui parlais un peu plus, elle allait rapidement comprendre qui j‘étais, et par conséquent tout le reste. Malheureusement ce n‘était pas ce que je voulais, pour des raisons qui m‘étaient propres. Je ne pouvais dire qu‘à peu de monde qui j‘étais. Dans ce peu de monde était inclus mon père, pour des raisons qui auraient pu me couter la vie, d‘autres personnes étaient également dans cette liste, mais elles étaient peu nombreuses.

Pourtant, j‘aimerais lui en parler, mais j‘en étais incapable. Ma voix ne revint que lorsqu‘elle me demanda si j‘avais pu voir mes parents. Même s‘il s‘agissait de deux histoires complètement différentes, avec un père à qui j‘avais tout dit, et une mère à qui je n‘avais rien dit.

La complexité de ma vie m‘énervait parfois.

- J’ai déjà pu les voir, autant l’un que l’autre. J’ai même pu avouer à mon père qui j’étais, car j’ai certaines choses à changer le concernant, des malheurs qui doivent être évités. Pour ma mère, c’est une toute autre histoire malheureusement.

Son histoire me touchait car au fond je me retrouvais dans ce qu’elle était.

- J’espère réellement que vous pourrez faire ce que vous souhaitez, car je pense sincèrement que cela pourrait vous faire du bien, d’une part de revoir votre mère, mais aussi de vous recueillir un peu sur la tombe de votre père. J’en suis convaincu. Merci, réellement merci de me rassurer au sujet de mes parents, vos paroles m’aident énormément. Je ne pensais pas trouver une aide comme la vôtre en atterrissant dans une époque que je ne connais pas suffisamment.

Le fait que j'aille parler de son regard à Tyler le rendit muet pour quelques minutes. Je me demande pourquoi justement il restait muet. Car, il me faisait penser à quelqu'un avec ce regard comme ci je connaissais déjà le regard. Mais, il y avait tout ce mystète du futur d'ou il venait. S'il n'avait pas été du futur, je lui aurait demander qui était au moins ces parents, car il doit le tenir de l'un de ces parents. Mais, pour des questions je crois de futur il ne pouvait rien dire et c'était bien dommage.

Je ne lâchais pas ce regard une minute et écoutait quand il dit qu'il avait déjà revu ces parents dans ce présent. C'était une bonne chose dans un sens. Mais, y une chose que je ne comprennais pas pourquoi il avait parler à son père et non à sa mère. Je trouve cela très bizarre et très triste en même temps. Il avait pu parler à son père et sa mère il ne pouvait dire aucuns mots. Donc, je lui demandais ceci :

D'une façon ces triste que vous ne pouvez pas parler à votre mère. Mais, si ces pas trop vous demandez pourquoi vous ne pouvez pas lui parler si vous l'avez déjà rencontrer ?

J'étais plutôt contente de ne pas avoir un don comme le sien. Je tiens trop à mes proche pour ne pas leur parler à cause d'un futur qui devait arriver. Je me demandais aussi ce qu'il devait changer par rapport à son père. J'espére que son père n'était pas un méchant et que c'était pour cela qu'il voulait le changer. Car, de mon point de vue un vilian ne peux jamais changer.

Mais, à la place je l'écoutais et il me dit qu'il espère que je revoit ma mère et mon père. Même si mon père était en cendre et qu'il reposait dans un tout petit cimétière de Londres. Je voulais aller le voir et lui parler de ce qui savait passer depuis sa mort. J'en n'avais beaucoup à dire et pour ce qui était de ma mère c'était la même chose. J'aurais un poids d'enlever quand je les auraient revu.

Finalament, il disait que mes paroles le rassurait. Mais, je disais que la vérité. S'il était mon fils je serais fière de savoir qu'il est partit pour arranger le monde. Je serais triste aussi, car il ne serait plus là à côté de moi, mais que dès qu'il reviendrais je serais heureuse de ce qu'il aura fait. Mais, vu qu'il ne l'était pas je ne pouvais rien dire et juste le conseiller comme je le faisais en ce moment. Il disait aussi qu'il ne pensait pas avoir trouver une aide comme la mienne dans le monde qui venait d'arriver.

Ce que je pense et la vérité de mon point de vue. Je suis sûr que quand vous allez revenir dans votre présent. Vos parents seront très heureux de reovir leur garçon sain et sauf et qu'il aurait arrêter cette menace du futur. Moi, je ne pensais pas trouver une personne comme vous. Vous venez peut-être du futur, mais je peux vous parlez sans me cacher à peu près comme avec mon petit ami. Ces très étrange vous savez.

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Oh si seulement elle savait…

Parler à quelqu’un comme elle était le pire parcours du combattant pour quelqu’un comme moi, égaré dans un temps qui n’était pas le sien, et perdu parmi des personnes qu’il connaissait, mais qui le voyaient seulement comme un inconnu, un passant qui n’avait pas d’importance alors que ce n’était pas forcément le cas en fin de compte. Les exemples de cela seraient trop nombreux à citer en réalité…mais ils font mal, les uns après les autres, car le fait de savoir qu’ils ne me connaissaient pas était très difficile à supporter, surtout quand je plongeais dans leur regard, et qu’ils ne me voyaient qu’à peine. Ils ne voyaient pas celui que j’étais pour eux, dans l’avenir, simplement parce qu’ils ne me connaissaient pas…je n’existais pas dans cet espace-temps.

Rachel était l’une des rares personnes à me voir. Elle ne me quittait pas des yeux depuis tout à l’heure, même quand je lui parlais. Elle m’écoutait et tenter de m’aider, attention simple pour pourtant bienfaitrice pour une âme égarée comme la mienne.

Je comprenais la légitimité de la question qui suivit et lui répondit :

- Je n’y parviens pas en réalité. Quand je me trouve en face d’elle, que je vois ces yeux me fixant, que je la revois comme je l’avais quittée avec le même cœur de générosité, je ne trouve plus les mots pour lui parler, car beaucoup de souvenirs me bloquent. C’est un peu à cause de quelque chose, qui lui est arrivé, que j’ai découvert mon pouvoir…enfin l’un de mes pouvoirs. C’était pour lui sauver la vie. Au fond de moi, cet événement m’a marqué, et il est très difficile pour moi d’y penser. C’est pour cela que je me retrouve bloqué devant, même si ses yeux me fixant droit en face cherchent à m’inciter à tout lui dire.

Et ben…j’enchainais les révélations dites-donc…

Je venais d’une part de dire que j’étais un hybride, d’autre part ce qui me bloquait devant ma propre mère, et enfin des insinuations étranges sur un secret que je dissimulais. Je savais que cela allait arriver bon sang ! Il fallait que je craque… que je dise tout. Quand je disais que ma vie n’était pas simple, que le fait de tout cacher n’était pas simple non plus, je ne mentais pas. La mentalité d’un jeune homme âgé de 18 ans était encore fragile, même si mon père avait tenté de me faire découvrir ma force. J’étais encore bien jeune…trop jeune. Toutes les complexités du temps se mélangeaient dans ma tête, me perturbaient. Si Dieu existait…non je devrais arrêter de dire des sottises alors que je connaissais bien ce qui allait arriver… Enfin…si une instance supérieure me fixait depuis les nuages elle devait probablement rire de mon malheur, avec un plaisir indescriptible.

Les paroles de Rachel me rassuraient car j’avais l’impression de retrouver l’ambiance que j’avais abandonné en quittant mon futur, une âme si douce capable de me faire comprendre que l’espoir existait toujours dans cette vie et dans toutes les autres. Ces cœurs-là étaient dotés d’une intelligence hors-norme, que je ne comprenais probablement jamais. Ils réchauffaient nos âmes comme jamais. Sans ces cœurs-là, la vie des âmes perdues ne ressembleraient probablement plus à grand-chose. Ma vie ne serait plus grand-chose en réalité.

- Vous me redonnez de l’espoir en parlant comme vous le fait et en croyant que tout pourra s’arranger pour moi. Vous ne pouvez pas savoir à quel point le fait d’être simplement écouté par quelqu’un peut soulager le cœur. Le fait que vous existiez est un cadeau pour le monde, je peux vous l’assurez.

La dernière partie de son discours, je l’avais entendue, mais je n’y répondis point sur le coup…car je ne savais pas quoi dire.

Oh si seulement elle savait que mon père n’était autre que son petit ami actuel…

Le fait que Tyler me parlait du fait qu'il ne pouvait pas parler à sa mère me rendait triste dans un sens. Ces fou ce que ce garçon de 18 ans devait cacher. Même moi à 21 ans, je ne cachait pas autant de chose. Les seules choses que je cachais était mon don à ma famille et le fait que j'avais mentit à ma meilleure amie. Mais, lui il cachait beaucoup trop de choses et c'était dommage qu'il vive ceci.

Il me disait que c'était à cause de quelque chose qui lui était arriver et qu'il avait découvraire son autre don. Il était un hybride comme Samuel. Il poursuivait en disant que quand il la voyait et que les yeux de sa mère regardait les sien il se rappelait ce qu'il avait quitter. Juste à le voir parler de sa mère, je voyais à quel point il aimait sa mère. Je me demandais à quoi pouvait t'elle penser en ce moment. Est-ce qu'elle avait de la peine parce que son enfant n'était plus là ? Est-ce qu'elle s'inquiètait pour sa vie ? Peut-être qu'elle était confiante que son fils allait réussir ce qu'il était sur le point de commencer ? Peut-être qu'elle vivaient tout ceci en même temps. Je ne pouvait pas le savoir, vu que je n'étais pas à sa place, mais je lui dit ceci :

Si je peux vous demandez ceci, j'aimerais savoir si vous êtez un hybride ? Parce que vous avez dit que vous aviez découvraire un de vos pouvoirs à ce moment. Je connais quelqu'un qui est aussi un hybride, enfaite je ne fais pas que le connaître ces mon amoureux qui est un hybride et je suis curieuse de savoir si vous aussi vous en n'est un. Je trouve cela triste pour votre mère. Le fait de savoir que vous l'avez vu, mais qu'elle quand elle vous a vu elle ne vous prennait pour un pur inconnu. Moi, ça m'aurait briser le coeur un mille morceaux juste de le savoir.

Depuis, tout à l'heure il y avait vraiment quelque chose dans son regard ou même dans les mouvements et parole qu'il disait qui me faisait penser à quelqu'un. Mais, qui je ne pouvait toujours pas mettre mon doigt dessus. Il me disait que les paroles que je disais lui redonnais espoir. Il disait que le seule fait que je sois vivante devait être un cadeau pour le monde. Je devenais un peu rouge, car la seule personne qui m'avait dit quelque chose comme ça dormait chez moi en ce moment. Donc, je lui dit ceci :

C'est la deuxième fois que quelqu'un me dit quelque chose comme vous le faites. Celui qui me la dit en premier et chez moi en ce moment et dort. Il a attrapper mon coeur et je devient rouge comme une tomate quand il me dit des choses comme celle-là. Si vous ne viendrait pas du futur, je pourrais presque dire que vous êtez un clone plus jeune de lui. Mais, je sais que ces impossible. Sa serait une idée ridicule que vous soyez son fils.

Je ne pouvais qu'avoir une rire à la fin. Dans le monde, qu'on vivait personne ne pouvait avoir d'enfant ou ceux qui le faisait était stupide. C'était ma mentalité pour le moment, elle n'était peut-être pas la bonne. Peut-être qu'un jour j'allais changer, mais pour le moment elle n'allait pas.

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Devant Rachel, toutes les vérités, y compris les lourds secrets que je gardais uniquement pour moi, pouvaient sortir comme s’ils étaient devenus soudainement anodins…tout à part la plus grosse vérité, celle que je ne pourrais probablement jamais avouer… Tout pouvait m’arriver, même la pire des choses, mais jamais cela ne pourrait sortir. Mon cœur se bloquait à l’idée seule d’en parler, uniquement à cause de ce qui me hantait. Mon passé, qui se situait dans son futur m’avait profondément marqué, encore plus que ce que je pensais subir au départ. Me trouver bloqué dans ce genre de circonstances n’était guère une chose simple à supporter, surtout quand ce blocage n’existait pas quand il s’agissait d’évoquer ma nature, et ainsi parler du fait que j’étais un hybride, tout comme mon père, même si je ne l’étais pas devenu de la même manière que mon père.

Je parlais souvent de mon père, mais ma mère hantait mon cœur tous les jours. Je l’aimais et elle me manquait tellement. Rien qu’à l’idée d’avoir pu lui faire de la peine en étant parti de cette manière, j’en pleurais, car je ne voulais pas la faire souffrir. Ce cœur d’or ne méritait pas d’être brisé, surtout quand il était aussi beau que le sien. Ma mère était unique, un cadeau méritant d’exister pour le monde entier, et non d’être abimé par la souffrance d’une perte, d’une absence, quelque chose de trop douloureux à supporter même pour quelqu’un comme elle. Mon père pourrait être présent, la soutenir, mais penser que cela allait être suffisant n’était qu’une supposition malheureusement, car je ne les voyais plus pour pouvoir témoigner de quoi que ce soit.

Ces multiples absences ne faisaient qu’en rajouter…j’en avais assez…

- J’en suis un…un hybride, sauf que je n’ai pas subi l’expérience de force pour mon cas, j’ai en quelque sorte forcé les choses, sinon je n’aurais même pas pu être là. Le pouvoir de voyager dans le temps est en effet mon second pouvoir et je l’ai obtenu d’une manière plutôt malhonnête malheureusement.

Je baissais un peu le regard quand il s’agissait de parler de ma mère.

- Au sujet de ma mère, le fait de l’avoir vu mais sans qu’elle puisse savoir qui j’étais pour elle m’a brisé le cœur. Je ne pleure pas forcément tout le temps, mais cela m’a fait du mal, et cela m’en fait encore à vrai dire. Mais jamais je n’aurais la force de tout lui dire…

J’agissais tellement comme mon père, qu’à force elle mit le doigt sur notre ressemblance, chose à laquelle j’aurais du m’attendre à la longue, mais je ne pensais pas que cela arriverait aussi vite et surtout de cette manière. C’était si, soudain…trop soudain en réalité… Comment allais-je m’en sortir ? Allais-je lui dire la vérité de la manière la plus simple possible ou bien me lancer dans le plus grand des discours pour exactement le même effet en fin de compte ? Je ne le savais pas.

C’était comme si l’improvisation allait prendre place en moi, alors qu’elle avait en quelque sorte deviné à elle seule quelle était la vérité sur mon identité. La seule chose que je devais faire, c’était la confirmer, encore devais-je en avoir la force. Bien sûr à l‘idée que je sois le fils de Samuel, elle ria, chose logique car elle devait croire que c‘était impossible… ouh là…comment lui dire la vérité ? Comment allais-je m‘en sortir ?

- Et pourtant c’est vrai.

Je marquais une pause involontaire car j’avais du mal à trouver mes mots.

- Je sais que cela paraît difficile à croire, que c’est un peu une trop grosse révélation en réalité, mais l’idée que vous pensiez ridicule ne l’est pas du tout…

*bon sang, mais lance-toi !*

- Je suis effectivement le fils de Samuel…dans le futur.

Et là j’avais peur…peur de sa réaction…

Pourquoi avais-je peur ainsi ? Je ne pouvais même pas répondre à cette question…pour des raisons que je n’avais pas envie de répéter.

Tout ceci devenait beaucoup trop compliquer et bizarre pour moi. Il me disait que son deuxième dons était de ce déplacer dans le temps. Mais, il ne l'avait pas eu de force comme ce qui était arriver avec Samuel. Comment il l'avait eu dans ce cas et quel était son premier don ? Donc, je lui posais ceci :

Si ce n'est pas impoli de ma part quel est votre premier don ? Aussi dans qu'elle condition vous l'avez eu si ce n'est pas par la force ?

Je connaissais qu'une façon et c'était par la force. Si lui ne l'avait pas eu comme ça, alors comment il la eu ? Soit ses parents l'était tout les deux hybrides ou que l'un de ces parents l'était. Je ne voyais que cela comme possibilité et rien d'autre.

Puis, je le vis baisser la tête un peu verts le sol. Honnêtement, ce geste me faisais toujours penser à Samuel. Pourquoi je ne le sais pas. Il me disait que le fait de l'avoir vu et qu'elle ne savait que c'était son fils lui avait briser le coeur. Je pouvais pas comprend ce que ça faisait d'avoir le coeur briser. Car, je n'avais pas vraiment eu le coeur briser. Il continuait en disant qu'il ne pleurait pas beaucoup, mais que ça lui avit fait mal. Je ne pouvais pas comprendre ce qu'il ressentait, car je ne l'avais jamais vécu et je ne voulais jamais le vivre. Il terminait en disant qu'il n'aurait jamais le courage de tout lui dire.

Dommage, mais je comrpends vous avez des souvenirs qui remonte à chaque fois et vous ne pouvez pas tout lui dire. Je trouve cela très triste, mais ses la vie et je me dis que si vous venez du futur et bien elle va pouvoir vous voir un jour tout petit, donc ces pas si grave dans un sens.

Je ne savais pas s'il avait comprit tout ce que je venais de dire, mais j'espérais au fond, car je voulais l'aider du mieux que je pouvais avec ce qu'il avait le droit de me dire. Puis, venait le fait qu'il ressemblait un peu trop à Samuel justement. J'avais remarquer quelques petites choses et je lui disais qu'il ressemblait à un petit clone de Sam plus jeune. Même l'idée qu'il pouvait être son fils me semblait ridicule. J'en n'eu un petit rire, car c'était vraiment impossible de mon point de vue.

Mais, mon rire s'arrêtait car il dit que c'était vrai il était le fils de Samuel dans le futur. Quoi ! Ma bouche restait ouverte, mais comment c'était possible. Pendant une fraction de seconde, je croyais être sa fameuse mère à qu'il ne pouvait rien dire. Mais, je revenais à la réalité et me dit que je ne pouvais pas l'être. Je devais être morte dans son futur et Sam avait du refaire sa vie avec une autre fille.

Il avait dit que j'étais la seule à avoir fait resortir ces émotions humaines et qu'il n'aurait personne d'autre si je meurs, mais avec ce que venait de dire Tyler tout devenait clair. Je me mis les deux mains au visage et pleurait. Pourquoi me faire cela j'avais une vie de bonheur et on me l'enlevait parce que je devais mourir.

Pourquoi m'avoir dit que vous étiez son fils. Cela veux dire que je suis morte dans votre futur et qu'il a fait sa vie avec quelqu'un d'autre. Mais, ces impossible, ces mon âme soeur, mon coeur ne bat que pour lui. Il m'a toujour dit que j'étais la seule et que je l'avait sortit de son enfer et là j'apprend qu'il a un fils avec une autre personne.

Non, ce n'était pas possible pas moi. Je ne voulais pas mourir, mais c'était une réalité que je devais voir en face. Je n'étais pas immortelle et je ne guérissais pas de mes blessures comme lui. C'était ma théorie et c'était triste comme théorie. Pourtant, il y avait la question des yeux, il avait un peu de Sam dans ces mouvements et même ces yeux. Mais, la grosse partie de ces yeux me regardait comme s'il voulait me dire quelque chose. Mais, que je ne savais pas trop ce qu'il voulait me dire.

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Plus le temps passait, et plus les vérités sortaient…

C’était comme si Rachel venait d’ouvrir un tiroir de mon âme toujours resté clos jusque là, que j’avais fermé de force pour aller dans le temps et éviter de causer un quelconque problème dans le futur de mes parents. Je ne voulais pas détruire leurs vies…bien au contraire. Mon but était de les sauver…sauver le monde et éviter à mon père de devenir le plus grand de tous les solitaires…le seul en réalité.

Je me libérais, de plus en plus. À chaque question qu’elle me posait, je lui répondais la stricte vérité, et ça, je n’avais jamais pu le faire devant qui que ce soit d’autre, même si les rencontres que j’avais pu faire jusqu’ici étaient plus que bénéfiques pour moi, car il s’agissait d’une aide, une aide bien précieuse pour moi pour m’y retrouver dans cet espace-temps inconnu.

- Ce n’est pas une demande impolie, bien au contraire, et je comprend que vous vous posiez cette question. Mon premier don n’a rien à voir avec le temps. Il s’agit d’une sorte d’exploration de l’esprit. Je plonge dans la conscience de quelqu’un pour l’aider, peu importe pour quelle raison, souvent pour des blocages, un traumatisme profond, ou autre chose. Ce don-là, je l’ai découvert durant mon enfance, pendant quelque chose de terrible, et il s’agit du souvenir qui me bloque. Ma mère a eu un grave accident à cette époque, qui l’a plongée dans un profond coma dont elle ne se réveillait pas. En voyant la souffrance de mon père, alors qu’il avait tout tenté pour la réveillé, je me suis étrangement concentré sur elle, et je l’ai aidé. Sans comprendre comment j’avais pu faire cela, ma conscience est allée voir la sienne pour l’aider à comprendre la source de son blocage. Si j’ai du mal à tout avouer à ma mère, c’est parce que j’ai découvert qui j’étais un jour où j’ai failli la perdre, et ce jour-là me fait encore du mal, car je repense à la souffrance que mon père a subie, mais aussi à la mienne. Cette double souffrance me bloque. Je ne supporte pas de voir ma famille souffrir. Les voir en train de pleurer me déchire.

*j’en dis même plus que la question dites donc…*

- Mon deuxième don, le voyage dans le temps, je ne l’ai pas eu sous la contrainte, comme ce que les autres hybrides ont pu subir, loin de là. J’ai pour ainsi dire commis un vol, dans le laboratoire du scientifique qui les a crées, de telle sorte à lui dérober sa formule et à me l’injecter dans le but d’obtenir un second pouvoir. Je n’avais même pas la garantie d’obtenir un pouvoir, et d’ailleurs d’obtenir celui-ci si jamais cela fonctionnait. J’ai eu pour ainsi dire de la chance, mais mon acte reste quand même là. C’était du vol, même si le scientifique n’était pas vraiment là pour se plaindre. C‘est grâce à cette formule que j‘ai pu venir…uniquement grâce à elle, car sinon jamais je n‘aurais pu remonter le temps et tenter de sauver mon avenir.

J’arrivais difficilement à la regarder dans les yeux, pour des raisons qui m’étaient propres.

Ce regard, il était si…présent dans ma mémoire. Je le revoyais dans mes rêves, mes cauchemars, et quand je pensais à mon avenir. Je le voyais toujours. J’avais le cœur brisé, rien qu’à l’idée de ne rien lui dire. C’était dur de tenir.

Mais pourtant je devais le faire, trouver les mots pour lui parler, car je venais de lui briser le cœur en lui révélant que j’étais le fils de Samuel. Elle devait probablement penser au fait qu’elle n’était plus avec lui, qu’elle n’avait pas eu la chance de connaître éternellement le bonheur avec lui alors que tout était parti pour cela dans son présent.

Bon sang… je me sentais terriblement coupable… j’aurais du retenir mes mots, ne pas lui dire comme je l’avais fait. J’avais provoqué ces larmes à moi seul. J’étais le seul à être capable de faire cesser cette tristesse. Seuls mes mots pourraient la faire arrêter de pleurer.

Je devais parler… Je devais absolument tout lui dire, c’était une évidence née dans mon esprit dès que je l’avais vu en train de pleurer. Ces larmes m’avaient fait comprendre que j’étais le seul responsable de ce qui s’était passé. Elle pleurait par ma faute…

Pendant un moment, je restais enfermé dans ma culpabilité, sans rien dire. Les larmes montaient. Je ne supportais pas de la voir pleurer. Je devais tout lui dire et je le fis dans un sursaut de parole.

- Mais tu es la seule femme de sa vie ! criais-je, la voix brisée par les larmes Tu es la seule et l’unique, la seule pour qui son cœur bat ! Il n’y en a aucune autre.

Pour une personne qui ne pouvait pas dire beaucoup de chose par rapport au futur. Je trouvais qu'il en disait beaucoup même si je lui avait dit qu'il n'était pas oubliger de tout me dire. Il me disait qu'il avait sauvé sa mère la journée qu'il avait découvaire son don. Sa mère avait eu un accident et elle avait été dans le coma pendant un bon moment. Il ne savait que concentrer sur elle et là aider à s'en sortir. Il continuait en disant que ce souvenir lui fait encore mal, car il avait presque perdue sa mère cette journée là et son père était dans une grande souffrance qu'il disait. Je ne savais pas qui était ces parents, mais je n'aurais pas aimer vivre ce moment.

Je ne parlais toujours pas et écoutait tout ce qu'il me disait et essayait de mettre tout les morceau au bon endroit. Puis, il me parlait des dons qu'il avait. Le premier comme il avait dit était l'exploration de l'esprit comme il me l'avait dit, mais son deuxième était la téléportation dans le temps. Pour l'avoir il avait vol quelque chose à un scientifique et ce l'avait donner. Il ne savait même pas s'il aurait eu celui qu'il voulait. C'était vraiment un coup de chance qu'il avait eu ce qu'il voulait. Moi, je sais pas ce que je ferais si j'aurais un second don. Je crois que je serais en pleine crise de panique. Je crois que même s'il a eu le don qu'il voulait il n'aimait pas le fait de l'avoir voler.

Vous avez peut-être voler cette formule pour utiliser, mais avec ceci vous allez changer votre futur pour quelque chose de bien et quand vous allez revenir dans votre présent vous aurez une belle vie j'en suis certaine. Pour ce qui est de se mauvais souvenir, je suis désoler que vous vous en souvenz comme ça. Mais, au moi vous l'avez sauvée et je suis sûr que vous et votre père étiez content qu'elle soit en vie.

Plus je le regardais et plus je me disais qu'il ressemblait à un petit clone de Samuel. Les mouvements qu'il faisait et la façon qu'il me parlait. À chaque parole ou presque il me faisait penser à lui. C'était assez bizarre comme si Tyler était son fils ou quelque chose. Pourtant ces ce que venait de me dire Tyler. Il était le fils de Samuel et il venait du futur pour changer quelque chose ici. J'en perdis mon sang froid, car je ne savais pas de quel époque Tyler venait. Donc, dans son présent à lui j'étais peut-être morte et Sam avait fait sa vie avec quelqu'un d'autre.

J'étais en larme et je savais que personne n'aimait me voir en larmes. Combien de fois, on m'avait dit de ne pas pleurer. Mais, là c'était trop fort pour ne pas le faire. Mais, j'entendis la voix de Tyler avec les larmes qui coulait lui aussi en disant que je n'étais que la seule que Samuel aimait. Alors, si Sam était son père ça voulait dire que j'étais... oh non !

Je me levais et gardait la bouche grande ouverte sans aucun mot sort de ma bouche. J'étais sous le choc et je sentais mes jambes molles. Je tombais et ne pouvais pas me réveiller. J'avais perdue connaissance sous l'effait du choc. J'en n'avais apprit une grosse et moi qui dit que la curiosité tue. Elle m'avait bien eu cette fois-ci.

Je ne savais pas si j'avais touché le sol ou si Tyler m'avait attrapper. Mais, je ne pouvais rien sentir j'étais là dans mon esprit, mais mon corps ne répondait pas. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me dise ceci et pourtant il l'avait fait. J'en savais trop et j'en payais le prix en ce moment j'étais même plus consciente. Je me demande si ça allait faire comme la dernière fois. Quand j'étais posséder par la lune rouge j'entendais tout ce qui ce passait. Je ne voulais pas que ça arriver, car je sais que je ne pourrais peut-être rien faire cette fois-ci.

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De ce vol délibéré, par rapport à la formule de James Flanagan, restait quand même une volonté de faire le bien, d’agir pour une cause d’intérêt général dans le but de sauver le monde, son humanité entière d’une perdition plus que probable. Je ne voulais pas voir le monde s’éteindre et mon père devenir le plus grand solitaire de tous les temps, une douleur qu’il ne supporterait probablement jamais. Il m’avait déjà expliqué quelles étaient les peines qu’il avait pu vivre dans son existence, notamment la pire d’entre elles quand il avait été à la limite de se détruire lui-même et de se perdre dans un sommeil dont il ne pourrait pas se réveiller. Ces peines énormes, qui avaient forgé ce qu’il était, je n’avais pas envie qu’il les revive, et que le monde subisse des destructions plus immenses encore. Le monde avait déjà vécu tant de catastrophes, certaines auxquelles j’avais même pu assister alors qu’elles n’étaient pas de mon temps. Je n’étais remonté dans le temps que pour les sauver…rien d’autre.

Et pourtant d’autres choses atterrissaient dans ma vie alors que je ne les avais pas forcément demandées. Dans ce passé, j’avais pu faire connaissance avec mes parents, les rencontrer en face à face. Dans une situation difficile, j’avais pu rencontrer mon père, et lui dire qui j’étais. Samuel avait alors pu apprendre que j’étais son fils alors que je demeurais dans ses bras, limite à mourir. Je ne serais même plus debout aujourd’hui si je ne lui avais pas dit la vérité. Maintenant, en cet instant, il s’agissait de ma mère. Ma mère, cette personne pleine de vie qui hantaient mes souvenirs comme jamais, par rapport à des événements indépendants de sa volonté, notamment lors de la découverte de mon pouvoir, celui qui permettait à mon esprit d’explorer celui des autres. Mais ce n’était pas de sa faute…

La conséquence de ce souvenir qui me hantait était un immense blocage au fond de moi-même. J’avais beau craquer, être capable de tout dire à ma mère, mais la chose la plus essentielle ne sortait pas. Je ne parvenais pas à lui avouer que j’étais son fils, alors qu’elle était juste devant moi. Il s’agissait de Rachel, probablement celle à qui j’avais avoué le plus de choses dans ma vie, enfin ce qui relevait de ma vie personnelle, mais en tant que mère cela se comprenait. Elle m’écoutait sans cesse, même dans les pires tracas de la vie, et sa présence me faisait du bien, même s’il s’agissait d’un temps où elle ne me connaissait pas en tant que son fils.

Mais là… je lui avais tout dit. J’avais avoué la plus grande des choses. J’avais dit à Rachel qu’elle était ma mère, et là j’avais peur, peur de sa réaction. Samuel, mon père, avait pu bien réagir à la nouvelle. Il avait su m’accepter très rapidement, chose qui m’étonnait encore d’ailleurs pour l’avouer, mais cette annonce avait pu bien se passer. Au moins, cela m’avait enlevé un poids, mais là…il s’agissait de ma mère, une histoire bien plus délicate. Je venais de sortir la plus grosse nouvelle que l’on pouvait annoncer à quiconque.

Je la vis en face de moi, la bouche grande ouverte sous l’effet de la surprise. Aucun mot ne sortait de sa bouche, comme si elle était choquée par ce que je venais d’annoncer, chose qui se vérifiait plus tard, lorsqu’elle commença à s’écroulait et que je la rattrapais avant qu’elle ne touche le sol. Elle venait de perdre connaissance sous l‘effet du choc. Je la portais alors pour la déposer sur le banc. Je l’aurais bien déposé chez elle, mais si mon père y était déjà, c’était risqué… Je risquais de détruire quelque chose en y allant. Quand je la vis dans cet état, même si ce n’était rien de grave, je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir peur pour elle. Je pris sa main droite et l’enfermait dans la mienne.

- Je suis désolé…je ne voulais pas que cela se termine ainsi et que tu sois dans cet état. Pardonne-moi.

Avec l’un de mes doigts, je fis un lent mouvement dans la paume de sa main, une sorte de caresse.

- Je t‘en prie…réveille-toi.

Je me demandais si je ne faisais pas un rêve. Moi être la mère de Tyler dans le futur me semblait impossible. J'avais toujours dit depuis le début de ceci que je n'allais jamais avoir d'enfant pendant cet guerre et ceux qui nous poursuit. Pourtant ceci venait de me prouver peut-être le contraire tout dépend de quand il était né. Mais, je n'en revenais toujours pas. D'ou le fait que j'avais perdue connnaissance et je ne sentais aucun mouvement. Je ne savais pas si j'étais coucher au sol ou si je m'avais fait attrapper.

J'en trouvais cela bizarre d'avoir vu et parler à mon propre fils. Même si pour moi il est un inconnu, je ne le connais même pas. Alors, voilà la raison pourquoi je pouvais lui parler sans m'inquièter. Aussi, les yeux finalement il avait un peu de Sam dedant, mais la grosse partie était qu'il ressemblait à mon regard. C'était la seule chose que je pouvais voir en ce moment. Maintenant, je ne savais pas comment me réveiller. Je sentais une main sur la mienne avec un mouvement dedant. Je ne savais pas ce que c'était, mais je savais que c'était Tyler qui le faisait. Je ne voyais personne d'autre et même si dans mon état je ne sentais pas mes jambes et tout, mais je savais qu'il me tenait la main.

Il voulait que je me réveille et il était désoler que j'aille apprit cette nouvelle comme je l'ai su. Il se pardonnait de l'avoir fait. Si j'aurais été dans le monde réelle et non dans ma tête, je l'aurais prit dans mes bras même si je ne le connaissais pas vraiment. Au moins, ce n'était pas comme avec la lune rouge. C'était moins souffrant et c'était mieux comme ça.

Je voulais vraiment me réveiller et lui parler. Je ne le voyais pas vraiment, mais je suis certaine que je lui fais un peu peur. Le fait qu'il m'ai dans ces bras et que j'ai perdue connaissance doit lui faire peur. Mais, comment me sortir de l'état dans lequel j'étais ?

Je voulais mettre toute les forces que j'avais en moi pour me réveiller. Je pensais très fort pour au moins ouvrir les yeux. Juste pour voir la lumière du jour et quand j'y arrivais. Je ne savais pas combien de minutes ou heures c'était écouler. Mais, je vis son visage et je savais que je ne rêvais pas. J'étais dans les bars de mon fils qui avait presque le même âge que moi. La première chose qui sortit de ma bouche fut :

Ne soit pas désoler ces normals vu ce que tu m'a dit. Ces moi qui doit dire désoler, j'ai du te faire peur avec ma réaction.

Je me sentais mal, je savais que ma réaction avait du lui faire un peu peur. Je n'en revenais toujours pas que c'était mon fils à Sam et moi. S'il ne m'avait pas sauvée je serais peut-être morte et il ne sera pas né. Wow, ce faire sauvé par son fils venu du futur c'était assez bizarre.

Time Can Be Rewritten

Le fait de voir ma mère dans cet état déclenchait une peur profonde dans mon esprit, quelque chose qui me renvoyait à l’événement lié à la découverte de mon premier pouvoir : cette peur de la perdre, de perdre cette mère qui était tout pour moi, le ciment de ma vie… Cette souffrance que j’avais ressentie ce jour-là, et que j’avais également pu voir sur le visage de mon père, jamais je ne pourrais l’oublier. Elle restait enfermée dans mon esprit pour éventuellement sortir à n’importe quel moment, comme maintenant. Ces larmes qui tombaient définissaient la manifestation de cette peur…elle me faisait beaucoup de mal. Je savais que ce moment n’avait rien à voir avec ce qui aurait pu arriver lors du grave accident de l’avenir, mais cela m’effrayait quand même de voir ma mère souffrir, peu importe la forme qu’adoptait sa douleur, qu’il s’agisse des larmes ou bien de la souffrance physique. Non…je ne supportais pas le fait de la voir souffrir. Il s’agissait de ma mère, celle qui comptait le plus à mes yeux.

J’avais encore du mal à croire que je venais de tout lui dire, de lui avouer qui j’étais pour elle. Je ne pensais jamais pouvoir y arriver, ne jamais pouvoir lui avouer ce secret en regard de ce douloureux souvenir qui me faisait tant de mal, mais j’avais pu enfin y arriver, peut-être pas de la manière à laquelle je m’attendais dès le départ, mais je l’avais dit. Cette annonce avait provoqué le reste. Peu importe ce que j’évoquais, je me faisais du mal rien qu’en y pensant.

Je la regardais, toujours inconsciente, et répétait sans cesse le même mouvement dans sa main… Je me sentais coupable.

- Pardonne-moi…

La notion du temps, je l’avais perdue car je ne pensais qu’à elle, à son état, et au fait de la voir se remettre de ce qui lui arrivait. Je voulais la voir ouvrir les yeux…à tout prix.

Quand elle le fit, un sourire revint enfin sur mon visage, même si quelques larmes tombaient encore, parce que je n’étais pas entièrement rassuré. J’avais encore peur pour elle.

- Non…non c’est ma faute. Je n’aurais pas du annoncer cela d’une manière aussi brutale. C’est ma faute…

Je la regardais, les yeux encore humidifiés de larmes, et cela n’allait pas en s’arrangeant.

- J’ai vraiment eu peur quand je t’ai vu comme ça…

Tout ceci était bizarre, j'étais devant mon propre fils. C'était la chose auquel je ne m'attendais vraiment pas à voir aujourd'hui. Je lui donnais environ 18 ans et moi qui en avait 21 ans, je trouvais cela bizarre que mon enfant enu du futur aille presque le même âge que moi dans ce présent. J'étais toujours dans ces bras et regarder dans les yeux quelqu'un qui allait être mon fils dans plusieurs années me semblait étrange. Mais, honnêtement il n'y avait plus rien de bizarre dans le monde dans lequel j'étais maintenant.

Il n'arrêtais pas de dire que c'était de sa faute. Je pouvais bien reconnaître un peu de Sam dans lui à ce moment précit. On voyait bien que c'était son fils. Je me demandais ce qu'il avai td emoi à part les yeux que je voyais bien qu'il était de moi maintenant. Il disait que c'était de sa faute, car il avait dit ce qu'il avait dit comme il l'avait fait. Mais, d'un point je l'avais chercher et j'avais mérité d'avoir une réaction comme celle-ci. J'avais été trop curieuse de savoir ce qu'il cachait et j'en n'avais payer le prix.

Non ces moi qui a trop chercher à savoir et j'ai été trop loin. Tu n'étais pas senser me dire ce que tu m'as dit, j'en suis certaine. Maintenant, je suis au courant et je me sens mal de te l'avoir fait avouer comme ça.

Je le vis les yeux en larmes et même ci il n'était pas vraiment mon fils dans ce temps. Je me relevais et le prit dans mes bras. Si des gens passrait dans la rues on pourrait penser que ces un couple, mais non c'était juste un futur réflexe de mère. Mes larmes avaient arrêter, mais les siennes était toujours là. Je savais que j'avais du lui faire peur sans m'en rendre compte. J'avais du lui faire revivre un peu ce que j'allais vivre dans mon futur. à savoir, ce coma dans lequel je ne pourrais sortir qu'avec son aide.

Je vais bien ne te fais pas de souci, n'y pense plus.

J'enlevais mes bras et vraiment je réalisait que même si je n'étais pas sa mère ici. Je l'étais d'une certaine façon et je ne pouvais pas me l'imaginer. J'étais déjà fière de lui même si cela ne faisait que quelques heures que je le connais.

Peut-être qu'en ce moment je ne suis pas ta mère d'une certaine façon, mais je le suis quand même et avec tout ce que tu ma dit. Je suis fière de toi et je suis sur que mon moi du futur aussi le sera quand tu va revenir dans ton présent.

Je me surprenais avec mes propres mots, je ne pensais jamais sortir des mots comme ça de ma bouche. Après tout ce que m'avait dit Tyler, j'étais fière non seulement de moi et de Sam. Mais, aussi de ce que j'avais devant moi. Je voyais quelqu'un qui allait changer le monde et changer ce qu'il était venu changer. C'était assez bizarre le sentiement que j'avais en ce moment. Personne ne pouvait dire qu'il avait recontrer son fils venu du futur. Moi, je pouvais le dire maitnenant et je ne regrette pas de l'avoir rencontrer.

Time Can Be Rewritten

Le fait d’avoir pu voir ma mère dans cet état d’inconscience avait renvoyé mon esprit vers ces souvenirs qui me hantaient en profondeur. Je ne cessais de me rappeler de cet instant où on avait failli la perdre, mon père et moi. Cette souffrance qui nous avait traversés à ce moment-là m’avait marqué. C’était gravé dans ma mémoire et jamais je ne pourrais l’oublier, même en y mettant toutes mes forces. Il s’agissait de ma mère, et je l’aimais plus que tout. C’était pour cela que je ne supportais pas de la voir pleurer ou bien souffrir. C’était par amour pour elle mais aussi par peur de la voir replonger dans la même chose que la dernière fois. Même si j’étais dans le passé, et que je venais de la rencontrer, elle qui venait de découvrir qu’elle avait un fils dans le futur, cette peur était toujours là, car elle était ma mère. Jamais je ne l’abandonnerai. C’était pour cela que je me sentais facilement responsable de ce qu’elle pouvait subir, c’était à cause de ce dont je me rappelais.

- Pourtant tu ne dois pas te sentir mal par rapport au fait que je te l’ais dit. Au fond, cela m’a aidé, car cela m’a libéré d’un poids que je ne supportais pas réellement. Tu ne dois pas dire que ce qui s’est passé était mal, car c’est faux, dans un sens cela m’a fait du bien, même si j’ai eu très peur pour toi. Quand je t’ai vu dans cet état j’ai eu peur de replonger dans mes pires souvenirs.

Mes yeux ne cessaient de faire tomber de nombreuses larmes, larmes de tristesse mais également de libération d’une peur qui m’avait fait du mal. J’avais du mal à m’en remettre, et à peine y pensais-je que ma mère se trouvait déjà dans mes bras, en train de tenter de me consoler, en me disant qu’elle allait bien et que je ne devais plus y penser. Cette chose-là, je ne m’y étais absolument pas attendu. Comme avec mon père, je venais de voir le réflexe d’une mère, pour un fils qu’elle n’avait pas encore. Cette attention me touchait sincèrement. Je ne me sentais plus perdu dans une époque que je ne connaissais pas, sachant que je venais de retrouver mes parents, et qu’ils savaient désormais qui j’étais. Je retrouvais un peu le sourire en sa présence.

Quand elle enlevait ses bras, je pus même trouver la force de sécher mes larmes et d’écouter le reste de ses paroles. J‘étais touché par ce qu‘elle me disait, car au fond elle me rassurait, au sujet de cet avenir que j‘avais abandonné.

- Et moi je suis heureux d’avoir retrouvé ma mère, et de l’avoir juste en face de moi. Tu es probablement la seule dans toute ma vie à avoir su me rassurer comme cela. Les paroles que tu m’as dites me font du bien, cela me permet de voir mon voyage d’un meilleur aspect qu’avant et non pas dans une éternelle douleur d’avoir perdu ceux que j’aime alors que je me battrai pour eux. Je peux continuer à garder espoir grâce à toi. J’ai vraiment eu de la chance de t’avoir rencontrée.

À peine mes bras enlever de Tyler, je vis que ces larmes avaient sécher. J'eu un petit sourire au coin de ma bouche. Très peu de gens pouvait dire qu'il on vu leur fils venant du futur. Mais, y une chose que je me demandais pourquoi il avait un don d'exploration de l'esprit ? Il a un don différent de ces deux parents ce qui est assez bizarre. Moi même je me suis toujours demander qui de mes parents avait un don pour que j'en aille un. Il fallait que cela vienne d'un des deux. Dommage que je ne pourrais jamais avoir une réponse de mon père et même de ma mère.

Tyler me disait qu'il était heureux d'avoir pu me trouver. Il disait que j'étais la seule à avoir pu le rassurer comme je le faisais. Je ne savais pas comment j'étais dans son futur, mais mon idée était que je devais être presque pareil sauf que j'avais quelques années en plus. Il disait que mes paroles l'avaient rassurer et qu'il pouvait voir son voyage d'un autre oeil maintenant. Il disait qu'il avait eu vraiment de la chance de me rencontrée aujourd'hui.

Non, ces moi qui à la chance de t'avoir rencontrer. Je ne pensais pas avoir un avenir long même si je vis le bonheur avec Samuel en ce moment. Je pensais mourir dans un futur proche et ne jamais me voir vieillie. D'ou le fait que j'avais peur que Sam aille refait sa vie avec quelqu'un. J'ai juste peur de mourir trop jeune, voilà ce qui me faisait peur quand tu m'avais dit que tu était son fils.

Je n'en reviens pas que je venais de dire ma plus grande peur à mon futur fils. Même Sam ne le savais pas que j'avais peur de mourir. Tout le monde proche de moi savait que je ne voulais pas le perdre. Mais, moi je gardais ma peur de mourir sans avoir rien vécu. Mais, l'espoir que venait de me donner Tyler juste en sa présence me disait que j'allais bien aller.

Je savais qu'il y aurait des séparations et tout, mais si Tyler se tenait devant moi ces que je ne suis pas morte. Je suis bel et bien vivante et j'espére que je suis heureuse dans son futur même s'il n'est pas joyeux. Mais, bientôt un question me venait à l'esprit et j'hésitais à lui poser la question.

Je le regardais et lui demandait ceci :

J'hésite à te demander ceci depuis quelques secondes, mais je me demandais si cela sera notre seule rencontre. Pas que je veux qu'elle le soit, mais tu est mon fils et je sais que je ne suis pas vraiment ta mère. Car, je suis peut-être cette fille, mais ta vraie mère est dans ton futur à toi. Moi, je ne suis pas vraiment celle que tu connaîs. Mais, si tu as besoin de te vider le coeur, ma porte, mon coeur et mes oreilles sont là pour t'écouter à n'importe quel moment.

Une partie de moi comprennait qu'il était mon fils, mais l'autre me disait que non vu que j'étais une personne de son passé et que j'étais une inconnue pour lui. Mais, j'écoutais plus celle qui me disait que j'étais sa mère. Même si je ne le connaissais pas vraiment j'avais un réfléxe de jeune mère. Et je voulais l'aider plsu d'une fois el temps qu'il serait ici dans cette époque.

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