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| It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) | |
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| Sujet: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Sam 7 Juil - 0:00 | |
| Le bureau, mon cher bureau, oh, ce qu'il m'avait manqué ce bureau après toutes ses péripéties. Alors que j'avais pu discuter avec l'un de mes collègues à savoir Dilan. Je devais prendre en compte tout ce qui avait pu être fait depuis un moment comme la mission en Afrique, ma douloureuse expérience avec Sylar. Depuis un moment, je n'avais pas vu ma femme et c'était un mauvais signe mais j'avais en effet d'autres choses en tête. Je doutais de certaines informations et je n'avais pas vu mon conseiller depuis l'histoire de Sylar. Sur l'avenir de ma politique, je commençais à me poser des questions, mais j'avais réussi à établir une bonne stratégie. Je prenais note de tout ça et inscrivant bien sûr à un endroit secret certaines indications concernant une enquête que je menais depuis bien longtemps. Des bribes d'un endroit me revenait en mémoire comme si finalement, j'avais vécu une double-vie. Je sortais rapidement de mes pensées lorsque le téléphone sonnait. C'était bien sûr ma secrétaire qui me disait que mon investisseur n'était pas joignable. J'en était sûr, je devrais attendre pour un futur projet sur lequel, l'investissement allait être lourd. Le pays devait avancer, le monde devait avancer et il n'y avait que moi, pour diriger cette marche vers la réussite. Je raccrochais, sachant que je n'obtiendrais rien de plus en attendant ainsi mais c'était à ce moment-là que j'entendais du grabuge à l'extérieur de mon bureau. Je n'attendais pas de visites mais je décidais quand même de sortir du bureau sans même prendre conscience du danger. En ouvrant la porte, je voyais ma secrétaire en train de discuter avec une jeune femme qui semblait bien être magnifique et charmante. Voilà encore que je recommençais. Je m'approchais lentement et j'avais bel et bien l'impression de la connaître. Enfin, je devais règler le souci immédiatement. Je faisais signe à ma secrétaire de ne pas appeler la sécurité. Je regardais la jeune femme.
Nathan : Bienvenue au sein de la Maison Blanche, je suis à votre disposition. Venez avec moi, nous allons directement à mon bureau.
Je l'accompagnais et nous rentrons à l'intérieur. Je la guidais vers une chaise et elle s'asseyait. Je me dirigeais vers le bar et je prenais déjà un skotch d'un grand âge. Je la regardais.
Nathan : Est-ce que vous voulez quelque chose à boire ?
J'étais au moins prêt à lui servir quelque chose, en restant le gentleman que j'étais même si j'avais une sacrée réputation. Cependant, je me posais une question. Et si elle se trouvait avec Dylan, mon investisseur, que je l'avais déjà vu avec lui. Oh, je ne savais pas où cela allait me mener cette histoire.
Nathan : Vous êtes venus ici pour me voir. Dites-moi en quoi puis-je vous aider.
C'était mieux une question plus générale. Au moins, je n'étais pas pris au piège mais j'appréhendais cependant de savoir ce qu'elle voulait exactement. J'étais préparé au pire comme au meilleur. Mon poste était celui de tous les dangers. |
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Sam 7 Juil - 18:50 | |
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Je n’étais pas une flèche de la stratégie, mais au vu des derniers évènements je devais tenter quelque chose, j’étais du genre tête brûlée quand je m’y m’étais, je ne reculais devant rien, mon côté peste qui ressortait de plus belle, quand je désirais quelque chose par-dessus tout. Je ne comprenais pas grand-chose à ce que faisait Dylan avec Nathan Petrelli, mais je savais que Dylan était un important investisseur et je me doutais qu’au vu de sa place, il avait le bras assez long pour m’aider à ne plus me faire pourchasser par ses cons. En cette belle matinée, je me rendais donc dans les bureaux de cher monsieur Petrelli, j’étais sûre de moi, habillée femme qui vient pour un entretien d’embauche. En me présentant à l’accueil je demandais à voir monsieur Nathan Petrelli, on me fit attendre et finalement quelques minutes monsieur Petrelli était face à moi, nous nous dirigions vers ses bureaux. Une fois arrivé dans les lieux, il me proposa de boire quelque chose avant d’en venir finalement au faite, qu’est-ce que je voulais lui demander. Nous en étions déjà à cette partie et cela me convenait parfaitement. Je pris place sur la chaise face au bureau. « -Je vais avoir besoin de vos services monsieur Petrelli, vous devriez prendre place face à moi, nous avons à discuter… »
Mon ton était sûre pour le déstabiliser et le pousser à m’écouter, il ne fallait pas que j’échoue maintenant. J’attendis qu’il prenne place à face à moi et en souriant et en croisant mes jambes afin de poser mes mains dessus j’entamais ma discussion. « -Je suppose que vous connaissez bien mon conjoint, monsieur Trump, je ne me trompe pas ? »
J’étais sûre et certaine de moi sur cette question, je ne pouvais pas me tromper, Dylan m’avait déjà parlé de lui, je ne sais pas pour qu’elle raison, mais je le détestais au plus haut point ce mec là, il ne m’inspirait pas confiance et je savais les risques que je prenais en allant vers lui, mais il fallait tenter le tout pour le tout, il fallait que je tente de me sortir de cette galère pour reprendre une nouvelle vie et ne plus avoir le passé qui me poursuit. Il est difficile d’avancer quand votre passé resurgit constamment, vous n’arrivez pas à gérer et vous n’arrivez pas à comprendre pourquoi, mais la question reste là et chaque fois que vous pensez enfin relever la tête, on vous retombe dessus, en n’oubliant pas de rappeler les mauvais souvenir. « -Je voudrais être sûre que vous compreniez ce que pourra vous coûter votre refus… »
Le regard fixe sur celui de monsieur Petrelli, je ne le quittais pas des yeux, j’étais extrêmement sérieuse, je voulais qu’on parle seul à seul, rien que tous les deux en tête à tête, c’était le deal que je m’étais fixée et j’avais réussi, je restais souriante, ne voulant pas non plus me montrer sans cœur, ce n’était pas le cas, mais les négociations allaient-être difficiles. « -Il va falloir que nous parlions très sérieusement de ma situation et je pense que vous êtes le seul à pouvoir m’aider et être efficace…Alors vous acceptez d’écouter ce que j’ai à vous dire ou dois-je faire en sorte de faire pression pour être sûre de votre collaboration ? »
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Sam 14 Juil - 1:17 | |
| Une belle jeune femme qui venait me voir ce n'était pas très commun mais j'avais l'habitude des surprises. Je restais toujours égal à moi-même. Je servais finalement à boire et elle s'asseyait. Elle aurait besoin de mes services ? Là, j'étais un peu surpris, car elle s'adressait directement au président. Elle m'invitait à m'asseoir car nous avions à discuter selon elle. Elle était bien déterminée. Je l'écoutais avec la plus grande attention, même si au fond de moi, je me posais de nombreuses questions. Les femmes fortes et décidées ont toujours eu une certaine influence sur moi. Je prenais place face à elle. Elle me souriait. Elle était séduisante, je devais le reconnaître.
Nathan : Je suis prêt à vous écouter avec la plus grande attention. Le président est toujours au service de ses concitoyens.
J'étais enfin prêt à savoir le motif de sa venue et c'est à ce moment-là qu'elle évoquait le nom de Dylan, mon investisseur. Elle pensait que je le connaissais bien. C'était le cas, mais comment avait-elle pu savoir ? Je devais garder mon calme.
Nathan : En effet, je connais monsieur Trump, vous avez vu juste.
Je devais quand même me réserver des cartes, c'était préférable. Je devais rester le fin stratège, sinon, je ne serais pas à cette place aujourd'hui. Elle voudrait être sûre que je comprenne ce que cela pourrait coûter si je refusais. Qu'est-ce que cela voulait dire ? Je commençais à bien comprendre qu'elle savait ce que Dylan faisait pour moi. Je devais penser à toutes les éventualités. Elle ne me quittait pas du regard et je n'aimais pas ça.
Nathan : Je me demande bien ce que vous attendez de moi.
Je commençais à me poser tout pleins de questions. Elle me regardait déterminée mais ce qui était le plus fatal c'était le fait qu'elle puisse sourire. Je n'avais aucun moyen de deviner sa stratégie. Elle me disait qu'il faudrait parler très sérieusement de sa situation et que je serais le seul à pouvoir l'aider efficacement. J'avais le choix entre d'accepter ou bien elle allait faire pression sur moi. Je m'inquiétais.
Nathan : J'aimerais pouvoir juger de votre situation. Que je sois le seul efficace, cela m'étonne, mais pour que vous veniez directement me voir, cela ne doit pas être ordinaire. Dites-moi ce qui vous emmène exactement dans mon bureau. Faire pression sur moi, cela ne changera pas grand chose selon moi.
Je devais tout faire pour y arriver, c'était normal. Je devais connaitre la vérité, mais j'y arriverais de toute façon. Pression, en matière de quoi ? Je me le demandais.
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Jeu 19 Juil - 11:26 | |
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Avec toutes les galères que j’avais eu à traverser, me retrouver là dans son bureau était quelque peu jouissif, j’avais réussi, j’étais déjà fière de moi d’avoir pu le rencontrer, je ne suis pas certaine qu’on soit nombreux à avoir réussi cette exploit, un président ne se rencontre pas si facilement, moi j’avais eu cette chance, je peux remercier mon bel ange pour ça, heureusement que Dylan travaillait avec lui, enfin heureusement qu’il était son investisseur. Cela m’aidait énormément, néanmoins je voulais faire les choses bien, de base je ne voulais pas le faire chanter, je le ferais uniquement si je n’avais pas le choix et j’étais une femme, si quelque chose pouvait être en ma faveur, je pense que c’était ça. Une femme peut mettre ses atouts en avant, il suffisait juste de savoir comment s’y prendre et je n’étais pas novice en la matière. « -Tout d’abord, merci de me recevoir, je sais que vous êtes un homme extrêmement prie et je vous suis reconnaissante de m’accorder un peu de votre temps. »
Sur un ton doux et compréhensible, je me levais pour finalement aller m’assoir près de lui sur le bureau directement, je croisais les jambes et ajoutai à la conversation. Le moment de jouer la comédie était arrivé, je n’allais pas lui mentir, j’allais simplement sur joué certain de mes sentiments, je détestai ma mère, alors faire semblant qu’elle me manquait c’était un exercice compliqué, mais encore une fois, grâce à mon père, j’arrivais à faire cela, il suffisait que je pense à lui pour fondre en larme, sans préavis. « -Je vais tout vous expliquez. » Je pris une grande inspiration et me lança dans mon récit. « -Voilà il y a quelques années, ma mère s’est faite enfermé pour trafic de drogue, mon père a été tué pendant l’intervention policière, c’est pendant cette intervention que j’ai utilisé mon don en présence de personne, j’ai fait volé un policier et ensuite j’ai été enfermé pendant plusieurs moi, j’ai été drogué et battue, on m’a marqué au fer… Avec l’aide d’un homme que j’espère encore vivant et en bonne santé, j’ai pu prendre la fuite. J’aimerais que vous m’aidiez, j’ai besoin que vous fassiez en sorte qu’on ne me suive plus, que je ne sois plus la proie de ses gens, je veux retrouver l’homme qui m’a aidé pour qu’il soit mit en sécurité aussi. »
Les larmes coulaient seules sur mes joues, je ne les contrôlais pas, chaque fois que je parlais de mon père c’était la même catastrophe, je m’en voulais tellement de tout ce qui c’était passé, mon père représentait tout pour moi et le fait de parler de lui rouvrait chaque fois une plaie qui n’était toujours pas cicatrisé. Je descendis du bureau un instant, je remonta le top que je portais pour lui montrer la cicatrice que ses tarés avait fait dans le creux de mes reins, puis, je lui montra aussi les marques qu’avaient laissé les aiguilles dans ma nuque en relevant délicatement mes cheveux et en lui expliquant à chaque fois ce que la marque représentait. « -J’ai réussi à prendre la fuite dans votre pays, j’ai des papiers en règles, je suis une citoyenne qui ne veut pas d’ennui, je veux simplement vivre sans me faire chasser, car même dans votre pays que j’ai toujours adoré, je le voyais plus intelligent et plus puissant que les autres, je pensais que mon calvaire été terminé, pourtant même ici, des hommes sont constamment à ma poursuite, certains sont ceux du laboratoire auquel j’ai réussi à échapper, d’autre viennent de votre territoire. »
Je repris place face à lui, assise sur son bureau, les jambes croisaient. Je passais une main dans mes cheveux, les yeux remplis de larme, je baissais la tête pour ajouter. « -Aidez-moi s’il vous plaît monsieur Petrelli. »
De la jeune femme sûre d’elle, je devais ressemblait à une adorable jeune femme sans défense, qui ne demande que de la protection, une jeune femme sensible et fragile. Je jouais parfaitement la comédie, je savais que si je l’attaquais de front, il se fermerait et je ne pourrais rien lui demander, mais en jouant la carte de la jeune femme sans défense qui veut un chevalier pour la protéger, je flattais son égo et je le faisais manger dans le creux de ma main, j’étais parfaitement crédible de plus, je ne lui mentais pas, même si le fait que je pleure n’était qu’en réalité par rapport à la perte de mon père, j’avais besoin de comprendre ce qu’il voulait au spéciaux et surtout en étant avec lui, je pourrais certainement venger la mort de mon père. Je voulais pouvoir prendre ma vengeance et vivre tranquillement derrière, je ne voulais pas qu’on continue de me chasser comme un lapin, je voulais vivre tranquillement et faire en sorte que mon père soit fier de moi. J’allais désormais entré dans le plus grand rôle de ma vie. « -Je ne souhaitais pas faire pression sur vous, je me suis dis quand vous disant les choses ainsi, vous m’écouteriez plus sérieusement. J’ai besoin de votre aide. »
Je me mis à fondre en larme de nouveau, je pleurais, je mettais mon visage dans mes mains, je ne le regardais plus, j’espérais qu’il avait un cœur et qu’il tenterait de me consoler et de m’aider. Je devais paraître sans défense, mon but final était de travailler avec monsieur Petrelli, pour pouvoir approcher de plus près les hommes qui avaient tué mon père, pouvoir le venger, mettre ses personnes hors service, faire en sorte qu’ils ne me cherchent plus. |
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Dim 29 Juil - 0:30 | |
| Je profitais des surprises que l'on pouvait m'offrir. Je m'étais réfugié au bureau depuis un moment mais visiblement, j'avais besoin de reprendre contact avec l'extérieur. Heureusement, que l'extérieur était venu à moi. Travailler sans cesse sans pour autant prendre un peu de plaisir n'était pas bon surtout pour moi, mais ses cauchemars ne cessaient même de me hanter même après un moment. Je devenais peut-être fou. Rester sur l'affaire était le mieux. Au moins, contrairement à d'autres personnes qui pouvaient venir à l'improviste, elle était plutôt respectueuse et j'aimais ça. Je sentais déjà que l'on pouvait parler affaire. Elle reconnaissait même que j'étais un homme extrêmement pris. De la reconnaissance ? Le fait qu'une femme me le disait était déjà une victoire en soit. Je devrais arrêter par moment, enfin bref.
Nathan : Je suis pris de par ma fonction mais quand on a l'occasion de pouvoir aider un concitoyen, on n'hésite pas. C'est gentil de me remercier mais je ne fais que mon devoir.
Elle se levait et ce qui me surprenait, c'était qu'elle s'asseyait près de moi directement sur le bureau. Qu'est-ce qu'on allait me réserver encore ? Je me remettais les idées en place, continuant à l'écouter. Sa manière de croiser les jambes était une grande tentation mais je restais digne. J'allais l'écouter, j'allais enfin savoir le but de sa venue. Visiblement, cette histoire l'avait touché de très près. Je priais pour pouvoir apporter de l'aide. Elle m'expliquait qu'il y a quelques années, sa mère s'était faite enfermée pour trafic de drogue. Son père avait été tuée pendant l'intervention policière. Elle aurait quoi ? J'avais bien entendu le mot pouvoir. La tentation serait immédiatement d'appeler un de mes gardes. Il était hors de question que je revive ce que Sylar m'avait fait subir dans ce même bureau. Elle aurait donc fait voler un policier et elle aurait été enfermée pendant plusieurs mois. Elle aurait été droguée et battue. On l'aurait marqué au fer ? Mais ce genre de méthode ne provenait pas d'un service que je connaissais. La Compagnie, c'était eux, à tous les coups, je le sentais bien. C'était leurs méthodes de prendre comme ça des personnes au hasard. Ils me répugnaient au plus haut point. Elle aurait été aidé par un homme ? J'aimerais bien savoir qui. Ce qui était certain, c'était qu'elle s'inquiétait pour lui. Elle avait dû prendre la fuite. Donc, ainsi, elle voulait mon aide. Elle avait besoin que j'intervienne afin que personne ne la suive, qu'elle ne soit plus la proie de ses personnes. Elle souhaiterait également que je retrouve la personne qui l'avait aidé. Je voyais bien sa détresse. De toute façon, en y réfléchissant, si ce n'était pas la Compagnie à l'origine de ses soucis, j'étais responsable puisque je chassais les spéciaux. Je la voyais alors qu'elle pleurait. Elle n'était plus sur le bureau. Elle remontait un top assez sexy et je voyais des cicatrices. Je pouvais comprendre la souffrance qu'elle avait enduré. Je voyais les marques dans le creux de ses reins. Je pouvais constater en m'approchant les marques d'aiguilles au niveau de la nuque. J'entendais au fur et à mesure les significations concernant chaque marque. Je pouvais déduire que c'était la Compagnie, je ne voyais pas qui d'autre aurait pu faire ça. Elle m'expliquait qu'elle aurait réussi à prendre la fuite dans mon pays avec papiers en règle. Elle serait une citoyenne qui ne voudrait pas d'ennuis. Elle voudrait vivre sans chasse car même dans ce pays qu'elle adorait, qu'elle voyait plus intelligent et plus puissant que les autres, elle aurait vu son calvaire fini. Des hommes la poursuivent que ce soit mes agents ou bien ces hommes. J'étais perplexe, je réfléchissais attentivement. Elle reprenait place face à moi, sur mon bureau. Je voyais ses jambes splendides. Elle avait les larmes aux yeux alors qu'elle me demandait de l'aider.
Nathan : Votre don ? Je vois, cette affaire semble remonter. Dites-moi, ces personnes ne faisaient pas partie d'un groupe appelé la Compagnie ? C'est une organisation secrète capturant des spéciaux et faisant des expériences sur eux, ou bien essayer de transformer des êtes non dotés de pouvoirs. J'ai dû la démanteler mais à travers le monde, elle avait été impitoyable et je trouvais cela injuste de faire subir ce genre de choses. Ce que je vois me fait penser immédiatement à leurs agissements. Ses personnes ne vous embêteront plus, promis. Ces personnes issues d'un laboratoire ne sauraient vous retrouver sans qu'elles ne passent devant mes agents. Je ne sais pas ce que vous pensez de mes méthodes mais les spéciaux sont difficiles. Certains ont même provoqué des meurtres, des séismes au sein de notre monde et on se doit de les arrêter. Toute personne commettant des délits ou ne pouvant contrôler son don est un danger pour la population. Je suis garant de la sécurité de notre pays. Je voudrais vous poser une question : où vous situez-vous par rapport à ce cas des spéciaux ? Vous semblez maîtriser votre don, vous êtes équilibrée. Dites-moi votre sentiment là-dessus. J'allais oublier mais bien sûr, je retrouverais la personne qui vous a aidé.
Elle était en détresse, je l'aidais du mieux possible. Si la Compagnie avait été responsable, j'allais leur montrer encore qu'ils ont eu tort. Elle me révélait qu'elle ne voulait pas faire pression sur moi. Elle s'était dit qu'en me disant les choses ainsi, je pourrais l'écouter plus sérieusement. Elle aurait besoin de moi. Je m'approchais d'elle, voulant la consoler et lui donnant des mouchoirs. Je ne savais pas vraiment si je devais m'approcher et la prendre dans mes bras pour la consoler, c'était mal vu. Le grand président se retrouvait tout timide devant la détresse d'une femme.
Nathan : Ce n'est pas grave. Sincèrement, je suis désolé pour ce qui vous êtes arrivés mais je ferais tout mon possible pour vous, vous pouvez en être sûr.
Je ne savais pas comment allait se dérouler la suite des évènements mais ce moment allait rester dans ma mémoire, car finalement, d'autres laboratoires, ou bien, la Compagnie feront toujours parler d'eux. |
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Dim 29 Juil - 15:54 | |
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Les gens spéciaux, nous étions les spéciaux, de la simple barbaque à contrôler, j’hallucinais, comment pouvait-on classer les gens de cette façon, je trouvais cela injuste et malsain, je craignais pour ma vie, mais pas seulement la mienne, combien de personne étai au courant maintenant que les spéciaux avaient été mit sous le feu de la rampe ? Et à quoi la faute ? Si je le savais, je ne suis pas certaine que j’aurais de la pitié pour cette personne, mais j’ignorais tout cela et pour le moment je me contentais de parler avec notre président, j’étais persuadée qu’il était le seul qui pourrait m’aider. Il semblait troublé, sans doute par ce que je mettais en avant, mon jeu fonctionnais parfaitement, j’étais plutôt contente, même si dans le fond, je savais que ce que je faisais été risqué, si Dylan l’apprenait, je ne donnais pas cher de ma peau. Il l’aurait surement très mal prit, mais ça personne n’était au courant. Il avait de belle parole, comme tout bon politicien qu’il était, je souriais à ce qu’il venait de me dire avant d’ajouter. « -Vous savez, vous n’êtes pas obligé de dire cela devant moi, je vous demande votre aide, c’est déjà beaucoup, mais si tout les citoyens de cette ville passaient dans votre bureau pour faire la même chose, je crains que vous n’attentiez à votre vie vous-même. Et ce n’est pas ce que je souhaite. »
Un petit sourire timide. Reparlant de mon histoire, je tremblais, je jouais une comédie sans la jouer, l’histoire était véritable et vérifiable, grâce à mes cicatrices, on ne pouvait pas nier qu’il m’était arrivé quelque chose. Je racontais mon récit, je ressentais la douleur de ses blessures, je revoyais tout ce que j’avais traversé, les larmes tombèrent sans que je ne puisse les contrôler, j’avais l’air fine, mais au moins j’étais crédible à ses yeux et il me prenait au sérieux, sans doute qu’il allait tenter de faire quelque chose contre moi, vu ce qu’il disait des spéciaux, je pouvais m’attendre à tout, sauf à ce qu’il me dit en réponse à mon histoire. « -Je ne sais pas qui ils sont, mais je vous assure qu’ils viennent jusqu’ici, j’en ai croisé un il y a 3 jours de cela et je vous assure qu’il ne faisait pas partie des vôtres, je l’avais déjà vu au Brésil. Je ne sais pas ce qu’ils cherchent, je ne sais rien, même le nom de cet endroit, je ne suis pas certaine de m’en souvenir. En ce qui concerne ce que vous faites, je n’ai pas d’avis sur la question, j’ai appris à contrôler mon don et si je perds mes moyens c’est à cause de mes pourchassant et pas de la mienne. Comprenez moi, ils nous traquent comme des bêtes de foire, dans une peur panique, on ne contrôle plus rien, nos sentiments sont brouillés, on a peur, on est terrorisé. Pour la plupart d’entre nous, on voudrait simplement vivre tranquillement comme la plupart des gens, on ne demande rien de plus. Je contrôle mon pouvoir, je l’utilise seulement quand on m’attaque autant vous dire que je ne cherche à faire de mal à personne. Monsieur Petrelli, croyez-moi je vous en pris. Attendez je vais vous le prouvez, ne paniquez pas d’accord… »
Je descendis doucement du bureau, je perdis l’équilibre volontairement, cassant volontairement le talon de ma chaussure, sans qu’il ne s’en rende compte, je me retrouvais dans ses bras, les mains posaient sur son torse, je fis la jeune femme gênée, il fallait jouer le jeu tout de même. « -Pardon, je suis maladroite, mais je crains que mon talon est lâché… »
J’ai le visage bien en face du sien, les yeux plongeaient dans les siens. Je me mords la lèvre et me redresse, je retire mes chaussures, me place à ses côtés debout. Je joue avec mes mains et surtout je joue avec les objets posaient sur son bureau. Je les fais voler, je les fais tournoyer, voulant rendre le spectacle joli. Je joue ainsi pendant quelques minutes, Puis je repose l’intégralité des objets à leurs places. « -Vous voyez, je le contrôle parfaitement »
Je me mis à marcher dans le bureau, désormais pied nus. J’attendais une réaction de sa part désormais, mais avant je devais ajouter un petit quelque chose. « -Merci d’accepter de m’aider monsieur Petrelli. C’est gentil de votre part… Comment comptez-vous, vous y prendre ? Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous aider ? »
Je me tenais de nouveau face à lui, je m’étais remise sur le bureau, les jambes croisées, les pieds nus, j’attendais que ce dernier m’en dise plus. Je passais la main dans mes cheveux en attendant que celui-ci prenne la parole. |
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) Lun 3 Sep - 1:28 | |
| La mort, la vie, des notions bien vastes surtout quand on avait en face de nous des spéciaux qui ne souhaitaient simplement que détruire notre monde actuel. En tant que président, je devais justement empêcher ce genre de chose de se produire. Heureusement, que j'avais prévenu tout le monde sinon, je pouvais garantir que la Compagnie, voire même mieux Sylar aurait tout détruit sur leur passage. J'étais troublé par cette jeune femme, j'étais troublé par la manière finalement directe de prendre les devants surtout pour un problème comme celui-ci. Je savais manipuler mon monde, pour obtenir surtout ce que je voulais tant. Elle souriait et cela me mettait dans une sacrée position. Je me sentais si vulnérable en présence d'une femme déterminée. Je me demandais sincèrement si ma mère avait raison sur mon cas. Pour elle, je n'étais pas obligé de montrer que j'étais au service du concitoyen. Pour elle, c'était déjà beaucoup le fait de demander mon aide et en plus, si tous les citoyens de cette ville passaient dans mon bureau pour faire la même chose, elle craignait que je ne veuille en finir. Elle ne souhaitait pas ça. Que quelqu'un se soucie de ma santé était déjà encore plus important pour moi et peu le faisaient ces derniers temps.
Nathan : Vous avez bien fait de vous adresser à moi, je ferais le nécessaire. Si tout le monde venait me voir en peu de temps, c'est sûr que je serais débordé mais je sais y faire avec la pression, sinon, je ne serais pas arrivé à cette place. Vraiment c'est gentil à vous de vous inquiéter pour moi. Je ne vous en remercierais jamais assez.
Elle venait peut-être de marquer un point avec moi. En effet, beaucoup souhaitaient me voir mort, anéanti, arrêter mon projet mais rare étaient les personnes voulant me protéger. Au moins, je savais que je pouvais au moins leur donner un minimum de confiance car ayant été trahi par ma propre famille, comment donner de la confiance aux autres sans souffrir ? Ce n'était plus possible pour moi depuis longtemps. Je savais que son histoire n'était pas inventée de toute pièce pour me piéger. Elle tremblait, elle affichait un léger sourire mais au fond, quand je parlais de mon parcours chaotique, je réagissais de la même manière et cela ne s'inventait pas sauf si réellement, j'avais une bonne actrice devant moi. Elle pleurait. J'aurais été aveugle si je n'avais pas remarqué les larmes qui tombaient le long de ses joues. On ne pouvait qu'avoir envie de protéger cette jeune femme. Elle me donnait des éléments supplémentaires en rapport avec ce qui lui arrivait. La supposition concernant la Compagnie pouvait être très plausible car cette organisation. Elle ne savait pas qui ils étaient mais elle m'assurait qu'ils viendraient jusqu'ici. Elle en avait croisé un il y a 3 jours et elle était certaine qu'il ne faisait pas partie des miens. Il aurait été au Brésil. On piquait donc mon business. Elle ne savait pas ce qu'ils cherchaient. Elle ne se souvenait pas du nom de l'endroit. Je saurais de toute façon de quoi il en retournait.
Par rapport à ce que je faisais, elle n'avait aucun avis. Elle avait l'honnêteté de me le dire. En effet, beaucoup avaient peur de moi et de mes capacités à me mettre en colère très facilement, quand cela ne me plaisait pas. Elle précisait qu'elle avait appris à contrôler son don et si elle perdait ses moyens, c'était à cause de ses poursuivants et non de la sienne. Je devais comprendre qu'ils les traquaient comme des bêtes de foire, dans une peur panique. Il n'y avait aucun contrôle, les sentiments étaient confus. La peur était présente. Pour beaucoup, ils souhaitaient simplement vivre tranquillement et rien d'autre. En ce qui la concernait elle et son don, elle l'utilisait seulement quand on l'attaquait, donc autant me dire qu'elle ne cherchait à faire du mal à personne. Je devais la croire et elle allait me le prouver. Je ne devais pas paniquer. Bon, je me demandais ce qu'elle allait me réserver.
Elle descendait de mon bureau. Elle perdait l'équilibre. Je m'inquiétais, me demandant si elle allait bien et là, je la retrouvais dans mes bras. C'était incroyable et pourtant, je n'avais pas utilisé mon don pour la faire venir. Elle touchait mon torse avec ses mains, je ne savais pas où me mettre et surtout, cela faisait un effet. Je m'étais promis de me contrôler et je le ferais. Elle semblait gênée. Il se passait quelque chose. Elle s'excusait d'être maladroite mais son talent avait lâché. Je souriais un peu gêné par la situation mais au fond chaque homme rêverait d'avoir une si belle femme près de lui. J'avais ses yeux en face des miens. Elle se mordait la lèvre. Il en fallait peu pour que je cède à la tentation. Elle se redressait et enlevait ses chaussures, se mettant près de moi, debout.
Nathan : Je saurais arrêter ses individus avant qu'ils ne commettent des dégâts irréparables. Je comprends votre crainte, votre peur d'être pourchassé. Tout le monde souhaite vivre normalement, et je peux assurer que je tiens à ce que cela se produise. Je veux que la population soit en sécurité. Vous êtes une des rares personnes à ne pas juger mon action sans aucune appréhension et cela fait chaud au coeur. Je vous crois lorsque vous dîtes que vous n'êtes pas dangereuse pour les autres. Je peux vous promettre que vous serez protégée.
Seulement, je la voyais en train de jouer avec ses mains. Elle faisait bouger les objets qui étaient posés sur mon bureau. Ils volaient, ils tournoyaient grâce aux mouvements d'Amaliya. Après quelques minutes, elle les reposait, me montrant le contrôle de son pouvoir. Elle marchait dans mon bureau. Elle me remerciait de l'aider ce qui était gentil de ma part mais elle se demandait comment j'allais m'y prendre et si elle pouvait faire quelque chose pour m'aider. Elle le pouvait fortement. Elle était face à moi, les jambes croisées et pieds nus. Elle avait un charme fou et je ne saurais pas lui résister. Elle mettait une main dans ses cheveux mais je gardais le contrôle.
Nathan : Je vois bien que vous contrôlez parfaitement la situation et c'est rare de voir ça. Je suis ravi d'avoir pu croiser votre chemin. Pour ce qui est des personnes qui vous poursuivent, je vais mettre les meilleurs agents sur le coup et une personne spécialisée dans les organisations. Elle saura y mettre un terme et vous pourrez vivre votre vie pleinement. Cependant, peut-être que vous pourriez nous aider en apportant si vous vous en souvenez des indices précieux sur les personnes qui vous poursuivaient, des caractéristiques qui pourraient nous rapprocher d'eux plus facilement. Je conçois que cela soit dangereux mais on assurera votre protection, qu'en dites-vous ?
J'appréhendais sa réponse. Je me demandais ce qu'elle pourrait faire maintenant qu'elle m'avait tout raconté. Je comprendrais aisément qu'elle veuille s'en aller, me laissant gérer l'affaire mais la voir participer serait un moyen pour elle d'enterrer le cauchemar. J'ignorais que j'étais finalement tombé en plein cauchemar et que c'était encore une jeune femme qui voulait ma perte.
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| Sujet: Re: It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) | |
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| | | | It's not to be (Pv avec Amaliya E. Di Laurentis) | |
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