Fire and Ice (Pv avec Lily Pevency)

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Ah, mais comme ce monde était bien cruel ! J'avais été fiché ou quoi ? Comme à mon habitude, je pouvais constater que j'étais la cible de nombreuses personnes. Cela devait être encore du gouvernement, enfin, celui corrompu ou bien des méchants qui souhaitaient obtenir une certaine part du gâteau. Je n'étais quand même pas le seul et unique spécial à chasser ? Je détestais utiliser ce nom et pourtant, c'est quelque chose d'habituel ici. Je courrais pour arriver vers un petit refuge, un bon petit refuge où ils ne pourront pas m'attraper. Ah, ces vautours ! Je me tournais, prêt à les affronter. Je levais ma main légèrement et d'un seul mouvement, je provoquais une grosse bourrasque de vent qui les empêchait de s'approcher de moi. En faisant un peu plus fort, je parvenais à décoller et à rester en l'air pour les expulser au loin. Je les envoyais contre un grand mur avec une grande violence. Je devais atterrir et reprendre ma course, mais l'un d'entre eux était bien caché et m'envoyait son pouvoir contre ma poitrine. Cela me brûlait. La pyrokinésie, je détestais ça, sincèrement, surtout quand c'était utilisé contre moi. Le coup de la punition avec la pyrokinésie, je m'en rappelais que trop bien. On voulait me brûler les fesses. Je criais tel un enfant. C'était le bon vieux temps. Je devais tenter, tout faire pour échapper à ses personnes. Le deuxième se relevait de mon attaque et utilisait la télékinésie contre moi. Je devais faire en sorte de le contrer avec mon pouvoir et c'est ce que je faisais. Seulement, je n'avais pas remarqué le dernier qui avait disparu. Il me poignardait au niveau du ventre. Cela n'était pas bien passé loin. Heureusement, je dirais que c'était superficiel, enfin, je m'écroulais. Ils partaient en courant. Bande de lâches ! Je me relevais assez difficilement me tenant le ventre. J'étais brûlé au niveau de la poitrine. Si ma chère et tendre me voyait en ce moment, elle serait complètement paniquée mais bon, j'étais seul aujourd'hui, à me battre pour l'avenir, à vouloir qu'elle change. Soudain, je voyais une jeune femme qui était en train de se promener. On aurait dit un ange. Je devais quand même me montrer fier. Je me tenais le ventre afin que cela ne s'aggrave pas. Je devais rester quand même discret.

Michael : Ah, bonjour mademoiselle, est-ce que vous savez où se trouve le prochain refuge ? Je voudrais me reposer là-bas pour la nuit, si c'est possible bien sûr.

Je souffrais et sans m'en rendre compte, je faisais une légère grimace. Ah, cela me trahissait toujours.

Michael : Rassurez-vous, je ne suis pas quelqu'un qui veut vous voler, ou quoi que ce soit d'autre, je suis arrivé récemment en ville et on s'y perd facilement dans ses nombreuses rues. Je m'appelle Michael et vous, quel est votre nom ?

Si je pouvais éviter de dire mon nom, au moins, cela me garantissait une certaine sécurité. Dire mon nom serait comme révéler d'où est-ce que je venais et là on m'aurait pris pour un fou. Ma version de moi existait dans ce présent mais le dire serait comme affirmer que j'étais dingue alors que ce n'était pas le cas du tout. Cela me ferait bizarre de me voir en plus jeune. C'était un risque énorme. Je ne savais pas ce qui pourrait se passer.

Invité

Cela faisait une semaine que j'avais rencontré Tyler. Ce garçon si gentil qui m'avait proposé de l'aide et qui m'avait trouvé un logement et aidée à trouver un travail la semaine et les weekends. Je venais de rentrer du travail, je dépose mon sac sur le meuble dans l'entrée de l'appartement. Ensuite, je bouge ma veste tandis que Gonzo arrive en remuant la queue et en aboyant joyeusement. Je met ma veste au porte manteau puis je le caresse en souriant.

-Salut mon grand.

Je vais ensuite à la salle de bain où je vais prendre une douche tandis que Gonzo patiente dans le couloir. Une fois douchée, j'enfile un pantalon de jogging, un t shirt et une veste légère de jogging. Je sèche mes cheveux rapidement puis je les noue en une longue queue de cheval. Je prends ensuite des chaussettes dans le meuble de la salle de bain, je les enfile. Je me rends dans ma chambre où je met mes baskets. Une fois prête, je sort et je vais au salon suivie par Gonzo qui m'attends pour notre jogging quotidien. Je prends un petit sac à attacher autour de ma taille, j'y glisse mon portable et mon porte monnaie ainsi que mes clés. Je l'attache puis je prends la laisse de Gonzo, l'accroche à son collier et nous sortons.

Nous nous rendons dans un parc et je lâche Gonzo. Je me met à courir au petit trot puis j'accélère petit à petit. Soudain Gonzo aboie et courre dans une direction sans m'obéir lorsque je lui dit de revenir. Sachant que ce n'est pas dans ses habitudes, je le suit au trot puis je ralenti en le voyant près d'un homme. Je l'observe tout en m'approchant et je remarque qu'il se tient le ventre. Je fronce les sourcils en voyant ses doigts rougis par ce qui semble être du sang ?!!! Il me demande poliment où se trouve le prochain refuge, je détache mon regard de son ventre pour le regarder.

-Il y en a un à quelques rues d'ici. Mais euh vu votre état je ne pense pas que vous tiendrez le coup jusque là. Vous avez besoin de soins à ce que je voit.

Je regarde de nouveau sa main posée sur son ventre puis regarde Gonzo et l'homme qui venait de grimacer.

-Je vous présente Gonzo. Je crois qu'il a du sentir que quelque chose n'allait pas pour vous, ce qui explique pourquoi il s'est enfui sans m'obéir quand je lui ai demandé d'attendre.

Il me rassure et me dit qu'il ne va pas me voler ou quoi que ce soit d'autre, qu'il est récemment arrivé en ville. Je le regarde.

-De quelle ville êtes vous originaire ? Venez je n'habite pas très loin, je vais faire venir un médecin urgentiste pour vous soigner.

Je le regarde.

Invité

Blessé, moi, dans un monde que je ne connaissais pas. J'avais quand même beaucoup de chances d'être encore en vie et de tenir le coup. Je me devais de penser que ma bonne étoile était avec moi pour continuer ma mission. Ses personnes qui voulaient me neutraliser n'allaient pas s'en tirer comme ça. Je tenais encore à modifier certaines choses de ce temps. Cette jeune femme était près de moi alors que son chien était juste à mes côtés. Je n'avais pas peur d'eux bien au contraire. On me disait souvent que j'étais un ami des animaux. Mon empathie envers les autres pouvait aider. Elle me disait qu'il y avait un refuge à quelques rues d'ici. C'était parfait, réellement. Je devais y aller. Par contre, elle pensait que vu mon état, je ne tiendrais pas le coup jusque là. Elle avait vu juste, j'avais besoin de soins. Je pouvais remarquer qu'elle regardait ma blessure. J'essayais de tenir le choc mais j'avais bien mal. Elle me présentait son chien Gonzo. Elle croyait même que celui-ci avait dû sentir que quelque chose n'allait pas pour moi ce qui expliquait pourquoi il s'était enfui sans lui obéir quand elle le lui a demandé. J'étais un peu désolé par ça mais je reconnaissais que son chien était vraiment gentil. Ensuite, elle me posait des questions sur d'où je venais. Je savais que je devais mentir. Comment pouvait-on croire que je venais du futur, d'un monde en perdition ? Non, je me devais de garder le plus de choses et de ne dévoiler que ce qui devait être changé. Elle me proposait de venir car elle n'habitait pas loin. Elle allait faire venir un médecin urgentiste pour me soigner. Cela sentait les ennuis. Prions pour que je n'aille pas à l'hôpital.

Michael : C'est gentil à vous de m'aider sincèrement. J'ai en effet besoin de me soigner. J'en ai vécu de ses aventures mais pas comme aujourd'hui. Je suis enchanté de connaître votre chien. J'ai quand même une sacrée chance car les animaux m'aiment bien. Je suis désolé qu'il vous ait fait une petite frayeur. Je suis originaire de Washington pour être précis et c'est la première fois que je viens à New York. J'accepte votre proposition mais votre médecin, il a l'intention de m'emmener à l'hôpital ? Comment dire ? Je n'ai pas envie que ses personnes qui m'ont attaqué viennent là-bas.

Je n'avais pas trop menti là-dessus, c'était la première que je venais à New York, enfin, dans ce temps. Je connaissais la ville comme ma poche mais je n'étais plus habitué à celle-là.

Invité

Lorsque je fais allusion au médecin urgentiste, je remarque une lueur d' inquiétude dans son regard. Pourquoi était t'il inquiet ? Avait t'il une phobie des médecins ? Craignait t'il autre chose concernant le domaine médical ? Je fronce légèrement les sourcils, n'osant cependant pas lui demander la raison de son inquiétude. Il me dit que c'est gentil à moi de lui venir en aide, qu'il a en effet besoin de soins et qu'il est enchanté de connaître mon chien et qu'il est désolé de m'avoir fait une frayeur. Je sourit en voyant Gonzo lui lécher doucement la main qui ne tenait pas son ventre.

-Il est tout naturel que je vous aide, je ne pouvais pas vous laisser alors que votre état de santé est inquiétant. Et pour mon chien, ne vous en faites pas ce n'est rien. Vous n'y êtes pour rien si ce chien a un instinct de secouriste. Ce n'est pas un golden retriever pour rien apparemment.

Je sourit. En réponse à ma question, à savoir d'où il vient, il me dit qu'il est originaire de Washington et qu'il n'est jamais venu à New York. Je le regarde.

-Dans ce cas ça doit être un peu difficile pour vous de vous habituer à cette nouvelle ville. Vous avez de la famille ici ?

Je lui sourit. Je réalise que je ne me suis pas présentée et je décide de le faire.

-Excusez moi de ne pas m'être présentée plus tôt. Je m'appelle Lily et vous ?

Il accepte ensuite que je l'emmène chez moi afin de faire venir le médecin urgentiste mais il me demande d'une voix inquiète s'il compte l'hospitaliser. Il me confie qu'il n'aimerait pas que ses agresseurs y soient également. J'hésite puis je pose ma main sur son épaule afin de le rassurer.

-Je ne sais pas si le médecin va vous hospitaliser, cela dépend de son diagnostic. Mais rassurez-vous je ne pense pas que vos agresseurs vont revenir. Ils sont surement déja inquiet à l'idée que vous ayez prévenu la police.

Je le regarde. J'espérais l'avoir rassuré en disant cela. Je décide en le voyant pâlir qu'il est temps de l'emmener chez moi afin qu'il soit soigné le plus rapidement possible.

-Est ce que vous vous sentez capable de marcher sans aide? Mon appartement est à 10 minutes d'ici.

Invité

Un monde totalement inconnu, un passé que je n'avais pas vu depuis tellement longtemps mais ici, je n'étais qu'un inconnu parmi tant d'autres, un homme en quête de justice et de vérité. Ma mission était précise. Sauver mon présent devait se passer ici. Je devais me faire à l'idée que j'étais coincé. Un urgentiste, un médecin, ce n'était pas une bonne chose, qui sait ce qui pourrait m'arriver si j'étais fiché. Un gars du futur était en train de se balader dans les rues. Je devais protéger mon secret à tout prix. Elle avait l'air de sourire voyant son chien en train de me lécher la main. Cela faisait un moment que je n'avais pas vécu ce genre de chose : un moment heureux, calme et paisible, où la guerre n'était pas un quotidien. Elle me disait qu'il était tout naturel qu'elle m'aide, qu'elle ne pouvait pas me laisser alors que mon état de santé était inquiétant. J'avais mal, je supportais la douleur, enfin, j'essayais. Je ne devais pas m'en faire pour ce chien. Il avait un instinct de secouriste, oh, c'est bien ça. Ce n'était pas un golden retriever pour rien. Oh, je rêvais d'avoir un chien, une belle maison, tout ce qu'un enfant aurait aimé avoir mais je n'ai eu le droit qu'à de la course-poursuite pendant toute ma vie. Elle souriait et cela me rassurait un peu. Répondre que j'étais de Washington était la chose la plus simple à faire. Dire que je venais d'un endroit bien inconnu de tout ce monde serait difficile à avaler. Elle me disait que cela devait être difficile de s'habituer à cette nouvelle ville. Elle se demandait si j'avais de la famille. Déjà une première rencontre, et je savais qu'il fallait mentir sur ce sujet.

Michael : Je ne peux que vous remercier encore. Votre chien est extraordinaire, je peux l'affirmer. C'est dur de s'habituer à une ville comme celle de New-York mais je m'y ferais avec le temps. Je n'ai malheureusement aucune famille ici, je suis tout seul.

Une leçon que mon mentor m'avait apprise, c'était de protéger ses arrières. Je ne devais surtout pas permettre à des personnes que je ne connaissais pas encore de connaître la vérité ce qui serait réellement préjudiciable. Je tenais tellement à ce que personne ne soit en danger à cause de moi, que je serais prêt à tout. Elle était souriante, charmante même. Elle s'excusait de ne pas s'être présentée. Elle s'appelait donc Lily et demandait mon prénom. Cela ne poserait aucun problème.

Michael : Ce n'est pas grave. Je suis enchanté de vous connaître Lily, moi, c'est Michael.

J'avais accepté de venir avec elle chez elle. Le médecin m'examinerait mais je restais toujours inquiet. L'hospitalisation n'était pas une solution. Elle posait sa main sur mon épaule. J'avais l'impression de me revoir dans les grands moments avec Cassandra, mais elle n'était plus de ce monde, enfin, ici, elle était toute jeune. Elle ne savait pas si le médecin allait m'hospitaliser, cela dépendra de son diagnostic. Je préférais souffrir le martyr que d'aller à l'hôpital. Elle pensait que mes agresseurs n'allaient pas revenir. J'en étais moins sûr. Elle me disait qu'ils devaient être sûrement inquiets déjà à l'idée que j'ai pu prévenir la police. La police n'était pas ce que l'on prévenait dans ce cas-là. Mais je n'étais pas en état, enfin, je devais m'allonger. Elle me demandait si j'étais capable de marcher sans aide. Son appartement était à 10 minutes d'ici.

Michael : Je serais capable de souffrir s'il le faut mais en aucun cas, je ne veux aller à l'hôpital. Je préfère cela en petit comité. Mes agresseurs pourraient revenir et la police ne pourra rien y faire, car cela ressort plus du gouvernement, enfin de Washiington. Je peux y arriver à mon avis à marcher sans aide, sinon, j'utiliserais autre chose pour me déplacer et vous comprendrez à quel point, la police ne pourra pas m'aider. Je vous suis, allons dans votre appartement.

Je la suivais, en tenant ma blessure. J'étais mal, au plus mal. Je devais tout faire pour guérir afin que l'on ne me trouve pas. Si on s'avérait à découvrir qui j'étais, je pouvais être sûr de mourir.

Invité

Il me remercie à nouveau et me dit que Gonzo est extraordinaire. Je sourit en l'entendant dire cela. Il me dit que c'est dur de s'habituer à cette ville mais qu'il s'y fera. Il ajoute qu'il n'a aucune famille ici. Je le regarde.

-Merci pour lui c'est gentil. Si vous n'avez pas de famille ici ça doit être dur pour vous. Est ce que vous avez un endroit où loger ?

Je m'excuse ensuite de ne pas m'être présentée et il me dit que ce n'est rien avant de me dire qu'il s'appelle Michael. Je sourit.

-Moi aussi je suis ravie de faire votre connaissance.

Je le regarde, il palissait à vue d’œil et cela m'inquiétait. Il me dit que normalement ça devrait aller pour qu'il puisse marcher mais qu'il ne veut pas aller à l'hôpital. Je le regarde.

-Il le faudra si vous devez être opérer. Ne vous inquiétez pas, s'il le faut j'appellerais la police pour qu'ils vous protège. Je ne les laisserai pas s'en prendre de nouveau à vous.

Nous marchons jusqu'à l'appartement, nous allions arriver lorsque je remarque qu'il a du mal à marcher, je passe un bras autour de sa taille, prend son bras et le passe autour de mes épaules. Je l'aide à marcher et nous arrivons. Je le fais entrer puis ferme la porte. Je l'emmène dans la chambre d'ami et je l'allonge doucement sur le lit. Je le regarde.

-Essayez de vous reposer. Je vais appeler un médecin.

Je prends le téléphone et j'appelle un médecin urgentiste, je lui explique ce qu'a Michael et il me dit qu'il sera la dans une dizaine de minutes. Je raccroche et regarde Michael.

-Il sera la dans dix minutes environ. Tenez le coup Michael.

Je vais à la salle de bain et je prends une serviette de bain, je reviens et la pose délicatement sur la blessure de Michael.

-Tenez appuyez cette serviette sur votre blessure pour essayer de ne pas perdre trop de sang.

Invité

Elle semblait avoir une certaine joie de vivre. Je voyais surtout que cette jeune femme n'avait pas conscience du danger que je pouvais représenter. Si seulement, elle savait qui j'étais réellement. Je n'avais qu'une seule et unique pensée : ma mission. Changer l'histoire était quelque chose de pas facile. La guerre dans mon monde faisait rage. Je repensais encore à ma Cassandra qui avait péri suite à Sylar. Elle me remerciait. Elle pensait que c'était dur pour moi de ne pas avoir de famille. Elle me demandait si j'avais un endroit où loger. Je préférais mieux me loger par moi-même. Elle était ravie de faire ma connaissance. Les présentations étaient faites.

Michael : Ne vous inquiétez pas, je saurais me loger. Dur de ne pas avoir de familles mais je fais avec.

Je changeais de couleur. Je savais que je n'étais pas bien du tout mais je gardais la face. Elle commençait à me contredire, en disant qu'il faudra aller à l'hôpital s'il le fallait. Je ne tenais pas à y aller, je ne voulais pas. Je ne devais pas m'inquiéter avec la police ? Non, mais c'était hors de question, vraiment hors de question. Jamais les flics ne devaient intervenir.

Michael : Ni l'hôpital, ni la police, rien du tout. Me protéger, vous ne mesurez pas la gravité de la situation. Personne ne doit intervenir.

Je tenais à ça et je m'y tiendrais. Nous étions à l'appartement. Elle m'aidait à faire le nécessaire pour rentrer. Elle m'emmenait dans la chambre d'ami et m'allongeait. J'avais mal, bien mal mais je supportais. Je devais me reposer selon elle car elle appelait un médecin. Après ce coup de fil, les médecins arrivaient dans dix minutes. Je détestais ça. Je ne pouvais avoir confiance. Elle allait à la salle de bain et me ramenait une serviette. Elle me la posait sur ma blessure en me conseillant d'appuyer pour ne pas perdre trop de sang. J'appuyais, faisant signe que c'était bon. Un médecin dans une dizaine de minutes, je devais trouver un moyen de partir. Alors dans un moment d'inattention, je me relevais et utilisais mon pouvoir près de la fenêtre, afin de l'ouvrir. Je me relevais et je sautais par la fenêtre, tentant de m'échapper et d'aller voir une personne de confiance. Les informations liées à mon passé étaient plus fiables. Je volais vers sa direction.

Fin.

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