Elle, lui, moi (Pv avec Lily J. Harper & Nathan Petrelli)

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Je venais de prendre une chambre d'hotel et j'avais envie de parler avec quelqu'un de confiance. Vu que Jesse venait de partir, je ne pouvais plus parlé a personne. J'ai donc appellé quelqu'un de confiance, ma chere et tendre Lily. Elle est ma meilleure amie et je lui fait pleinement confiance. Et j'ai eu de la chance car elle se trouvait a Washington. Je voulais la voir a tout pris donc je l'ai invité a l'hotel. Elle a pris que vingt minutes pour venir. Ca fait longtemps que je ne l'ai pas vu.

J'était dans la chambre d'hotel et j'entendi le telephone sonner. Je repondis et on m'annoncais que quelqu'un etait la pour moi. Je repondis qu'elle pouvait monté. J'ai ouvert ma porte et j'ai fait un gros calin a Lily.

-Arhhhhhh Lily!!!!! Tu m'as tellement manqué. Je suis vraiment tres contente de te voir avec tout ce qu'il m'arrive j'ai vraiment besoin de voir des personnes de confiance.

Je l'ai invité a rentrer et nous avons parler. Je lui ai dit ce qu'il s'est passer avec mon pere et elle m'a dit d'aller le voir pour m'escuser. Au debut je n'etais pas du tout daccord mais apres ses arguments étaient asser convaincant donc nous sommes partis pour aller le voir. Nous avons pris trente minutes pour arriver chez mon pere. Nous sommes arrivé et on nous a indiqué qu'il se trouvait dans son bureau. J'ai demander avant d'y aller si la premiere dame etait la et on m'a dit que non. Heureusement sinon je n'aurais pas supporter de revoir sa tête. Quand nous nous sommes approcher du bureau je vu que des agents trainaient Chris.

J'ai frapper au bureau et une voix un peu m'echante a dit "je vous ai dit que je ne voulais pas etre deranger!" Mince! Je tombe au mauvais moment on dirait. Nous sommes rentré et la il nous a jeter un regard froid. Oh mon dieu ca fait froid dans le dos.

-Re très cher. Ca va toujours?

Je regardais un peu tout, et je souriais pour detendre le monde. A ce moment la je vu le regard de Nathan ce bloqué sur Lily, il etait petrifié et Lily aussi.

-Quesque vous avez vous deux la?

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Pour moi, je devais absolument règler la mission en Afrique. Je devais absolument ramener Taylor aux Etats-Unis. Je me disais que de mettre son père sur le coup serait une excellente idée même si je n'avais pas une absolue confiance en lui. Il préparait quelque chose, quelque chose de réellement important. Avant tout, je devais avoir de ses nouvelles, c'était normal. Je n'arrivais pas à l'avoir au téléphone. J'étais vraiment bien énervé car je voulais voir la seule chose qui me rendait complètement obsédée. Je demandais à ma secrétaire de dire que je ne devais pas être dérangé. Seulement, quelques minutes plus tard, alors que je tentais de joindre mon conseiller, j'entendais frapper à ma porte. Je ne pouvais que crier.

Nathan : Je vous ai dit que je ne voulais pas être dérangé.

Je continuais de tenter de joindre mon conseiller alors que quelqu'un était finalement rentré dans mon bureau. Je voyais que c'était ma fille. J'étais étonné de la voir mais je ne voulais être dérangé. J'étais plutôt froid, me souvenant de ce qu'elle avait fait avant de partir. J'étais anéanti, blessé. Elle souriait. Elle ne m'appelait même pas Papa, ce qui me blessait encore plus et me demandait si ça allait. Non, je n'allais pas bien mais je ne devais rien montrer. Seulement, ce que je voyais par la suite était une grande surprise. Je remarquais que Lily était présente. Cette déesse me rendait toujours aussi fou mais là, ma fille était présente. Comment réagir face à ça ? Je devais jouer la comédie. Ma fille remarquait notre regard commun. Que dire ? Que faire ? J'avais une idée.

Nathan : Je suis simplement surpris que tu sois venue avec une autre personne. Si on devait discuter toi et moi, j'aurais bien vu cela rien que toi et moi. Qui est cette personne ?

Je m'en sortais plutôt pas mal. Je devais éviter de trop dévorer du regard Lily si je devais tenir mon discours jusqu'au bout. Discrètement, je lui montrais avec mon visage que j'avais une idée pour ne pas que Claire sache la vérité. Ma fille ne devait pas savoir ce que j'avais fait dernièrement.

Invité

Lily avait été appelée par sa meilleure amie, sa sœur de cœur, Claire. Elle était d’ailleurs à Washington à ce moment précis, pour voir son amant adoré. Mais bon, il était au travail, Lily était toute seule dans son petit appartement loué, alors elle se rendit à l’hôtel où logeait Claire. Dès son arrivée, elles ont pu s’enlacer comme si elles ne s’étaient pas revues depuis très longtemps. Elles entrèrent dans la chambre luxueuse de sa sœur de cœur et elles se mirent à parler, longuement. Son problème était son père, que Lily ne connaissait absolument pas, même pas son nom. D’après elle, Claire et son géniteur n’étaient pas très proches. Alors Lily lui proposa d’aller le voir, toutes les deux, la blonde sera là pour son soutien moral. Alors, elles partirent toutes les deux vers le bureau du père. Lorsqu’elles rentrèrent dans le bâtiment, Lily entendit quelques discussions. Les deux femmes blondes se tenaient au milieu de personnes de l’Etat, la peur l’envahissait. Si l’un d’entre eux reconnaissait la jeune femme, elle serait fichue. Alors elles entrèrent dans un vaste bureau. Présidentielle vu la pancarte. & là, le cœur de la criminelle se figea. Devant elle, Nathan, son amant de toujours, l’homme de ses désirs. Elle comprit sur le champ. Nathan était le père de Claire. Alors, là, son regard se figea sur Nathan, abasourdie de cette triste coïncidence. Elle tentait désespérément de ne pas montrer son sentiment de désir dès que le regard du président se posa sur la jeune femme Lily. Elle murmura, plutôt balbutia.

« Lily… Jane. Enchantée monsieur le Président, je suis une amie de Claire, votre fille. »

Elle soulignait bien ses mots, d’un côté, elle montrait dans sa voix à Nathan, qu’il fallait qu’ils discutent ensemble. Puis elle reporta son attention sur Claire et sourit d’un air totalement dépourvu d’inquiétude.

« Rien, je ne m’attendais pas à ce que tu aies un père président, c’est tout !»

Un rire cristallin mais nerveux se fit entendre, elle était vraiment mal à l’aise. Par réflexe, elle referma la porte derrière elles et fixa Nathan, tentant en vain de ne pas se montrer affaiblie par le regard de sa bête du sexe …

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Je savais bien que j'aurais affaire encore a mon pere mais pas aussi rapidement. Je ne voulais pas le voir, surtout pas apres tout ce qu'il sétait passer. Je lui avait fait croire que ce jeune homme était mon petit copain alors que le vrai m'attendais dehors. Je savais tres bien qu'il preparait quelque chose donc je n'ai pas voulu courir le risque d'ammener le vrai.

Lily et moi sommes partis vers la maison blanche et je l'ai trouver un peu distante, discrete tres discrete. Apres tout elle est jamais venua la Maison Blanche donc ca doit faire un choc la premiere fois je pense. Quand nous sommes ariivé dans le bureau elle s'est presente d'un air bizarre. Elle était pretrifié. Et bien c'est bizarre tout ca.

-Donc oui, heu je suis venu pour m'espliquer avec toi. Et aussi, je trouve que ta femme a vraiment un probleme, mais pas un petit. Tu devrais aller l'emmener dans un hopital parcequ'elle est dingue. Bref je n'ai pas aimé que tu lui fasse tout ca et dailleur que va tu faires de lui maintenant?

Nathan et Lily étaient bizarre et je me opsais des questions. Mon pere ne pensait pas que je viendrais avec une ami, il pensait que l'on devait parler que tout les deux. Quand a Lily elle ne s'attendais pas a ce que Nathan sois mon pere.

-A non mais ca c'est mon assurance et surtout l'une des seules personnes qui ne m'a pas encore trahit. Hein Lily? Si j'étais venu seule, t'aurais péter a nouveau un cable et moi aussi donc...Enfin t'es pas bête a se point tu comprend.

Je me suis tourner vers Lily d'un regard soucieux.

-Et bien oui c'est mon pere, il est President mais aussi tres tres chiant. Il est gentil avec toi deux seconde et apres il devient insuportable et invivable.

Quesqu'il ce passe entre les deux la. Ils se regardent d'un air "mince". Enfin ca devient vraiment bizarre a la fin.

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Je devais m'empêcher d'exprimer ce désir qui m'habitait devant ma fille car cette déesse était juste devant moi. Je voudrais pouvoir être tout près d'elle mais rien à faire, je ne pouvais pas. Je ne devais en aucun cas montrer que je la connaissais. En tant que président, je savais quand même cacher la vérité, sinon, je n'aurais pas une sacrée réputation. Je voyais cependant qu'elle essayait aussi de ne pas refléter ce qui était arrivé entre nous. Ce moment, je ne l'oublierais jamais. Elle se présentait à moi. Elle insistait sur les mots. Lily Jane, c'était bien son nom. Elle était enchantée de me connaître. Elle insistait même sur le fait qu'elle était une amie de ma fille. Je savais que je devais discuter avec elle. Mais le plus important était de se sortir de cette situation pour le moins inattendue.

Nathan : Je suis enchanté Lily. Vous êtes une amie de ma fille, appelez-moi Nathan, cela ne me dérange pas.

Lily semblait aussi tendue que moi. Je voudrais tellement pouvoir être seule avec elle et lui parler mais ce serait difficile. Je n'avais pas encore tout dit comme d'habitude ce qui donne lieu à des situations étranges. Ma fille finalement me disait qu'elle était venue pour s'expliquer avec moi. Elle me disait qu'elle trouvait que ma femme avait un véritable problème. Elle me conseillait de l'emmener dans un hôpital parce qu'elle était dingue. Avec elle, je n'avais pas jusqu'ici repris le goût de vivre sa vie pleinement. Aujourd'hui, je me retrouvais pris au piège. Ma femme n'était pas dingue, oh non. Ensuite, elle me parlait sûrement de ce Chris. Elle n'avait pas aimé que je lui fasse subir tout ça. Elle me demandait ce que j'allais faire de lui. Je pouvais lui montrer que j'étais intraitable. Ensuite, elle évoquait la venue de Lily car ce serait son assurance et l'une des seules personnes qui ne l'avaient pas encore trahie. Elle demandait même à Lily. Ma fille ajoutait que si elle était venue seule, j'aurais pété un câble à nouveau et elle aussi. Elle priait pour que je comprenne et que je ne sois pas bête. J'étais loin d'être un idiot.

Nathan : Qu'enfin nous puissions nous expliquer calmement, c'est une bonne idée mais c'est un tort que je m'énerve pour un oui ou pour un non. Parlons de ma femme d'abord, elle n'est pas dingue comme tu peux le penser. Je m'occupe d'elle, ne t'en fais pas mais des évènements me retiennent au boulot. Pour ce qui est de ton ami, je me décide au fur et à mesure. Je n'aime pas que l'on puisse me défier. Je le fais généralement payer.

Ferme et déterminé, c'était mes devises. Lily se tournait un instant vers Claire ce qui me permettait de souffler un peu sans être remarqué. Lily ne s'attendait pas à ce que Claire ait un président comme père. Ma fille confirmait que j'étais bien son père mais que j'étais aussi très très chiant. Ce n'était pas moi ça ! Pour elle, j'étais gentil deux secondes et après je devenais invivable. Je devais garder le contrôle.

Nathan : Moi ? Très très chiant ? Je ne suis pas comme ça, ni insupportable et invivable.

Je ne pouvais m'empêcher de regarder Lily. Je la désirais tellement. Claire commençait à nous voir. Ah, non, je ne devais commettre de faux pas. Cela devenait de plus en plus difficile.

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Quesque je fais la serieus?! J'en ai deja marre, rien que le voir me donne envie de la frapper. Il m'a tellement enerver que la je ne sais même pas comment je tiens en place. Son regard, il me nargue arh!!!!!!! Je veus le frapper. Il était enchanter de voir Lily mais je voyais bien qui l'a matait. Sale pervers! Garde les mains dans ta poche monsieur le pervers. Il me disait que ca femme n'était pas dingue. Pas dingue mais oui et moi je suis une sainte. Elle est carrement malade et faudrais l'enfermer et jeter la cléf. Ensuite apres tout ce petit debat on est arrivé au sujet du gars qui a joué mon petit copain. Il allait le faire payer. C'est pas de sa faute, on l'a payer.

-Mais c'est pourtant la vérité tu t'enerve pour un rien. Non c'est une malade mentale c'est vrai desoler je me suis tromper mais il faudras quand même l'enfermer et si tu peus toi aussi comme ca j'en aurais fini avec toi et tout le monde sera content. Rrrhhh et bien la ta quelqu'un a ta taille mon grand! Je te defirais avec plaisir jusqu'a la fin!!!! Ce n'est pas de ca faute tu sais c'est moi qui lui ai demander donc laisse le. De toute facon de toi a moi, c'est moi qui vais gagner ne t'inquiete pas.(sourire sadique)

Je gagnerais, quoi qu'il m'en coute je le fairais payer pour tout ce qu'il a fait et tout ce qu'il fera dans l'avenir.

-Mon dieu si! T'es lourd, chiant, invivable et j'en passe plein d'autre. Heureusement que je ne suis pas venu vivre avec toi.

A ce moment la je voulais savoir ce qu'il se passait entre les deux la, donc je suis partis au toilette en laissant mon sac et mon portable sur enregistrement. Je vais savoir si il y a quelque chose entre ces deux la. Je suis rentrer et le ils ne s'attendaient pas a ce que je prenne mon portable. Je rigolais pendant deux secondes mais j'ai entendu sur l'enregistrement "il ne faut pas quelle sache que l'on enfin que l'on couche ensemble" A ce moment j'étais bouche bé.

-Woaw donc tu te tape ma meilleure amie et toi mon pere. Quesqu'il ne va pas bien chez vous?

La je me sens en colere completement debile et j'ai envie de chialer. J'en avais marre donc je suis sortis du bureau en parlant a Lily.

-Toi tu ne m'approche plus jamais de t'as vie et n'essai même pas de m'appeller enfaite ca vos pour vous deux. Vous m'oubliez mais la ce n'est pas un peu mon cher Nathan c'est pour toujours la daccord!!!

Je me suis retrouver dehors mais au moment de monter dans ma voiture quelqu'un me pris le bras. Quesque c'est encore ca?

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Je devais être prudent. Je ne pensais pas du tout que je me retrouverais devant cette situation si délicate. En tant que président, je devrais pouvoir faire face à tout mais c'était de plus en plus difficile. Ma fille, je le voyais bien, n'était pas très à l'aise. Pourtant, elle me disait que c'était la vérité sur le fait que je m'énervais pour un rien. Pour ma femme, elle me disait qu'elle s'était trompée, que c'était plus une maladie mentale mais selon ma fille, il faudrait quand même l'enfermer et si je pouvais moi-même comme ça elle en aurait fini avec moi et tout le monde sera content. Ah, mais j'étais en train de rêver ! Elle me prenait pour un fou, un dingue. Ensuite, elle parlait de son ami. Elle disait que j'avais quelqu'un à ma taille. Elle me définirait avec plaisir jusqu'à la fin. Elle essayait de le défendre. Elle m'expliquait que ce n'était pas de sa faute mais la sienne car elle lui avait demandé de faire ça. Elle souriait mais elle osait m'avouer qu'elle gagnerait d'abord. Elle en rajoutait en disant que j'étais lourd, chiant, invivable et elle n'en citait pas d'autres. Là, elle me faisait souffrir encore plus en m'avouant qu'heureusement, elle n'était pas venu vivre avec moi. Cela me faisait mal au coeur.

Nathan : Je ne m'énerve pas pour un rien ! Je m'énerve pour de bonnes raisons. Je vois que tu es bien cruel avec ton père. Par contre, pour mon épouse, elle ne sera pas enfermée. Elle restera que tu le veuilles ou non et surtout, je le saurais si elle était dingue comme tu le prétendais. Je vois surtout, c'est que tu ne l'aimes pas. C'est l'une des rares fois où je te présente quelqu'un et que tu ne l'aimes pas. Je suis déçu. Je ne serais pas enfermé ma fille car je ne suis pas un fou. Je déteste que l'on me traite de fou car cela peut me mettre en colère. Tu n'en auras pas fini avec ton vieux père. Je suis quelqu'un de tenace. Je verrais pour laisser ton copain ou non. C'est en cours d'étude. J'ai peut-être des défauts mais ce que tu viens de dire est vraiment blessant car j'aurais voulu avoir ma fille à mes côtés, c'était mon rêve le plus cher et cela l'est encore.

Seulement, je n'aurais pas réellement le temps de savoir ce que ma fille pensait qu'elle partait au toilette. Ah, j'étais libre, libre d'aller près de Lily. Je m'approchais d'elle et je l'embrassais. Je lui touchais sa joue droite.

Nathan : Tu m'as manqué, tu m'as tellement manqué. Ma fille ne doit pas savoir que l'on couche ensemble toi et moi. D'ailleurs, j'ai envie, tellement envie de te revoir seul à seul.

Seulement, ma fille revenait. Elle prenait son portable. Quoi ? Mais qu'est-ce qu'elle avait fait ? Elle nous avait enregistrées. Elle disait que je me tapais sa meilleure amie et à Lily, son père. Qu'est-ce qui n'allait pas chez nous ? Rien, mis à part que nous avions eu un coup de coeur mutuel. Je ne pouvais résister à cette déesse. Ensuite, elle disait à Lily qu'elle ne devait plus s'approcher d'elle de sa vie et elle ne devait même pas essayer de l'appeler et cela valait pour nous deux. On devait l'oublier, mais là, ce n'était pas qu'un peu, c'était pour toujours. Elle partait. Elle était triste. Je prenais l'initiative d'aller la chercher. Alors qu'elle allait monter dans sa voiture, je lui prenais le bras.

Nathan : Reste, je t'en prie. Nous pouvons discuter tranquillement. Je suis désolé.

Je devais l'empêcher de s'en aller. Il ne fallait pas du tout qu'elle puisse s'en aller et surtout fâcher.

Invité

Leur histoire, Lily les connaissait vu que Claire lui avait déjà parlé de tout ça, elle avait même préparé son discours avec la belle blonde. Nathan tentait vainement d’être calme, même si Lily voyait bien qu’il lançait des regards pervers et désireux sur la criminelle. Claire pestait, crachait son venin sur son père. Lily ne savait que penser ou dire. Son amant ? Sa meilleure amie ? C’était assez troublant de savoir que son amant et sa sœur de cœur étaient de la même famille. Elle déposa son regard émeraude sur Claire qui partait aux toilettes. Nathan sauta sur l’occasion et se rapprocha de la belle. Il déposa sur ses lèvres un de ces baisers doux et tendres, qu’elle adorait. Elle lui rendit avec amour puis caressa son torse et sa joue.

« Tu m'as manqué, tu m'as tellement manqué. Ma fille ne doit pas savoir que l'on couche ensemble toi et moi. D'ailleurs, j'ai envie, tellement envie de te revoir seul à seul. »

Elle sourit et répondit d’un ton doux, envoûtant.

« Elle n’en saura rien mon amour … Ne t’inquiète pas pour ça »

Claire revint, elle empoigna son téléphone et grogna. Lily adorait Claire, mais il faut avouer qu’elle aimait encore plus la voir énervée, tempêtée. Un sourire s’afficha sur les lèvres de la blonde en la voyant partir. Mais sa réjouissance se stoppa quand Nathan la rejoignait. Elle gronda et les suivit rapidement. Nathan attrapa le bras de sa fille et lui parla d’un ton calme, doux, lui disant qu’il ne fallait jamais partir fâchés. Lily s’approcha de Claire, se faisant la plus douce possible mais il faut avouer, qu’avec les filles, Lily était peu talentueuse.

« Claire, j’aurai dû te le dire mais je l’ignorais … Claire, ma chérie, ma femme, ma confidente, tu dois me pardonner, tu le dois ! Au nom de notre belle amitié ! »

Lily s’approcha de la femme et la câlina, sage, chaste et surtout douce. Elle caressa ses cheveux blonds comme le blé mais un peu moins que ceux de Lily, qui elle, était blonde platine. Pendant que la jeune Claire pleurait sur l’épaule de la jeune femme, elle souriait, timidement.

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Alalalala j'en ai vraiment mais vraiment marre. Il y a quelques temps je voulais vivre avec lui, je voulais une nouvelle vie. Je voulais avoir l'opportunité de connaitre ma véritable famille, mon vrai père mais j'avais tord. A deux reprises je me suis raccrocher à lui. La première fois je lui ai fais confiance mais il a voulu faire exploser New-York, la deuxieme fois il y a eu le virus et je lui en ai voulu. A un moment je me suis dis qu'il avait son esplication et que tout avait un sens mais je me suis tromper. J'avais tord et en se temps la j'étais jeune.

-Non pour un rien crois moi je suis très habitué. Je l'aimais bien jusqu'a ce quelle essaie de le tué. Et toi tu l'encourage mais t'es un vrai monstre. De toutes facon toutes mes paroles te mettent en colere. On est deux alors. Je ne te laisserais pas m'avoir et c'est moi qui gagnerais. Il ne t'a rien fait. il a fait juste ce que je lui demandais rien de plus. Ca l'était encore mais jusqu'a ce que tu lache se truc qui tue tout le monde. Je ne veus plus que tu sois mon pere et enfaite tu ne l'as jamais été.

Je suis partis au toilette car je savais qu'il se passait quelque chose. En allant dehors je suis aller voir des gardes et je leurs est dit que le president m'a demander de faire sortir le jeune homme et de l'ammener cher lui. J'ai donner l'adresse et je suis retourner vers mon pere et Lily. Quand je suis rentrer ils étaient tout les deux ensembles. J'étais en colere et je suis partis.

-Parler? Mais de quoi que tu te tape mon amie non je crois pas. Ecarte toi de moi Lily et aufaite ne viens plus au mariage, je trouverais une autre demoiselle d'honneur. Une qui ne se tape pas mon con de pere.

Invité

Lily savait au fond me faire chavirer comme personne. Un coeur exceptionnel, un corps exceptionnel et ce que je ne savais pas, c'était qu'elle était une amie de ma fille chérie. Je m'étais encore embarqué dans une sale histoire mais j'attirais à chaque fois ce genre d'incident. Lily semblait vouloir me défendre, bien me défendre mais Claire avait tout découvert. Je comprenais qu'elle me détestait. Je me souvenais encore des paroles de ma fille, comme quoi je m'énervais pour un rien mais elle était habituée. Elle aimait ma femme jusqu'à ce qu'elle tente de tuer son petit ami. Elle me disait que j'étais un véritable monstre car j'encourageais ma femme. Elle m'avait avoué quelque chose qui m'avait planté comme un coup en plein coeur. Elle était déçue et moi alors ? Je voyais tellement mieux pour elle. Par contre, ce qu'elle devrait savoir c'est que jamais, on ne devait rentrer en compétition avec moi car j'avais l'habitude de gagner et surtout, horreur de perdre. Elle osait me dire qu'il n'avait rien fait mais moi au contraire, je savais qu'il me volait quelque chose de précieux : ma fille. Il aurait selon elle fait juste ce qu'elle lui demandait, oh. Mais il n'avait pas à le faire, d'abord. Elle me disait qu'elle aurait pu être à mes côtés, mais le fait d'avoir lâché ce truc sur le monde avait tout détruit. Elle ne voulait plus que je sois son père mais elle allait le regretter. Je n'avais pas été son père pour une raison : car on m'avait enlevé cette possibilité de devenir père. Je tentais de raisonner ma fille mais pour elle, parler ne servait à rien car je me tapais son amie. Lily ne devait plus venir au mariage. Elle trouverait une autre demoiselle d'honneur, une qui ne serait pas avec moi. Je me devais de la défendre.

Nathan : Comment oses-tu lui parler ainsi ? Elle n'a rien fait que je sache à part juste se trouver avec moi. Il peut y avoir des sentiments et plus encore. Je suis encore assez grand pour savoir ce que j'ai à faire. Raphaëlle, est ma femme, je te rappelle, et donc par conséquent ta belle-mère. Elle ne fait que protéger tes intérêts et mes intérêts. Elle protège notre famille. Toutes tes paroles me mettent en colère ? Mais il faut voir aussi, comment tu essayes de défier ton vieux prère ! D'ailleurs, n'essaye jamais de me défier car il y a une chose que tu dois savoir, c'est que j'aime toujours gagner. Même si ton ami a fait ce que tu lui as demandé, il aurait dû avoir du bon sens pour savoir qu'il ne fallait pas le faire. Tu aurais dû avoir du bon sens. Maintenant, à mon avis, il est temps pour toi de réfléchir à tout ça, car je ne te permets pas d'agir ainsi avec moi. Je suis encore ton père et je le resterais encore pendant très longtemps.

Je regardais ma fille d'un air triste. J'étais parti en colère, ne voulant pas rentrer plus loin dans cette histoire et surtout, avec ce que je possédais, je me devais d'être prudent. Lily me suivait. Il valait mieux qu'elle soit avec moi et à mon avis, on allait profiter de nos retrouvailles.

Fin.

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